…Nous étions déjà samedi et j’avais passé toute la journée et la nuit du vendredi à dormir.

Elles m’avaient à toutes les deux tellement fait jouir, qu’il m’avait bien fallu tout ce temps pour récupérer.

Je n’avais que 16 ans et mon corps était devenu le jouet de ses deux perverses et malgré tout ce que j’avais subit , je n’aspirais qu’à une chose maintenant ….c’était d’aller plus loin encore dans les jeux de l’amour si on pouvait appeler ça ’des jeux’.

J’avais essayer de m’endormir en rêvant à ce chien que ma tante avait promis de me faire connaître ,mais j’avais vite sombré dans un sommeil mouvementé ,peuplé de sexes, de godes, de chiens, de femmes qui se caressaient ,qui me léchaient le clitoris et la vulve ,qui se donnaient au chien et la première chose à laquelle je pensais en me réveillant, c’était à toutes ces choses qu’elles m’avaient fait subir ou que j’allais subir.

Je devenais une vraie obsédée du sexe .

Seulement une semaine de vacances et voilà le résultat.

J’avais bien aperçu mon oncle dans la journée et j’étais contente quand même de le voir, mais je n’avais qu’une hâte , c’était qu’il reparte vite lundi , pour qu’Alice puisse continuer mon apprentissage. En plus ,j’étais jalouse de lui car pendant qu’il était là ; je savais qu’ils faisaient l’amour et qu’à aucun moment je ne pourrais rester ne serait ce qu’une seconde avec elle ,ça me rendait complètement dingue.

Rien que de la regarder et de voir son corps jouer sous sa robe légère et je sentais mon ventre recommencer à avoir chaud.

J’imaginais sa minette et son adorable fessier à peine recouvert d’une petite culotte et je sentais les lèvres de mon sexe s’ouvrir et ma mouille commencer à ruisseler entre les lèvres.

Il fallait que je sorte , que je prenne l’air car depuis que j’étais arrivée ici , je n’avais pratiquement pas quitter la maison ,sauf l’autre jour pour aller me promener avec Hercule.

Tiens au juste ….il était où celui là !!!!A savoir s’il n’était pas entre les cuisses d’Alice.

Ce qui m’étonnerait bien car je ne pense pas qu’elle le fasse en présence de mon oncle . quoique avec elle …venant de sa part , je m’attendais à tout.

J’aurais bien aimé l’emmener avec moi ….histoire de voir si j’étais capable d’aller plus lion dans mes rapports avec lui, mais j’eus beau chercher , je ne le trouvas pas .

Mon oncle était enfin parti et cette fois encore , il ne rentrerait pas avant Samedi.

Le week end avait été d’une longueur et d’une tristesse à mourir.

Je n’avais pas réussi à récupérer le chien et je restais persuadée qu’Alice s’en était servi .mais je doutais quand même qu’elle l’ait fait avec mon oncle .

J’avais beau avoir essayer de m’occuper l’esprit à me promener, je n’avais pas réussi à sortir de ma tête tout ce qui s’était passé depuis le début de mes vacances .

J’avais la tête et le corps fatigués . Pas une fatigue morale mais une fatigue physique.

Je n’avais pas arrête de faire l’amour et mon corps d’adolescente avait du mal à récupérer.

Toute la journée de ce lundi nous l’avons passée à nous promener toutes les deux main dans la main avec Hercule qui n’arrêtait pas de nous tourner autour et que je dévorais littéralement des yeux.

— Tu l’aimes ce chien hein ! tu en as vraiment envie dis moi ?

— Oh oui !!!! je l’ai cherché tout le dimanche pour l’emmener avec moi ,mais tu l’as gardé précieusement auprès de toi.

Elle ne répondit pas mais je pus constater ses joues avaient changées de couleur et certaine gêne une gêne quant à ses explications.

Elle s’en était servie elle aussi …j’en étais persuadée maintenant .

Le soir nous nous sommes retrouvées toutes les deux comme deux amoureuses autour d’une bonne bouteille de vin rosée à rire et à se raconter des histoires .

Alice me servit un verre pendant je me lovais contre elle sur le divan, et dégustais tranquillement ce doux nectar rosé. Malgré mon tout jeune âge, j’adore le vin, et tout alcool en dehors de quelques-uns qui vraiment ne passent pas. J’ai aussi beaucoup de mal à m’arrêter quand je commence à boire, et souvent je finis saoule au point de raconter n’importe quoi, et à faire, aussi, n’importe quoi… C’est ce qui se passa.

Nous étions tendrement installés sur le canapé, à se caresser innocemment au début, mais la bouteille une fois vide, nos idées se chargèrent de désir, et les miennes, particulièrement.

Je commençais par déboutonner son chemisier, j’ôtais ensuite sa jupe et sa culotte , pour la gratifier comme l’autre soir d’une langue entre les lèvres de son sexe.

Elle me laissa la sucer quelques minutes en me caressant les cheveux, mais très vite elle eût envie de plus. Elle fit glisser ma robe, découvrant mon corps entièrement nu car depuis que j’étais avec elle j’évitais de mettre des sous vêtements pour être à sa disposition quand elle le voulait

Elle me demanda de me mettre à quatre pattes ,se mit encore une fois sa ceinture gode et sans aucune caresse, s’introduisit en moi.

Alice m’excitait tant qu’aucun préliminaire n’était nécessaire. Sa présence seule suffisait à me faire mouiller comme une fontaine et je savais en la voyant qu’elle me comblerait de plaisir, qu’elle me ferait jouir, et cette simple pensée me préparait à l’accueillir dans mon intimité, pour qu’elle puisse me labourer comme elle seule savait le faire.

Elle me baisa comme une chienne, oubliant la tendresse du début de la soirée, pour violemment m’enfourner son gros membre au fond de mon ventre en m’attirant par la taille en s’agrippant à mes seins et à mes cheveux .

De la sentir se secouer conte mon dos et de sentir avec quelle force elle me prenait , j’avais déjà un orgasme et c’est dans un râle de plaisir que je lui fit comprendre qu’elle pouvait me faire tout ce qu’elle avait envie de me faire.

La semaine commençait bien.

Mais j’en voulais encore, plus, toujours plus. Je voulais qu’elle me prenne toute la nuit, qu’elle reste en moi et me baise à l’infini.

— Tu me fais confiance, n’est-ce pas ma petite chérie ? tu veux toujours connaître ? tu veux que j’appelle Hercule pour toi ?

— Oui, bien sûr, j’en ai terriblement envie ,mais j’appréhende quand même ,il est tellement gros.

Je lui faisais croire que je redoutais le contact du chien ,mais depuis que je l’avais vue sur Arlette, je voulais aller plus loin qu’une petite lichette sur mon clitoris comme il me l’avait fait le jour de notre promenade .

Je voulais le sentir en moi.

J’aimais beaucoup quand elle me prenait comme tout à l’heure avec son gros gode ,mais ce que je voulais maintenant ,c’était une chose vivante , chaude . je voulais pour la première fois de ma vie ressentir une vraie bitte et du sperme dans mon ventre . Même si ce n’était pas une sexe d’homme .

Je le voulais tellement cet animal que j’étais prête à faire n’importe quoi pour ça.

    – Et toi Alice ….tu ne m’as jamais dit si tu l’avais déjà fait avec lui

Elle ne m’a pas répondu . Elle a seulement écarté très largement ses jambes, appeler Hercule pour qu’il vienne lui mettre sa langue entre les lèvres de son sexe .

Cette fois je me trouvais dans une situation complètement folle .j’étais là émerveillée par le spectacle de la gueule du chien entrain de renifler et de lécher le sexe de ma tante

Je ne pouvais plus contrôler mes doigts qui avaient remplacés ceux de ma tante sur mon clitoris ,tant elle était occupée avec ses deux mains à écarter ses lèvres au maximum, pour que la langue du chien aille le plus loin possible.

-Coralie ! viens profiter de sa langue toi aussi,!viens t’allonger à côté de moi et ne me dis pas qu’il ne t’a jamais fait ça , je te croirais pas .

je me retrouvais à côté d’elle ,les jambes mélangées aux siennes ,avec la langue baveuse et chaude d’Hercule qui ne savait plus quel sexe il devait lécher

Nous étions vraiment des vraies chiennes en chaleur qui n’attendaient plus qu’une chose….c’est de savoir quelle femelle il allait se décider à monter.

— Attends j’ai une idée, mais il faut vraiment que tu me fasses confiance. Attends. ?

Elle fouilla dans son placard pour en sortir un bandeau noir et une paire de menottes…

-Tu as peur ?

— Non… pourquoi.?

J’avais bu, et l’idée qu’elle m’attache m’excitait au point de faire disparaître toutes mes craintes. Je la laissai donc me couvrir les yeux et m’attacher la main droite au pied de la table en bois massif. Je me remis ensuite à quatre pattes , comme elle me l’avait demandé.

-Tu vas voir mon petit coeur, tu vas aimer ça ! ?

J’essayais de me repérer aux bruits qu’elle faisait mais je ne comprenais pas ce qui se passait derrière moi.

Je sentis enfin le souffle du chien entre mes fesses et sa truffe froide qui me reniflait l’anus.

Elle n’allait quand même pas me le mettre entre les reins . Enfin pas pour la première fois.

Mais avec elle il fallait s’attendre à tout. On lui donnait le bon dieu sans confession quand on le regardait comme ça . Mon pauvre oncle s’il savait ……

— Laisse-toi faire, tu verras que tu vas aimer ça. Laisse-toi faire, fais-moi confiance… ?

Malgré le masque sur mes yeux , en me penchant, j’aperçu sa queue qui pointait de son fourreau. Elle était rouge, semblait gluante, et du liquide suintait déjà au bout.

J’avais beau le désirer de toute mon âme et de tout mon corps, en voyant ce sexe dur qui commençait à pointer , je me demandais si vraiment je n’étais pas folle d’accepter cet accouplement

Je l’avais vue sortir du ventre d’Arlette , et la grosseur qu’il avait encore après qu’il se soit complètement vidé ,je ne suis pas sur que mon jeune sexe puisse l’accepter tout entier .

C’étais trop tard pour dire non et je ne pense pas que ma tante m’aurait laisser faire .

Elle aussi avait envie que je me fasse prendre .Je le voyais bien de la façon qu’elle avait à lui caresser le sexe pour qu’il soit encore plus excité.

.Je le sentis enfin grimper sur moi, m’enserrer de ses pattes avant avec force, et chercher du bassin l’entrée de mon vagin. A ce que j’avais pu voir, son membre était assez gros, et ma seule inquiétude était d’avoir mal..

Quand il s’introduisit en moi, je ne pus réprimer un cri de douleur. Il m’écartelait littéralement.

Ce n’était plus le bout rouge que j’avais vue qui me remplissait .Sa bite avait considérablement gonflé, et me remplissait entièrement.

Le chien commença de rapides mouvements, me défonçant comme jamais je ne l’avais été auparavant.. Je criais, hurlais, mais rien n’y faisait. Il ne sortait pas de moi.

Au bout d’un moment, mon vagin se fit à la taille monstrueuse de l’animal, et ma douleur se transforma en une forme étrange de plaisir. Ses couilles frappaient mes cuisses à chacun de ses assauts, sa bite heurtait le fond de ma cavité et tentait à chaque mouvement de s’enfoncer plus profondément

Ces sensations toutes physiques, auxquelles s’ajoutaient encore ma position si humiliante de chienne qui se fait prendre sauvagement par son mâle ,sous les yeux d’une perverse qui se branlait, achevèrent de me faire jouir plus intensément que jamais je ne l’avais fait .Ce qui était normal vue le peux d’expérience que j’avais .Mais je contais bien me rattraper .

Mes hurlements se transformèrent vite en de longs gémissements, je râlais chaque fois que la bite animale venait buter au fond de mon vagin, le visage trempé de sueur et déformé par le plaisir. J’adorais sentir son souffle dans mon cou, sa fourrure sur mon dos, et ses mouvements profonds, violents, si rapides que je pouvais à peine respirer.

Il fini par ralentir et je sentis alors son membre enfler, enfler encore, bien encré dans mon intimité, puis stopper alors tout mouvement et rester ainsi figé en moi.

Alors je compris tout le plaisir que pouvait réserver un tel accouplement contre-nature, quand de grosses giclées de sperme chaud me transportèrent au summum de la jouissance. J’étais transportée aux anges par ce flot ininterrompu de sperme qui giclait dans mon vagin et qui me gonflait le ventre.

Je ne savais pas combien de temps il allait rester planter en moi et malgré la fatigue qui commençait à me prendre ,il continuait à se déverser en moi et moi à être secouée de spasmes de jouissance.

— Faut lui laisser le temps de dégonfler mon chou, et si pendant ce temps-là tu venais avec ta langue entre mes cuisses pour me donner du plaisir à moi aussi?

Transportée de plaisir, encore secouée par les dernières montées d’orgasme, je me saisis de sa chatte , à peine m’eût elle rejoint au sol, et l’avalais autant que je pouvais.

Quand le chien finit par se retirer, mon vagin, béant, laissa s’échapper tout le sperme qu’il m’avait déversé, souillant le sol complètement éreintée je m’affalais sur le carrelage froid.. J’étais juste épuisée, n’arrivais pas à réaliser que tout ce plaisir m’était venu d’un chien, et malgré toute l’horreur que les gens pourraient penser de cet accouplement que je venais de subir, j’en étais heureuse.

Alice s’était un peu calmée, mais elle voulait pousser à son paroxysme mon plaisir. Elle me laissa à peine le temps de me relever qu’elle me bascula sur le canapé. Debout mais échancrée, elle s’empara de mon cul avec sa satané ceinture Gode , après l’avoir brièvement lubrifiée du sperme d’Hercule.

Elle me ramona pendant de longues minutes, me ramenant à un nouvel orgasme, à de nouveaux râles de plaisir. Elle m’insultait et me traitait de tous les noms.

-Je vais te défoncer petite garce, allez, crie, crie, supplie-moi d’arrêter. ? elle était brutale, violente et ses vas et viens étaient saccadés, profonds, insistants.

Elle tournoyait dans mon cul, ressortant parfois presque pour m’infliger la douleur d’une nouvelle intrusion brusque. Je criais, je jouissais, j’ignorais qu’un tel plaisir fut possible. Je m’écroulai définitivement, et m’endormis presque aussitôt, nue, souillée de sperme mais heureuse, comblée comme jamais.

Quand j’ouvris les yeux, je me remémorai aussitôt la soirée de la veille, et un sourire s’installa sur mon visage. J’étais radieuse. Alice apparût plus belle que jamais

— Tu as bien dormi ?

-Oui, répondis-je un peu mal à l’aise.

-Comment tu te sens ce matin ?

-Un peu sale… dans tous les sens…

-En tous cas, ça m’a fait très plaisir ce petit spectacle, hier… j’en rêvais depuis longtemps. C’est un fantasme que j’ai eu depuis le premier jour où tu es rentrée dans cette maison. Je ne sais pas pourquoi mais je sentais que nous étions faites l’une pour l’autre. Si tu continues comme ça cette semaine je pourrais si tu en as le courage et si tu désires toujours autant poursuivre ce que j’ai commencé à t’apprendre t’emmener chez un couple d’amis qui possède plusieurs chiens et te faire connaître l’apothéose, le summum de l’amour .Réfléchis bien .mais crois moi , si tu es contre , je ne t’en voudrais pas .

Tu m’as déjà donné tout ce que je désirais de toi .

Un tel argument me laissa songeuse, et je partis prendre une douche.

Sous l’eau, je découvris mes lèvres enflées par tous les vas et viens de la veille, mais c’était loin d’être désagréable. En fait, j’étais d’autant plus sensible, que le moindre effleurement de mes doigts sur ma vulve était électrisant.

J’en profitais donc pour me procurer quelques caresses un peu plus douce, en prétextant dans ma tête un toilettage complet et plus que nécessaire. Je commençais sérieusement à m’interroger sur ma perversité. Après tout, je ne pouvais pas nier que mon bonheur venait de toute l’humiliation que j’avais ressentie et de la saleté des choses que j’avais faites depuis que je connaissais Alice

J’irais là où elle voulait m’emmènerait. Jusqu’au bout de toutes perversité avec elle.

Et puis ces amis avec plusieurs chiens ….pourquoi pas après tout

J’avais ressenti tant de plaisir avec Hercule que je ne pouvais qu’en ressentir et ressortir que plus heureuse

Etre la chienne d’une meute entière ….hummmmm ça ne devait pas être si dure que ça après tout et Alice pourrait elle aussi participer et se faire prendre avec moi

Deux chiennes possédées par une meute de chien …..

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