A l’epoque je venais davoir mes 16 ans et javais trouvé un apprentissage dans un supermarché, en vente.
Je fus donc convoquée pour la visite médicale dembauche.
-Bonjour mademoiselle.
-Bonjour.
-Vous avez rendez-vous ?
-Oui, à 10 h 30.
-Votre Nom ?
-Sylvie Reiter.
-Bien, allez vous asseoir, on vous appellera.
10 mn plus tard le médecin vient vers moi.
-Mademoiselle Reiter ?
-Oui.
-Vous me suivez sil vous plaît.
Nous entrâmes dans son bureau, il me fit asseoir face à lui et me posa les questions dusages.
Si je fumais, buvais, prenais des médicaments.
-Bien vous vous mettez en sous vêtement, je vais vous examiner.
Jallai donc dans une petite cabine aménagée et me déshabillai.
Je revins devant le médecin en petite culotte et soutien-gorge.
Il commença par me prendre la tension, me pesa et mesura puis il me fit lire des lettres sur un tableau.
Ensuite, il prit place derrière moi, commença à me tapoter le ventre.
Bien je vais examiner vos seins, voir si tout va bien, me dit-t-il tout en dégrafant mon soutien-gorge quil jeta sur la chaise.
Il prit un sein dans chaque main, je faisais à cette époque du 85 C, les palpa vigoureusement pendant plusieurs minutes tout en titillant avec un doigt la pointe de mes tétons déjà durcis, il avait les mains tellement froide quils étaient devenus tout dur en quelques secondes.
-Ben dis donc, tu pointes bien petite cochonne, et dis moi voir, tu te caresses souvent les seins, tu te masturbes souvent ?
-Heu, non pas trop souvent.
-Tu nas pas ton père pour te tripoter les tétons, ou un frère, ou un oncle qui ne demanderait pas mieux ? Ca leur ferait pas de mal à ces jolis nénés.
Je baissais les yeux sans répondre, un peu gênée, je ne pouvais pas tout lui dire quand même de mes relations, enfin non.
-Tu as un petit copain ?
-Oui, il sappelle Sébastien, il a 22 ans.
-Et tu fais des trucs coquins avec lui ?
-Ben heu, ça arrive, je lui réponds toute en piquant un phare.
-Il en a une grosse, il te fait bien mouiller ton petit minou ?
-Ne rougis pas, tu sais à ton âge cest normal. On a même des idées très perverses qui passe dans sa tête, tu dois en avoir beaucoup toi cochonne comme tu es.
-Et il te fais bien jouir, tu aimes te faire baiser, tu n’es pas en retard au moins, toi déjà très chaude, ça promet. Il te tripote ton petit trou ? Et toi tu es gentille avec lui ? Tu le pompe bien ? Il te sodomise ?
Au bout dun moment, je commençais à mouiller grave et jétais toute excitée. Il me massait toujours les tétons avec à la fois de la douceur puis plus vigoureusement. Je nentendais plus ses questions, jétais en transe, javais perdu tout contrôle de moi, ce quil cherchait manifestement.
Un moment, je poussa un petit cri de jouissance, tout en mouillant encore plus ma culotte, qui me fit malgré moi faire un mouvement en arrière du bassin, et je me suis retrouvée toute contre le médecin, cest alors que jai senti sa verge en érection plaquée contre mes fesses. Il continuait de me masturber les tétons tout en frottant son sexe bandé contre moi.
-Penchez-vous en avant et essayez de toucher vos pieds. Là, je le sentis encore plus fort entre mes fesses son membre durcir .
-Bien, fit-t-il au bout dun moment, constatant mon état semi-comateux et que surtout jétais à sa merci.
-Allongez-vous là.
Je mexécutais tant bien que mal.
Il me fit allonger sur le dos, sur la table dexamens, retira ma petite culotte trempée quil jeta sur mon soutien-gorge, puis mécarta lentement les jambes.
Il commença à mexaminer les lèvres, puis me masturba délicatement le clito de son pouce tout en enfonçant un doigt dans ma chatte toute rasée, sans mal car très lubrifiée avec ce quil mavait fait mouiller le salaud, puis deux doigts.
Il sagenouilla ensuite devant mon entre cuisses, approcha sa tête et me suça le bouton tout en faisant aller et venir ses doigts dans ma chatte. Haaaaa hummmmm ouiiiii hoooooooo . Je venais de jouir dans sa bouche à ce vieux cochon. Il se leva ensuite et vint à côté de moi, mis son sexe bandé à hauteur de ma bouche, me tourna le visage en cette direction, et me dit :
-Suce petite salope et régale-toi.
Jouvris la bouche et il enfonça son braquemart entier dans ma gorge tout en me malaxant les seins. Il fit de longs va-et-vient se masturbant entre mes lèvres puis, au bout de quelques minutes, lâcha toute la purée dans ma gorge, de longues giclées de sperme, tellement de sperme tiède que je dus en avaler la moitié pour faire de la place dans ma bouche pour ne pas métouffer et tellement encore quil en débordait de chaque côté de mes lèvres, me faisant baver comme une chienne en chaleur.
Il me tendit un essuie tout et me dit :
-Bien, vous pouvez vous rhabiller pendant que je prépare les papiers daptitude.
-A bientôt me dit t-il avec un petit regard lubrique.
-Au revoir docteur.
Je repartis donc avec mon certificat au supermarché où dautres expériences les plus cochonnes que les une que les autres mattendaient, avec un vieux vicelard comme patron qui ne pensait quà me coincer dans les rayons ou me culbuter dans la réserve, me menaçant de renvoi si je ne lui faisait pas une bonne pipe, comme il disait, ou me faire monter sur un escabeau pour reluquer sous ma jupe, un boucher macho très tactile et exhibitionniste, une patronne lesbienne toujours prête à glisser une main sous ma jupe voir dans ma culotte ou à me toucher les seins, enfin que dhistoires à vous raconter.