Mon Maître cherchait pour moi des expériences extrêmes, sans doute pour me voir lui demander d’arrêter. C’était devenu notre jeu, notre lien. Il avait choisi cette fois de me faire prendre dans un gang bang. Le lieu était un club de Berlin ou nous irions pour le week end. Le samedi, il me fit mettre en tenue qui état, à ma grande surprise, bien sobre: Une robe-chemise noire cintrée, une paire de bas et des talons aiguilles. Seul le string, minuscule, ajoutait un touche un peu pute à ma tenue. Je fus surprise. Depuis trois mois j’alternais corset, serre taille, harnais en cuir, en chaînes… et me voilà en petite allumeuse de base, sans plus.

Il pris une mallette en cuir

-On y va

Un taxi nous mena dans le quartier chaud. Un ruelle, une porte qui s’ouvre sur un bordel. Deux femmes m’accueillent, m’examinent et approuvent du regard. L’une d’elle, dans un français impeccable demanda:

-Vous pensez qu’elle tiendra?

-Elle vous surprendra…

Nous descendons à la cave voûtée. Une salle immense, ou je découvre une vingtaine d’hommes en bas de l’escalier. Ils étaient tous en tenue fétichistes, harnais, cuir, cagoule.

-Tu ne pourras pas reculer…une fois en bas, je ne pourrais rien pour toi.

-Je suis prête.

Mon Maître me passa un collier de cuir autour du cou, des menottes en cuir aux poignets et aux chevilles. Puis il me poussa violemment. Je chutait au milieu des hommes qui m’attrapèrent en vol. Je suis portée, dix mains me palpes. Ma robe est arrachée. Me voici nue sur une table, entourée de queues. Je suce alors que l’on fouille mon sexe et mon anus. D’abord des doigts puis des bites. Elles se succèdent dans mon anus dilaté, ma chatte ruisselante. Mon visage est inondé de sperme. On me gifle avant de me remettre une queue dans la bouche. Un homme tire sur mes cheveux pour que ses couilles viennent contre mon visage. Sa queue est au fond de ma gorge, j’étouffe. Je voudrais reprendre mon souffle. Soudain un cravache cingle mes seins, brûlante. Les coups sont forts, sans ménagement.

Une brute à la queue épaisse me prend dans le cul par derrière puis me redresse. Je suis empalée sur sa queue. Avec des chaînes, on attache mes poignets et mes chevilles derrière son dos. C’est un géant de deux mètre qui me porte ainsi empalée sur sa verge immense. A chaque pas sa queue bouge dans mon anus. Il me présente ainsi à d’autres hommes qui fouettent mes seins, mon ventre, mes cuisses. Le géant rit.

Un homme palpe un instant les lèvres de mon sexe puis il y fixe des pinces et des poids. Et la promenade continue. Les fouets claquent mes seins, encore, encore. Le géant donne des coups de reins pour bouger sa queue dans mon anus. Il saute sur place, les autres rient. A chaque sautillement, sa queue éclate mon anus, les pinces tirent sur mes lèvres. Il gicle dans mon cul. On me détache.

Je suis mise à genoux devant une table basse en bois. Mes seins sont posés sur la table et un homme s’approche avec des clous et une masse. Il positionne un clou sur mon téton droit puis frappe. Je hurle. Le clou traverse mon téton et se fixe dans la table. Il fait la même chose avec l’autre sein. Je suis clouée par les tétons à la table basse. On attache mes poignets à deux anneaux aux pieds de la table. Je suis mise en position, cambrée, cuisses béantes. Un homme s’assoie sur la table, passant ses cuisses de part et d’autre de mes épaules, sa queue devant ma bouche. Je suce. Il prend alors un martinet dur et fouette mon sexe violemment par dessus mon dos d’une mains alors que l’autre enfonce sa bite dans ma gorge. A chaque coup je sursaute, provocant une douleur intenable dans mes tétons percés.

Puis d’un coup, je jouis comme une folle. Je ne peux hurler, la queue dans ma gorge m’en empêche. Mais les homes me vois éjaculer. Ma chatte expulse par jet mon plaisir en fontaine incolore. Mon anus s’ouvre et je sens une main s’enfoncer dans mon cul. Je hurle à nouveau de plaisir avec ce poing dans mon cul qui va et qui vient. Les hommes se branlent autour de moi et viennent un à un éjaculer sur mon corps meurtri ou dans ma bouche ouverte. Je reçoit vingt giclées de spermes brûlant.

Un homme me nettoie au jet, à l’eau froide. Puis il ôte les pointes figées dans mes tétons. On applique sur mes plaies de l’alcool qui me brûle. et on me laisse choir sur la table. Les hommes se retirent… une éternité passe. Je crois.

Mon Maître me fait mettre à genoux avec une bassine en argent dans les mains, offerte. Ils reviennent en tenue de ville et chacun de mettre un billet de 200 euros. Ils ont payé leur pute et mon maître est fier de moi.

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