Daprès mes copines je suis en retard : à 18 ans je suis vierge. Ca ne mempêche pas de connaitre le plaisir comme les autres : je suis une admiratrice dOnan : je me masturbe. Tant devant que derrière. Et puis jai mon secret : jai une copine cachée. Il nous arrive de passer les samedis soir ensemble, souvent même la nuit doù je sors totalement épuisée. Quand nous le pouvons, elle vient chez moi, je préfère.

Anne est une beauté, une sainte, un bonne lesbienne qui ma tout appris en amour, même lusage immodéré dun gode. Anne est comment dire, belle, sensuelle, jamais chiante, ses lèvres mattirent, sa poitrine est dure. Elle est agréable simplement.

Je me réveille souvent crevée de nos conversations longues, ensorcelantes, magiques Et toujours prête à recommencer. Je me souviens de notre première fois, comme tous les amants je suppose.

Après un repas dancienne dune école privée où nous étions pensionnaires, nous sommes parties ensemble : nous nhabitions plus cette région. Elle ma gentiment proposé de me conduire chez moi, à quand même une bonne centaine de kilomètres : elle habitait à peine plus loin. La nuit tombe avant que nous arrivions : nous prenons une chambre dans un petit hôtel au bord de la route : il ny a plus quune seule chambre. Bof, nous nous en contenterons. Les préparatifs du couchage sont sommaires. Mais nous sommes des copines de classe, alors pas de soucis.

Nous sommes nues ensemble. Je la regarde furtivement. Je pense quelle est bien fichue, que son mec doit bien la baiser, alors que moi..

Nous nous tournons le dos. Jai simplement oublié de lui dire que je bouge beaucoup. Dans la nuit je la réveille avec un bras sur sa poitrine et mes jambes sur les siennes. Je suis un ange perdu dans le sommeil. Elle est une femme réveillée, patiente jusquà une certain point.. Elle me réveille.

Je me remets normalement elle membrasse sur la bouche, comme ça, en pleine nuit. Elle continue son jeu de massacre : elle mexcite tant que je mouille. Aucune femme ne ma ainsi excitée. Pourtant elle nest pas ma première. Je pense en un éclair à celle qui mattend chez nous. Je ne vais pas lui faire des infidélités ? Et pourquoi pas, après tout, nous ne sommes pas mariées. Avec Anne non plus. Elle a le bénéfice dêtre là au moment où jen ressens le besoin.

Et sa bouche est si bonne, sa salive excitante. Je suis devenue sans résistance. Quelle fasse de moi ce quelle veut. Elle allume la lumière pour nous voir. Quelle est belle avec sa mèche qui barre son front, un sein presque en dehors du drap. Anne lève le drap de mon coté. Jy suis comme une statue : pétrifié, transie, paralysée. Elle membrasse sur le front.

Sa bouche est sur mon sein gauche. Elle redevient un bébé en me suçant dun lait inconnu. Mais elle masse déjà le ventre, descend toujours plus bas, bien plus bas que la décence permet. Elle appui un peu sur le pubis, comme pour demander lautorisation daller en bas, comme quand on sonne à une porte.

Je tiens sa main, la dirige vers mon intimité. Là, elle me fait ce quelle veut. Et que je voudrais avec elle. Je pense quelle va caresser ce que je désire : elle caresse lintérieur de la jambe. Anna décidément peu coopérative descend encore sa main vers le genou. Elle est entièrement sur le coté. Elle passe par incident son sein sur le mien. Tilt ! Elle mexcite encore un peu. Sa bouche sécrase sur la mienne : je dois la mordre par accident.

Elle vient sur moi, comme un homme (je sais comment font les hommes, même si aucun nest venu sur moi). Jécarte les cuisses. Elle sy loge. Son pubis est contre le mien. Elle le descend tant quelle touche mes lèvres. Ses peu de mouvements me font sentir un petit début de plaisir. Anne se laisse peser totalement sur moi, ses mains caressent mes flancs, arrivent sur les hanches. Elle passe sa main droite entre nous : il me tarde quelle vienne sur ma chatte.

Enfin elle atteint mon, son but. Ses doigts sont précis. Ils courent sur le mistigri, sans sarrêter à un endroit particulier, à croire quelle le fait exprès. Non, elle démarre les caresses dans la raie des fesses, passe trop vite sur le petit trou, monte par le périnée, passe en coup de vent sur le vagin ; Enfin elle cesse ses vagabondage sur mon petit bout de viande pas avariée du tout. Son seul doigt commence une ronde sur lui. Je respire plus fort, je gémis, je ne sais plus ce que je fais, je vais partir. Je pars, je jouis grâce à sa main, à ses doigts, à elle tout simplement.

Je reste immobile de plaisir prit. Mon Dieu que cétait bon. Quelle branle bien.

Et puis : encore. Jai honte de le lui demander. Alors jai ma ruse : à mon tour de lui donner du plaisir, même si je ne suis pas une parfaite lesbienne. Je la couche, elle se laisse faire, cest attendrissant. Jembrasse sa bouche, son front, ses épaules, ses seins, son ventre quelle me tend, son pubis et ses poils. Je vais faire pour la première fois avec Anne, ce que jai mis plusieurs mois à faire avec mon amante habituelle. Je suis une garce.

Ma tête se bloque entre ses jambes ; Elle my emprisonne. Je la sens cette bonne odeur de cyprine, de femme qui a envie. Cest agréable, sensible. Je plonge en elle comme dans une piscine réservée aux seules vraies femmes. Ma langue ne sait trop où aller entre son rocher, son centre de gravité, son anus ? Jaspire son clitoris le caresse avec le bout de la langue. Elle jouit trop vite. Je respecte ce moment sacré de lorgasme.

Pour se faire pardonner elle se tourne en 69. Que cest agréable de voir, de sentir, de lécher un con. En plus elle me lèche en me caresse le petit trou, où elle entre deux ou trois doigts je ne sais plus. Enfin sa langue sattarde sur mon sexe. Elle y est à la fois douce et méchante. Elle lèche depuis le petit trou jusquau grand trou où elle entre : jen avais envie, comment a-t-elle pu deviner : elle me baise presque normalement. Cest bon cest divin. Je sens le bout de la langue se tordre en moi. Je ne sais ce quelle atteint : je bondis de lorgasme quelle me donne. Elle reste en moi, elle doit boire la cyprine. La voilà partie pour recommencer. Sa langue lèche quand elle place un doigt sur mon petit trou. Je nosais pas demander. Elle ma caresse bien, entre à peine son doigt, le sort pour masser et recommence à entrer cette fois à fond.

Je rends ce que je sais faire en la léchant encore plusieurs fois en aller et retour depuis la haute de sa fente vers le bas, vers son con. Je fais comme elle, je la baise comme si javais une bite, jentre le plus possible. Je la sens jouir. Je suis heureuse de ce que je lui ai donné.

Au petit matin nous sommes encore en 69, elle crevée moi aussi. Moi, satisfaite de ma nuit, elle dit lêtre pour rentrer sa langue dans ma bouche. Elle sent ma foufoune. Elle a gout à mon con.

Je ne sais comment elle a réussit son coup : depuis presque deux mois nous habitons ensemble. Nous ne baisons pas plusieurs fois par jour, nous ne baisons pas tous les jours. Nous vivons comme des gens normaux. Par contre certaines nuits sont incendiaires.

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