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La grosse surprise de Mme Stroke – Chapitre 9




    Je m’assois sur le lit et la douleur sur mon petit cul meurtri me rappelle la fessée de la géante, sans parler du pilonnage qu’elle m’a fait endurer. C’est clair que plus jamais je n’oublierai de changer de culotte ! Je me lève et enlève le peu de vêtements qu’il me reste et qui sont souillés par mon sperme et le sien. Je vais dans la douche pour nettoyer ma petit raie puis me sèche et me plante devant le placard à sissy pour choisir ma nouvelle tenue. Je veux me faire pardonner mon oubli en étant la plus belle et la plus sexy possible. Je choisis une mini culotte rose, presque fluo, que je cache sous une petite jupe légère et blanche, qui m’arrive un peu au dessus des genoux, suffisamment transparente pour que l’on devine ce qu’il y a en dessous. Cette jupe souligne la finesse de ma taille que j’ai envie que l’on voit. Je mets une simple brassière sans bretelle pour cacher ma poitrine. J’aime la manière dont elle fait ressortir mes épaules délicates et mon cou de cygne. Et puis il y a cette perruque brune qui m’a sautée aux yeux la première fois que Sasha a ouvert le placard. Je l’enlève de son support et la place sur ma tête. Je n’ai aucune idée de comment m’y prendre et le premier résultat est désastreux, mais après l’avoir arrangée, c’est une pure réussite. Les cheveux aussi noirs que les plumes d’un jais, coupés au carré, m’arrivent quelques centimètres au dessus des épaules. Ils font ressortir mes yeux bleus clairs et affinent encore plus mon visage. Je n’ose me maquiller. Sasha m’a dit que je n’en avais pas besoin, mais peut-être que juste un peu de rouge à lèvre Je prends le nécessaire à maquillage et vais devant le miroir de la salle de bain. Je dessine mes fines lèvres avec précaution et le résultat est bluffant ! Comment Sasha pourrait me reprocher d’être aussi désirable ! Me sentant si bien inspiré, je me laisse guider parce que j’ai toujours aimé voir sur une fille: les bas. J’en choisis des blancs, qui arrivent au dessus de mes genoux, à peine quelques centimètre en dessous la jupe. Ils habillent sensuellement l’arrière de mes jambes de lacets en trompe l’oeil, couronnés d’un petit noeud en dentelle. Mes jambes de gazelle paraissent plus fines que jamais. Mais que mettre comme chaussures ? Peut-être ces bottines blanches ? Bingo, c’est juste ce qu’il me faut !

   Je me regarde sous toutes les coutures dans le miroir, dansant et virevoltant pour que la jupe s’envole. Je me trouve parfaite ! Il ne me manque que quelques formes bien placées pour danser aux Crasy Horse !

 Je décide d’apporter de quoi se désaltérer à ma maîtresse qui doit suer sous le soleil de cette fin de matinée. Il faut qu’elle me voit ! Je prépare un plateau et le lui apporte.

Je trouve la géante avec une hache à la main en train de fendre des bûches. Elle a attaché le haut de sa combinaison autour de sa taille. Elle me fait l’effet d’une déesse africaine qui pourfend les bûches comme si c’était une horde de loups maléfiques qui veulent manger la petite bergère que je suis… Sa brassière en éponge est tellement humide qu’elle ne laisse aucun doute sur sa plastique parfaite. A peine j’apparais dans son champ de vision qu’elle ne peut plus détacher son regard de ma silhouette qui avance vers elle. Le vent est de mon côté, et une rafale soulève ma petite jupe légère si haut, que ma mini culotte rose est livrée à la vue de la guerrière qui arbore un sourire en coin. Je rougis tout en souriant à ma maîtresse. Elle jette la hache par terre et pose ses mains sur ses hanches. Son regard devient plus sévère et j’ai peur d’avoir fait une bêtise en prenant autant d’initiatives, et en m’étant servi dans le placard sans son autorisation. Elle a un tel ascendant sur moi qu’elle peut briser d’un simple battement de cil toute la confiance que j’avais jusqu’à présent. Je me fige à quelques mètres devant la géante, mon plateau dans les mains.

— Vous devez avoir soif Maîtresse à fendre du bois sous ce soleil ? J’espère que ma tenue vous plait ?

Je parle d’une voix faible et hésitante face à l’amazone qui me toise, immobile et impassible, telle une statue de bronze. Je blêmis et sens déjà la sanction qui pourrait s’abattre sur mes petites fesses encore meurtries, quand la belle sourit à nouveau.

— Tu es carrément bandante petite salope ! Tu es la plus bonne des traînées que j’ai amenées dans cette propriété !

Mon visage passe du blanc au rouge, tellement je suis soulagé, flatté, et émoustillé d’être bonne. La belle poursuit.

— Cette tenue blanche sublime tellement ta fine silhouette de pucelle que l’on dirait que ton corps a été sculpté par un orfèvre. Pose le plateau et tourne toi un peu ?

Je m’exécute comme un robot. Elle aurait pu me dire de me mettre la hache dans le fion, je l’aurais fait sans sourciller tellement elle a le contrôle sur mon mental. Elle essuie sa main sur sa combinaison puis relève ma jupe pour admirer mon petit séant, paré de la mini culotte rose fluo.

— J’ai acheté cette minuscule culotte sans penser qu’un jour une de mes apprenties salopes aurait des fesses si petites qu’elle lui irait parfaitement ! C’est la touche qu’il faut sur ta tenue pour signaler où les choses se passent. Si j’étais plus sadique, je te mettrais sur un trottoir à Marseille et il y aurait sûrement une queue de plusieurs kilomètres de micheton qui voudraient jouer avec ce joyau ! Il y a encore quelques traces de mes doigts. Ta peau est si fine et tu marques si facilement !

Je bois ses paroles et mouille carrément la fameuse culotte d’être traité de cette manière.

— Cette perruque est parfaite ! Tu as un port de tête déjà si féminin, et elle finit de le sublimer ! Ce rouge à lèvre met parfaitement en avant tes lèvres si fines et ne laisse aucun doute sur tes capacités de suceuse.

Je ne pensais pas que l’on pouvait jouir en étant uniquement stimulé par des mots, mais la vague de plaisir qui m’envahit le bas ventre en est la preuve. Je pisse littéralement du sperme dans mon slip, mordillant mes lèvres pour que la géante ne s’aperçoive de rien. Elle lâche la jupe et je me retourne alors.

— Suis je pardonné de l’affront que je vous ai fait ce matin ?

— Pas tout à fait, mais j’ai une solution.

Elle défait le noeud qui retient sa combinaison sur sa taille, et laisse tomber le vêtement sur ses chaussures, dévoilant son phallus bandé comme l’arc d’Ulysse, perlant même d’excitation.

— Verse moi un verre d’eau et suce moi !

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