Stacy fit s’allonger Max sur le dos puis les deux femmes se mirent à lui prodiguer une fellation. Les deux langues humaines se croisaient et se caressaient sur le sexe animal. Leila avait encore entre les fesses le sex-toys avec lequel la rouquine l’avait sodomisée et avait placé dans son sexe un uf vibrant dont la télécommande était entre les mains de la belle rousse. Pour profiter elle aussi d’une pénétration canine, Stacy chevaucha son chien et fit délicatement glisser son sexe sur celui de l’animal. Une fois en position, la rouquine s’allongea jusqu’à poser ses seins sur la toison de son amant et invita Leila à utiliser sa langue pour lubrifier le couple. Avant que la maghrébine ne puisse bouger, Stacy se rendit compte qu’un autre mâle les avait rejoint. Elle sentit que le passage entre ses fesses était forcé par quelque chose mais ce n’est que lorsque les pattes du doberman se posèrent sur ses épaules qu’elle compris ce qui était en train de se passer. La mère de Johanna resta tétanisée lorsqu’elle reconnu l’animal.

— Médor ?! C’est toi mon chien ?

— C’est le doberman que tu avais ?

— Oui, on dirait !

— Attends, laisse-le me prendre par derrière et je te dirait si c’est bien lui !

La belle rousse desserra les fesses au maximum pour facilité l’entrée à son nouveau partenaire puis elle confirma dès les premiers centimètres de pénétration l’identité du chien.

— Oh ! Oulà ! Un doberman avec un sexe aussi gros et qui trouve tout de suite le passage ça ne peut être que lui !

— Merde alors ! Mais d’où il vient ?

— Certainement de la forêt où Adam trouve tous mes acteurs.

— Ça m’étonnerai, je l’ai abandonné de l’autre coté du pays !

— Là où le chenil à fermé ?

— Oui ! Le propriétaire à libéré tous ses résidents, je me suis dit qu’il serai bien là-bas.

— Tu sais que Ève se l’ait certainement tapé ?

— Ève ? Pourquoi ?

— Attend, j’ai un chien qui me baise et un autre qui me sodomise, j’aimerai bien les laisser finir ensuite je te raconterai tout l’histoire.

Stacy fit de sensuels mouvements de bassin pour motiver son partenaire vaginal pendant que le doberman sexerçait à faire passer son nud à travers la magnifique paire de fesses de la rouquine. Leila décida de retirer le jouet sexuel qui était encore planté en elle et se mit à quatre pattes devant les trois amants.

— Qu’est-ce que tu fais ?!

— Si c’est vraiment mon chien, il ne va pas résister longtemps avant de vouloir me prendre.

La maghrébine avait vu juste. Le doberman fit sortir son sexe de l’orifice anal qu’il occupait pour se précipiter sur le dos de Leila et se planter immédiatement entre ses cuisses en lui arrachant un cris de jouissance.

— Et bien… Il a même pas prit le temps de se verrouiller avec moi.

— Haaaaa ! Merde ! Maintenant il va plus me lâcher ! Haaaaa !

La belle rousse se sentit délaissée. C’était la première fois qu’un mâle l’abandonnait pour se jeter sur une autre femelle. Vexée par le comportement de son amant, elle libéra Max et le mit à la porte de la chambre. Même en se positionnant en levrette, en se caressant ou en simulant un orgasme, Stacy ne put qu’assister impuissante à l’accouplement entre le doberman et son ancienne maîtresse sans que le chien prête attention à la rouquine. Dépité, elle alla s’asseoir sur son lit et assista à une incroyable série de positions entre Leila et Médor. Le doberman avait beau faire passer son nud et éjaculer dans le corps de la maghrébine, il revenait à la charge dès qu’elle tentait de se déplacer. Après la levrette, Leila s’était relevé mais Médor avait réussi à la faire basculer contre la commode et l’avait sodomisé, puis elle se retourna et le chien remis son sexe dans celui de sa femelle qui écarta les jambes en signe d’approbation. Les positions devaient de plus en plus difficiles et originales ce qui passionna Stacy qui prit des notes pour son prochain film. Après deux heures à se faire saillir par le chien, Leila tomba dépuisement sur le lit avec les genoux au sol facilitant ainsi l’acharnement du mâle qui enchaîna les pénétration anales et vaginales jusqu’à ce qu’il soit épuisé à son tour et qu’il tombe de fatigue sur le corps inerte de la maghrébine. Stacy ayant assisté à toute la scène eut du mal à en croire ses yeux et tenta de libérer les deux amants mais le verrouillage avait eut lieu et elle ne put que laisser la mère de Johanna et le doberman dormir dans cette position. La belle rousse se rendit dans le salon où elle trouva Adam devant la baie vitrée.

— Qu’est-ce qu’elle est bien cette Leila !

— On dirait que tu es amoureuse.

— Je ne sais pas, j’ai déjà fais des scènes avec des femmes mais c’est la première fois que je me sens autant attirée… Il se passe quoi par là-bas ?

— Ta belle-fille est en train de se faire sauter dessus par tous les mâles.

— Ma quoi ?

— Ta belle-fille, la fille de Leila. Elle est en train de se faire prendre à tour de rôle par tes futurs acteurs.

— QUOI ?!

Stacy regarda par la baie vitrée et vit Johanna en train de se débattre pour repousser un chien avant que celui-ci n’arrive à la prendre de force.

— Il faut aller l’aider !

— Ne t’inquiète pas, Ève est avec elle… C’est un petit jeu auquel elle joue souvent.

— J’ai du mal à te suivre.

— Ève sait comment exciter un chien. Elle m’as expliqué que quand elle se rendait dans la forêt, elle aimait se faire prendre de force par les animaux et c’est vite devenu un jeu où elle doit essayer de leur résister. Visiblement elle l’a proposé à Johanna qui a accepté de jouer.

— C’est pas vrai ! Je suis la seule à ne pas être assez attirante pour que les chiens aient envie de moi ?

— Pourquoi tu dis ça ?

— Parce qu’un doberman n’a pas fini avec moi pour aller se jeter sur Leila, Johanna est en train de se débattre pour pas se faire sauter et d’après ce que tu m’as dit, Ève se fait carrément déshabiller par des chiens pour qu’ils se la tapent !

Sur ces dernière paroles, Stacy décida d’aller se coucher mais son lit étant occupé, elle se rendit dans sa salle de projection pour regarder quelques-uns de ses propres films avant de s’endormir sur le canapé blanc. Au milieu des box, Ève se dirigea vers Johanna puis elle l’aida à se relever et les deux jeune femme allèrent s’installer au salon de jardin pour faire le bilan de l’expérience. La métisse était dans un triste état, portant des traces de griffure sur tout le corps et ses jambes était recouvertes de semence canine.

— Ça va ?

— Oui ! Combien il y en a eut ?

— Dix, tout juste.

— Oh ! Mais j’ai réussi à en repousser un non ?

— Oui, tu as effectivement échappé au lévrier mais que la première fois !

— Quoi ? Il est revenu à la charge ?

— Et ce n’est pas le seul, il y a eut dix chiens en tout mais tu t’ai fait prendre quatorze fois.

— Et bien ! Combien sont passés par derrière dans tout ça ?

— Combien de chiens ou combien de fois ?

— Les deux !

— Ah ! Alors trois chiens et cinq fois.

— Génial ! J’aime bien ton jeu mais je dois tourner ce week-end et on va voir toutes ces traces.

— Viens avec moi prendre une douche, on verra mieux l’étendu des dégâts.

Johanna se releva difficilement de sa chaise et se rendit dans la salle de bain en compagnie de Ève qui la soutenu pendant tout le trajet. En passant devant Adam, la doyenne fit le point avec lui pour le reste de la soirée.

— Mon amour, je dois prendre soin de Johanna alors soit on dors ici ensemble, soit tu rentre à la maison et je te rejoint dès qu’elle s’est endormie.

— Très bien ma chérie, je vais aller me coucher dans une des chambre d’ami. Occupe-toi bien d’elle, je t’attendrai sagement.

— Merci.

Ève était très heureuse d’être avec un homme aussi compréhensif et c’est le sourire aux lèvres qu’elle franchi le seuil de la salle de bain avec Johanna.

— Allonge-toi dans la baignoire, je vais prendre soin de toi.

— Hmmmm ! Avec plaisir !

— Ma chérie, ne te fais pas de films, je vais m’occuper de ton corps mais il ne se passera rien de sexuel entre nous ! Tu pourrait être ma fille.

— Mais… Quand je prenais une douche avec Karine…

— Karine ? Tu fais ce que tu veux avec tes copines mais le seul moment où il y aura quelque chose de sexuel entre nous, c’est quand tu sucera un chien qui m’aura tout juste monté. Maintenant allonge-toi, calme ta libido et prend le temps de te relaxer un peu.

Johanna était déçue du comportement de Ève. La métisse avait la nostalgie des moment complices avec Karine mais lorsqu’elle sentit la manière maternelle qu’avait la doyenne de s’occuper d’elle, la jeune fille comprit enfin que le plus important n’était pas d’avoir des relations sexuelles mais plutôt de se faire cajoler. Leila était une excellente mère mais elle n’était pas très câline, du moins pas assez pour que sa fille s’épanouisse. Johanna avait inconsciemment cherché du réconfort sentimental avec les rapports sexuels mais ne le compris que lorsqu’une femme comme Ève entra dans sa vie et se comporta avec elle comme une mère attentionnée.

— Alors, c’était bien cette tournante avec les chiens ?

— Oui, je me suis enfin sentie désirée.

— Ah bon ? Il n’y a jamais eut un homme qui a essayé de te séduire ? Belle comme tu es cela m’étonnerai.

— Si, mais généralement ça se finissait au lit dès le premier soir.

— Ton problème vient de là ma chérie. Il ne faut pas t’offrir au premier venu. Il faut attendre le moment où tu te sente vraiment exceptionnelle à ses yeux.

Tout en passant délicatement un gant de toilette sur les jambes de Johanna, Ève continua sa leçon de vie.

Si tu n’es pas attiré par les garçons, je peux le comprendre. Tu as déjà eut des rapports avec une fille ?

Seulement avec Karine.

Oh ! Et j’imagine que c’était toujours à un moment où tu cherchait de l’attention ?

Heu… Je n’avais pas remarqué mais tu as raison…

D’après le peu que je te connaisse, tu as besoin de trois chose pour te sentir vraiment heureuse.

Quoi donc ?

Une mère attentionnée, un homme qui te fasse sentir femme et un chien pour te donner du plaisir.

Tu crois que ma mère n’est pas à la hauteur ?

Je ne critique pas ta mère, j’analyse seulement tes besoins. Toi et moi nous sommes toutes les deux pareils mais j’ai l’expérience qu’il te manque pour trouver ta voie.

Pour la première fois de sa vie, Johanna avait l’impression d’être comprise. Elle se redressa et prit Ève dans ses bras avant de laisser couler quelques larmes. La femme mature aida la jeune fille à se sécher ensuite elle l’installa dans un lit avant de lui poser un doux baiser sur le front et de lui souhaiter bonne nuit puis alla rejoindre son homme dans la chambre d’ami. Adam put enfin profiter de sa compagne pour lui tout seul et c’est avec tendresse qu’il fit l’amour à sa partenaire. Ève était comblée par cet homme qui lui donnait autant de plaisir sentimental que sexuel mais surtout qui acceptait et comprenait le besoin de faire saillir par un chien quelle éprouvait.

À suivre…

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