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Rencontre Femme âgée – Chapitre 1




Comme je l’ai dit dans une autre histoire, je fantasme sur les femmes d’un âge très avancé pourvu qu’elles se montrent attirantes et sexy.

Un jour, lors d’une conférence dans la salle des fêtes d’une petite commune de la campagne bordelaise, au moment du pot de convivialité, une femme âgée, je pense de plus de 70 ans, m’accoste son verre à la main :

« Bonsoir monsieur vous n’êtes pas d’ici, vous venez de la ville »

« Tiens ! Bonsoir Madame, je trouve votre remarque surprenante. Qu’est-ce qui vous fait dire cela ? »

« Votre tenue élégante, vous ne ressemblez pas à la majorité des participants »

« C’est gentil pour moi mais pas pour eux. Effectivement je viens de Bordeaux et j’ai été invité à la conférence et au repas par des anciens collègues de travail. Mais vous aussi vous êtes élégante »

« Oh vous savez, à mon grand âge on essaie de se maintenir »

« Je ne connais pas votre âge mais je vous trouve agréable.

Excusez-moi mais mes collègues me font signe de me joindre à eux, je reviendrai vers vous avant de partir. Peut-être nous verrons-nous à table ? »

« Oui, je reste également au repas »

En rejoignant mes anciens collègues, j’apprends que Jeanne-Marie (c’est son prénom) est une ancienne cadre parisienne de la maison mère de notre entreprise de distribution aux multiples succursales, qu’elle est veuve depuis longtemps et qu’elle était bien connue comme une « femme libérée ».

Naturellement, elle se joint à nous à table et la discussion va bon train sur notre passé en entreprise.

Les agapes terminées, nous nous séparons. Je m’approche de Jeanne-Marie.

« Est-ce que je peux vous faire la bise Madame Jeanne-Marie »

« Avec Plaisir, Jean-Louis si j’ai bien retenu votre prénom, chacun une et cela fera deux bises ! »

Un peu surpris de cet empressement complété d’une accolade je ne trouve pas cela désagréable.

« Nous reverrons-nous Jeanne ? »

« Peut-être si l’occasion se présente lors d’une prochaine réunion »

« Peut-être aussi si nous provoquons les évènements ? »

« Ce ne serait pas de refus Jean »

« J’aimerais bien vous rencontrer en privé cette fois. Je ne connais pas vos coordonnées, je vous laisse mon numéro de tel ; si vous m’appelez, j’aurai le vôtre »

« C’est très bien comme cela Jean mais éloignons-nous, il y a trop de monde autour de nous »

Un peu à l’écart, je griffonne sur un petit bout de papier et nous nous séparons tout simplement après que j’aie ostensiblement appuyé un regard sur sa poitrine dilatée sous son corsage et sa veste de tailleur. Malheureusement, elle est en pantalon qui moule bien son petit cul, je ne peux donc pas admirer ses jambes.

Cette rencontre m’a laissé une idée agréable, peut-être prometteuse eu égard au fantasme que j’évoquais au début de ce récit.

Les jours ont passé et très souvent je me suis fait un film d’une prochaine rencontre très intime.

Un matin, je reçois enfin un SMS tant attendu :

« Bonjour Jean-Louis, je ne vous ai pas oublié, maintenant vous avez mon numéro »

L’après-midi, je m’empresse de l’appeler.

« Bonjour Jeanne-Marie. Comment allez-vous depuis notre première rencontre ? »

« Très bien et vous ? Vous voyez, j’ai eu envie de renouer le contact. Quelle était votre idée de « rencontre en privé ? »

« C’est très simple, lors de notre premier contact, votre baiser appuyé et votre quasi-acceptation de nous revoir dans un cadre autre, m’ont fait fantasmer et mon souhait serait une rencontre très intime. »

« Qu’entendez-vous par intime ? »

« Ce n’est pas facile à expliquer mais j’aimerais découvrir votre corps et susciter des caresses mutuelles si vous comprenez »

« Oui je comprends bien, je n’y suis pas hostile mais il faut que vous compreniez que je suis libre et compte le rester sans avoir à m’attacher et de plus il est très important que personne parmi nos ex-collègues ne soit au courant de notre rapprochement occasionnel »

« Il n’est pas question de transgresser votre liberté, vous savez, les hommes ont une approche différente des femmes sur les relations sexuelles et pour la confidentialité, elle va de soi aussi bien pour l’un que pour l’autre. »

« C’est très bien si c’est comme cela. Où pensez-vous que nous pourrions nous retrouver ? »

« Est-ce inenvisageable que ce soit chez vous ? »

« Pourquoi pas mais il faut que j’y réfléchisse et cette rencontre ne pourrait avoir lieu que dans le noir ou la pénombre »

« OK ! Faites-moi une proposition de date et mettons-nous d’accord. J’attends votre invitation »

« C’est promis, je vous laisse et vous embrasse »

« Moi aussi, bonne journée »

J’attends donc un nouveau signal.

Ce bref entretien m’a terriblement excité. J’ai vraiment envie de découvrir son corps même dans la peine ombre comme elle le souhaite par coquetterie.

L’embrasser à pleine bouche sur les lèvres, trouver sa langue, sur ses seins, sur les jambes, sur sa chatte et caresser son petit cul. A dire vrai, la baiser. Mais le plaisir n’est bon que s’il est partagé. En a-t-elle vraiment envie ? Je le crois et l’espère. Son prochain appel devrait être décisif. Pourrais-je lui demander ce que j’aime dans une tenue excitante ? Un léger déshabillé sur une parure noire avec des bas, un porte-jarretelles, des talons hauts ou des cuissardes. Peut-être n’acceptera-t-elle pas trouvant cela trop vulgaire. Pourtant non, ce n’est pas vulgaire dans l’intimité, c’est ce que beaucoup d’hommes recherchent. Il s’agit bien d’une partie de jambes en l’air entre adultes aguerris et consentants.

Lorsqu’elle m’appellera, j’essaierai de lui dire tout ça. Si elle accède à mes désirs, j’espère que notre rencontre sera passionnante.

Les jours passent, toujours pas d’appel. Ce n’est pas à moi d’appeler même si l’envie me démange. Peut-être s’est-elle trop avancée et me laissera avec mes pensées lubriques.

Il n’empêche que j’ai vraiment envie de la baiser.

En attendant, je me refais souvent le même film comme dans un rêve :

[[[[ J’arrive chez elle, elle m’ouvre lentement la porte et je la découvre en tenue légère, nuisette noire transparente dessinant bien sa poitrine modeste mais appréciable sous un soutien-gorge balconnets, string assorti laissant apparaître une toison encore assez fournie. Bas noirs tenus par un porte-jarretelles du plus bel effet. Elle est pieds nus. Je referme la porte derrière elle et n’y tenant plus je colle mes lèvres contre les siennes pour un baiser fougueux. Sans hésiter Jeanne desserre les dents et nos langues s’entrelacent pendant une longue minute. Mes mains commencent à parcourir son corps je découvre ses seins par-dessus son soutien-gorge et descends le long de ses hanches. Ce début me met en érection, une de ses caresses s’en aperçoit.

« Viens dans la chambre nous serons plus à l’aise »

Arrivés dans la pièce à lumière tamisée comme l’avait souhaité Jeanne pour ne pas avoir de lumière crue sur son corps portant les traces de l’âge, elle s’allonge sur le lit sa nuisette ouverte et son entrecuisse offert.

Je me déshabille en ne gardant rien et commence à parcourir tout son corps de baisers.

J’ai sorti un sein de son balconnet et en le caressant, tapote le mamelon du bout de ma langue.

« Viens sur moi, caresse-moi la chatte, j’ai envie de toi, baise-moi »

Ma bite est de plus en plus dure, mes doigts descendent vers son pubis, je fais glisser son string à mi-cuisse, sa chatte pas assez humide pour une pénétration en douceur, j’entreprends de la lécher avec une abondante salive. Le contact avec ses poils est merveilleusement excitant, je n’aime pas les chattes rasées, je trouve cela pas naturel et pas féminin.

« Suce mon clito, aspire-le, fais-moi jouir du clito avant de me baiser »

Je suce, j’aspire, je fourre ma langue dans son con le plus profondément possible, maintenant elle est bien mouillée.

« Je monte Jean-Louis, je sens que je vais jouir, voilà. Ahhhh… C’est merveilleux ! »

S’ensuit un important jet de cyprine.

« C’est bon, tu mouilles comme une salope. Ça te gêne si j’utilise des mots hard ? »

« Non, au contraire ça m’excite. Continue, traite-moi de tous les noms dont tu as envie. Mets-moi ta bite dans le con, défonce-moi, fais-moi jouir à nouveau, remplis-moi la chatte »

« Pour ton âge, tu es une vraie salope, jamais je n’aurais pensé que tu aies autant envie de baiser quand tu as commencé à me faire fantasmer »

« J’ai toujours aimé me faire du bien avec quelques fois plusieurs partenaires et aussi avec des femmes, mais en vieillissant, les occasions se présentaient peu, j’avais peur que les stigmates de l’âge rebutent mes éventuels amants d’un soir. Il a fallu que tu me fasses des propositions pour que j’accepte de me découvrir dans la peine ombre. Continue à me limer, j’adore »

Ce petit échange me fait redoubler d’ardeur, ma main s’insinue sur ses fesses et je tente une pénétration d’un doigt dans son orifice arrière.

« Oh oui ! Occupe-toi de mon cul, vas-y, enfonce tes doigts mais tu sais, ta queue serait bien meilleure »

« Tu veux que je t’encule ? »

« OUI ! Oui ! Prends le tube de lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit et vas-y défonce moi, je veux te sentir en moi par-derrière »

Je dépose une grosse noix de liquide sur sa rondelle et entreprends de bien lui élargir l’entrée.

« Essaie de mettre le plus de doigts possible avant de me pénétrer avec ta bite. Tu dois même arriver à entrer ta main entière. Je me suis souvent fait fister par une de mes amies, c’est divin. »

« Jamais je ne t’aurais imaginée aussi pute, je vais te ramoner et te vider tout mon jus dans les entrailles »

Le cul bien ouvert, effectivement j’arrive prudemment et progressivement à enter tout mon poignet. C’est alors que Jeanne-Marie se met à remuer frénétiquement pour mieux me sentir.

« Continue, je sens que je vais jouir du cul, c’est merveilleux. Je pars ahhhhhh »

En retirant ma main, j’introduis ma bite et je suis tellement excité que j’éjacule immédiatement.

« C’est bon, je sens ton jus qui vient, reste encore, jusqu’à ce que tu ne bandes plus »

Au bout d’un instant, je me retire, Jeanne recueille le suintement de foutre qui sort de son trou au bout de ses doigts et se délecte de ce jus.

« Tu vois Jeanne-Marie que tu es encore bonne à la baise » ]]]

Elle ne répond pas. Et pour cause puisque tout ce que je viens de vivre n’était que fantasme et rêve en attendant le réel coup de téléphone m’invitant à lui rendre visite »

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