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Femme mûre et soumise – Chapitre 1




Avec ma compagne nous sommes ensemble depuis pas mal d’années. Elle est pudique et complexée, moi je la trouve ultra sexy. Et je pense que je ne suis pas le seul.

Au fur et à mesure de nos ébats je l’ai convaincue que, sur le plan sexuel, j’étais son maître et qu’elle devait obéir à tous mes ordres quels qu’ils soient. Ca permettait de pimenter nos rapports avec des fantasmes plus ou moins hards que nous nous racontions.

Nous n’en avions jamais réalisés, sinon comme tout le monde elle pouvait se promener en jupe sans culotte ou avec des décolletés très révélateurs. Moi je suivais à l’écart pour voir si ça faisait de l’effet. Je suis sûr que malgré sa pudeur elle adorait ça. Elle a un côté allumeur qui n’éteint pas. Donc ça me trottait dans la tête qu’un jour il faudrait qu’elle assume.

J’avais remarqué que le fils des voisins, 18 ans, la regardait d’un air ambigu. Lui matant les fesses quand elle tournait le dos et sinon dès qu’il pouvait le faire discrètement plongeait son regard dans le décolleté. Elle m’avait confié que souvent quand je n’étais pas là il venait lui proposer de l’aide et qu’elle en profitait sans scrupules.

Quand je lui disais qu’il rêvait de la sauter elle rigolait en me disant qu’une femme mûre comme elle ne pouvait pas l’intéresser. Mais je pense que ça l’émoustillait et que consciemment ou non elle en jouait. Et là j’ai décidé de franchir un cap.

Un après-midi je lui ai choisi des vêtements et lui ai demandé de se changer. Un string, une jupe, un soutien-gorge à balconnet et un chemisier. Elle s’exécuta de bon cur, pensant probablement que je voulais une sieste crapuleuse. Cela ne la dérangea donc pas que je défasse deux boutons de son haut et que je détende au maximum les bretelles de son s soutien-gorge. Puis je lui demandais de se pencher un peu, c’était comme je le voulais je voyais parfaitement ses tétons.

C’était maintenant qu’il fallait la jouer fine. Je lui ai dit que j’allais partir et revenir en douce. Là je dois expliquer qu’entre notre chambre et la pièce mitoyenne j’ai installé un miroir sans tain. J’espérais que ça servirait un jour. Je lui ai donc détaillé sa mission : demander de l’aide à son chevalier servant en se débrouillant pour l’amener dans la chambre et de se donner totalement à lui.

Complètement abasourdie elle me répondit :

— Je ne peux pas faire ça, je ne vais pas avec d’autres et il pourrait être mon fils.

— Mais ce n’est pas ton fils. Donc tu vas le faire pour deux raisons. (je lui ai attrapé un téton en le serrant fort, c’est un outil de soumission que j’aime utiliser). D’abord tu m’as fait la promesse que tu m’obéirais quoique je demande et tu ne voudrais pas que ta parole n’ait pas de valeur. Ensuite ce pauvre jeune que tu allumes grave depuis longtemps ne doit pas être frustré. Ce serait dramatique pour lui. Donc c’est un ordre. Je ne veux pas être déçu.

J’entendis un petit « oui ». Puis elle se servit un verre de whisky qu’elle but d’un trait. Les joues rosies par l’alcool et avec un sourire mutin elle me dit :

— Je vais le faire !

— Je sais, et brillament. Essaie d’en profiter un maximum, plus ton plaisir sera grand plus le mien le sera. Laisse lui croire qu’il est le dominant et que toi tu es une pauvre femme qui se résigne. Et n’oublie pas mon exigence incontournable (j’y reviendrai)

— Oui

Après un long baiser et des attouchements je savais qu’elle avait un besoin impérieux de sexe. Et malgré ses efforts pour me garder je suis parti. Le voisin savait qu’il avait le champ libre. Après avoir caché la voiture je suis rentré dans la maison par derrière et me suis mis en poste dans la pièce secrète. Et là j’avoue que l’attente a été dure, je savais grâce à la caméra de surveillance qu’il était là mais j’ignorais ce qu’ils faisaient.

Quand, après une éternité j’entendis des pas dans l’escalier j’enclenchais la caméra (évidemment qu’il y en a une, les souvenirs sont bien dans la tête mais ils sont encore mieux quand ils ont été enregistrés). Ils sont entrés dans la chambre, lui avec un grand panier de linge et elle les joues rougies par l’alcool et les yeux brillants. Elle avait laissé sa tenue comme je l’avais mise en place. Elle commença à ranger les vêtements en prenant bien soin de se pencher suffisamment. Il avait les yeux figés sur ses tétons. À un moment elle fit mine de s’apercevoir du panorama qu’elle offrait :

— Oh ! Mais tu vois mes seins. Je suis désolée je ne savais pas que j’étais aussi indécente.

— Ne sois pas désolée, c’est un merveilleux spectacle.

— Arrête, ce ne sont pas des seins d’ado !

— Ils sont magnifiques et je rêve de les toucher et les embrasser.

— Tu es sérieux ?

— Oui, et ça m’obsède.

Faisant mine de réfléchir :

— Je ne devrais pas, mais tu es si gentil et si serviable que je ne peux pas te refuser ça. Alors fais de ton rêve une réalité.

Le voyant hésitant et penaud elle laissa glisser son chemisier et les bretelles du soutien-gorge le long de ses bras libérant les deux fruits tant convoités. Attrapant les mains de son soupirant elle lui montra que c’était à lui de jouer. Il se mit à les malaxer avec maladresse et brutalité. Malgré la douleur elle le laissa libre d’agir, les mains, la bouche la dévorait sans relâche. Elle se libéra totalement de son chemisier et son soutien-gorge. Il colla sa bouche contre la sienne et malgré quelques timides résistances elle finit par s’abandonner à cette nouvelle caresse. Il en profita pour descendre une main jusque dans le string et pris possession de son intimité. À cause du baiser elle ne pouvait pas protester. Quand elle put dire quelque chose :

— Je t’avais dit les seins.

— Oui mais j’ai évolué, je veux tout !

— Mais tu as vu dans quel état je suis à cause de toi ?

Prenant ça pour une invitation il la coucha sur le lit l’immobilisant avec son haut du corps, emprisonna son bras libre et continua son exploration. Ce corps qui se cambrait, les gémissements de plaisir qu’elle émettait et les cuisses luisantes largement ouvertes l’encouragèrent à profiter de son avantage. Il se coucha sur elle et ayant abaissé son pantalon et son slip il s’apprêtait à lui donner l’estocade. J’ai su qu’il la pénétrait quand j’entendis :

— Non, non, tu es trop gros, tu me fais mal !

Mais il n’en avait cure et la pilonnais avec frénésie. Manifestement ne supportant pas ça elle le poussa sur le dos en lui demandant de la laisser faire. En le voyant dévoilé j’ai compris qu’elle avait de quoi se plaindre. Mais assise sur lui elle semblait décidée à profiter de ce cadeau inattendu. Tout doucement elle le fit disparaitre en elle, laissant son corps s’adapter à celui de son partenaire. Quand l’osmose fut trouvée elle se déchaina comme si elle masturbait ce gros sexe. Ses seins ballotaient au même rythme hypnotisant son jeune étalon. Sa jouissance est venue extrêmement vite elle hurlait son bonheur, je ne l’avais jamais vue comme ça. Ce n’était pas simulé, j’en avais la preuve. Étant une femme fontaine je pouvais voir le témoignage de son plaisir se répandre sur le corps du jeune homme et sur le lit. J’espérais que dans son délire elle n’avait pas oublié mon exigence.

Je lui avais dit que si un jour elle allait avec d’autres hommes, quoiqu’ils fassent ensemble elle devait obligatoirement les faire exploser au fond de sa gorge sans en perdre une goutte. Elle prétend adorer ça et je pense que c’est vrai vue l’ardeur qu’elle y met toujours.

Effectivement, elle se glissa entre les jambes de sa victime et montra toute l’étendue de son talent. Quand sa bouche souffrait d’être si distendue elle alternait, le léchant comme un esquimau, lui mordillant la peau des testicules, ses mains n’étaient pas en reste et même ses seins, si souples et si doux, enveloppe parfaite. Elle ne pouvait s’empêcher d’ouvrir les yeux de temps à autre et fixait le miroir mi- exaltée et mi- provocatrice, c’était ce que j’avais voulu et tant pis pour moi si elle s’éclatait. Quand elle sentit que l’échéance était proche elle l’emprisonna dans sa bouche et tout doucement elle attendit le geyser, qui j’espère, je le saurai peut-être un jour, était abondant.

Les laissant à leur torpeur je m’éclipsais, récupérant ma voiture et suis revenu une paire d’heure après. Elle prenait un bain et je l’ai laissée tranquille.

Nous avons passé une soirée calme sans en parler, jusqu’à ce qu’elle me dise :

— J’ai honte de moi.

— Ah oui ? Tu n’as rien fait de mal. Tu as fait découvrir le sexe à un jeune qui voulait te baiser, tu as pris un pied d’enfer et moi j’ai adoré ça !

— Je suis une s..

— Oui, une vraie, une championne !

Je ne suis pas sûr que ça l’ai rassurée. Ma certitude était qu’à partir de ce moment je pourrais lui demander n’importe quoi, elle accepterait tout sans discussions. Mais ça, ce sont d’autres histoires.

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