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Soulevé comme une plume et dominé par la grande et forte Stéphanie – Chapitre 2




La douche

Un fois arrivé, elle me posa par terre. Mes jambes tremblaient. La douche était vaste et on tenait à deux sans problème. Passant ses mains derrières son dos, elle dégrafa son soutien gorges qui tomba à ses pieds. Quel spectacle ! Ses seins dadolescentes ne semblaient pas être affectés par la gravité. Ces énormes melons pointaient torridement vers moi et gigotaient de gauche à droite sur les mouvements de Stéphanie. Je ne pouvais détacher mon regard de ces masses. Ils étaient bien plus gros que ma tête ! Voyant mon admiration, Stéphanie passa sa grande main derrière ma nuque et me plaqua la tête sur sa poitrine. Je navais pas eu le temps de respirer et je manquais cruellement dair. Je battis des mains pour le lui faire comprendre et elle me relâcha. Je pris alors un bonne inspiration pour retrouver mon souffle. Elle aurait pu me tuer sans que je ne puisse faire quoique ce soit. Elle enleva le bas de son maillot pour exposer un pubis très fourni. Elle avait plus de poils que moi ! Elle passa alors un gant de toilette sur sa main droite, ouvris les robinets de la douche et dans un geste rapide, elle me saisit avec son bras gauche de manière à ce que je me retrouve le ventre sur son avant bras, avec tout mon corps sous son aisselle. jétais tourné de telle manière que javais une vue imprenable sur ces énormes et puissantes fesses. Elle passa le gant sur moi, puis dun geste souple, jeta le gant au sol. Cest alors que son énorme index pénétra mon anus sans que je my attende ! Quelle surprise et quelle douleur ! Son énorme doigt allait et venait au plus profond de moi. Je gesticulais mais son étreinte était bien trop forte pour que je puisse en échapper. A ma grande surprise, je commençais à prendre du plaisir. Mon sexe était à nouveau dressé et à nouveau je jouis comme jamais ça ne métait arrivé. Stéphanie me laissa alors tombé et j’atterris à quatre pattes par terre. Elle dit alors:Satisfaite petite chienne ?!. Je me rendis alors compte de la position dans laquelle jétais : à quatre patte devant elle,lui présentant mon anus dilaté par son gros doigt. Oui, jétais une chienne. Elle rajouta :Tu encaisses pas mal,elles vont bien samuser avec toi ce soir. Mais de qui parlait elle ! Elle dit alors: A moi de prendre du plaisir maintenant. Je pensais que jallais enfin avoir ma place dhomme et que lon allait faire lamour plus classiquement, mais elle saisit ma tête dans la palme de sa main droite. Elle avait un poigne phénoménal. Mon petit crane tenait sans problème dans sa grande main. Elle serrait si fort que jai cru quil allait exploser. Me forçant à me mettre à genoux, elle plaqua ma bouche contre son sexe et mordonna de la lécher. Je mappliquait de mon mieux et ma langue trouva bientôt son gros clitoris que je stimulais sur ses conseils. Elle me plaquait si fort que javais du mal à respirer. Quand elle atteint lorgasme, elle ne contrôla plus sa force et oublia de me relâcher pour respirer. A bout de souffle et épuisé, je mévanouis. Je métalais alors sur le carrelage de la douche. Dans une semi-conscience, je vis Stéphanie fermer le robinet puis se baisser pour passer une main derrière mon dos et lautre sous mes genoux. Elle souleva délicatement mon corps inanimé pour le poser sur ce qui ressemblait à une table à langer. Là, elle me sécha dans une serviette. Je sentais ses grandes mains pétrir mon petit corps. Elle m’enveloppa enfin dans une grande serviette. Seule ma tête en sortait et je ne pouvais bouger ni mes bras ni mes jambes. En enserrant ma taille de guêpe de ses battoirs, elle me souleva puis me plaqua contre sa poitrine. Elle fit alors glisser une de ses mains sous mes fesses, puis lautre derrière mon dos, me portant ainsi contre sa musculeuse épaule. Elle memmena dans la chambre de ses parents où elle me posa sur le lit. Toujours dans une mi-conscience et emprisonné dans ma serviette, elle membrassa sur le front et je sombrai dans un sommeil profond, tellement les derniers évènements mavaient épuisé.

Une bonne fessée pour me faire obéir

Je me réveillais une heure plus tard. Je ne savais plus trop où jétais. Je ne savais pas non plus si les scènes de sexe qui venaient à mon esprit étaient des rêves. Un douleur diffuse à lanus me rappela que tout était vrai. Je cherchais à mextraire de cette serviette mais elle était tellement serrée que je ny arrivais pas. Stéphanie mayant entendu bouger arriva dans la chambre. Elle était habillée dun bas de treillis noir qui mettait ses fesses larges et puissantes en valeur. Elle portait un débardeur prêt du corps qui sublimait sa poitrine et ses épaules larges et musclées. Ses bras puissants étaient également mis à lhonneur. Elle me dit : Tu es réveillé mon petit, cest bien, je vais pouvoir te préparer pour ce soir…. Je savais quelle voulait faire quelque-chose de moi, mais je ne savais pas quoi encore. Elle me déplia de la serviette de manière à ce que je me retrouve sur le ventre et dos à elle. Passant ses mains aux niveaux de mes aines, elle me souleva de manière à ce que mes jambes soient écartées et quelle puisse examiner mon anus. Je me retrouvais donc à nouveau soulevé par cette géante la tête en bas et totalement nu sans que je ne puisse faire quoique ce soit. Stéphanie sexclama : Cest bon, il a bien retrouvé sa forme, on va pouvoir sen occuper à nouveau ce soir ! Mais de quoi parlait elle bon sang ! Elle continua : Il va falloir que je thabille maintenant. Elle me jeta alors face sur le lit. Elle sortit de la chambre et revint avec des vêtements pliés. Elle mordonna :Mets toi debout sur lit. Ce que je fis. Je constatai avec horreur que cétait des vêtements de femme, et des vêtements sexy ! Elle pris dabord la petit culotte noire que seules des strip-teaseuses devaient porter. Elle était minuscule ! Déjà parce que Stéphanie lavait choisie à la bonne taille pour mes petites fesses, et aussi parce ce petit bout de tissus semblait minuscule dans ses mains de géantes. Elle la tenait tendue pour que je puisse passer mes jambes dedans. Cétait trop pour moi. Je me mis en colère :Non, là ça va trop loin ! Tu ma pris par surprise sous la douche, mais là non, je refuse ! Je descendis du lit pour me diriger vers mes vêtements que javais rangés dans un coin. Stéphanie ne me laissa pas faire. Elle saisit violemment mon poignet droit dans sa main gauche, et levant son gros bras, elle me força à me mettre sur la pointe des pieds ! Jai cru que ma main et mon avant bras allait être broyés tellement elle était forte ! Javais limpression dêtre un ver qui se balançait au bout dun hameçon. Cest alors que son immense et lourde main droite se leva et s’abattit durement sur mon petit fessier. Elle était entrain de me donner une fessée sans que je ne puisse faire quoique ce soit ! Au deuxième coup, les larmes me vinrent aux yeux, autant par douleur que par humiliation. Malgré mes supplications, elle frappa 10 ou 15 fois, je nétais plus en état de compter de toutes façons. Elle n’entraîna alors toujours en tenant mon poignet haut en lair devant le miroir. Je vis alors un pantin désarticulé toute petit, tout mince et nu, quune jeune géante tenait en lair à la force dun seul bras ! Me faisant légèrement pivoter, elle mordonna de regarder létat de mes fesses : Elles étaient rouges cramoisies ! Ses larges mains avaient laissé des traces sur toutes leurs surfaces ainsi que sur le haut de mes cuisses et le bas de mon dos. Stéphanie me cria en pleine face :Quand on pèse 40kg, que lon est maigre comme un clou et que lon na pas de force, on ne soppose pas à la volonté dune fille qui fait plus du double de son poids et qui est tout en muscle ! Sur ce, elle lâcha mon poignet et me laissa mécraser comme un poupée de chiffon sur le sol. Mes jambes nétaient plus capables de me porter. Stéphanie me dominait de toute sa hauteur, javais limpression quelle avait encore grandi. Je restais là à sangloter, nu et faible à ses pieds. Son visage se fit alors plus souriant. Elle se baissa, saisit le haut de mes bras dans ses mains, et me souleva ainsi pour mamener contre sa poitrine. Une fois contre elle, elle fit glisser sa main droite sous mes petites fesses encore endolories et lautre dans mon dos. Mes mains vinrent machinalement se placer autour de son coup de taureau. Son téton se trouvait juste contre mon petit sexe. Je sentais à la fois la douceur de son énorme sein contre mon buste et la dureté de son corps puissamment musclé. Elle me berçait pour me consoler. Quelque chose lâcha prise en moi, résigné face à tant de force et de puissance, je crois que jai abandonné à ce moment là une partie de ma virilité pour laisser sépanouir ma part de féminité. Elle me dit alors: Tu vois ma puce, tu ne peux rien contre moi. Fais ce que je demande, tu nas pas le choix. Je soupirai alors sur son épaule. Elle se dirigea alors vers le lit pour my poser debout.

Habillé et maquillé de force comme une traînée

Saisissant à nouveau la petite culotte noire, elle mordonna de lenfiler, ce que je fis. Elle mallait très bien. Mon petit sexe tenait à lintérieur. Stéphanie ne sétait pas trompé en choisissant une taille 34. Elle saisit alors un des bas résilles noires. Je passais ma jambe droite à lintérieur mappuyant sur ses épaules de mes petites mains pour ne pas perdre léquilibre. Elle remonta délicatement le bas qui marriva juste quelques centimètres sous mes fesses, de même avec lautre. Elle avait choisi une brassière en dentelle noire pour cacher ma poitrine, quelle me posa elle même. Vint ensuite le porte jarretelle noire. Elle me mis alors une mini-jupe faite d un tissus blanc hyper transparent qui semblait être du lin. On pouvait voir ma culotte à travers ! Vint ensuite un cache coeur fait du même tissus. Mon nombril était visible. Elle se recula pour voir le résultat et sembla satisfaite: Tu commences à être vraiment bandante petite trainée . Elle me saisit alors par ma taille de guêpe et me souleva face à elle. Elle me porta jusquà une chaise où elle sassit tout en me tenant à bout de bras. Elle me fit m’asseoir sur ses genoux. Mes fines jambes gainées de résilles pendaient de part et dautre de ses grosses et dures cuisses. Comme elles étaient vraiment très large, jétais obligé de beaucoup écarter les jambes. Stéphanie sempara dun nécessaire à maquillage sur la table à coté. Ne me voyant pas, je la laissait peindre mon visage : Fond de teint, rouge à lèvre, mascara et même gloss. Elle sortit ensuite une perruque brune aux cheveux longs et lisses qui marrivaient à mi dos. Elle les attacha avec un élastique pour me faire un queue de cheval, prétextant que ça mettait en valeur mon coup mince et ma nuque fine. Elle acheva son oeuvre en me clipsant deux petites boucles doreilles en forme de coeur rouge, et un collier en perles roses fluo. Elle me saisit alors sous les aisselles et me porta jusque devant le miroir, dos à celui-ci. Une fois posé au sol, elle mit ses grosses mains sur mes frêles épaules pour me forcer à me tourner et voir mon image… et ce fut un choc ! Je voyais une très jolie petite brune habillée comme une tapineuse. Les bas résilles affinaient dautant plus mes jambes. Le jeu de transparence me rendait extrêmement sexy ! Mon nombril et le porte jarretelle exposés étaient un véritable appel au viol et cette queue de cheval mettait vraiment en valeur la finesse de mes épaules et de mon coup. Jétais troublé et à ma grande surprise terriblement excité. Stéphanie sortit dun placard une paire de ballerine rose taille 36 qui convenait parfaitement à mes petits pieds. Je ressemblais définitivement à une entraîneuses et même pire. Stéphanie, posant ses mains de part et dautre de mes épaules et me serrant ainsi me dit : Tu as vraiment lair dune belle petite pute, si je temmenais dans un resto pour routiers, tu pourrais me rapporter pas mal dargent. Jétais terrifié, mais aussi terriblement émoustillé par cette idée dêtre un jouet sexuel pour tous ces mâles en manque de leur femme. Stéphanie rajouta :Tu vas beaucoup leur plaire. Elles adorent les demi-portions comme toi. La sonnette de la porte sonna alors. Stéphanie avec beaucoup dexcitation dans le regard me lança : Elles sont là !

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