J 1 , Sophie, Ondine, son mari, Myriam, Emma
Ondine et son mari mangèrent en face de Sophie et tout naturellement la conversation se fit . Ondine était plus réservée et parlait moins que son mari . Ils évoquèrent leurs boulots respectifs, lui cadre , elle institutrice dans le secteur privé . Tout ce petit monde se trouva des points communs et causa de la formation qui allait débuter .
Sur la fin du repas, Myriam se joignit à eux . Sophie remarqua immédiatement que l’homme semblait trouver la jolie brune à son goût car il reluqua ses fesses quand elle passa, en toute discrétion vis à vis de sa femme . Sophie sourit intérieurement en se disant qu’elle ne flirterait pas avec lui si il aimait le type de femme représenté par la jeune psychologue .
Cette dernière s’avéra être fort gentille et prévenante, questionnant doucement tout le monde sur les attentes du stage, parlant des siennes et se projetant dans un projet mettant en valeur les compétences qu’elle entendait développer . Sophie engagea la conversation plus avant avec elle car leurs domaines de compétences professionnels se croisaient, travaillant toutes les deux en clinique .
A 14 h très exactement, Emma les convia à rejoindre la Salle de cours, située au dernier étage , tout en les prévenant que la première heure était une approche expérimentale de l’hypnose thérapeutique . Ils allaient donc passer chacun un moment seul, dans une semi-obscurité avec un casque qui diffusait de la musique de relaxation .
Elle s’enquit de savoir si personne n’était angoissé par le noir , personne ne réagit et tous se contentèrent d’un petit sourire pour la rassurer .
Puis un par un elle les fit rentrer dans une belle pièce peinte blanc, une décoration toute simple agrémentée de superbes plantes d’intérieur, ainsi que 4 fauteuils de relaxation .
Au fond , une porte d’ascenseur en métal brossé, donnant à l’ensemble un look résolument moderne .
D’immenses paravents permettaient de séparer les zones autour des fauteuils et donc de privatiser chaque endroit . Le couple prit place dans deux fauteuils peu éloignés , tandis que Myriam et Sophie s’installèrent dans des alcôves plutôt distante l’une de l’autre . Emma expliqua qu’ils pouvaient mettre les casques sur leur oreilles et que la séance "relaxation" aller commencer quand elle éteindrait la lumière .
Elle leur signifia que la séance était assez longue mais qu’elle était une étape incontournable de l’apprentissage .
La lumière décrue assez rapidement, les volets se baissèrent et ne subsista qu’un léger halo provenant d’appliques masquées dans les plafonds .
Les sièges s’inclinèrent légèrement et la musique débuta . De temps en temps une voix éthérée , douce et apaisante, donnait des conseils propices à une forme de sophrologie .
L’homme appréciait cette ambiance calme, il laissa vagabonder ses pensées, sa respiration devenait à peine perceptible, il se sentit sombrer dans un éden cotonneux, la voix intervenait encore parfois mais il ne l’écoutait plus vraiment , les mots ne l’atteignaient plus . Il relâchait ses muscles et s’abima dans ses rêves profonds . Il rêva brièvement à la petite branlette inopinée de madame en arrivant, apprécia sa chance d’avoir une femme si aimante, imagina ensuite qu’il faisait la même chose avec la jolie psychologue, mon dieu ce cul qu’elle avait, il vit à nouveau ces fesses bombées repasser devant son nez tout à l’heure, la raie splendide qu’il caresserait en se branlant entre ses cuisses, imagina ensuite qu’au moment de jouir la belle brune accepterait qu’il répande sa semence sur son beau visage comme il rêvait de le faire à sa femme depuis longtemps .
Il sombra ensuite dans un sommeil profond . Son "Inception" venait à son insue de débuter, il se réveillerait dans peu de temps, mais IL aurait déjà anéanti la part de volonté qui lui aurait permis de refuser ses châtiments . Ses tourments ne faisaient que commencer .
Ondine était très réceptive à ce type de technique de relaxation, elle se sentit immédiatement à l’aise et sombra dans le brouillard la plus rapidement du groupe . Elle n’aurait pas su dire ce qui lui passait comme idée dans la tête mais elle se sentit tellement bien qu’elle eu la sensation qu’elle venait de faire l’amour, vivant dans sa chair le relâchement qui succède à l’orgasme, sentiment qu’elle connaissait bien car elle avait la chance de faire partie de ces femmes qui ont des orgasmes comme les hommes, lors de chaque rapport . Orgasmes d’intensité différentes évidemment et pas quand elle soulageait son mari à la main , ni quand il se servait de ses deux grosses fesses comme d’un support à branlette avant de jouir dessus, mais dès lors qu’il la prenait, elle avait un orgasme à coup sûr . Si peut qu’il lui susurre des cochonneries à l’oreille avant, elle grimpait au rideau .
Elle savait pertinemment qu’elle était chanceuse, (même si elle aurait aimé un amant mieux monté , car par dessus tout elle aimait la sensation d’être élargie, passant la plupart du temps sa main sur son sexe après l’amour, discrètement, pour en admirer la dilatation . Lors de la première sodomie qu’elle avait consenti à son amant, elle avait fait de même avec son petit trou et avait été sensible au fait de le trouver bien ouvert alors même qu’elle avait refusé de se faire limer, acceptant juste l’intromission du gland ).
Elle continuait à redouter d’avoir mal si il allait plus loin quand il poussait sur son anneau . Par contre elle avait apprécié recevoir sa semence dans son anus, le liquide chaud l’avait tranpercée de sensations nouvelles . Elle sombra totalement dans un sommeil à la suite de cette idée, poursuivie par la sensation que la pénétration lui avait laissée .
Son "Inception" débutante fonctionnait si bien que sa compliance aux châtiments futurs devenaient une vraie provocation.
Sophie restait un peu stressée par cette formation et elle eu du mal à s’abandonner au plaisir de la renonciation . Elle n’y céda qu’avec une crainte de ne pas arriver à se concerter assez pour réussir . Elle écouta scrupuleusement la voix, essaya de trouver cette fameuse "petite porte au bout du jardin" dont la voix parlait, cette porte amenant sur là sérénité et la détente ultime .
Au final c’est la musique qui l’aida et elle se laissa porter . Étrangement elle eu des idées peu communes dans sa psychée, elle qui était généralement courtisée par les hommes, rêva qu’elle n’arrivait plus à intéresser aucun homme subitement , mais qu’au contraire , des femmes lui plaisaient . Cette pensée l’embruma durant un temps impossible à quantifier mais qui lui parut une éternité, puis elle se sentit libérée ; une chaleur intense inonda son ventre et enfin elle se laissa déborder par son "Inception", elle venait d’être , sans le savoir, déboulonnée de son piédestal de petite poupée tellement agréable à tringler . Elle venait de rentrer de plein pied dans son apprentissage de soumise .
Myriam maîtrisait plutôt bien les bases connues de la sophrologie, le "cheminement" intérieur qui amène à la relaxation profonde . La voix était très agréable, maternante et douce . La jeune psychologue se sentit coocoonée et trouva celà plaisant . Elle ressentit un bien être comparable à un massage et décida de ne pas lutter, cette entrée en matiere lui plaisait beaucoup, quoi demander de mieux ? Ne cherchant pas à combattre la torpeur qui l’envahissante doucement, elle partit dans ses pensées les plus reculées avec une certaine aisance . Elle se vit marcher dans un beau jardin touffu, trouver comme par enchantement un petit portail et l’ouvrir sans difficulté . À ce stade elle ne décidait plus d’avancer , elle y était contrainte par son "Inception" mais elle ne le perçut pas .
Elle vit subitement son ancien amant devant elle, son amour , le dernier homme qui l’avait prise . Elle se rappela ce dernier câlin, dans la forêt, après une balade à cheval ils avaient dormi sous une tente, il avait plu, une pluie d’été , torentielle et moite . Ecrasés par la fatigue qu’ils étaient, ils avaient jurés contre cette pluie qui les empêchait de dormir . Une fois totalement réveillés par le crépitement des gouttes contre la bâche de la tente ils s’étaient peloté, un peu gauchement à cause de la fatigue puis de plus en plus torridement .
Cette nuit la il lui avait dit qu’il avait envie de réaliser un autre fantasme . La situation se prêtait à tout tellement ils étaient isolés, seuls dans la forêt . Il avait totalement négligé son sexe à elle et en guise de preliminaire il s’était accroupi sur le visage de Myriam, forçant d’abord à un asticage en règle des testicules auquel elle ne rechignait pas , puis se poussant en avant et lui présentant son anus à lécher . Elle s’était un peu débattue mais finalement avait passé , pour essayer, le bout de sa langue sur la rondelle musclée de son homme . Il avait gémit avec tant de force qu’elle s’était enhardie à poursuivre et il avait manqué jouir de la sorte . Elle s’était alors retournée, dans cette position qui rendait si hommage à son cul callipyge, offrant le puit moite de son fondement à la pine dressée .
Elle cru que jamais il n’arrêterait de l’enculer, malgré son sphincter accueillant elle commença même à avoir mal , mais il n’eu aucune pitié et la pilonna jusqu’à l’orgasme . Quand il sorti ce fut pour jouir dans sa nuque, recouvrant une bonne partie de ses cheveux et essuyant les inévitables trace de souillures sur son dos . Repus ils s’étaient endormi de suite, lui vidé, elle sentant légèrement la merde et surtout beaucoup le sperme, le trou du cul defoncé . Elle s’était réveillé en premier le lendemain et avait nettoyé ce qu’elle pouvait . Il aimait vraiment la salir . Elle aimait aussi être sale de la sorte .
La rencontre honirique avec son ex marquait ce jour là, dans cette sale , la perte quasi totale de ses capacités à réagir, elle LUI appartenait déjà bien trop pour reculer.
Emma avait lancé la machine depuis le petit poste de contrôle au fond de la Salle . Elle avait vu petit à petit, sans qu’ils la voit , les participants sombrer dans le sommeil, comme lui avait annoncé le Maitre. Elle se rappella brièvement qu’elle aussi avait vécu ce moment , elle n’aurait par contre pas su le décrire , il s’agissait juste d’une "idée" floue , un souvenir à moitié effacé .
Ce midi IL l’avait convoqué et IL lui avait donné ses dernières consignes par rapport aux stagiaires .
Elle avait été déçue qu’il ne cherche pas à s’occuper d’elle . Il lui avait parlé sèchement, insistant pour que tout soit parfait . Il avait précisé qu’il s’occuperait du couple en premier car la femme lui plaisait , " un joli petit jouet, pas comme toi pauvre pute d’hôtel" et "l’homme fera un l’eunuque splendide" .
Il l’avait fait mettre à genoux ensuite et avait uriné un beau jet dans un pot de chambre . Il lui avait ensuite demandé d’aller le jeter et quand elle s’était exécuté il l’avait fait nettoyer sa bite avec la langue sans se servir de ses mains . Emma commençait à s’habituer aux goûts particuliers, elle avait encore en bouche le discret fumet hérité de la petite culotte de Sophie que le Maitre lui avait fait nettoyer . Néanmoins elle aurait préféré le sucer que boire la goutte qu’il avait secoué au dessus de son visage .
Quand se langue se fit insistante, elle voulait lui montrer qu’il pouvait la prendre, recommencer la pipe qu’il lui avait fait subir quelques jours avant, baiser sa bouche , il l’avait repoussée et ses seins avaient subi une succession de gifles .
Elle baissa la tête penaude et quand il quitta la pièce , la laissant en plan , elle sentit sa mouille inonder son sexe . Elle ressentit une honte mêlée de tristesse . Il lui avait dit la veille qu’il ne posséderait pas son con , trop facile à prendre avait t’il dit . Elle aurait tant voulu au fond d’elle arriver à le satisfaire mais elle se rendait compte qu’elle ne faisait pas encore le poids .
Elle devait s’améliorer .
Elle eu très envie de se branler, la , de suite, pour éteindre ce feu qui la rongeait mais c’était bien sûr interdit .
Elle retourna se rhabiller en essuyant une larme de haine envers elle même . Elle était pire que tout . Elle devait se rattraper et bien faire son travail .
Il était 13h45, la séance commençait dans 15 minutes, elle se dépêcha de se rhabiller .
J 1 , 17h, Maitre .
Le timing était parfait, le groupe réagissait bien, c’était un vrai régal à imaginer . La petite pute d’assistante avait voulu le sucer ce matin alors qu’il lui faisait boire sa pisse , incroyable de voir un tel asservissement , aussi rapide . Il avait déjà eu des soumises encore plus jeunes, certaines venaient la semaine d’avant de passer leur bac, la "majorité plus une semaine" comme lui avait dit l’une d’elle en riant lors du début de la formation .
Ses deux amies et elle avaient fini par se nettoyer le cul avec la langue quand IL les enculait à la chaîne et elles étaient encore vierges lors de leur arrivée . Il se souvint du plaisir qu’il avait eu à leur faire tirer au sort laquelle forcerait les hymens des deux autres avec un gode ceinture . La gagnante était tellement fière de faire plaisir à son Maitre qu’elle avait déchiré ses amies avec une férocité incalculable .
En cadeau de bonne soumise il lui avait offert de la laisser vierge, elle lui en avait baisé les pieds . Néanmoins rien ne vaut une femme mariée, trentenaire et habituée à un petit train train, qui se croit coquine parcequ’elle fait une pipe dans la voiture ou dans un train. Elle fera toujours une soumise plus complexe qu’une petite truie sortie du lycée , tellement facile à dompter .
La jeune assistante baissa la tête quand il sorti de l’ascenseur . Il la congédia dans le couloir ou elle attendit, gênée d’apparaître habillée au lieu de sa tenue d’esclave .
Il s’approcha d’Ondine sans faire de bruit , même si cela ne faisait pas de différence , elle était sous son contrôle de toute façon , elle se réveillerait quand IL lui dirait et pas avant . Elle portait un petit haut blanc et un pantalon jaune avec des baskets . C’était la dernière fois qu’elle s’habillait comme cela , dorénavant elle ne s’habillerait que selon SES ordres, si tant est qu’il décide qu’elle ne soit pas nue tout le temps pour son bon plaisir , il en ferait sa petite pute privée , c’était décidé . Dans une heure et pour un mois elle ne dormirait plus avec son mari , il ne la toucherait que si LUI le voulait et surtout il ne lui ferait pas l’amour une seule fois . Ondine serait SIENNE, elle dormirait avec lui pour assouvir ses pulsions nocturnes , elle viendrait le sucer au réveil, reviendrait la bouche pleine de sperme à la table du petit déjeuner s’il le fallait . Il débordait d’idées .
Il ne doutait pas qu’elle ferait une bonne soumise au lit, elle apprendrait à être prête tout le temps, à vider ses couilles et à lui astiquer sa queue sale sortant du cul d’une des autres participantes . Il la convoquerait des ce soir et elle lui ferait voir d’elle même tout ce qu’elle cachait, elle lui chanterait ses fantasmes, se donnerait à lui comme une bonne épouse .
Ses projets pour Myriam étaient différents , elle méritait un traitement spécial, IL en ferait une marionnette , un petit pantin désarticulé, jouant une partition allant vers la décadence, elle connaîtrait la lumière du Noir de son Ame . Secrètement il espérait qu’elle apprécierait le traitement qu’il lui réservait, son uvre serait belle . Il s’approcha d’elle et effleura l’entrejambe de la belle brune , elle sursauta .
Il plaça sa main entre les cuisses et forçat le passage sans difficultés quand il lui dit à l’oreille qu’elle devait écarter ses cuisses . Son front se rida mais elle obtempéra . Il dégrapha la braguette du pantalon et glissa sa main sous le mignon tanga qu’elle portait . Il ne fut pas étonné de trouver une toison fournie, il l’aurait parié . Elle se négligeait, tant mieux , il adorait corriger ce défaut . Le bouton était turgescent, comme celui de toutes les femmes de la Salle, l’"Inception" sollicitait les zones érogènes pour mieux les contrôler . Il ne voulait absolument pas la stimuler, elle jouirait si IL le décidait et ce n’était pas le moment . Il voulait seulement explorer ce beau petit lot et ressentait une excitation certaine . Ses doigts glissèrent vers la fente et il se sentit tout à coup poisseux .
Retirant sa main il constata que la mignonne avait de belles règles bien abondantes . IL adorait jouer dans ces moments là, l’humiliation de Myriam serait la première , il fallait sauter sur cette occasion . Toutes les femmes ici y passeraient durant leurs périodes mais c’est la belle brune qui connaîtrait les affres de cette punition en premier . Il tira sur le tampon et l’enleva, elle finirait de saigner dans son slip, elle serait magnifique.
Son doigt ressortit de la chatte sanglante, bien large au demeurant trouva t’il , (elle subirait des sévices en conséquence) et alla titiller l’anus . Le sang sur ses doigts facilita la pénétration et il l’empala sur son majeur . Elle ne réagit pas au niveau du visage comme la première fois mais il sentit qu’elle poussait sur son doigt , signifiant par là qu’il elle connaissait l’art de la sodomie . Il lui ferait comprendre qu’elle n’en maîtrisait qu’une infime partie . Avoir un anus large ne lui suffirait pas indéfiniment . Satisfait il sortit de son fondement et alla se laver les mains , après quoi il la rhabilla.
Sophie lui plaisait physiquement, elle avait des qualités incroyables : un corps de jeune fille, une expérience évidente avec les hommes et une certaine assurance dans l’apparence . Assurance de façade, c’était évident, elle n’était pas mariée, pas de contact avec quiconque en dehors de sa famille proche , pas d’amie .
Il la dresserait à quémander tout, à être une gentille fille, Il devrait commencer par la casser, elle passerait du statut de "décideuse" à celui de "sous fifre". Il était assez problable qu’il la soumettrait en même temps que l’homme . Peut être même songeât’il , commencerait t’IL par leur faire nettoyer tous les matins les souillures de la nuit passée avec Ondine . Car IL allait la salir, c’était sûr . L’idée lui plut .
Il caressa le joli petit visage de Sophie, effleura les joues, les paupières qui tressaillirent et s’attarda sur les lèvres . La bouche s’entrouvrit sur une dentition parfaite et quand son pouce força la barrière de la cavité, elle plaça instinctivement sa langue pour guider le doigt . Il se pencha vers son oreille et lui donna l’ordre d’écarter les cuisses .
Elle portait un jean serré (cela aussi changerait , Il lui destinait des tenues différentes, elle n’avait pas le droit de cacher à qui que ce soit dans cette pièce la perfection de ce corps . IL entendait bien que l’homme bande en continu et il fallait aussi que les deux participantes y mettent du leur pendant que lui serait en train de laisser Ondine se violer toute seule sur sa bite pour SON bon plaisir. Il ouvrit son jean , baissa comme Il pu le vêtement serré et écarta la petite culotte semi transparente de Sophie .
La chatte était splendide, IL n’eut aucun doute qu’elle maintiendrait l’homme en grande forme . Un tout petit abricot entretenu au cordeau , un fente encore plus petite que celles des bachelières de la session précédente, IL doutait qu’autre chose qu’une bite très moyenne puisse l’ouvrir .
Comme pour Myriam Il glissa sa main plus bas et tomba sur une rondelle serrée au point de n’arriver qu’avec difficulté à la pénétrer du bout du doigt .
Elle se contracta encore plus, Il sourit en pensant qu’à la différence de la belle psychologue, la jolie blonde se devait pas pratiquer . Il aurait parié pourtant que cet huis lui aurait permis de satisfaire par son diamètre étroit bien des hommes en recherche d’anus lycéens .
Au final, Il jeta un regard à sa montre et s’approcha de l’homme . Ce dernier bandait comme un taureau . Le Maitre aimait tout aussi dominer les hommes, mais pas par le sexe directement . Parfois il en sodomisait un ou se faisait sucer mais plus généralement Il les empêchait de jouir tout en les faisant bander à en avoir mal . Il décida que celui ci serait dominé mais que pour l’instant il ne le toucherait pas.
Il se contenterai de le faire souffrir en s’offrant sa femme devant lui, en forçant cette dernière à lui raconter sa nuit , sans que jamais il ne puisse la fourrer .
De temps en temps Il le laisserait se vider, jamais dans une participante, leurs orifices LUI appartenaient, mais sur elles si il était bien sage . Il était sûr par exemple que pas un homme , fut t’il le plus avili, ne refuserait de balancer la purée contre la raie de Myriam ou sur les petits pieds de Sophie .
Ce qui était certain c’est que tout ce petit monde, (Ondine ne faisant pas partie du lot, si elle paraissait nue c’était devant LUI seulement) pourrait s’observer sous toutes les coutures . Ainsi il était sûr que l’homme , voyant deux belles plantes jusque dans leur intimité , ne débanderait pas .
En guise de cadeau suprême Il lui offrirait même un jour le droit de préparer sa femme à une nuit bouillante .
Enfin IL appella Emma et lui dit de sucer immédiatement l’homme pour faire une bonne vidange des couilles . Ce dernier commencerait sa longue descente aux enfers les noix vidées .
J1 Emma, 17h30
Emma obtempéra et déboutonna le pantalon, elle aurait préféré faire une gaterie à son Maitre mais il avait déjà quitté la pièce en lui disant de bien tout avaler. Elle espérait y arriver comme son Maitre voulait , c’est à dire sans en faire tomber une goutte . La bite dressée jailli du boxer dans lequel il se tordait .
Pas vraiment impressionnée par la longueur elle le trouva assez large malgré tout et décalotta un prépuce un peu long . Dessous le gland était trempé , des gouttes transparents perlaient en permanence et une odeur forte envahi la bouche de l’étudiante quand elle engloutit le membre . Elle était assez douée pour sucer, ses amants ne tenaient jamais longtemps .
Elle était néanmoins envahie de liquide séminale odorant et devait déglutir souvent . L’homme gémissait de plus en plus et quand elle le sentit enfler elle s’apprêta à avaler la semence . Elle fut étonnée qu’il n’y en ait pas plus et trouva cela plutôt agréable , habituellement elle était gênée par la quantité , ici elle n’eut aucun mal à ingérer le foutre gluant .
Comme convenu elle rhabilla l’homme et retourna vers le pupitre pour remonter les volets et éteindre les casques .
Selon les ordres reçus, les participants retourneraient dans leurs chambres et attendraient les ordres .
L’homme se réveilla en premier, se frotta les yeux, se leva en tremblant et chercha Emma du regard . Elle lui fait un sourire et le raccompagna vers le lieu de vie . Il pénétra dans la chambre 1, juste un matelas au sol et un robinet d’eau froide, voilà qui changeait du confort des autres pièces .
Elle lui indiqua de se coucher et de dormir , mais avant, de se mettre nu . Il baissait les yeux, maintenant , comme elle devant le Maitre . Il semblait tétanisé mais il semblât se résigner à se dévêtir, cachant son sexe dans un sursaut de pudeur
" – inutile de te cacher , dit elle, tu vas vivre nu durant tout ton dressage . De plus je viens de te sucer et tu as vidé tes couilles il y a 5 mon au fond de ma gorge, alors ne fais pas le timide . Je suis sur que ta femme aurait apprécié de voir cela, tu as été minable, la pipe la plus courte que j’ai faite, je suis sûr que tu ejacule toujours vite . "
Il ne répondit rien mais rougit quand elle évoqua la fellation
"- enleve tes mains"
Il obtempéra et lui exposa son sexe flasque . Elle s’approcha et le toisa . Soudain elle s’empara de ses couilles et e tira vers elle . Il cria brièvement mais se ravisa quand elle le regarda .
En un tour de main, selon les indications données le matin par SON Maitre elle lui enferma la bite dans une cage qui lui permettait de bander au 3 /4 mais limitait tellement les frottements qu’il ne pouvait jouir , un vrai supplice de tantale .
"- les regles, tu écoutes et tu te tais : Ondine est la femme du Maitre, tu ne la touche pas, tu ne la caresse pas, tu ne lui parle que si le Maitre te le dis . Pour le moment tu as le droit de te taire , de boire et de dormir . Demain tu pourras sortir de la pièce . Voici ce que tu auras le droit de faire : te taire, manger un peu, bander beaucoup et obéir , tu as droit à une question vas y
— …. mais je …. Il balbutiait …. je doit bander comment ?
— tu dois bander tout le temps et si tu le fais bien on te videra . Je m’y entend bien et si le Maitre le permet j’aurais peut être la bonté de te vider tous les jours . N’ai pas peur, tu vas bander , les autres participantes sont ravissantes, je t’ai vu regarder le cul de la brune quand elle est arrivée , tu sais , juste avant que tu mates le mien dans l’escalier !"
Il rougit encore plus fort
"- quant à la blonde il vaudrait mieux qu’elle te plaise, c’est étrange je ne t’ai pas vu la regarder elle est belle pourtant non ? Tu n’aurais pas envie de mater sa petite chatte ? Elle doit avoir un beau petit bouton non ? Elle ne te plait pas ?
— …. je préfère … les fesses plus … rondes , comme ma femme ou la brune , la ajouta t’il lamentablement
— et cela tu aimes ? Elle lui caressa les burnes doucement
— oh mon dieu souffla t’il
— bien , tu rebandes, je te laisse voir l’effet que fait la cage quand tu banderas dur "
Et elle claqua la porte derrière elle . Il ne sortirait pas, inutile de fermer à clef .
Elle retourna dans la Salle chercher la prochaine , Sophie .