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Réparer une injustice – Chapitre 3




Aurélie repensait à cette expérience dans cette cave de cité. Ces deux beaux mâles maghrébins à qui elle s’était donnée. Ce plaisir immense. Cette effusion de sensations. Cet orgasme qu’elle avait eu, prise entre ces deux maîtres arabes. La porte grande ouverte de la cave qui laissait imaginer de nombreuses possibilités

Son plaisir était décuplé de savoir son idiot de mari cocu. Elle était tellement malheureuse avec lui qu’elle découvrait un immense plaisir à se faire posséder par d’autres hommes, comme une esclave, donnant et recevant du plaisir. 

Le faire cocu était très excitant mais, sachant que son mari est un sale raciste, se donner à des maghrébins augmentait son plaisir et prolongeait son fantasme. Son mari détestait tellement les cités que c’était pour Aurélie l’endroit parfait pour laisser libre cours à ses envies, sa façon à elle de réparer une injustice Tout en prenant un immense plaisir.

C’était le jour de l’élection, son mari revenait de la mairie. Tout fier de lui, il annonça :

— Voilà, c’est fait, un votre pour Marine Le Pen, j’espère qu’elle passera et qu’elle jettera tous ces arabes hors de France et qu’elle nettoiera ces cités, moi, je ne peux plus les voir, c’est une invasion !

Aurélie ne répondit pas, elle serra son point dans sa poche. Quel idiot. Quel raciste de merde. Comment avait-elle pu se marier avec ce connard. Pour se venger, elle décida de le tromper une fois de plus avec ses deux amis maghrébins, de se donner toute entière à ses maîtres arabes.

Elle alla immédiatement se cacher dans les toilettes pour les appeler et prévoir leur prochaine rencontre, dans les caves de la cité bien sûr, pour que cela soit encore plus symbolique et humiliant pour son idiot de mari raciste.

Le lendemain, Aurélie se rendit jusqu’à l’immeuble où elle s’était donnée la première fois. Elle n’était plus anxieuse comme la dernière fois, au contraire, elle était très excitée, elle se sentait très cochonne aujourd’hui et voulait s’abandonner entièrement entre les mains de ses étalons arabes.

En cherchant une place sur le parking de l’immeuble, elle vit une bande de jeunes réunis autour d’un scooter, ils l’observaient de loin. Elle passa devant eux et continuer plus loin, elle apercevait enfin Ahmed et Karim qui lui indiquaient une place.

Le temps qu’elle se gare, ils l’avaient rejoint, elle baissa sa vitre et leur fit un grand sourire. Elle avait mis sa jolie robe à fleur en pensant que cela serait plus rapide et pratique à enlever. Elle n’avait pas eu besoin de mettre un soutien-gorge, la robe serrée lui maintenait les seins et les mettait en valeur, elle se pencha en avant pour que Karim et Ahmed profitent bien de son décolleté.

— Tu es vraiment magnifique, lui dit Ahmed

— Merci, répondit-elle avec un grand sourire. Vous ne devinerez pas quelle est la dernière connerie de mon mari Il est tout fier d’avoir voté pour la Le Pen !

— Quel connard ton mec, s’insurgea Karim

— Mais il faut voir le bon côté des choses, dit Aurélie avec un sourire intéressé, il va falloir que je répare cette injustice ! Quel effet cela ferait sur mon mari de savoir que sa gentille petite épouse s’apprête à se donner à deux beaux mâles musulmans ?

Karim et Ahmed se regardèrent en souriant, l’idée de faire cocu cet imbécile de raciste leur plu énormément. Karim s’accouda à la voiture et caressa un sein d’Aurélie au travers de sa robe. Il serra son sein et passa à l’autre, caressant délicatement cette poitrine ferme dont il sentait les tétons à travers le tissu.

La première fois, Aurélie avait été plutôt inquiète et peu rassurée de cette rencontre dans une cité. Cette fois, elle se sentait très confiante, elle ressentait une envie folle au creux de ses reins.

Ahmed s’était également accoudé à la voiture, Aurélie tendit sa main droite jusqu’à la bosse qui était apparue sur le jogging d’Ahmed. Elle commença à caresser son sexe à travers le tissu pendant que Karim pelotait ses seins.

— Que diriez-vous d’aller dans un coin plus discret pour qu’on s’amuse un peu, demanda Aurélie.

Ils acquiescèrent, Aurélie ferma sa voiture et ils se dirigèrent tout les trois vers l’entrée de l’immeuble. Ils passèrent les portes vitrées et entrèrent dans le hall. Aurélie reconnut la porte sur la gauche, c’était celle qui menait vers les caves, elle avait été intimidée la première fois qu’elle y était descendue, l’escalier qui se trouvait juste derrière cette porte n’était pas très rassurant.

À la surprise d’Aurélie, ses deux acolytes ne se dirigèrent pas vers cette porte mais allèrent vers la droite, là où se trouvaient les boîtes aux lettres, dans un recoin de cette cage d’escalier. Karim la poussa doucement contre les boîtes aux lettres en l’embrassant et il prit ses seins dans ses mains et les serra avec force.

Il laissa sa place à Ahmed qui embrassa Aurélie, colla sa main sur ses seins puis la descendit le long de son ventre jusqu’à son sexe. Il embrassa Aurélie dans le cou tout en caressant son sexe à travers la robe. Le sourire d’Aurélie montrait clairement sa satisfaction, elle mit sa main dans le jogging d’Ahmed pour saisir ce gros sexe qui lui avait tellement manqué.

Ahmed caressait le sexe d’Aurélie au travers de sa robe pendant qu’elle le branlait, laissant son sexe à demi sorti de son jogging. Karim, pendant ce temps, massait les seins d’Aurélie, puis, rapidement, mais tout en douceur, il baissa les bretelles de sa robe, les fit glisser le long de ses bras et baissa le haut de sa robe jusqu’au milieu de son ventre, laissant apparaître la poitrine généreuse d’Aurélie.

Elle se mordit les lèvres de plaisir et posa sa main sur la tête de Karim pour la diriger vers ses seins, il s’exécuta et, tout en maintenant fermement cette belle poitrine dans ses mains, lécha et mordilla ses tétons tout dressés.

Voyant qu’Aurélie n’était pas du tout gênée d’être à demi-nue dans cette cage d’escalier, Ahmed leva sa robe et baissa sa petite culotte jusqu’à ses pieds. Elle le laissa faire sans rechigner puis leva les pieds pour qu’il puisse prendre sa petite culotte qu’il jeta dans le coin de la cage d’escalier. Ahmed se releva, l’embrassa, releva sa jupe et mit sa main sur sa chatte pour la doigter.

Très mouillée, Aurélie prenait son pied et savourait ce plaisir avec ses deux amants arabes. Elle sentait les doigts d’Ahmed passer sur sa chatte, la doigter tout en lui mordant le cou. Karim continuait à malaxer avec vigueur ses seins qu’il léchait et mordait avec frénésie.

Il se releva légèrement et mit sa main sur la tête d’Aurélie pour qu’elle glisse le long du mur jusqu’à être accroupie. Sans hésiter, elle baissa le pantalon de Karim, son caleçon, prit son sexe à la base et mit directement son gros gland dans sa bouche comme s’il s’agissait d’une friandise. Elle leva les yeux vers lui comme pour insister sur sa position soumise aux pieds de ses maîtres arabes et commença à le sucer avec plaisir.

Ahmed se masturbait devant Aurélie qui prit son sexe et le remonta afin de laisser pendre ses couilles sur lesquelles elle donna goulument plusieurs coups de langue avant de débuter une fellation tout en ne le quittant pas des yeux. Sa main droite branlait Karim et elle passait d’une queue à l’autre avec délice.

— T’es vraiment chaude aujourd’hui, lui dit Karim. Tu veux qu’on te baise dans la cave comme la dernière fois ?

Aurélie acquiesça d’un mouvement de tête tout en continuant de sucer Ahmed. Elle se leva, baissa un peu sa robe pour cacher sa chatte, la remonta sans passer ses bras dans les bretelles, juste pour cacher ses seins le temps de repasser devant les portes vitrées du hall et d’aller jusqu’à la porte qui menait à l’escalier des caves.

À peine avait-elle passé cette porte que Karim lui baissa à nouveau la partie supérieure de sa robe, elle embrassa ses deux mâles maghrébins tout en caressant leurs sexes. Ils descendirent les marches jusqu’au grand couloir bordé de portes de caves. Aurélie était torse nue, elle s’en foutait complètement, cela l’excitait au contraire. Elle repensa à sa petite culotte restée dans le hall d’entrée, elle repensa à son mari et elle sourit.

Ils arrivèrent devant la porte de la cave qu’elle reconnut tout de suite, la porte était déjà ouverte. Avant d’entrer, Aurélie retira complètement sa robe, la mit en boule et la jeta au loin dans le couloir. La cave avait été vidée de tous les encombrants qui s’y trouvait, seul le matelas était resté au milieu de la pièce, elle s’y allongea et leur dit :

— Je suis votre chienne blanche, baisez-moi dans tous les sens tout de suite !

Ils se jetèrent sur elle. Karim la sodomisa directement pendant qu’Ahmed dirigea sa tête pour qu’elle le suce. Ils changèrent de position plusieurs fois, la pénétrant par tous ses orifices et elle en redemandait. Elle leur ordonna de la prendre en sandwich comme la dernière fois car elle avait vraiment adoré.

C’est à ce moment là qu’Aurélie se rendit compte que quelqu’un les observait par la porte restée ouverte. Puis elle vit une deuxième puis une troisième personne apparaitre dans l’encadrement de la porte. Le troisième tenait sa robe dans ses mains

D’abord surprise et apeurée, Aurélie imagina la vue que ces voyeurs avaient : elle, entièrement nue, prise par ces deux arabes sur un matelas dans une cave, Karim allongé sous elle en train de la sodomiser et Ahmed couché sur elle en train de la sauter. Cette image l’excita, c’était ce qu’elle voulait.

— Vous venez participer, leur demanda Aurélie avec un large sourire.

Elle les reconnut alors, il s’agissait des jeunes près du scooter devant l’immeuble qu’elle avait vus en arrivant. Ils entrèrent et Aurélie s’aperçut qu’il y en avait en fait deux de plus ! Cela faisait cinq beaux maghrébins en plus pour s’occuper d’elle ! !

Ahmed se retira de sa chatte et laissa la place aux nouveaux venus.

— Allez-y, défoncez cette salope blanche, dit Ahmed comme invitation, elle est là pour ça.

— Mon mari vient de voter pour Le Pen car il n’aime pas les arabes, reprit Aurélie. Moi, c’est l’inverse, j’ai envie de me donner à mes maîtres arabes, faites-moi jouir !

Le temps qu’elle termine sa phrase, une queue pénétrait déjà sa chatte. Deux autres lascars s’étaient agenouillés à côté de sa tête, elle prit leurs queues et les suça à tour de rôle. Ce fut un enchainement, une véritable tournante, ces sept loustics se relayaient dans sa bouche, dans sa chatte et dans ses fesses.

Aurélie, trempée de sueur, prenait un pied phénoménal, quand sa bouche n’était pas prise par une belle queue elle râlait de bonheur et leur criait de continuer. Les sept lascars s’étaient mis à poil et profitaient pleinement de cette petite blanche toute offerte à eux.

Pendant un long moment, Aurélie fut allongée sur un de ces maghrébins dont elle ne connaissait pas le nom, Rachid semblait-il, mais dont elle sentait pleinement la verge la pénétrer. Elle était allongée sur le ventre de celui-ci qui mordait à pleine bouche l’un de ses seins pendant que l’autre sein était caressé par un autre. Les mains appuyées contre le matelas, elle relevait sa tête pour sucer la queue qui se trouvait en face d’elle.

Les sexes se suivaient et elle les suçait sans même savoir à qui ils appartenaient. Dans cette position, le dos en l’air, elle présentait à ces inconnus ses magnifiques fesses qu’elle leur offrait sans même les voir. Elle sentait ces mâles la sodomiser à tour de rôle.

C’est alors que commença le bouquet final, ce pourquoi elle était venue dans cette cave : elle voulait recevoir la sainte semence de ces musulmans, elle désirait plus que tout qu’ils l’honorent de leur sperme. Le premier éjacula dans sa bouche, elle sentit le jus chaud au fond de sa gorge et sur sa langue.

Ce fut alors un véritable feu d’artifice, un deuxième lascar se jeta sur sa bouche pour y lâcher son sperme, un troisième n’eut pas le temps d’atteindre sa bouche déjà occupée et éjacula un gros jet de foutre sur le visage d’Aurélie. Celui qui la sodomisait retira sa queue pour jouir sur ses fesses et sur l’anus rougi par toutes les pénétrations subies à la chaîne.

L’arabe sur lequel elle était couchée jouit dans sa chatte. Il ne restait plus que Karim et Ahmed. Karim, le mieux monté, se mit derrière elle et l’encula en la tenant fermement par les hanches, il lâcha plusieurs grosses saccades de son sperme bien au fond du cul d’Aurélie comme pour marquer son territoire.

Aurélie se retourna pour recevoir le jus d’Ahmed qu’elle était en train de sucer avec plaisir. Ce dernier cria quelques mots en arabe qu’Aurélie ne comprit pas puis il lâcha son foutre en direction de la bouche grande ouverte, prête à recevoir ce nectar tant espéré, finalisant ainsi son baptême du foutre.

Exténuée mais ravie, Aurélie sourit en pensant à son imbécile de mari. Son corps était en sueur, dégoulinant de transpiration, la sienne et celle de ces maghrébins qui venaient de la baiser sauvagement. Son visage était couvert d’éjaculations, le sperme coulait le long de son cou jusqu’à ses seins. La raie de ses fesses était pleine de sperme, un filet de semence coulait de son anus.

L’ensemble de son corps était rougi par tous ces contacts, elle avait été léchée et mordue sur tout le corps, serrée et pelotée par tellement de mains, elle avait reçu des claques sur les fesses et les seins, ils l’avaient tous serrée très fort pendant qu’ils la pénétraient sauvagement.

Elle était ravie.

À suivre.

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