Fin de sage 3 Fabrissa

Quelques jours plus tard H. me retrouve.

Le souvenir daprès stage a laissé des traces. Moi, par exemple, je ne retrouve le calme quaprès deux ou trois masturbations profondes : je me sers souvent du gode. Cest surtout le soir que jai le feu au cul. Je suis plus calme après mêtre baisée. Jécarte à peine les cuisses, je passe un seul doigt sur le clitoris. Je suis déjà mouillée. Je glisse facilement sur la chatte. Doucement, presque malgré moi, les cuisses sécartent. Obligée par le désir, je passe deux doigts sur labricot. Ils coulissent bien sur moi. Je prends le gode, je le passe sur le petit bijou. Doucement je lenfonce dans le vagin. Je ly laisse immobile un moment avant dentamer les longs va-et-vient. Je rêve encore à ces instants de baise extraordinaire avec H. Jai besoin de lui, il baise si bien.

H. est marié, ce que je ne savais pas. Je suis un peu jalouse de sa femme qui doit se payer des baises fabuleuses avec lui. Dans le bistro où je prends le café, il déboule un jour. Cest vite fait, un baiser rapide sur les lèvres. Seul problème ; il nest pas seul : une jolie femme, L. est à ses côtés. Il nous présente. Nous nous faisons une bise sur les joues, il insiste pour que notre baiser soit plus profond. Cest presque malgré nous que nous nous embrassons sur les lèvres.

Si nous avions su, nous naurions pas tardé. Nous nous retrouvons chez lui, à trois. L. nous sert un apéritif léger. Nos mains se découvrent. La machine infernale est lancée. H. ne fait rien pour nous séparer, au contraire. Il semble prendre un plaisir malsain à nous pousser lune vers lautre. Je trouve un certain agrément à me laisser embrasser, cette fois profondément sur la bouche. Je me souviens que jai donné ma langue sans scrupule. L. a pris ma nuque, ma approchée encore delle. Je sentais sa chaleur corporelle. Et lui, H, nous regardait en se touchant déjà la queue à travers le pantalon.

Tant pis pour la suite, je me suis offerte à cette femme que je ne connaissais pas encore. Jai comme des trous de mémoire, en tout cas, je sais que nous nous sommes retrouvées presque nues sur le lit. Mes seins étaient prisonniers de ses mains, ma bouche fermée par la sienne, nos langues chatouillées par lautre. Mes jambes entouraient les siennes. Bref, nous étions presque lune à lautre.

H. était près de notre couple, cette fois la bite hors de la braguette. Il se branlait devant nous. Sa recherche de plaisir solitaire nous donnait envie de prendre aussi un plaisir que ni lune ni lautre ne connaissions. Cest L qui, la première, a posé sa main sur ma chatte. Je la sentais sur moi, javais envie quelle aille plus loin, ce quelle fait facilement. L. franchit le peu dobstacles en passant sous la jupe. Jaimais aussitôt sa main caressante. L. a su tout de suite comment faire. Je sais que jétais trempée de désir. Elle a su venir combler le vide de mon bas-ventre. Sa main est venue pile là où jen avais besoin. Elle a écarté les lèvres den bas. Je me tendais vers elle. Quand un doigt, je ne sais lequel, a caressé le bouton, jai gémi. Elle sest allongée près de moi. Je pouvais moi aussi la toucher.

Jétais en pleine masturbation rendue. Je sentais sa chatte chaude sous mes doigts. Je la branlais comme pour moi. Elle me doigtait, entrait des doigts dans le vagin. Je rendais moi aussi la caresse. Nous nous sommes mises nues pour être à laise. Près de nous H se masturbait. Nous pouvions voir sa queue dans sa main. Il nous excitait encore plus.

Nous nous sommes tournées : je voyais correctement toute sa chatte. Jimaginais la mienne aussi sous ses yeux. Au début, nous nous sommes caressées mutuellement. Puis, L. a posé ses lèvres sur moi, sur le bas-ventre. Je la voulais sur moi, sur le con. Je crois lavoir crié. Elle ma fait un bien fou en me léchant. Cétait plus doux quavec un homme, plus doux et plus excitant. Sa langue savait exactement où aller et comment faire.

Je me suis attachée à lui rendre le plaisir donné. Elle avait bon goût, bonne odeur. Ma langue prenait plaisir à la lécher tout le long de la fente. Jallais loin au-delà du sexe, à la rencontre de lanus. Je sentais les ridules de son cul. Jhésitais un moment avant daller plus loin : cest elle la première qui ma mis sa langue comme une petite bite. Elle était sur moi, je sentais son corps contre le mien. Se sentais quil salourdissait. H était sur elle. Je voyais la queue tout près de moi, presque sur le front. Il venait remplacer ma langue. Je voyais comment faisait une bite en venant enculer. Sans le vouloir, H. ma fait jouir sur la langue de sa femme. Elle aussi jouissait sur ma bouche. Cétait à la fois merveilleux et dégoûtant. Quand il a sorti son engin je ne pouvais mempêcher de le prendre dans la bouche, le lécher longuement. Tans pis pour le con de L. Javais la queue de son mari dans la bouche. Il jouissait sur ma langue : son sperme était aromatique, presque doux, malgré sa salinité.

Nous devons nous retrouver seules, avec L. Chez moi en plus. Je pourrais la baiser avec le gode dans le cul.

Quelques jours plus tard H. me retrouve.

Le souvenir daprès stage a laissé des traces. Moi, par exemple, je ne retrouve le calme quaprès deux ou trois masturbations profondes : je me sers souvent du gode. Cest surtout le soir que jai le feu au cul. Je suis plus calme après mêtre baisée. Jécarte à peine les cuisses, je passe un seul doigt sur le clitoris. Je suis déjà mouillée. Je glisse facilement sur la chatte. Doucement, presque malgré moi, les cuisses sécartent. Obligée par le désir, je passe deux doigts sur labricot. Ils coulissent bien sur moi. Je prends le gode, je le passe sur le petit bijou. Doucement, je lenfonce dans le vagin. Je ly laisse immobile un moment avant dentamer les longs va-et-vient. Je rêve encore à ces instants de baise extraordinaire avec H. Jai besoin de lui, il baise si bien.

H. est marié, ce que je ne savais pas. Je suis un peu jalouse de sa femme qui doit se payer des baises fabuleuses avec lui. Dans le bistro où je prends le café, il déboule un jour. Cest vite fait un baiser rapide sur les lèvres. Seul problème ; il nest pas seul : une jolie femme, L . est à ses cotés. Il nous présente. Nous nous faisons une bise sur les joues, .il insiste pour que notre baiser soit plus profond. Cest presque malgré nous que nous nous embrassons sur les lèvres.

Si nous avions su, nous naurions pas tardé. Nous nous retrouvons chez lui, à trois. L. nous sert un apéritif léger. Nos mains se découvrent. La machine infernale est lancée. H. ne fait rien pour nous séparer, au contraire. Il semble prendre un plaisir malsain à nous pousser lune, vers lautre. Je trouve un certain agrément à me laisser embrasser, cette fois profondément sur la bouche. Je me souviens que jai donné ma langue sans scrupule. L. a prit ma nuque, ma approchée encore delle. Je sentais sa chaleur corporelle. Et lui, H, nous regardait en se touchant déjà la queue à travers le pantalon.

Tant pis pour la suite, je me suis offerte à cette femme que je ne connaissais pas encore. Jai comme des trous de mémoire, en tout cas, je sais que nous nous sommes retrouvées presque nues sur le lit. Mes seins étaient prisonniers de ses mains, ma bouche fermée par la sienne, nos langues chatouillées par lautre. Mes jambes entouraient les siennes. Bref, nous étions presque lune à lautre.

H. était près de notre couple, cette fois la bite hors de la braguette. Il se branlait devant nous. Sa recherche de plaisir solitaire nous donnait envie de prendre aussi un plaisir que ni lune ni lautre ne connaissions. Cest L qui, la première, a posé sa main sur ma chatte. Je la sentais sur moi, javais envie quelle aille plus loin, ce quelle fait facilement. L. franchit le peu dobstacles en passant sous la jupe. Jaimais aussitôt sa main caressante. L. a su de suite comment faire. Je sais que jétais trempée de désir. Elle a su venir combler le vide de mon bas-ventre. Sa main est venue pile là où jen avais besoin. Elle a écarté les lèvres den bas. Je me tendais vers elle. Quand un doigt, je ne sais lequel, a caressé le bouton, jai gémi. Elle sest allongée près de moi. Je pouvais moi aussi la toucher.

Jétais en pleine masturbation rendue. Je sentais sa chatte chaude sous mes doigts. Je la branlais comme pour moi. Elle me doigtait, entrait des doigts dans le vagin. Je rendais moi aussi la caresse. Nous nous sommes mises nues pour être à laise. Près de nous, H se masturbait. Nous pouvions voir sa queue dans sa main. Il nous excitait encore plus.

Nous nous sommes tournées : je voyais correctement toute sa chatte. Jimaginais la mienne aussi sous ses yeux. Au début, nous nous sommes caressées mutuellement. Puis, L. a posé ses lèvres sur moi, sur le bas-ventre. Je la voulais sur moi, sur le con. Je crois lavoir crié. Elle ma fait un bien fou en me léchant. Cétait plus doux quavec un homme, plus doux et plus excitant. Sa langue savait exactement où aller et comment faire.

Je me suis attachée à lui rendre le plaisir donné. Elle avait bon goût, bonne odeur. Ma langue prenait plaisir à la lécher tout le long de la fente. Jallais loin au-delà du sexe, à la rencontre de lanus. Je sentais les ridules de son cul. Jhésitais un moment avant daller plus loin : cest elle la première qui ma mis sa langue comme une petite bite. Elle était sur moi, je sentais son corps contre le mien. Je sentais quil salourdissait. H était sur elle. Je voyais la queue tout près de moi, presque sur le front. Il venait remplacer ma langue. Je voyais comment faisait une bite en venant enculer. Sans le vouloir, H. ma fait jouir sur la langue de sa femme. Elle aussi jouissait sur ma bouche. Cétait à la fois merveilleux et dégoûtant. Quand il a sorti son engin, je ne pouvais mempêcher de le prendre dans la bouche, le lécher longuement. Tans pis pour le con de L. Javais la queue de son mari dans la bouche. Il jouissait sur ma langue : son sperme était aromatique, presque doux, malgré sa salinité.

Nous devons nous retrouver seules, avec L. Chez moi en plus. Je pourrais la baiser avec le gode dans le cul.

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