Maintenant la partie imaginée. Il est vrai que de le rappeler, c’est moins alléchant mais c’est plus sincère et je peux aller plus dans l’imagination.

Donc je viens de quitter la scène où Elsa était en présence de son vieil amant. Ne pouvant pas continuer ma ballade dans le même sens afin de ne pas défiler devant la voiture dans laquelle ils sont tous les deux, je fais demi-tour ce qui rallonge le chemin du retour.

Lorsque j’arrive chez moi, ma belle-fille attend devant la porte d’entrée.

— Désolé ma chérie, je ne pensais pas que tu serais déjà de retour

— Pas grave Yann, je viens d’arriver

Elle arbore un sourire de femme heureuse qui vient de vivre de formidables moments. À cet instant, je la trouve encore plus belle que d’habitude. Elle est tout simplement sublime. Nous entrons. Elsa va directement se servir un verre d’eau. Ça donne soif une petite pipe. Moi je prends un magazine que je feuillette sans le regarder. Puis Elsa vient vers moi, elle me demande de lui descendre le zip de sa jolie robe légèrement tachée et froissée. Elle va aller prendre une douche. Il faut si chaud, la pauvre petite elle a dû suer en se promenant avec sa copine. Je ris intérieurement. Mais …

— Vache, tu t’es allongée dans l’herbe, tu as des marques plein le dos

— Mais non

Elle se précipite dans ma chambre pour tenter de voir les dégâts sur son dos dans le miroir du dressing.

— Tu sais ma chérie, il y a certaines herbes qui sont urticantes, tu devrais demander à ta copine de prévoir une couverture lorsque vous allez vous détendre dans un pré

Je lui dis ça tout en la regardant dans le reflet du miroir avec un sourire narquois. Je lui propose de lui enduire le dos avec de la crème pour faire disparaître ces vilaines traces.

Dès qu’elle me donne son accord, je me rue vers l’armoire à pharmacie pour ramener la crème tout aussi rapidement. Je commence à étaler la crème et :

— Elsa … je veux franc avec toi … … Tout à lheure … je t’ai vu embrasser un mec dans une voiture … … un homme d’un âge avancé. Surtout ne crois pas que je veuille te juger. Je te dis ça juste pour ne pas que tu te compliques les choses en inventant des histoires à deux balles.

Ma belle-fille ne répond pas.

Je lui descends totalement le zip de sa robe qui ne tient plus que par les fines bretelles qui mettent en valeur ses délicates épaules. Son soutien-gorge rose bonbon est en accord parfait avec le haut de son string, dont je vois la dentelle en forme de rose déposée dans la naissance de ses fesses. Mais qu’est-ce qu’elle est divine cette fille. De partout elle est belle.

Je n’ai pas besoin de plus pour avoir une érection, non pas une semi-érection mais ma verge est hyper tendue, au bord de l’éruption.

Je ne lui demande même pas l’autorisation pour dégrafer son soutien-gorge. En tremblotant et maladroitement, je réussis après plusieurs secondes qui me semblent s’éterniser.

Ça y est. Ma balourdise l’a aidée à reprendre le dessus. Son affolement n’aura pas duré. C’est à son tour maintenant de me jauger avec son joli sourire pervers au coin des lèvres.

— Vas-y joli papa, me dit-elle en riant, continue, étale ta crème

Je m’exécute. Je rassemble toutes mes forces pour ne pas trembler. Elle a la peau douce et chaude, soyeuse, il flotte une légère odeur de sexe, de testostérone, résultant de la partie de jambe en l’air (c’est moi qui le suppose) avec son galant mature. Je ne sais pas comment je parviens à ne pas lui sauter dessus.

Mes mains se font câlines, l’extrémité de mes doigts se fait exploratrice. Je vais de la base de son cou à la naissance de la séparation de son si admirable petit cul, puis de la moitié du dos jusqu’au début de son anus. Elle se laisse faire tout en m’observant dans le reflet du miroir. Elle a un regard de gagnante. À ce moment je comprends que c’est vraiment ce qu’elle cherchait depuis longtemps. Il m’est impossible de faire marche arrière. D’ailleurs je ne le souhaite pas.

Je soulève ses cheveux d’une main pour l’embrasser dans le cou. De l’autre je lui caresse une hanche, puis la cuisse. Elle de son côté a passé une main dans son dos pour me pétrir la bite.

— Hummm, tu as envie de baiser ta belle-fille chérie, joli papa ?

Elle a raison cette salope, elle est tout de même la fille de ma femme. Je ne devrais pas. Je n’y pense même pas. Ce n’est plus mon cerveau qui commande. Mon cerveau il est tombé dans ma queue.

En 3 secondes je suis nu. Ma verge me fait mal. J’ôte les fines bretelles de sa robe qui glisse le long de ses longues jambes. Je fais de même avec son string. Je lève ses pieds un à un pour sortir son sous-vêtement soyeux. Elle ne conserve que ses escarpins bleu turquoise. J’ai peur d’éjaculer rien qu’au contact de sa peau. Je la plaque contre la glace, je me mets à genoux, sans contrainte je lui écarte les jambes. De son arrière-train s’échappe une odeur musquée. Je glisse ma langue sur sa raie, de bas en haut. Son fondement a été garni par son bien-aimé. Cette fragrance de sperme que j’aime tant envahit mes narines. À cet instant je sais que tout comme moi, elle secrète un lubrifiant lorsqu’elle se fait pilonner le conduit anal car j’en devine la subtilité olfactive et le raffinement. Je lèche, aspire, absorbe toute cette excellente substance que contient son arrière-train. J’entends Elsa qui gémit.

Après lui avoir infligé ce traitement pendant une dizaine de minutes, je la mène sur le lit pour la coucher sur le dos.

Je reste debout devant elle pendant quelques secondes pour apprécier à nouveau son corps de déesse. Elle me sourit.

Je me place entre ses cuisses pour déguster son minou. Lui aussi a été approvisionné par son amoureux. Je peux clairement voir le foutre sur sa chatte baveuse et imberbe. Là encore je me gave. Je plonge mes doigts dans son amoureux ruisseau, je les tète, puis je retourne à la source pour cette fois en faire le cadeau à Elsa. Elle les nettoie avec gourmandise. Je fouille son antre avec ma langue, le plus loin possible, je passe des petites aux grandes lèvres et enfin, enfin, je commence à déguster son bonbon. Aucune difficulté à la trouver, il est gros comme une amande. Dès que ma langue entre à son contact, ma belle-fille tressaute, une décharge électrique vient de la secouer, j’en ai perdu le contact avec son berlingot. Je reviens à la charge. J’entends un « sssssss ». La petite apprécie. Lorsque je sens son corps se soulever pour exploser, je quitte son bouton pour fouiller son minou avec ma langue et en récolter le nectar. Je le fais deux fois mais ensuite elle me maintient la tête pour que je ne puisse plus recommencer.

— Fais-moi jouir fumier !!!

Et elle jouit. Un long, très long feulement. Des secousses qui vont de ses pieds toujours chaussés d’escarpins jusqu’à sa poitrine menue. Ses tétons sont en érection. Tout comme sa maman elle arbore un large sourire en prenant son pied. Tout comme sa maman c’est merveilleux de la voir savourer son extase.

Elle conserve ma tête coincée entre ses cuisses puis me libère après plusieurs minutes lorsque je veux recommencer. Cette fille fine m’attire vers son visage, plutôt me propulse vers son visage avec une force insoupçonnée. Elle me pourlèche les joues, les lèvres, le menton, tous les recoins où pourrait se loger de sa cyprine. Je me laisse faire en commençant à guider mon missile vers son coquillage. Inutile de préciser que je rentre facilement dans sa motte. Elle est grande ouverte et bien huilée. Je fais de lents mouvements sur toute la longueur de mon chibre. Elsa me lèche toujours mais cette fois en me mordillant.

— Quand tu viendras, sors ta bite et arrose-moi la bouche

— Ça ne sera pas long ma chérie, je suis trop excité

Effectivement ce n’est vraiment pas long. Je sors précipitamment de sa chapelle pour qu’elle bouffe mon foutre. Le 1er jet, puissant, copieux, s’étale en diagonale de sa lèvre supérieure jusqu’à la base de sa chevelure. Le 2e zèbre son visage du menton au sourcil gauche. Au 3e je vise mieux sa bouche grande ouverte et je recouvre parfaitement sa langue et ses amygdales. Puis je place ma bite dans sa bouche pour me finir.

Dès que j’ai fini, elle me retourne, se place au-dessus de moi et elle expulse de longs crachats de jute dans ma bouche que j’ai ouverte en grand. À mon tour je me place au-dessus de ma catin, je fais la même chose en lui crachant le sperme dans la bouche. Je ramène toute la semence qui couvre encore son visage heureux pour ensuite l’embrasser à pleine bouche jusqu’à ce nous ayons ingurgité tout le reliquat de nos désirs réciproques.

Nous restons un long, très long moment allongés côte à côte.

— Bon, ce n’est pas que je veux te bousculer mais maman sera de retour dans une heure

— Tu as raison Elsa, je vais ouvrir la fenêtre car ça sent vraiment le sexe dans la chambre, j’adore ça mais je ne sais pas si Claudie ne va pas se poser de questions

— Allez zou ! À la douche maintenant

— Tu sais Yann, elle a raison maman

— C’est à dire

— Tu es le meilleur bouffeur de chatte du monde

Et Elsa éclate de rire.

— Il a quel âge ton amant ?

— 66 ans

— Ah oui quand même

— Tu le connais depuis longtemps

— Très, très longtemps. Je te raconterai tout ça demain, on n’a plus le temps

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