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Une nuit à l'hôtel – Chapitre 3




Retour dans le lit. Encore une fois, je m’imbrique dans son dos. Je la serre tout contre moi. Mon sexe est tout mou. Je suis fatigué. Moins de cinq minutes et je dors déjà.

Je me réveille. Je suis sur le dos. La lumière est restée allumée. Ma coquine a glissé en bas du lit, sa tête à hauteur de mon sexe. Elle embrasse mes cuisses, mon pubis, ma queue. Je regarde l’heure. Il est trois heures dix du matin.

« Excuse-moi.» Elle soulève sa tête et me regarde. « Je t’ai peut être réveillé. »

Je suis encore dans le coaltar. Quel appétit me dis-je. Je ne vais jamais pouvoir la satisfaire encore. Mais lenvie est déjà là.

« Ne vous inquiétez pas. Il y a de pires façons d’être réveillé. Je me demande même dailleurs sil y en a des meilleures. Pas certain. »

Elle me sourit, ouvre sa bouche, gobe mon sexe mollasson puis se met à l’aspirer tout en gardant ses yeux fixés sur mon visage. J’apprécie particulièrement ce regard coquin. Après avoir fait l’amour à une femme désirable et sensuelle, je me retrouve à présent dans le lit d’une cochonne lubrique. Le sexe apporte une telle diversité de plaisirs

Mon excitation revient doucement. Sa langue experte s’enroule autour de ma queue, puis va se promener sur mes bourses. Une après l’autre, elle avale mes couilles, les soulève, les lèche, puis revient sur mon membre qui commence à gonfler. Après deux éjaculations, le retour de cette raideur me fait un peu mal. Il est moins sensible au plaisir d’une fellation, même aussi particulièrement bien exécutée.

Je ressens par contre plus délice lorsqu’elle s’occupe de mes boules. Ma main posée sur son crâne, je la pousse vers le bas, histoire de la mener là où elle me fait le plus de bien. Elle est très obéissante et semble comprendre que pour l’instant, elle doit délaisser un peu mon sexe. Cela ne semble d’ailleurs pas la chagriner beaucoup. Elle se délecte de mes bourses. Elle les gâte. J’adore.

Elle les soulève pour en lécher la base. Je soulève mes fesses, me cambre. Sa langue glisse jusqu’à mon anus puis revient sur mes boules. Elle recommence encore et encore. Sensations délicieuses. J’ai envie qu’elle me lèche le cul.

Je me retourne et me mets dans une position qui n’offre aucune équivoque. La tête plongée sur l’oreiller, les fesses bien en l’air. A part de lui dire « Lèche-moi le cul salope ! » je ne pense pas qu’il n’y ait de meilleur moyen de lui faire comprendre ce que je veux.

Comme c’est bon de sentir sa langue tourner autour de ma petite rondelle. Elle m’a écarté les fesses et y a plongé son visage. Elle s’amuse à me lécher de haut en bas, de bas en haut, gobant mes boules, parcourant ma raie, enfonçant le bout de sa langue dans mon petit trou lisse. Et elle me branle de sa main droite. Je suis de nouveau en érection et ne ressens plus aucune douleur. Je suis de nouveau au paradis.

Et mon imagination n’est pas en reste. Je rêve que ma cochonne ait entre ses jambes une belle queue toute dure. Oh oui. Dans ce moment d’excitation, je voudrais sentir un gros gland se poser sur ma rondelle. Je voudrais qu’il s’insère doucement jusqu’à ouvrir le passage. Pour finalement laisser la place à un pieu bien raide qui me régalerait le cul.

Cette idée me donne des envies. Et puisque ma coquine n’a pas l’outil qu’il me faut, on pourrait inverser les rôles. J’ai trop envie de sexe anal. Et comme elle me l’a déjà proposé

« Je crois que je vais finalement vous obéir chère Madame. »

Tout en lui parlant, je me dégage de son emprise et m’empare de son corps sans ménagement. Je lui fais prendre la position qui était la mienne jusque-là.

« Oui, je vais me permettre de vous enculer.»

Me voilà à mon tour, la bouche entre ses fesses, à lui dévorer l’anus. Ma salive lubrifie sa rondelle. J’insère alternativement chacun de mes pouces jusqu’à la première phalange, histoire de la dilater. Quelques crachats supplémentaires et ils rentrent tous les deux ensemble. Je les écarte progressivement. Son trou s’assouplit. Bientôt je peux y enfoncer ma langue et lui lécher l’intérieur de son rectum. Elle est prête.

Je me mets debout, les jambes écartées. Je surplombe ses fesses généreuses. Je lui écarte la gauche avec une main pendant que mon autre main conduit fermement ma queue raide vers son orifice refermé. Lentement, je plie les genoux et descends. Mon gland enduit de salive bien positionné à l’entrée, je force légèrement. Je fais très attention à ne pas lui faire de mal. Seul le bout de mon sexe dépasse de ma main. Je ne dois pas le planter en entier. Pas tout de suite…

Je pousse, me retire, pousse à nouveau. Son petit trou commence à se dilater. Ca y est mon gland est entré. Je le bouge dans tous les sens. Je tourne, je vire, l’enlève, le remet. Il s’enfonce tout seul à présent. Au fur et à mesure, je recule ma main pour gagner quelques centimètres. Les doigts de ma coquine se sont enroulés dans les draps. Je vois son visage de profil. Elle mord l’oreiller. Elle aime ce que je lui fais.

Je suis enfoncé jusqu’à la garde. Quelle vision merveilleuse que ma queue disparaissant totalement dans ce trou interdit. Je me mets à aller et venir. Son cul est souple mais si serré. Les sensations sont extraordinaires. Je m’y plonge de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle est loin cette femme que j’ai aimée tout à l’heure. Elle n’est plus qu’un objet de plaisir sexuel, de délire, de défoulement. Je la baise. Je l’encule. Et elle aime ça

Après un long moment de frénésie, je fatigue. Je me retire. Elle se détend. Je la bascule sur le dos sans ménagement. Elle me regarde. Son visage me montre un mélange de plaisir et de soulagement.

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