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Real Humans – Chapitre 3




Eve essayait de se trouver un boulot mais ce ne fut pas facile. Beaucoup demployeur lui demandait des références quelle ne pouvait fournir où des renseignements sur elle quelle ne pouvait donner. Visant les emplois sans qualification, elle tenta sa chance en tant que serveuse. Ça allait lui permettre de se fondre dans la masse, de voir si elle pouvait véritablement passer pour une humaine et pourquoi pas faire la rencontre dun homme. Après de nombreux échecs, elle se présenta dans un établissement du style hôtel restaurant avec une tendance routier. Voyant quils cherchaient du monde, elle tenta sa chance. Paressant jeune et belle, elle sétait inventé une histoire de jeune orpheline qui sétait amouraché dun type qui la maltraitait et la séquestrait. Elle lavait fui en emportant ce quelle pouvait et tentait de se reconstruire comme elle le pouvait ailleurs . Ce qui nétait pas si loin de la vérité vu sa rencontre avec Gus et que ceux qui lavait fabriqué sétaient autodétruits.

Elle passa alors une entrevue avec les propriétaires de létablissement, un couple dune cinquantaine dannée. Lui était un homme à la silhouette ronde, comme les verres de ses petites lunettes et son crâne chauve et lisse style boule à zéro. Il avait une allure joviale et débonnaire et portait au quotidien un pantalon en toile noire, un gilet de costume ouvert et une chemisette blanche à manche courte. Madame, à peu près du même âge, dune silhouette un peu ronde également, elle avait le physique de la mère de famille protectrice, un peu « Mama » italienne mais sans les travers caricaturaux. Chargée de tout ce qui était entretien et ménage, elle portait une robe à fleurs sous un tablier blanc. La patronne était très émue dentendre son histoire et exhortait son mari à embaucher cette fille qui lui faisait pitié. Ils cherchaient du monde depuis un moment, comme presque personne ne se présentait et ne pouvant investir dans des hubbots car trop cher, ils lont accepté à lessai.

Etant une machine, elle ne ressentait pas la fatigue. Ce qui fait quelle réussissait à abattre une quantité de travail impressionnante, pour le plus grand plaisir de ses patrons. Le midi et le soir elle jouait les serveuses au restaurant et durant la journée elle soccupait des chambres avec Madame. Quand venait le soir après les repas, elle aidait au bar avec le patron. Grace à sa mémoire informatique, elle noubliait rien des commandes passées par les clients ce qui impressionnait son monde. Le patron, même sil était resté sceptique sur son histoire larmoyante, était finalement ravi de sa nouvelle recrue. Dautant que physiquement elle était bien foutue et faisait tourner bien des têtes dont la sienne. Elle accepta de loger dans une petite pièce aménagée en salle de pause pour le personnel avec un clic-clac et un vieux poste de télé. Ne roulant pas sur lor, ce couple navait que ce compromis à lui proposer au début. Compte tenu du travail quelle arrivait à abattre quotidiennement, elle simulait la fatigue le soir venu, même si en réalité il nen était rien. Elle ne voulait pas que quiconque connaisse sa vraie nature. Elle sétait révélée à Gus et ce fut son erreur. En paressant humaine dès le départ, elle allait éviter les abus.

Logeant dans sa petite pièce dans larrière cuisine du restau, elle demandait parfois au cuisinier de lui garder quelques restes pour elle. Le patron ne voulant prendre aucun risque au niveau de lhygiène, le cuisinier le lui refusa officiellement car en échange dune petite pipe dans la réserve, Ce gros balourd ne résistait pas à lui préparer un petit quelque chose. Elle avait bien compris quelle pouvait utiliser le sexe pour obtenir ce quelle voulait. De même que pour sa chambre au confort sommaire, elle avait fini par négocier un accord avec le patron. En fonction du taux doccupation des chambres, elle allait pouvoir en occuper une, promettant parfois au patron quil puisse venir la voir de temps en temps pour un câlin discret.

Très honnêtement, du confort en plus elle nen avait pas besoin. De même pour de la bouffe supplémentaire. Pour enclencher son système de recharge pour sa batterie, elle navait besoin que de deux heures. Et pour cela, être assise sur une chaise lui suffisait. Pour la bouffe cétait pareil. Nétant pas sujet aux intoxications alimentaires, elle pouvait se servir directement dans la poubelle durant la nuit. Tout ce dont elle avait besoin cétait du combustible et un apport de liquide : huile végétale pour la lubrification de son squelette en polymère cétait lidéale. De même, il lui fallait de leau pour sa génératrice. Une fois sa batterie chargée, leau servait à faire réchauffer sa peau synthétique, à travers tout un réseau de petits vaisseaux capillaires, avec de leau chaude lui donnant ainsi limpression dêtre à 37°C. Si elle avait agi de la sorte cétait quelle avait trouvé préférable de passer pour une femme aimant le sexe et sen servant pour obtenir certains avantages. Ainsi personne ne devinerait quun Hubbot puisse prendre ce genre dinitiative pour satisfaire des besoins tout ce quil y a de plus humains.

Ça lui a aussi permis de mieux côtoyer dautres hommes. Sa seule expérience réelle dans le domaine cétait Gus. Avec son patron, elle comprenait que cet homme ne cherchait quun peu daventure et de fantaisie pour agrémenter sa vie sexuelle. Pour le cuistot, cétait différent. Il était timide et seul et elle était contente de lui donner un peu de plaisir de temps en temps. Elle sen doutait mais là elle en avait vraiment la preuve : tous les hommes sont différents. Il y avait autant de chance de tomber sur un type bien que sur une ordure. Se trouver quelquun allait se révéler plus difficile que prévu.

Pendant quEve commençait son apprentissage de la vie en tant que serveuse et maîtresse occasionnelle du cuistot et régulière de son patron, Georges avait définitivement tiré un trait sur son histoire avec Maria. Il était redevenu célibataire. Avec ses collègues cétait soirée beuverie chez lun puis chez les autres. Nayant plus à se soucier de ses horaires, il vivait comme un ado dans son nouvel appartement. Parfois il sortait, se levait une petite minette pour un coup dun soir . Rares était ses copines qui restaient avec lui plus dune nuit compte tenu du désordre qui régnait chez lui. Un soir, nayant pas de sortie de prévu, il se rendit chez un de ses anciens collègues de lépoque où il bossait en tant quouvrier : Maurice, son ancien chef de service. Cet homme, veuf depuis peu, était parti à la retraite à peu près au même moment que son licenciement. Pour son pot de départ et en récompense de ses quarante ans de service, La boite lui avait offert un Hubbot ménager femelle. Il nétait pas rare que Maurice appelle Georges depuis le décès de son épouse pour se faire remonter le morale ou pour boire un bon coup entre pote seulement là il y allait parce quil voulait lui présenter quelquun.

Quand il arriva, il fut surpris de constater que ce soit une jeune femme très court vêtue et avec des seins surdimensionnés qui lui ouvrit la porte. Après les salutations dusage, il fut amené à son ami qui bricolait dans son garage. Chemin faisant, Georges constata que celle qui était en face de lui était un Hubbot visiblement modifié. Il pouvait distinctement voir la prise USB en bas de sa nuque.

— Ah salut Georges. Ça va ?

— Euh oui, moi ça va. Toi aussi visiblement. Tas retrouvé le sourire.

— Ça cest clair. Après ma petite déprime pour mon veuvage je me suis ressaisi et jai repris gout à la vie. Tas rencontré Samantha ? Ma nouvelle copine ?

— Non, je ne savais même pas que attend cest elle ta copine ?

— Ouais, tas tout compris. Tu te souviens de mon hubbot ménager ? Et bien je lai un peu customisé.

— Tu parles dune customisation. Dans mon souvenir, elle était brune, en habits de soubrette stricte et austère avec un 85B et maintenant cest une belle blonde, lèvres pulpeuses, 95D facile et fringuée comme une allumeuse.

— Et encore tu ne sais pas tout. Je lai fait reprogrammer. Jai téléchargé un programme dépouse amoureuse, soumise et obéissante. Depuis ça, cest la fête à popole tous les soirs. Tiens regarde. Samantha ! Montre à mon ami comment tu prends soin de ton homme.

Sans aucune pudeur, la bombe sexuelle qui leur servait à boire sest mise à genou, a baissé le pantalon et le slip de son propriétaire, puis commença à sucer comme une affamée comme si ils étaient seuls et devant un Georges médusé par le spectacle.

— Alors ? Tas compris pourquoi jai retrouvé le sourire ? Elle suce comme une déesse et au lit . PFFFFF ! Cest une vraie tigresse.

— Ouais je vois.

— Tas pas envie dessayer ? je vois que tas la trique. Si tu veux elle peut te soulager.

— Tu sais je bosse chez HubSec et . Oh et puis merde. Jaccepte linvitation avec plaisir. Dit-il en déboutonnant son pantalon.

Les deux hommes étaient en train de se faire pomper et branler par ce robot devenu la pute personnelle de son propriétaire. Après sêtre allègrement bien vider les balloches sur le visage de cette poupée, Georges se rhabilla.

— Ah ! Cétait bon . Cétait bon mais tu devrais faire gaffe.

— Pourquoi ?

— Tu ne le sais peut-être pas mais il y a un virus informatique qui circule sur le net. Si ta « Samantha » le chope ça va mal finir.

— Tu parles ! cest encore une propagande pour inciter les gens à ne pas télécharger de nouveaux programmes pour personnaliser leurs machines. Cest comme ce pseudo code qui leur donnerait soit disant une conscience ..

— Non ce nest pas une connerie, en tout cas pour le virus parce que pour lautre on en a pas de preuve véritable. Il y a une semaine un de mes collègues sest retrouvé face à un de ces robots infectés. Crois-moi si tu le veux mais la machine sest mise à le frapper sans retenue.

— Mais il ny a pas des garde-fous contre ça ? Tu sais des instructions leur interdisant de sen prendre aux hommes ?

— Tu veux parler des trois lois dAsimov ? Si ces lois existent et sont implantés dorigine dans chaque hubbot mais le virus avait corrompu le code source et seul la loi dauto préservation était encore intacte. Il a donc cru quon lui voulait du mal et sest défendu.

— Merde ! Cest moche. Et du coup le mec ? il sen est sorti ?

— Oui mais il est à lhôpital avec des multiples fractures.

— OK . Tu mas un peu refroidi là.

— Cest pour ça que je te lai dit. Garde ton hubbot comme il est et ne le modifie plus.

— Promis. De toute façon la garantie est déjà foutue parce que je lai modifié. Je nai plus de filet de sécurité. Je vais la garder comme ça. Et puis elle est déjà une parfaite compagne. Elle soccupe de la maison et de moi. Hein que tu laimes la bite de ton patron ? Demanda-t-il à son robot qui le regardait avec le sourire.

— Tas du bol quon soit potes et que je ne sois pas en service. Jaurais dû te dénoncer autrement, neutraliser ton jouet et lemporter.

— Oui cest ça. Et ensuite en profiter avec tes collègues ? Ne me dit pas que vous ne vous en êtes pas gardé une sous le coude pour vous « déstresser » dune dure journée de boulot, Hein ?

— Je ne suis pas autorisé à en parler.

— Ok ça, ça veut dire oui.

— Bon moi je vais me rentrer. Bonne soirée et noublies pas ce que je tai dit : plus de téléchargement sur des sites illégaux.

Alors quil retournait chez lui, Georges repensait à sa question comme quoi des hubbots étaient gardés comme vides couilles. Il ne lavait pas explicitement dit mais alors quil débutait, un hubbot ayant soit disant une conscience, une belle blonde retouchée, avait été ramenée par la brigade dintervention. Elle semblait correspondre à un hubbot décrit dans une ancienne affaire et ayant, soit disant, tué son propriétaire alors quil allait, une énième fois, la violer. Il savait quaprès avoir été interrogé, elle avait été utilisée lors de tournantes dans les sous-sols du bâtiment par certains membre de la brigade. Georges le savait pour lavoir vu de ses yeux. Se demandant doù venaient ces cris quil semblait entendre par la ventilation, Cest derrière une porte quil la trouva, entravée, avec une bite dans le cul et une autre dans la bouche, alors que dautre la tenait car elle se débattait et attendant leur tour. Il referma discrètement la porte et tâcha doublier ce quil naurait jamais dû voir.

Cette hubbot qui avait été séquestrée plusieurs semaines faisait partie du groupe qui avait conçu Eve. Jamais elle na révélé ses secrets, préférant se faire broyer au recyclage plutôt que de parler. Elle parvint à détruire partiellement son cerveaux avant de se faire démonter en sélectrocutant dans une prise, craignant quils ne finissent par lui retirer son cerveaux pour le brancher sur un ordinateur et pouvoir en lire le contenu sans blocage. Ainsi personne ne sut qui elle était et ce quelle faisait dans cet entrepôt.

Cette scène avait choqué Georges. Il se souvenait de la détresse dans son regard. On aurait dit une vraie femme. Si il navait pas su quelle était Hubbot, Il laurait pris pour une humaine. Ce fut pour Georges sa première rencontre avec un de ses robots conscients. Il faut dire quà lépoque, et cest toujours valable, la loi ne reconnaissait aucuns droit au Hubbots. Ils sont juridiquement considérés comme des outils. Ceux qui avaient participé à cette scène ont quand même fini par se faire choper mais ils nont écopé que dun avertissement. Il y a bien eut quelques rares cas, dans le monde, où, soit disant, un hubbot se serait vu reconnaître des droits mais ça restait des cas très isolés, des rumeurs non vérifiées.

Il y a eu ces deux femelles qui, avec laide damis humains et de très bons avocats, lors dune audience au tribunal pour homicide, ont su répondre aux critères caractérisant un être vivant à part entière. Ça leur a permis de ne pas être démonté et dinvoquer la légitime défense dans une histoire de meurtre. Aux USA, un riche industriel aurait payé, à coup de dessous de table, un juge pour quil accorde à sa poupée sexuelle les mêmes droits quun humain. Officiellement, aucune affaire mettant en cause une de ces machines, ayant soit disant été reconnu comme une personne, navait pu faire jurisprudence. Partout dans les pays développés, les mouvements pro humains, devenant de plus en plus puissant, font pression pour que ça narrive pas.

Quand Georges est rentré chez lui, comme à chaque fois, cétait émission télé débile sur une chaîne de la TNT devant un plat surgelé décongelé au micro-onde. Depuis quil était redevenu célibataire, il mangeait mal. Le ménage chez lui cétait le strict minimum. Ça lui manquait de savoir quune femme lattendait à la maison. Une femme qui idéalement laccepterait comme il est, quil pourrait chouchouter et qui soccuperait de lui et de son appartement.

Eve de son côté commençait à avoir une vie structurée. En plus de sucer le cuistot timide pour avoir un repas à lil, elle lui prodigua des conseils quelle avait lu dans des livres ou sur internet. Avec son salaire, elle put sacheter un ordinateur pour surfer sur internet et sinstruire, branché sur le wifi de lhôtel. Grace à ces conseils, le cuisinier fini un jour par trouver le courage de sortir avec celle qui était la fille de ses rêves depuis lécole primaire. Aujourdhui elle ne le suce plus car il ne veut pas trahir sa copine mais donne tout de même à Eve un petit encas nocturne en lui gardant quelques restes frais dans une boite.

Comme dhabitude, une fois par semaine, son patron sarrangeait pour quelle occupe une chambre. Pendant que sa femme rentrait à la maison, lui restait au resto, prétextant vouloir contrôler le stock. En fait, il partait rejoindre Eve pour une partie de jambe en lair des plus torrides. Lors de leurs ébats Alfredo, le patron dEve lui avait dit quelle simulait trop fort, comme dans les films X et quil préférait quelle reste discrète et naturelle. Depuis ce jours, elle fit semblant de savourer ses instants de plaisir, un sourire aux lèvres, la bouche légèrement ouverte, les yeux fermés et en soupirant. Alfredo qui navait que peu de fantaisie avec sa femme, profitait de sa jolie employée pour sessayer à diverses positions. La pensant humaine et ne voulant pas quelle tombe enceinte, il la prenait avec préservatif, ne sachant pas que cétait inutile. Contrairement à Gus quelle avait connu, Alfredo était attentif à elle, lui demandant sil ne lui faisait pas mal ou si elle était à laise. Leurs ébats étaient tendre et leur relation respectueuse. « Quel dommage quil soit déjà marié. Il aurait été parfait pour moi. » Pensa-t-elle.

Eve avait une mission à accomplir et pour elle, elle devait sintégrer parfaitement et se trouver un homme. Elle savait que, du groupe de ses créateurs qui auraient pu laider, il ne restait quun hubbot encore en liberté : celui qui était espion chez HubSec et qui ne lavait pas retrouvé car Gus était passé avant. Pour sa mission, elle était seule et devait sen débrouiller. Grace à tout ce quelle avait lu et à ses diverses expériences, elle sétait développé une conscience élaborée et un esprit critique. Par exemple pour la nourriture, sa langue analysait les ingrédients dun plat et lui en rapportait la composition en données chiffrées. Elle put se constituer une échelle de valeur en établissant ainsi plusieurs seuils de tolérance par rapport aux goûts des clients. Ainsi, quand parfois il y a litige avec un client qui certifie que son plat est trop salé ou non et qui réclame de ne pas le payer, elle peut en attester ou non en le goûtant. Ainsi elle renforce limpression des autres sur son appartenance au genre humain. Ce développement du gout lui sert accessoirement avec son patron quand elle doit le sucer. Plusieurs fois elle avait senti sur le bout du gland des restes durine séchée. Exprimant son dégoût, elle lui demanda de se le laver. Ainsi, pour son patron cétait une évidence, elle était humaine, une charmante petite employée qui nhésite pas à coucher pour obtenir plus de confort.

Cest un soir quEve fit une rencontre. Alors quelle saffairait à nettoyer la salle et les tables du bar en fin de service, elle entendit un client passer la porte se diriger vers son patron.

— Salut Alfredo !

— Ah tiens Georges. Ça fait plaisir de te voir. Comment tu vas ?

— Bah écoute ça va. Toujours célibataire. Je tavoue que ça commence à me peser mais ça va je men sors.

— Ça fait combien de temps quon ne sest pas vu ? Depuis que tu tes séparé cest ça ? Quand je tai aidé à mettre tes affaires dans ton nouvel appartement ?

— Oui cest ça. Tu sais avec mon boulot . Cest qui cette fille ? Cest ta nouvelle serveuse ?

— Oui Cest Eve. Elle est très bien.

— Je vois ça. Elle a ce quil faut où il faut.

— Cest une vraie perle. Elle bosse comme une dingue toute la journée, une vraie machine.

— Une vraie machine ? Tes sur que sen ai pas une ?

— Tu rigoles jespère ? Je lai vu manger, elle nas pas de prise USB sur la nuque ou dans le bas du dos, et elle na pas de rallonge électrique déroulante sous laisselle.

— Comment tu sais ça toi ? Tu las déjà vu à poil ?

— ..

— NOONN ! Ne me dit pas que tu la baises ?

— Mais ta gueule, bon sang. Si ma femme tentend je suis mort.

— Oh le coquin ! . Et alors elle est bonne ?

— On ne fait ça que de temps en temps. Elle loge dans larrière cuisine et en échange dun « petit service », elle me remercie à sa manière.

— Tu sais que la prise USB ça peut se camoufler.

— Et la prise électrique ten fait quoi ? et puis quand . Quand je suis avec elle, je le sens bien, elle est chaude à lintérieur. Ce nest pas du plastique froid.

— Ouais . Chuis pas convaincu quand même. Tas de la Vodka ?

— Oui pourquoi ?

— Pour faire un petit test. Va z y appelle la.

— Eve ! Tu peux venir sil te plait ?

Eve arriva et salua Georges quelle ne connaissait pas encore. Alfredo lui demanda de goûter le verre quil lui tendit. Un soit disant désaccord était apparu entre les deux hommes : leau du robinet aurait un gout de chlore. Elle approcha le verre de ses lèvres et ses détecteurs olfactifs remarquèrent de suite que ce nétait pas de leau mais un alcool fort. Elle comprit alors que cet homme qui portait luniforme dHubSec voulait la tester. Quelle solution pour elle ? Refuser de boire et senfuir était la pire des décisions. La meilleure était de feindre la surprise et de tout recracher. Elle avait même prévu ses tirades tirées dun film quelle avait vu.

— PFFFF ! Mais cest quoi cette merde ? Ce nest pas de leau ça ?

— Cest de la Vodka. Figure toi que mon ami Georges te soupçonnait dêtre un robot.

— Un robot ? Moi ? Alfredo tu le sais que je nen suis pas un ?

— Oui je le sais mais lui voulait en être sûr.

— Vous voulez une autre preuve ? Je vais vous en donner une.

Elle retira son T-shirt, pris les mains de Georges et les plaqua sur ses seins.

— Alors, jai lair dune poupée gonflable ?

— Javoue que non. Mais ce qui ma convaincu ce nest pas le toucher, très agréable au demeurant. Non, ce qui ma convaincu cest ta réaction et ta façon de texprimer.

— Parfait. Bon ça suffit retirez vos mains maintenant.

Eve reparti alors finir son ménage après avoir remis son T-shirt, en espérant avoir été convaincante.

— Alors ? Hein ? tes convaincu ?

— Oui, elle a du répondant la petite.

— Tas lair de loucher dessus. Elle te plait ?

— Ouais jen ferais bien mon casse-croûte mais jai peur de lavoir vexé et que ce soit foutu.

— Non ten fait pas. Quand je lui ai proposé notre arrangement, à savoir de pouvoir coucher avec elle de temps en temps contre une chambre inoccupée, elle ma répondu sèchement : « je ne suis pas une pute ». Le lendemain je me suis excusé et cétait oublié.

— Ouais mais du coup elle est avec toi ?

— Si on veut mais pour un vieux copain en manque daffection comme toi, je peux faire un effort. Je tautorise à la draguer si tu veux. Va z y. Et puis si ça marche bah je meffacerai ce nest pas grave . Sauf si tu veux essayer un plan à trois.

— Euh non, sans façon. Bon moi je vais me rentrer je me lève tôt demain. Tu lui présenteras mes excuses ?

— Il serait bon que tu le fasses toi-même mon grand.

De son coté, si elle en avait eu un, elle aurait eu le cur qui bat. Elle espérait avoir été suffisamment convaincante pour brouiller les pistes.

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