J’aurais dû m’en tenir à cela. Mais la curiosité a été la plus forte. Sans vraiment le vouloir, je me suis entendu lui demander s’il s’était passé d’autres choses durant la semaine. Elle a eu un petit sourire, mi-triste, mi-amusé. Elle m’a mis en garde en me disant que ça risquait de ne pas me plaire. Mais que si j’y tenais, elle allait me dire toute la vérité. J’y avais droit en quelque sorte.
Ma femme a dévoré la série de livres "50 nuances de gris". Elle reconnaît sans problème que ce n’est pas de la grande littérature mais elle a adoré l’univers luxueux dans lequel se déroule l’histoire et ça lui a rappelé quelques jeux avec l’un de ses ex qui aimait bien lui donner des ordres. Je sais qu’elle aime ça, mais ce n’est pas dans ma nature et je n’ai jamais réussi a endosser ce rôle de dominant dans notre vie sexuelle. je crois au contraire que j’ai aussi un petit côté soumis.
Ce jeune moniteur a dû percevoir qqch chez ma femme ou alors c’était dans sa nature à lui d’être directif même avec une femme de 15 ans son aînée. Dès le matin tôt, il lui a mis un message WhatsApp: "Va à la salle de bain, déshabille-toi et coiffe-toi face au miroir.". Ma femme n’a même pas réfléchi, elle a pris sa brosse à cheveux et s’est rendue à la salle de bain sur le palier. Elle s’est déshabillée et a commencé à se coiffer. Elle était en même temps très excitée et inquiète. Cette salle de bain est utilisée par tous les adultes du camp. Elle aurait eu du mal à dire à ses collègues ce qu’elle faisait dans cette tenue face au miroir à cette heure matinale. Même un élève aurait pu débarqué par erreur. Mais ça ne faisait qu’attiser son excitation grandissante. Il est entré après deux-trois minutes. Il a fermé la porte à clé. Il était vêtu d’un t-shirt et d’un boxer moulant. Il regardait ma femme sans rien dire, avec un petit sourire qui semblait dire "Tu m’appartiens". Elle a continué à se brosser les cheveux. Il est venu se poster derrière elle, lui a pris la brosse, l’a déposée sur le bord de l’évier. Il a commencé à lui malaxer les seins, à lui pincer les tétons, si bien qu’elle avait presque un peu mal et en même temps ils se sont mis à durcir. Il a continué à lui caresser les seins d’une main et de l’autre il s’est mis à titiller son clitoris. Son sexe ruisselait. Elle m’a dit qu’elle avait rarement été aussi excitée.
— Tu es une petite coquine, lui a-t-il susurré. Qu’est-ce qu’il dirait ton mari s’il te voyait dans cette position? Il ne serait pas content.
Elle n’en pouvait plus. Elle ne pensait pas à moi. Elle avait juste envie qu’il la prenne. Il a bien senti ça et a exigé qu’elle le supplie de la défoncer, ce qu’elle s’est empressée de faire. Nous ne parlons presque jamais quand on fait l’amour. Elle n’a pas l’habitude et m’a avoué qu’elle ne savait plus ce qu’elle disait mais en même ça l’excitait beaucoup ce petit jeu.
— Vas-y, prends-moi avec ta grosse queue, fais-moi jouir, je n’en peux plus.
Il a enlevé son t-shirt, baissé son boxer et il l’a prise sans plus attendre. Il l’a baisée vigoureusement en obligeant ma femme à regarder dans la glace. Elle a senti une vague de chaleur monter et elle a dû serrer les dents pour ne pas crier et signaler leur présence. Elle a eu un gros orgasme. Mais lui a continué à la défoncer de plus belle. Il en voulait encore. Au bout d’un moment, il lui a dit qu’il allait la lui mettre dans le cul. Je sais qu’un de ses ex l’a sodomisée et je sais qu’elle n’est pas très favorable à cette pratique, raison pour laquelle je ne l’ai jamais enculée. Mais elle n’avait pas la force de protester et la queue de son moniteur était plus que lubrifiée. Il a tout de même commencé doucement mais rapidement il a repris son rythme de croisière. Encore une fois, ma femme avait toutes les peines du monde à retenir des cris. Au bout de deux-trois minutes, il a littéralement explosé dans son cul. Elle avait eu un second orgasme entretemps et ses jambes ne la portait plus. Lui a simplement remis ses vêtements et il est retourné dans sa chambre. Elle a fermé la porte à clef et a pris une petite douche avant de se retirer elle aussi dans sa chambre.
Ce récit m’a en même temps attristé, rendu jaloux, mais j’ai aussi senti mon sexe durcir. Je ne pouvais pas m’empêcher d’écouter et je voulais en savoir plus. C’est un supplice douloureux mais tellement agréable en même temps. Et je sentais bien que ma femme était toute émoustillée de se remémorer ces moments et de me les raconter. En même temps, elle ne comprenait pas que je m’inflige tout ça et elle ressentait aussi un peu de pitié pour moi.
— Tu en veux encore? a-t-elle fini par dire, presque sur le ton de la provocation. Je ne peux pas te cacher que cet homme m’a fait jouir comme jamais tu n’y es parvenu.
Je crois qu’elle attendait une réaction de ma part, mais j’étais incapable de dire quoi que ce soit. Je ne pouvais que l’imaginer en train de jouir sous les coups de queue de ce jeune moniteur. Et je voulais absolument connaître la suite.