Chapitre 6 : une balade en bateau

Dernier jour complet à la Martinique, les bonnes choses ont toujours une fin !…

Pour aujourd’hui, voilà le programme que j’envisage : farniente, baignades, petits punchs, et… baise à outrance avec Mary. Mais c’était compter sans maman !… Elle sort du bungalow et me rejoint dans l’allée, entre les cocotiers. Elle porte de nouveau son adorable petite robe bleu azur à mi-cuisses. Je ne peux m’empêcher de lorgner son généreux décolleté et ses belles épaules dénudées. « Mon chéri, j’ai une surprise pour toi ce dernier jour ! »

— « Ah oui ? Et c’est quoi la surprise ? »

— « Si je te le dis, ce n’est plus une surprise ! » Ajoute-t-elle en me regardant, de ses yeux de biche. Nous nous rendons sur le ponton, au long duquel sont amarrés quelques bateaux. Nous arrivons devant un joli petit voilier, baptisé « Tropical ».

— Allez mon amour, grimpe à bord !

— « Mais… »

— « Il n’y a pas de mais, grimpe je te dis ! ». J’exécute l’ordre maternel et monte sur le pont du voilier. De taille modeste mais très mignon, blanc et bleu. Maman me tend ses mains afin que je l’aide à monter. C’est alors que de la minuscule cabine située sous le pont émerge… le couple qui nous a vus faire l’amour sur la plage de Tartane !… Ils se présentent : Bob et Linda, la cinquantaine, ils sont bien Américains, de Miami, et parlent excellemment français, avec un accent bien sûr. Maman, très contente d’elle, explique alors. « Par le plus grand des hasards, Bob et Linda logent dans notre hôtel, je les ai croisés tout à l’heure dans l’allée, pendant que tu te rasais. Nous avons bavardé un peu, ils ont loué ce voilier pour la journée, et nous ont invités très gentiment à partager leur petite balade nautique. Super sympa, non ? » Pour une surprise, c’en est une ! Le couple m’est de suite sympathique. Ils parlent avec nous comme si nous étions des amis de longue date. Cette dernière journée débute plus que bien.

Quelques minutes plus tard, nous appareillons, et gagnons le large. Bob tient la barre, tandis que Linda se met à l’aise, c’est-à-dire en petit maillot deux pièces bariolé. Blonde aux cheveux mi-longs, ses formes ne sont plus parfaites, mais on pourrait encore en faire son « ordinaire ».

« Hé ! » s’écrie maman en me donnant une tape sur l’épaule, me voyant lorgner la poitrine de Linda difficilement contenue par son trop petit soutien-gorge de maillot… Je la rassure bien vite en lui roulant une énorme pelle, sous l’il cette fois de Bob qui sourit en nous regardant. Je murmure tout de même à l’oreille de Mary : « tu ne leur a tout de même pas dévoilé notre lien familial ? Et puis… je voulais que l’on baise beaucoup aujourd’hui, moi ! »

— « T’inquiète, ils ne savent rien pour nous deux. Ils doivent seulement penser que je suis une femme mûre qui a levé un petit jeune, et cette idée me plait… Et à Tartane ils nous ont déjà vus baiser une fois, alors, pourquoi se cacher à présent ? »

— « T’es vraiment une salope ! »

— « Oh, arrête de me flatter ! » Et sur ce, nous éclatons de rire tous les deux. Oh, la belle mini-croisière en perspective ! Ma seule petite inquiétude : pourvu que Bob et Linda ne soient pas échangistes, je ne « prêterai » ma Mary adorée pour rien au monde, jamais !

Maman quitte ses sandales puis sa belle petite robe bleue, pour se retrouver en bikini blanc, joli, mais un peu trop sage à mon goût…

Il fait un temps magnifique, ciel d’azur, et la mer est d’huile. Le « Tropical » va contourner le Rocher du Diamant, que ces salopards d’Anglais persistent à appeler « Her Majesty’s Ship Diamond Rock », tout ça parce que sous Napoléon les Français n’ont jamais pu leur reprendre, et qu’ils considèrent ce gros caillou comme un navire de sa « Très Gracieuse Majesté »… Mais revenons au présent. S’il y a des canons, ce sont ceux de la beauté qui s’expriment, surtout ceux de Mary, et à un degré moindre ceux de Linda. Je trouve que notre skipper, Bob en l’occurrence, nous éloigne un peu trop de la côte. C’est dommage car cette côte est splendide. Mais je vais bien vite comprendre la raison de cette navigation. Ne risquant plus d’être vue depuis une plage, Linda quitte son petit deux pièces pour se retrouver entièrement nue sur le pont ! Imitée de suite par cette chipie de Mary… Rejointes par Bob, qui, tout en continuant de barrer, quitte son t-shirt et son slip de bain. Me trouvant tout bête d’être le seul encore habillé, je n’ai donc pas d’autre choix que de me dévêtir à mon tour.

« A poil, tout l’monde à poil ! » chantait Pierre Perret voici longtemps, c’est à présent chose faite. Ma petite crainte échangiste demeure, mais va s’estomper lorsque Linda vient rejoindre Bob à la barre, et me dit, avec quelques délicieuses fautes de français : « Pierre, vous retrouver madame à l’avant du pont, je crois qu’elle attend vous beaucoup !… » Prenant garde à ne pas tomber à l’eau, je rejoins donc Mary, alanguie au soleil à l’avant du bateau, et je m’allonge à ses côtés. Il ne lui faut que quelques secondes pour se tourner vers moi, empoigner ma bite encore molle, qu’elle va faire se redresser à vitesse grand V… Je peine à réaliser : maman, nue tout contre moi, me masturbe doucement mais fermement, au soleil, sur le pont d’un voilier, au large de la côte martiniquaise, et je suppose sous les yeux d’un couple qui ne doit pas en perdre une miette !… La sensation est merveilleuse, celle d’une totale plénitude. Mais je ne saurais me contenter de cette douce branlette maternelle, maman non plus du reste.

Sa bouche remplace bien vite sa main sur ma queue. Elle me pompe avec amour, tandis que je caresse son dos, ses belles fesses. Même cette pipe m’est insuffisante.

— Maman, j’ai envie de toi !

— « Oh oui mon cochon de fils, viens sur moi, baise-moi ! ». Selon une expression chère au Marquis de Sade, « la posture s’arrange », et me voici bientôt ramant dans la chatte de maman, jambes grandes ouvertes sous moi. Tout en la baisant, je m’agrippe à ses deux belles oranges, fruits du Jardin d’Eden ! Elle croise ses chevilles dans mon dos, me comprimant dans un très érotique étau. Mes yeux ne quittent pas les siens, ses beaux yeux noisette. Nos bouches se joignent, pour un langoureux baiser. Redressant quelques instants la tête, que vois-je ? Bob dirigeant toujours la manuvre, avec à ses pieds Linda, procédant à une toute autre manuvre : elle le suce avec ardeur ! Croisant mon regard, Bob lève le pouce à mon intention, et je lui rends la pareille. Chacun s’occupe de sa chacune, voilà qui me convient totalement. Dès lors, je peux m’activer dans maman avec de plus en plus de vigueur, toute retenue envolée ! Mary apprécie cette montée en puissance. « Oh oui mon amour, baise-moi comme ça, plus fort, plus fort encore, défonce ta salope de maman !… » Je place ses chevilles sur mes épaules, pour la tringler encore plus profondément.

Au passage, je gratifie ses jolis pieds de quelques coups de langue. Je me dois de ralentir, même si j’ai une envie dingue de me vider en elle. Je relève à nouveau la tête. Linda s’est allongée cuisses écartées au maximum sur le toit de la petite cabine, de ce fait, sa chatte se trouve à la hauteur adéquate pour se faire dévorer par Bob, ce dont son époux ne se prive pas. Voilà de quoi me donner des idées. Mary semble attristée que je sorte de son ventre, mais elle ne va pas le regretter, car me voici de suite la tête dans sa fourche, lui broutant la minette comme un affamé ! Elle m’appuie sur la tête pour mieux me sentir contre sa chatte, une chatte qui émet toujours autant de jus, dont je m’abreuve. La voix de Linda me parvient soudain, avec une expression qu’il n’est point besoin de traduire : « Oh yeaaaaaah, fuck me, fuck me hard ! » et je la vois alors debout sur le pont, appuyée contre la cabine, se faisant ardemment bourrer par derrière par Bob. Ils vont trop vite en besogne, ces deux-là ! J’ai encore faim de la minette de maman, moi ! J’agace son bouton, elle sursaute, je plonge ma langue au plus profond de son antre dégoulinant.

A présent, c’est Bob que j’entends, lâchant un bestial « râââââââh, I fuck you, you’re my bitch ! ». Des mots que mes lointains profs d’anglais ne m’ont pas appris, mais que j’ai découverts par la suite… Ils m’inspirent. Je reprends maman en missionnaire, la gratifiant d’un « ah Mary, comme tu es bonne ma salope, je te baise, je te baise ! ». Nos compagnons d’un jour adoptent une nouvelle position. Bob s’est allongé sur le toit de la cabine, Linda, de dos, s’est plantée sur lui, et monte et descend comme une hystérique, je dirais même qu’elle « rebondit » sur son mari. Je vois tout : ses cuisses un peu fortes bien ouvertes, sa chatte broussailleuse, son petit ventre rond qui ballotte, ses seins qui bougent en tous sens. Par jeu, je nous fais prendre une position identique. Je m’allonge, et, de dos aussi, maman s’enfile sur ma bite jusqu’à la garde. Je la saisis à la taille, et l’aide à rythmer ses allées et venues sur moi. Je ne vois que ses fesses et son dos lisse et bronzé, ce qui n’est pas désagréable non plus. A quelques mètres de distance, dans une action similaire, les deux femmes se font face. Relevant la tête, je les vois s’envoyer quelques baisers de la main, les coquines !! Complicité totale entre nos deux couples, tout en préservant chacun notre intimité, c’est le bonheur intégral ! Nos « walkyries » chevauchent ainsi leur monture respective un bon moment. En « maîtresse de maison », Linda donne le signal, un signal pour le moins cru et explicite : « oh Bob, my Dear, give me your cum, your cum, please, please !! » Nouvel énorme râle dudit Bob qui, se lâchant totalement, s’épanche dans le ventre de sa femme qui jouit en émettant un interminable « yeeeeeeesssss ! J’ai soudain la traduction simultanée par Mary, lâchant « ouiiiiiiiiiiii !!… » Il ne me reste plus qu’à rejoindre ce petit monde en éjaculant un geyser de sperme au plus profond de la chatte de ma chérie d’amour. Le Nirvana, sans avoir eu besoin de pratiquer le bouddhisme…

Remis de nos émotions, nous nous regroupons à l’arrière du voilier. Linda disparaît quelques instants dans la cabine, puis en ressort avec des gobelets plastique, et une bouteille de punch coco bien fraîche, extraite du petit frigo de bord. De son côté, Bob branche une petite chaîne, pose l’enceinte sur le toit de la cabine, et nous diffuse de la musique antillaise.

Et nous voilà bientôt, tous les quatre sur le pont, toujours entièrement nus, un gobelet de punch coco à la main, nous trémoussant en riant sur un zouk endiablé !

Mon dieu que la vie peut être belle !…

A suivre

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