— Mais non tu n’es pas si lourd. Tu es même très léger ! Combien pèses tu ?
— 55kg
— Ce n’est pas beaucoup en effet. J’en fait bien 20 de plus que toi ! Je ne te trouve pas beaucoup plus lourd que les gamines que j’aide à atteindre la barre pendant les entraînements.
Je restai muet face à la valkyrie qui ne me trouvait pas plus lourd qu’une fillette et je ne voyais pas trop où elle cachait ses 75kg tant elle était fine. Ses muscles devaient avoir une densité exceptionnelle et ses seins volumineux devaient être en partie responsables. Portée de cette manière, sa lourde poitrine couvrait mon corps de mon pubis jusqu’à mon buste. Elle était si lourde et si ferme ! J’avais l’impression d’être un soutien-gorge humain…
— Tu te sens bien porté comme ça ? Je ne te fais pas mal ?
— Non, tout va bien.
— Dépêchons nous de rentrer alors.
Le belle se mit à marcher d’un pas rapide comme si mon poids ne la gênait pas. Ses seins s’écrasaient sur mon corps à chacun de ses pas et il ne fallut pas longtemps pour que j’ai une érection. Heureusement, mon entrejambe était caché sous son titanesque sein droit et je ne crois pas qu’elle s’en était encore rendu compte. J’étais envahi de sentiments ambivalents, face au désir brûlant que j’avais pour cette superbe femme, qui était sûrement trois fois plus forte que moi et qui portait mon corps vêtu d’un simple maillot de bain, comme celui d’un enfant. La sensation d’être dans un rêve se renforçait de pas en pas.
ça faisait bien 10 mn qu’elle marchait et elle ne montrait toujours pas le moindre signe de fatigue, pas une seule goutte de sueur ne perlait sur ce corps exceptionnel. La nuit tombait et la plage était quasi vide, à part quelques couples qui se bécotaient et qui écarquillaient les yeux sur notre passage.
— Tu ne veux pas me poser et te reposer un peu ?
— Pourquoi ? Je me sens très bien et on est quasi arrivé. Laisse moi juste te replacer pour que tu sois plus confortable.
D’une puissante impulsion, elle replaça mon corps dans ses bras. Sa lourde poitrine s’écrasa avec encore plus de force que pendant la marche sur mon abdomen, ce qui n’arrangea pas mon érection qui ne cessait de s’amplifier. Elle allait finir par s’en rendre compte !
Après quelques minutes, nous arrivâmes devant la porte de son bungalow.
— Peux tu t’accrocher à mon cou s’il te plaît pour que puisse ouvrir la porte ?
Je agrippais de mes deux bras au cou de l’amazone de manière qu’elle n’ait plus à me tenir sous le dos. Son sein s’étala un peu plus contre mon corps et je ne cherchais même plus à tempérer mon excitation, c’était peine perdue. D’autant plus que la sensation à la fois douce et dure que mes main ressentaient sur ses muscles d’athlètes n’arrangeait rien à l’histoire.
Elle sortit la clé, ouvrit la porte et m’emmena dans la salle de bain. Une fois dans la pièce, elle passa à nouveau son bras sous mon dos et me déposa doucement sur ce qui ressemblait à une table à langer. Décollant sa poitrine de mon buste, elle mis à jour mon érection triomphante et n’en fut qu’à moitié surprise. Me toisant de sa hauteur, elle se moqua un peu de moi.
— C’est bien ce que j’avais senti. Je vois que Monsieur n’est pas si mal que ça !
— Pardon ! Tu es si belle et tu as un corps si parfait !
— C’est sûr qu’avec mes gros seins sur ton torse, et ton petit corps porté dans mes bras, ça ne pouvait avoir que cet effet.
Je fus surpris qu’elle considère le fait de me porter comme quelque chose qui pouvait m’exciter, mais à bien y réfléchir, je m’étais plutôt senti bien d’être manipulé si facilement.
— Ce n’est pas la première fois que je porte un homme. Un de nos gymnastes s’était foulé la cheville lors de sa réception au sol et j’avais dû le porter comme je l’ai fait pour toi jusqu’à l’infirmerie. Quand je l’ai posé sur le lit, son pénis tendait la toile de son juste au corps, malgré la douleur qu’il ressentait. Je n’ai jamais vu quelqu’un aussi gêné. Même s’il était beaucoup plus lourd que toi, je n’avais pas trouvé ça tellement dur. C’est pour ça que vu ta silhouette de crevette, je savais que j’allais te soulever et te porter avec facilité, et puis j’adore sentir un petit corps d’homme dans mes bras, surtout quand ils sont trop mignons comme toi. On va s’occuper de ton pied.
Je m’assis au bord de la table en laissant pendre mes pieds. Le sang ne coulait plus. La belle nettoya la plaie et emmaillota mon pied dans de la gaze.
— Voilà une première chose de faite, passons au deuxième symptôme.
Je la regardais en plissant les yeux, me demandant bien à quoi elle faisait référence.
D’un geste rapide et puissant, elle saisit l’encolure de mon maillot de bain et le fit glisser jusqu’à mes pieds, puis le laissa tomber. Je me retrouvais totalement nu face à la belle qui arborait un sourire narquois, exposant mon sexe en érection à son jugement.
— Tu sais que tu es pas mal. Pas très grand, mince, mais très bien proportionné, et puis les grands costauds, ce n’est pas mon truc, je préfère les crevettes comme toi !
Je souris en écoutant ce qui se voulait être un compliment, même si ma virilité en prenait un petit coup. La belle se recula légèrement et passa sa main droite sous la bretelle gauche du haut de son bikini et la fit tomber sensuellement sur son bras. Elle répliqua son geste de l’autre côté et les bonnets de son haut basculèrent en avant, révélant le haut de ses sombres aréoles. Ses tétons étaient déjà dressés d’excitation et poussaient sur le tissus comme des prisonniers qui demandaient à ce qu’on les libère. Maryline passa alors ses main dans son dos et dénoua le dernier lien. Sa lourde poitrine comprimée éjecta le soutien-gorge et se révéla dans toute sa splendeur. Malgré leurs poids, ses seins ne s’étaient pas affaissés. Ils étaient si larges et fermes que même s’ils se touchaient au centre, formant un profond sillon, ils dépassaient quand même largement à droite et à gauche de la cage thoracique de l’amazone. Le miroir haut dessus du lavabo reflétait le dos finement musclé de la belle et sa chute de rein parfaite, ainsi que les côtés des lourds joyaux qui montaient et descendaient au rythme de sa respiration. Je restais bouche bée face à cette poitrine aussi parfaite que le sourire de Maryline. J’avais essayé d’en créer une image mentale tout au long de la soirée mais j’étais bien loin d’imaginer une telle perfection.
Maryline s’approcha de moi et se pencha pour me donner un baiser. Ses seins vinrent d’abord froler, puis appuyer plus lourdement sur mon torse imberbe, et finirent pas emprisonner mon sexe qui était tendu à m’en faire mal. Le contact de ses lèvres sur les miennes, de ses tétons durs sur mon torse, et de ses seins fermes autour de mon sexe m’électrisa et je frissonnai de plaisir. Maryline décolla ses lèvres des miennes tout en maintenant sa poitrine contre mon corps. Ses main passèrent derrière mon dos et s’insinuèrent avec force sous chacune de mes fesses. Je me retrouvais assis sur les mains de l’amazone qui me fixait de son doux regard.
— Tu ne pensais pas que j’allais te laisser marcher jusqu’à la chambre avec le beau pansement que je t’ai fait. Et depuis le temps que je rêvais de palper ton petit cul !
Dans un mouvement lent, elle redressa son buste tout en me soulevant avec ses mains sous mes petites fesses. Tout mon poids reposait dans ses paumes, et ses biceps fins mais puissants se gonflèrent sous un effort qui ne semblait pas lui coûter beaucoup d’énergie. Mes jambes pendaient de part et d’autre de sa taille. Mon torse s’écrasait sur ses énormes seins entre lesquels mon sexe était toujours emprisonné. Mes mains vinrent naturellement se placer sur ses épaules dont les muscles s’étaient striés en me soulevant. Je n’arrivais plus à parler et me demandait quand ce rêve allait se terminer.
— J’adore te porter. Ton corps est si léger et ta peau si douce, et ton sexe est si dur entre mes seins. J’adore cette sensation !
La géante se mit à faire monter et descendre mon corps par la seule force de ses bras, pour faire coulisser mon pénis entre ses fermes mamelles. Je me voyais monter et descendre dans le miroir. J’étais tellement excité depuis le début de cette soirée que la belle n’eut pas à m’agiter longtemps pour me faire venir. Je jouissais entre les seins de l’amazone qui admirait mon visage sculpté par le plaisir intense que je ressentais. Je mis mes bras autour du cou de Maryline et l’ embrassai fougueusement. Toujours en me soutenant pas la seule force de ses bras, elle me porta jusque dans la chambre. Une de ses mains vint derrière mon dos et pendant un court instant, tout mon poids reposa dans son autre main. Elle se pencha et me déposa précautionneusement sur le lit. Quand elle se releva, elle libéra mon sexe flaccide de sa sensuelle prison, et quelques filets de sperme se formèrent avant de se rompre.
— Tu t’es bien soulagé ! Laisse moi prendre une douche, et on reprendra où on s’en est arrêté.
Tout en parlant, elle fit glisser le bas de son maillot au sol pour révéler un sexe délicat, totalement épilé, et quand elle me tourna le dos, je me délectai du spectacle de ses fesses musclées et de ses jambes interminables, sublimées par sa démarche féline.