Anna brune aux seins lourds, des hanches un peu larges. Elle venait d’avoir 18 ans et allait rentrer à la fac dans deux mois.
Son beau-père Paul, venait de s’installer chez eux. Il la regardait de façon soutenue de temps en temps, mais elle gardait les yeux baissés. Ça l’excitait un peu qu’il la mate. Un soir, pendant que sa mère se douchait, il se colla dans son dos pendant qu’elle faisait la vaisselle. Surprise, elle le laissa faire. Encouragé, il embrassa son cou, et passa sa main sous sa jupe de lycéenne. Elle sentit deux doigts glisser sur sa culotte en coton, l’obligeant à écarter les jambes. De son autre main, il lui caressa un sein à travers le chemisier. Elle le sentit durcir contre ses fesses, et sentit une agréable chaleur l’envahir. 5 minutes après il se détacha et partit se coucher, bientôt rejoint par sa mère.
Seule dans la cuisine, elle était déroutée. Elle finit par aller se coucher. Une fois dans sa chambre, elle laissa glisser sa jupe, enleva son chemisier et libéra ses seins. La pointe des mamelons était dure. Elle les caressa songeuse. Puis, elle laissa glisser sa culotte. Elle sentit sa chatte couler. Anna caressa son sexe avec un doigt et sentit l’humidité se déposer dessus. Honteuse, elle se hâta de mettre une culotte propre et d’enfiler sa chemise de nuit.
Elle n’arrivait pas à s’endormir. Elle était excitée. Elle n’osait pas se toucher pour apaiser son envie de sexe. Elle tourna et se retourna dans son lit. Elle finit par s’assoupir, mais fut bientôt réveillée par Paul.
Assis à côté d’elle, il avait passé la main sous la couverture et lui caressait les fesses. Elle le laissa faire quelques minutes sans bouger, hésitante. Voyant qu’elle ne le repoussait pas, il souleva la couverture et se glissa contre elle. Il était nu. Elle sentit la queue gonflée contre sa jambe. Il releva sa chemise de nuit jusqu’à sa poitrine, et découvrit un sein, qu’il attrapa dans sa bouche. Le téton rose se durcit immédiatement. Elle était intimidée qu’un homme de 20 ans de plus qu’elle la caresse de cette manière pas loin de sa mère. Cependant, l’excitation était plus forte. Elle devait s’avouer qu’elle espérait ce moment depuis quelques semaines. Elle avait entendu plusieurs fois le lit de sa mère grincer et cette dernière gémir la nuit. Elle s’était imaginée à sa place, fourrée par son beau-père. Soumise au moindre de ses caprices. Elle jalousait sa mère en secret.
La sentant consentante, Paule lui enleva sa chemise de nuit. Elle s’allongea sur le dos, le laissant la toucher selon son désir, soumise. Il l’embrassa sur la bouche. Sa langue chaude s’inséra entre ses lèvres pour s’introduire dans sa bouche. Anna ne fit aucune difficulté pour l’y accueillir. Elle devint de plus en plus excitée au fur et à mesure qu’il caressait ses seins et l’embrassait. Elle aurait voulu toucher la bite dure contre sa jambe, mais n’osa pas. De temps en temps, il la frottait un peu contre sa jambe. Elle sentait un peu d’humidité du gland se déposer sur sa peau.
Paul laissa glisser sa main sur la culotte en coton blanc. Il la caressa comme dans la cuisine. Deux doigts frottaient sa fente, qui devint vite humide et chaude. Anna aurait voulu gémir, mais eu peur de réveiller sa mère. Elle ne voulait pas interrompre ce moment, et faire peur à Paul. Il finit par glisser les deux doigts dans sa culotte. Elle sentit le contact chaud des doigts sur sa fente coulante et gonflée.
— Tu es sacrément humide !! Tu as déjà était pelotée par un mec ?
— Non, jamais
— Tu as un corps excitant, ça serait dommage de ne pas en faire profiter un homme. Tu es faite pour donner du plaisir. Tu aimes ce que je te fais?
— Oui, beaucoup.
— Tu veux que je t’initie au sexe ? Ton sexe vierge me rend fou
— Oui
— Par contre, ça sera selon mes règles. On ira par étape, et tu ferras ce que je te dis. Tu peux tout arrêter maintenant si tu le désires.
— J’accepte
Paul sourit. Anna savait qu’il aurait était très déçu si elle avait refusé.
Il entreprit de lui enlever sa culotte. Elle se retrouva nue. Il se remit à lui caresser la chatte, qui ressemblait à une fontaine. Puis, elle sentit sa chatte s’écarter sous la pression des deux doigts. D’instinct, elle eut envie de les engloutir en elle et poussa ses hanches vers le haut. Anna laissa ses hanches aller et venir pendant que Paul lui suçait les tétons. Il ressortit les deux doigts. Anna entrouvrit la bouche et goutta sa mouille un peu salée. Paul semblait très excité. Il embrassa le ventre d’Anna. La bouche de Paul descendait de plus en plus vers sa chatte. Elle écarta largement les cuisses, prête à accueillir sa bouche. Il écarta ses poils soyeux et bouclés pour dégager sa chatte. Elle sursauta au premier coup de langue. Bien vite, Paul mangea sa chatte. La langue glissait de haut en bas. Les lèvres de sa chatte étaient très gonflées. Elle se mordait la lèvre pour ne pas gémir. Il s’amusait avec le clitoris. Anna ressentait de plus en plus de plaisir. Elle resserra un peu les cuisses, autour de la tête de Paul. Son bassin allait et venait au rythme de la langue. Il finit par introduire le bout de sa langue dans son vagin à plusieurs reprises. Au moment, où elle sentait la jouissance arriver, il concentra à nouveau sa langue sur le clitoris, le léchant copieusement et l’avalant, tout en lui carrant deux doigts dans le vagin. Elle jouit violemment en silence, sentant ses hanches se soulever.
— Une vraie cochonne !! Tu étais chaude !! lui dit-il dès qu’elle eut terminé de jouir
Elle ne répondit rien. Elle le regardait se redresser, à genoux devant elle. Avec la lumière de la lune, elle aperçut la bite dure dressée. Elle rêvait d’avaler et mordiller cette bite. Elle voulait la branler. Sentir la chaleur du sexe dans sa main. Elle se redressa et voulut la toucher. Paul la repoussa.
— Tu vas devoir franchir des paliers pour la mériter, pour l’instant tu as juste le droit de mater ma bite. C’est moi qui déciderai quand tu seras prête à la branler, la sucer et quand tu pourras la recevoir dans ta chatte. Tu feras ce que je te dirai. Pour l’instant, allonge-toi sur le dos et écarte tes cuisses.
Anna fit sagement ce qu’il lui demandait. Il posa un doigt pour caresser sa chatte bien humide et sensible. De l’autre main, il se mit à se branler, lentement puis rapidement. Il approcha sa queue du sexe d’Anna. Il poussa un soupir en déversant son sperme chaud et liquide sur la chatte vierge. Elle ne vit rien, mais le sentit couler le long de sa fente, encore excitée.
Paul s’allongea contre elle. Il recueillit du sperme à plusieurs reprises sur ses doigts et lui fit sucer goulûment. Elle aima le gout amer.
Paul ne dit plus rien et partit.