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Comment je suis devenu(e) moi – Chapitre 1




Je suis né Emmanuel, gringalet tourmenté. Pas d’ami, pas dintérêt pour les activités dites masculines. Ma première véritable amie, je l’ai eue à 15 ans. Elle s’appelle Clémence, et aujourd’hui encore elle est la seule personne prés de moi qui subsiste de mon passé. J’en suis tombé très amoureux à l’époque. J’avais du désir pour la première fois. Je fantasmais sur l’idée de caresser son corps, de l’embrasser, de la lécher. Mais jamais de la pénétrer. Ni d’être touché par elle.

Nous avons grandi, elle a eu des copains puis des amants. Mon amour est devenu profonde amitié. Et je m’inquiétais de ne pas être plus attiré par les femmes (Les autres mecs ne semblaient parler que de ça, ne penser qu’à ça.). Je les trouvais belles sans les désirer. Mes fantasmes et tristes masturbations n’avaient pour support que l’idée de lécher Clémence. J’ai commencé à me poser des questions sur mes attirances. Pourtant les beaux mecs ne semblaient pas m’exciter. Je me rendis peu à peu compte que les vieux, un peu bedonnants, un peu chauves mais un peu autoritaires aussi me faisaient de l’effet. Je n’osais creuser dans cette direction… Mais au fil des années, poussé par la frustration j’ai commencé à le faire. Des vidéos sur le net m’excitaient fort. On y voyait un homme mûr, viril, utiliser un gringalet comme moi. Je sentais leur désir de ce corps chétif et soumis. Et cela m’excitait… Je me voyais plié à la volonté de ces hommes. Mon corps frêle dominé et écrasé par leurs corps massifs dans des étreintes puissantes et subies. C’était encore plus excitant quand c’était une transsexuelle qui subissait les assauts de ces hommes. J’ai commencé à fantasmer sur ces hommes, sur l’idée d’être leur jouet. Et d’être moi même plus femme. Même si je considérais ça comme un simple fantasme… Il m’a fallu presque deux ans de fantasme pour caresser l’idée d’aller dans un sauna gay. Il en existe un dans ma ville, fréquenté essentiellement par des hommes mûrs.

J’en ai franchi la porte, tremblant, le cur au bord de l’explosion, le lendemain de mes 24 ans. Une douche et je courus m’enfermer dans le hammam vide. Quelques minutes plus tard un homme est entré, la cinquantaine, rond. Il m’a souri et s’est installé. Il a engagé la conversation, s’est ensuite rapproché de moi. Je sentais son envie de moi. Pour la première fois on me désirait. Je voulais fuir et rester. J’étais pétrifié. Il l’a remarqué, amusé. Notre conversation a ressemblé à ça:

"-Première fois dans un sauna?"

-Euh… première fois tout court…

-Sérieux? Beau comme tu es? N’aies pas peur. détends toi."

Sa main s’est posé sur ma cuisse, commençant de douces caresses. Elles ont duré un moment, se précisant peu à peu. Puis il prit ma main et la posa sur sa cuisse. Je commençais quelques caresses maladroites, si heureux de sentir une autre peau. Son sexe se mit à gonfler et j’en effleurais le gland par inadvertance.

"Viens!"

Il prit ma main et je le suivis. Nous descendîmes par l’escalier en colimaçon jusque dans un dédale obscur. Quand mes yeux se furent accoutumés, je découvris que plusieurs cabines parsemaient les couloirs. Dans certaines des hommes attendaient, nous regardant passer. Nous en trouvâmes une vide et mon futur amant m’y poussa doucement. Il ferma la porte et me fit signe de m’allonger sur le matelas. Il m’y rejoignit, reprenant ses caresses, plus appuyées maintenant. Je tremblais, voulant fuir et rester. Puis il m’embrassa, prenant possession de ma bouche, forçant mes lèvres. Il était devenu beaucoup plus directif. Ses gestes étaient autoritaires. Sa main prit la mienne et la referma sur son sexe. Je crus en défaillir de bonheur. Cette colonne chaude, ferme et vibrante dans ma main me transportait. Je commençais quelques va et vients.

"-C’est comme ça que tu te branles? Et ben, t’es pas doué. Voyons voir si tu suces mieux."

Et il poussa ma tête vers son sexe. Je n’osais refuser et posais mes lèvres sur son gland.

"-Et que je ne sentes pas tes dents salope!"

"Salope?" le mot me fit tressaillir. Jeus honte de m’avouer que cela m’excitait. Et que jespérais en être digne.

J’ai ouvert la bouche et pris en moi son sexe chaud. Quelle sensation incroyable! Ceux qui ont connu cette première fois savent de quoi je parle. Je faisais attention à ne pas le blesser avec mes dents mais cela arriva une fois. Immédiatement sanctionné par une claque phénoménale sur mes fesses. Je fis attention tout en envisageant de recommencer pour sentir la morsure de sa main à nouveau. Je léchais sa queue, de haut en bas, ses couilles gonflées, son gland, son frein puis reprenait toute sa queue dans ma bouche. J’adorais ce moment. Il se retira brutalement.

"-Je ne veux pas jouir dans ta bouche.

-Pourquoi?

-T’es vraiment une petite conne. Ne laisse jamais jouir un homme dans ta bouche si tu ne le connais pas. Le VIH, ça te dit quelque chose, débile? Et puis je veux autre chose.

-Autre chose?

-Oui. Tu es femelle, absolument femelle. Mais tu ne le sais pas encore. Je vais te prendre, te sauter, te baiser, te défoncer.

-Non! je ne suis pas prêt pour ça!"

Il m’empoigna et me dit:

-Dis donc, tu crois que tu peux m’allumer comme ça et te refuser ensuite? tu rêves petite pute!"

Son poids m’écrasa. Collé sur le ventre contre le matelas, je ne pouvais bouger. Et ne le voulais pas vraiment. Je sentis sa main descendre entre mes fesses et une sensation de froid humide envahir mon petit trou. Puis un doigt s’insérer… puis deux… puis trois et je voulus sa queue! Qu’il me baise, me déchire, me pilonne. Qu’il me prenne!

-"Dis le !"

-S’il te plaît défonce moi! Baise moi!"

Sa queue encapuchonnée se posa sur mon trou et il commença à peser de son poids, m’écartant et m’écrasant. son gland est entré et j’ai su que je voudrais ça toute ma vie. moi écrasé et pris par un mâle. il a poussé, est entré. Ça faisait mal et tant mieux! j’ai senti son ventre contre mes fesses, il était totalement en moi, ses mains agrippant mes hanches. Je geignait de bonheur.

"Je savais que tu aimerais ça. remue ta chatte salope!"

J’ai commencé à m’empaler sur sa queue avant qu’il ne m’agrippe plus fort et n’imprime lui même le mouvement. Il me claquait les fesses sans retenue et j’aimais cette douleur si excitante. Il m’a baisé pendant un long moment, me traitant de pute, de salope, de petite chienne accro à la queue, avant de sortir de moi pour se vider dans mon dos dans une exquise brûlure liquide.

"Je crois que tu viens de comprendre où est ta place. Et je crois que toi et moi n’en avons pas fini chérie. Je m’appelle Marc au fait."

il m’embrassa et disparut.

15 minutes après, Pas vraiment remis de mes émotions, je quittais le sauna. Tellement différent du moment où j’y étais entré.

Le soir même je ne résistais pas à l’envie de tout raconter à Clémence.

"-Et ça t’étonne? Écoute Manu, c’était évident, non? T’es ma meilleure copine depuis toujours!"

La suite plus tard si vous le souhaitez!

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