Depuis que je fréquente Gilles dont je suis dingue amoureuse rien ne va plus avec mes parents chez qui je vis, ils veulent me mettre à la rue si je continue à le voir.
Lors de notre dernier rendez-vous, en pleurs, j’explique à Gilles la situation.
<<Je peux te proposer quelque chose, cela me trottait dans la tête depuis un certain temps et je voulais attendre encore quelques mois mais vu la situation je vais avancer mes projets qui te concernaient aussi>>.
<<Tu veux parler de quoi>>.
<<Mon ange tu sais que je t’adore, je ne peux pas me passer de toi. Je te propose de vivre avec moi>>.
<<Tu n’as pas de logement>>.
<<Une amie travaille dans une agence immobilière, je la contacte et samedi nous visitons quelques logements et si nous en trouvons un à notre gout nous le prenons>>.
<<Oui, je veux vivre avec toi, j’attendais que tu me le demandes. Mais je n’ai pas de revenus et je dois finir ma formation>>.
<<Ce n’est pas un problème je peux subvenir à nos besoins et tu finiras ta formation>>.
Je me jette dans ses bras et me colle contre lui. Avant de l’embrasser fougueusement je lui dis <<Oui je veux être à toi>>.
Puis nous nous déshabillons mutuellement et nos vêtements volent dans l’auto, nous faisons l’amour comme des bêtes, il me fait jouir à n’en plus finir, jamais je n’ai tant mouillé.
Epuisés nous récupérons (surtout moi). Il m’explique ce qu’il attend de moi mais que je ne suis pas forcée d’accepter.
<<Tu vas subir un dressage afin que tu sois au top sur le plan sexuel>>.
<<Je ferais selon tes désirs>>.
<<Je te punirais quand je ne serais pas satisfait>>.
<<J’espère que ce ne sont pas des paroles en l’air>>.
<<Quand nous serons seuls à la maison tu devras te comporter comme une putain et t’habiller de façon qu’il y aie toujours ta chatte ou tes seins de visible, voire que tu sois nue>>.
<<Je frissonne d’avance d’être ta putain et jouer les allumeuses pour te plaire, je ferais ce qu’il faut pour te plaire mon maître>>.
Le samedi suivant nous visitons des maisons et des appartements et en choisissons un qui comporte une belle cuisine, une grande salle, deux chambres et une pièce qui servira de bureau. l’extérieur de la maison est un peu en friche mais une fois aménagé sera agréable.
Les parents de Gilles me proposent de venir loger chez eux le temps que le logement soit aménagé, je dormirais dans la chambre de leur fille Coralie qui est enthousiaste à cette idée.
Ne pouvant plus supporter ce que me font vivre mes parents j’accepte leur proposition.
Le dimanche je fais mes valises et gilles vient me chercher. Je ne vous dis pas la tête de mes parents ni leurs paroles.
Gilles a battu le rappel de ses copains pour les peintures et papiers.
La semaine suivante nous avons fait les magasins de meubles et autres. J’ai du choisir les choses à mon goût Gilles y tenait.
Pendant quinze jours j’ai vécu chez Gilles, ses parents se sont montrés très gentils avec moi. Ils ne voulaient pas de monsieur ou madame, simplement je devais utiliser leur prénom.
Une fois chez nous, comme il l’avait promis mon dressage commence, tout y passe: la fellation, les caresses, comment je dois remuer en cadence sous lui, lui couché sur le dos comment je dois m’empaler sur sa queue et remuer en utilisant mes deux orifices, les différentes positions, comment et quand je dois me masturber. Tout y passe.
Les punitions pleuvent: fessées, nuits passées à même le sol attachée ou non. Ce qui fait le plus de mal ce sont les séries de claques sur la chatte mais la douleur ne dure pas.
Mon coté maso est servi.
Nous allons dans les sex-shop acheter des accessoires: cravache, martinet, menottes, bâillon, pinces pour les seins et autres. Pendant que nous choisissons ces ustensiles cela me donne des envies, je mouille beaucoup et ma culotte est très humide.
Le premier soir j’ai revêtue une robe longue moulante sans sous-vêtements.
Gilles rentre, me regarde, je reçois une paire de gifles.
<<Ce n’est pas une tenue de salope, je ne vois rien. déshabilles toi, vas chercher le martinet et mets toi à genoux à côté du canapé, je vais t’apprendre à être obéissante>>.
J’obéis sans répondre et une fois en place il me frappe les fesses avec le martinet. Je me trémousse, crie et pleure, il me fait mal.
Quand le châtiment cesse il se met à genoux derrière moi, son pénis pénètre ma chatte et pendant qu’il s’active, ses doigts torturent les tétons de mes seins, je masturbe mon clitoris.
Je mouille abondamment et gémis. J’atteins l’orgasme pendant qu’il continue à me défoncer le vagin qu’il finit par arroser de son sperme.
Sa queue sort de ma chatte et pénètre dans mon anus qu’il commence à défoncer sans ménagement, mon plaisir est intense, je crie maintenant et n’arrive plus à me masturber, le sperme et la mouillure coulent de ma chatte et se répandent sur mes cuisses.
Mes jouissances se succèdent jusqu’au moment ou je sens son sperme couler dans mon cul.
Il se retire et va se laver me laissant là inerte.
Selon mes envies je provoque les punitions qu’il varie: martinet, cravache, attachée dans différentes positions avec des pinces accrochées aux mamelons de mes seins.
Ce qu’il affectionne c’est couchée sur le ventre, les jambes repliées, bras en arrière, poignets attachés aux chevilles et un bâillon dans la bouche.
Je varie les tenues: nue, une mini jupe ras des fesses, en sous-vêtements, bas avec porte-jarretelles, torse nu ou vêtue d’un chemisier transparent.
J’ai acheté des cuissardes que je porte avec une mini jupe et un haut transparent puis je me maquille exagérément, quand il me voit ainsi accoutrée il dit <<je ne savais pas que j’entrais dans un bordel, c’est combien la passe>>.
<<Pour toi chéri c’est gratuit>>. Et il me prend sans fioritures comme s’il passait un moment avec une putain.
Ce qui l’excite le plus c’est quand je l’attends assise au pied du canapé les jambes repliées et écartées, la vue de mon intimité ainsi exposée le met dans un état pas possible et je subis ses assauts jusqu’à ce qu’il soit calmé.
Quand je lui propose une promenade en forêt il comprend ou je veux en venir et prépare des ustensiles dans un sac à dos avant de partir.
Arrivés sur place nous choisissons un endroit tranquille. Je me déshabille, mets le bâillon pour ne pas alerter les promeneurs éventuels, avec les menottes je m’attache à un tronc d’arbre ou une branche que je peux atteindre puis j’attends les coups de martinet ou de cravache et pour finir les claques sur la chatte.
La souffrance et les larmes sont toujours au rendez-vous car il sait maintenant juger de ce que je peux supporter.
Cela me mets dans un état, la mouillure coule sur mes jambes.
Puis nous faisons l’amour allongés sur le sol ou debout. Parfois je passe mes bras autour de son cou, mains sous mes fesses il me soulève et m’empale sur sa queue, je mets mes jambes autour de son corps et remue du mieux que je peux.
Un jour Gilles doit se soulager d’une envie pressante, nous nous arrêtons à coté d’une cabane délabrée, il fait très chaud, la pluie commence à tomber. je lui dis en riant que c’est le moment pour moi de prendre une douche.
Il me prend au mot, je dois me mettre nue, sortis de l’auto il me menotte à un poteau en bois. Il retourne dans l’auto me laissant seule sous la pluie qui tombe de plus en plus fort.
Quand la pluie cesse il vient me détacher, il me dit qu’il n’est pas venu avant pour ne pas se mouiller, il m’essuie avec des serviettes puis me demande de me coucher sur le siège arrière.
Il s’installe comme il peut tête-bêche et entreprend de me lécher la chatte déjà bien gluante.
J’embrasse, lèche et prends dans ma bouche ses testicules puis je passe au pénis que j’embrasse et lèche partout avant de le prendre dans ma bouche et de pratiquer une fellation.
La bouche bien remplie mes gémissements sont atténués. Je suce activement sa queue déjà bien échauffée par la séance sous la pluie.
En plus de sa langue qui fouille mon vagin un doigt cherche à agrandir l’orifice de mon anus et une main masturbe mon clitoris. Je remue beaucoup sous l’effet du plaisir qui augmente.
Quand l’orgasme arrive j’attrape ses cheveux et tire sa tête en arrière. Il attends que mes spasmes se calment et continue à me martyriser un doigt dans chaque orifice et en masturbant le clitoris. Le plaisir monte dans mon ventre et devient intense, je jouis une deuxième fois.
Il vient sur moi, relève et replie mes jambes, sa queue pénètre mon vagin et les va-et-vient durent un moment avant qu’il ne change d’orifice. Sans se soucier de mes cris, des jouissances qu’il occasionne ni de la quantité de mouillure qui sort de mon vagin il continue à me défoncer jusqu’à arroser de son sperme ma chatte puis plus tard mon cul.
Je récupère avant de m’essuyer et rhabiller.
Avec mon chéri je ne m’ennuie pas, je suis devenue accroc au sexe et lui est très demandeur, en plus il sait me faire souffrir alors nous formons un couple heureux.