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J'ai laissé l'ami de mon chéri me prendre – Chapitre 2




Le lendemain de cette nuit incroyable où j’ai laissé l’ami de mon copain me prendre et jouir en moi, je me réveille pas très fière de moi. Serge semble tout à fait normal et ne fait aucune allusion qui pourrait me laisser penser qu’il s’était rendu compte que je m’étais réveillée tandis qu’il était en train de me prendre.

Mon copain quand à lui est d’excellente humeur. Il plaisante avec Serge comme avec les autres d’ailleurs sans que rien ne me laisse penser qu’il s’est aperçu de ce qui s’était passé pourtant, profitant d’un moment où nous nous sommes éloignés des autres en effectuant quelques brasses loin de la plage où nous avions décidés de pic-niquer, il me dit :

Tu sais, je vous ai senti hier avec Serge. Tu as aimé qu’il te fasse jouir.

J’essaie de donner le change en faisant mine de tomber des nues et émettre l’idée qu’il a fait un mauvais rêve mais il me prend la main et me montre les traces bien visibles de la morsure que je me suis infligée pour croyant réussir à éviter de faire trop de bruit.

Je t’ai entendu gémir pendant qu’il te baisait. Tu t’es mordu là, pour ne pas faire de bruit. Je ne veux pas que tu me mentes.

Nous sommes loin de la plage, là où la mer est tellement profonde qu’on ne voie que du bleu foncé presque noir. Je ne sais pas pourquoi mais je prends peur. Charlie n’a jamais manifesté de violence mais un garçon dans mon esprit ne peut pas accepter sereinement d’être cocufié. Je réfléchis à toute vitesse. Il peut me faire couler s’il le veut. Il y a une bouée tout près mais il nage bien mieux que moi et surtout, il est bien plus fort. Nous nous regardons dans les yeux. Il attend de moi la vérité, je le sens.

J’ai peur que tu te fâches. Que tu me fasses mal.

Tu sais bien que je ne te ferais jamais du mal mais j’ai besoin que tu sois franche avec moi. Que s’est-il passé ? J’ai fait semblant de dormir quand j’ai réalisé que vous étiez en train de faire l’amour à côté de moi.

Pardon mon cur, pardon. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je suis désolée. Il m’a caressé et puis d’un seul coup tout à dérapé.

Je me mets à tout lui raconter. Je sens malgré la peine qu’il éprouve qu’il ressent un autre sentiment. Je vois dans ses yeux au fur et à mesure de mon récit de l’excitation. Il s’approche de moi, me demande ce que j’ai ressenti, plus de détails.

Qu’est-ce que tu fais ? Tu ne vas pas me couler n’est-ce-pas ?

Mais non idiote. Continues. Racontes-moi tout.

Sans que je m’en rende compte, il m’a rapproché de la bouée. Il me demande de m’y accrocher et de me laisser faire. Je comprends qu’il veut me prendre. Il vient derrière moi, me demande si c’est comme ça que ça a commencé en me baissant mon slip de bain sur les cuisses.

Tu as aimé ?

Je n’ose pas trop lui répondre, j’ai peur qu’il s’énerve mais il n’est plus temps de faire marche arrière. Je lui déballe tout, ce que j’ai ressenti, mon excitation, comme j’ai mouillé en sentant ses doigts glisser dans mon fourreau. Il s’agrippe à moi, colle son ventre à mes fesses. Je sens qu’il bande ferme. Je me risque à lui dire :

ça t’excite que j’ai fait çà avec lui ?

Il ne réponds pas mais je comprends que c’est çà. Il pose son sexe dans ma raie et commence à chercher l’entrée de ma vulve. Je prends rapidement de l’assurance. J’écarte mes jambes en cambrant mes reins au maximum pour ouvrir l’accès à mon abricot et je lui dis :

C’est comme ça qu’il me l’a mise, quand j’ai cambré mes reins.

Aussitôt, d’un coup de reins, il s’enfonce en moi jusqu’à la garde. Heureusement que la situation m’a excitée car sinon, j’aurais dégusté au moment où il s’est enfoncé en moi.

Il commence ses allers-et-retours en s’agrippant solidement à mes épaules. Je sens son excitation grandissante tandis qu’il me demande :

C’est comme ça qu’il t’a prise ?

Sans hésiter, je lui réponds :

Oui, exactement comme ça. C’était bon. J’ai eu envie de jouir dès qu’il est entré dans moi. J’avais peur que tu te réveilles mais en même temps, ça m’excitait deux fois plus de te sentir contre moi, de sentir ton odeur tandis qu’un autre garçon était en train de me limer.

Ça me fait mal mais ça m’excite que tu me dises çà.

Je sais mon chéri. Je sais. Pardonnes-moi. Prends-moi. Je suis à toi.

Il me décoche d’énormes coups de reins, me secoue comme l’a fait quelques heures plus tôt son copain. Je le lui dis. Il redouble d’ardeur. Je prends le risque de lui dire qu’il m’a fait jouir en me caressant le clito et aussitôt il me demande de lui montrer.

Je prends sa main et pose son majeur sur mon bouton complètement érigé. Je le guide quelques secondes puis le laisse faire en continuant de lui dire ce que je voulais à voix basse. Il ne me déçois pas, apprends vite. Mon plaisir augmente, prend de l’ampleur. Il va me faire jouir et je ne me prive pas de le lui dire. Il redouble d’effort.

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. C’est bon. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis.

Accrochée à ma bouée, je laisse la jouissance m’emporter. C’est trop bon. C’est la première fois qu’il arrive à me faire jouir. Il aura fallu que je le trompe pour que ça arrive. En pleine orgasme je l’entends alors me souffler :

S’il veut te prendre encore cette nuit, laisses-le faire. Ça m’excite de vous entendre faire l’amour à côté de moi.

A ces paroles une nouvelle bouffée d’adrénaline envahit mon cerveau, boostant ma jouissance au paroxysme du plaisir. J’ai le plus grand mal à rester accrochée à ma bouée. Ma tête me tourne, les forces me manquent. C’est lui qui maintenant nous empêche de couler. Je ne l’ai même pas sentir jouir en même temps que moi. Je penche la tête en arrière pour l’embrasser et le remercier d’avoir su me donner un orgasme aussi fort. Il est heureux, ses yeux rayonnent de bonheur. Nous sommes heureux.

Nous récupérons de nos efforts un long moment, accrochés à cette bouée. Nos amis qui n’ont rien perdu de la scène nous sifflent et nous invectivent joyeusement.

Hé les amoureux, ça vous manquait tant que çà pour faire çà accrochés à une bouée.

Les joyeux commentaires fusent dans tous les sens ce qui nous fait bien rire. S’ils savaient. Nous nous embrassons tendrement. Les yeux dans les yeux je lui demande alors :

Tu es sûr de ce que tu m’as dis pendant que je jouissais ?

Oui, laisses-toi faire s’il essaie à nouveau.

Ça t’excite tant que ça qu’un autre me fasse çà ?

Oui c’est fou mais c’est la vérité. Hier j’ai joui rien qu’en entendant ce salaud te remplir de son sperme. Je me suis retenu pour ne pas vite glisser mes doigts dans ton trou et sentir son sperme en toi.

Ça m’excite aussi. J’hésite mais ça me fait bien envie surtout si après tu me fais ce que tu viens de me dire.

Mon chéri venait de me laisser découvrir une facette de sa personnalité dont je ne m’imaginais même pas que cela pouvait exister. Je jetais un il vers la plage pour voir parmi nos amis s’il était là, l’autre, mon deuxième amant. Le spectacle que nous lui avions donné allait certainement lui donner des ailes pour la soirée qui s’annonçait.

Mon chéri, se doutant de ce que je recherchais sur la plage me souffla à l’oreille :

— T’inquiètes pas ma chérie. Il est là. Il a tout vu et ça va certainement lui donner des idées pour ce soir.

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