Maman se lève et revient vers moi, elle reste debout devant moi, je me lève et vient poser ma truffe en haut de ses jambes, là où il y avait la tâche rose. Elle écarte un peu les jambes et ma langue peut se glisser entre elles et lécher la tâche. Seulement, je ne peux atteindre que le petit bouton dur en haut des jambes, je donne de grands coups de langue, maman se trémousse, elle pose ses mains sur ma tête.
Oui mon Zlatan, tu vas encore me faire jouir, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, oh lala, oh lala, quelle langue, quel pied, oh mon Zlatan, je t’aime.
L’amie de maman est à côté d’elle, elle aussi a légèrement écarté les jambes, je me tourne vers elle et pose ma langue au même endroit. Je donne de grands coups de langue, elle aussi se trémousse et finit par crier.
Oui, oui, oh putain, il va encore une fois me faire jouir comme une folle, HHHHHHHHAAAAAAAA, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Elle me plaque carrément la truffe sur son bouton, je peux à peine la lécher, mais c’est trop bon, j’adore ce liquide un peu blanchâtre. Ma bite est complètement sortie, instinctivement, je donne des coups de rein, ça me détend. L’amie de maman s’éloigne, elle va s’assoir sur le divan.
Je crois qu’il est prêt, tu as remarqué les coups de rein qu’il donnait ?
Oui, bien sûr, je vais me mettre en position, on verra bien.
Je vois maman se lever et venir devant moi, elle me tourne le dos et se met à quatre pattes. Je vois une rondelle un peu sombre juste au-dessus de la tâche rose. Je m’approche pour la lécher de nouveau, mais cette odeur commence à me rendre fou, ma bite est complètement sortie et est bien tendue, sans savoir pourquoi, je saute sur le dos de maman et donne de grands coups de rein. Le bout de ma bite tape sur ses cuisses ou dans le vide, une main s’en saisie et la dirige vers un endroit chaud et glissant. En fait, je ne me courbais pas assez, ma bite était trop basse, maintenant, j’ai compris ce qu’il fallait faire. Ma bite s’enfonce dans cette grotte chaude et humide sans difficulté. J’aime cette impression de douceur, je suis bien et mon cerveau me commande de donner de nouveau des grands coups de rein.
Oh lala, ça y est, il me baise, il me baise, que c’est bon, il a une super bite, elle me défonce.
Je continu mes coups de rein, je sens que c’est ce qu’il faut faire, mais je sens aussi une boule gonfler à la base de ma bite, j’ai de plus en plus envie de la faire entrer dans cette grotte chaude. D’un seul coup, j’ai l’impression que ma bite explose, je donne un grand coup de rein, beaucoup plus important que les précédents et enfonce ma boule dans maman. Je sens une grande quantité de liquide chaud qui sort de ma bite et rempli la grotte de maman.
Oh putain, il me l’a mis, il se vide en moi, quel pied, oui, oui, continu mon Zlatan, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
La grotte se contracte, maman tremble, elle est secouée par je ne sais quoi et bouge beaucoup. Malgré tout, je continu de me vider en elle, mais je sens que je lui en donne de moins en moins, je m’immobilise, toujours sur son dos. Nous restons un petit moment comme ça.
Quel pied, il m’a rempli, je sens sa boule dilater mon vagin, quel pied.
Quand je veux descendre, la grotte résiste et ne me libère pas. Je me retourne, tire un peu plus et réussi à me libérer. Ma bite laisse tomber quelque gouttes d’un liquide blanchâtre, je m’allonge sur le sol et la lèche. C’est très bon, ce liquide me plait. Je vois qu’il en sort encore de la rose de maman, je me lève, m’approche et le lèche.
Oui mon Zlatan, oui, oui, ouiiiiiiiii
Maman est secouée par des tremblements, elle bouge beaucoup. Quand plus rien ne sort, je me laisse aller, je suis un peu fatigué. Maman se relève et va s’assoir sur le divan, mais l’amie de maman vient vers moi et se met elle aussi à quatre pattes.
A mon tour Zlatan, vient baiser mamie.
Elle aussi semble vouloir que je lui fasse la même chose, comme c’était assez agréable, je n’y vois pas d’inconvénients et me lève. Je vois qu’elle aussi a une rondelle sombre au-dessus de la tâche rose. Je viens vers elle, renifle la rondelle, ça fait sortir ma bite entièrement. Je lui saute dessus, mais maintenant, je sais quoi faire et ma bite s’enfonce du premier coup dans la grotte chaude et humide.
Oh oui, il me baise.
Je lui donne de grands coups de rein, très vite, je sens du liquide sortir de ma bite mais je continu mes coups de rein.
Oui mon Zlatan, oui, oui, continu, je vais jouir.
Je continu jusqu’à ce que je sente ma boule devenir trop grosse. Je donne un grand coup de rein et l’enfonce dans la grotte et me vidant de mon liquide.
Ça y est, il me l’a mise, il me remplit, il me baise comme un dieu.
Je continu de me vider en elle, je donne encore quelques coups de rein jusqu’à ce que je sente la grotte se crisper et me serrer la bite.
Oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Je n’en peux plus, faire ça deux fois de suite, c’est un peu fatiguant. Je réussi à me libérer, je lèche le liquide qui sort de la rose de l’amie de maman. Elle aussi se tortille sous ma langue. Quand il ne sort plus rien, je vais me coucher sur ma couverture pour me lécher la bite qui goutte toujours.
L’amie de maman se lève et va la rejoindre. Elles s’enlacent et leurs têtes se rapprochent jusqu’à se toucher. Leurs bouches se collent, leurs mains se promènent sur elles, cela dure un bon moment. Moi, je suis tranquille dans mon coin, je récupère, mais j’ai quand même une sorte de sensation de manque, je recommencerais bien encore une fois, mais ça dépend de maman et de son amie.
Maman et son amie ont écarté leurs cuisses et leurs mains sont sur leurs tâches roses. Je sens de nouveau cette odeur douce et enivrante remplir la pièce. Je me lève, instinctivement, je sens que cette odeur est attachée à la tâche rose quand elle coule et qu’il faut que je mette ma bite dedans pour lui donner mon liquide. Je viens vers elles, l’odeur est de plus en plus forte et enivrante, ma bite est complètement sortie, j’ai de plus en plus envie de la mettre dans la grotte.
Maman se lève et me caresse, elle me fait coucher sur le côté. Elle s’agenouille à côté de moi et se penche sur ma bite raide et bien sortie. Elle pose ses lèvres dessus et je sens une chaleur mouillée envelopper ma bite. C’est maman qui a mis ma bite dans sa bouche. Je sens ses lèvres parcourir toute la longueur de ma bite qui coule doucement. Je sens que maman avale le liquide que je lui donne. Tout à coup, elle me libère, mais c’est son amie qui me fait la même chose, je suis aux anges, je ne connaissais pas cette douce caresse, mais je peux dire que j’apprécie beaucoup.
C’est super de pouvoir lui faire une pipe, il a une magnifique bite.
Oui, mais j’en reprendrais bien un coup dans le fion, viens, on va se préparer.
L’amie de maman me libère et suis maman dans une autre pièce. Je me recouche à ma place, un peu déçu, c’était bien parti. Quelques minutes plus tard elles reviennent, l’amie de maman vient vers moi avant que je n’aie eu le temps de me lever, elle s’agenouille et me prend la bite dans sa bouche. J’étais au repos, ma bite est complètement rentrée dans sa gaine, mais sa bouche la fait sortir très vite. Maman s’accroupie devant moi et me présente sa tâche rose que je m’empresse de lécher. Maintenant, ma bite est complètement sortie, maman et son amie se lèvent, j’en fais autant.
Maman se met à quatre pattes devant moi, je comprends qu’elle veut que je recommence, je suis entièrement à sa disposition, plutôt deux fois qu’une, j’adore mettre ma bite dans leurs grottes chaudes. Je remarque que sa rondelle plus sombre est recouverte d’une matière visqueuse. Je monte sur maman, mais au moment où je vais introduire ma bite dans la grotte, son amie se saisi de ma bite et la dirige plus haut. J’en déduis que je vais entrer dans la rondelle un peu sombre, j’espère que ce sera aussi bon. Je donne un grand coup de rein, ma bite entre plus difficilement dans cette grotte, mais elle glisse tout de même jusqu’au bout de ma bite. C’est moins humide, mais plus serré, je sens mieux ma bite coulisser dans cette grotte, je dois dire que j’aime autant celle-ci que l’autre, les sensations sont différentes, mais aussi bonnes. Je me déchaine, je donne de grands coups de rein très rapidement.
Putain, il m’encule comme une bête.
Je crois que s’en est une.
Oui, mais c’est sublime, cette bite est sublime, il va me faire jouir.
Je continu jusqu’à ce que je sente qu’il faille mettre ma boule dans la grotte. C’est à ce moment que maman se raidi et cri.
AAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH, oui, oui, je jouis, je jouis, ouiiiiiiiiiiiii
J’enfonce ma boule et me vide dans la grotte, je sens la rondelle me serrer encore plus, je suis coincé, même en me retournant et en tirant, je n’arrive pas à ma libérer.
Doux mon Zlatan, doux, patience, ça va venir.
Il faut cinq bonnes minutes pour que je réussisse à me libérer, mais en fait, c’était assez agréable d’être attaché comme ça à maman. Je me lèche la bite pour récupérer les dernières gouttes de liquide qui en sort et vais me coucher.
Et moi alors !!
C’est l’amie de maman qui est devant moi, j’ai comme l’impression qu’elle aussi veut que je la prenne par la rondelle sombre. Elle se penche sur moi et sa bouche m’enveloppe la bite. Je ne peux résister, ma bite sort de sa gaine pour remplir la bouche de l’amie de maman. Elle me caresse doucement. Ces deux femmes sont très douces avec moi, j’aime bien jouer avec elles. Elle me libère et se met à quatre pattes devant moi. Je comprends ce qu’elle attend et lui monte dessus, comme maman, sa rondelle sombre est enduite de quelque chose de visqueux. Maman s’accroupie à côté de nous, se saisi de ma bite et la dirige vers la rondelle. Je donne un grand coup de rein pour m’enfoncer en elle.
Oh putain, quelle bite, quelle bite.
Je me donne à fond dans sa rondelle, je veux moi aussi ressentir ce que j’ai déjà ressenti quand mon liquide coule de ma bite. Au bout de quelques minutes, l’amie de maman cri et sa rondelle se resserre sur ma bite que j’ai entièrement enfoncée. Je m’immobilise et me vide en elle avec un immense plaisir, c’est une sensation merveilleuse. C’est au moment où je tentais de me libérer de la rondelle de l’amie de maman que j’ai entendu cette voix roque.
Je vois que vous avez déjà gouter aux délices de l’amour animal.
Oh, papa, tu es déjà là, tu vois, nous avons choisi un merveilleux baiseur, il comprend tout très vite.
C’est ce qu’on va voir.
L’homme disparait dans une autre pièce. J’ai réussi à me dégager depuis un bon moment quand il revient dans la pièce, il est nu. Il vient vers moi pour me caresser.
Alors, tu t’appelles Zlatan, j’espère qu’on va bien s’amuser tous ensembles.
Il se met à quatre pattes devant moi, je remarque que lui aussi il a une rondelle un peu sombre, mais pas de tâche rose. Il est comme moi, il a une bite et des couilles, c’est un mâle, que veut-il que je fasse. Maman vient vers moi et me fait lever. Elle m’approche de la rondelle de l’homme, elle aussi enduite de cette matière visqueuse. Je ne sens pas cette odeur douce et enivrante que dégagent maman et son amie, simplement celle que dégage maman à côté de moi. Maman m’attrape la tête et plaque mon museau entre ses jambes, ça suffit à faire sortir ma bite de sa gaine. Maman me fait monter sur l’homme, ma bite arrive au niveau de sa rondelle.
Vas-y mon Zlatan.
Je donne un grand coup de rein, ma bite s’enfonce dans la rondelle, c’est exactement comme avec maman et son amie, je ressens la même chose, ma bite est bien serrée dans cette gaine. Je donne de grands coups de rein, je veux encore ressentir ce plaisir quand je me vide de mon liquide.
Putain, quelle bite, c’est autre chose que Manix.
Manix était un setter, ce n’est pas la même taille.
j’aime mieux celle-là.
Tu veux que je m’occupe de toi papa ?
S’il te plait.
Maman se couche sous l’homme et s’empare de sa bite avec sa bouche. Je continu de pistonner l’homme, ma boule gonfle de plus en plus, je vais la lui introduire, je sens que je vais avoir de nouveau cette merveilleuse sensation. Je donne un ultime coup de rein, ma boule entre dans la rondelle.
Putain, il me l’a mise, quel membre, je vais jouir, vas-y ma chérie, prend mon jus, il est pour toi.
Je sens la rondelle se refermer sur ma bite, l’homme tremble, s’agite pendant que je lui remplis la grotte avec mon liquide.
Oui, il jouit en moi, bois ma chérie, bois ton père.
Au bout d’un moment, maman se redresse, elle vient poser ses lèvres sur celles de l’homme. J’essaye de me dégager, mais je suis coincé, c’est plus difficile avec lui qu’avec maman et son amie. Il faut un bon bout de temps pour que je réussisse à ma libérer. Je suis épuisé, j’aime bien faire ça, mais c’est très fatigant, je ne pense pas pouvoir recommencer de sitôt. Je vais me coucher sur ma couverture. Maman vient me caresser, sa main glisse sur mes poils.
Merci mon petit Zlatan, tu m’as rendu très heureuse, ainsi que maman et papa, nous allons être très heureux avec toi, j’espère que toi aussi tu seras heureux avec nous.
Je ne sais ce qu’elle me dit, mais je suis super bien et j’espère que ça va durer très longtemps.
