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Drague avec mes fesses – Chapitre 8




Je me détends sous la douche, quand je reviens au salon, Sandrine est toujours dans la même position, je viens vers elle inquiète, mais son sourire épanoui me rassure. 

 

Ça va ? 

On ne peut mieux, je suis remplie de sperme et j’ai toujours un énorme pieu dans mon sexe, que demander de plus. 

 

Je rejoins Carole sur le divan, elle se jette sur mon sexe, mais je veux me réserver pour Farouk. 

 

S’il te plait, tout à l’heure. 

Tu veux te faire mettre par Farouk ? 

Pas toi ? 

Après ce que je viens de voir, bien sûr. 

 

Sandrine se redresse. 

 

C’est fini, je sens son sexe réduire, il va me libérer. 

 

Quelques secondes plus tard, je vois le sexe de Farouk sortir de celui de Sandrine, son bulbe est encore assez gros. Elle se lève et se dirige vers la salle de bain, sa main plaquée sur son sexe. 

 

Je vais me rafraîchir. 

 

Elle disparait en direction de la salle de bain. Farouk se lèche la bite allongé sur le tapis. Je suis de plus en plus excitée, j’ai envie de jouir. Je prends la tête de Carole et la dirige doucement vers mon sexe. Elle comprend tout de suite et se jette sur ma chatte pour la bouffer allégrement. Je ne résiste pas et jouis tout de suite. 

 

Oui, vas-y ma chérie, j’aime ta langue. Oui, oui, AAAAAAHHHHH. 

 

Farouk redresse la tête, nous regarde, se lève et vient vers nous. Je me libère de la langue de Carole et me précipite à quatre pattes sur le sol. Sa truffe vient se coller à mes fesses, je suis parcouru par un violent frisson, impatiente de découvrir ce nouveau plaisir. Tout à coup, je sens son poids sur mon dos et sa bite tenter de me posséder en buttant sur mes fesses jusqu’à trouver le passage et me pénétrer d’un seul coup. 

 

Oui, oui, aahh quelle sensation, vas-y mon Farouk, vas-y. 

 

Je sens sa bite me labourer à un rythme infernal, jamais je n’ai été possédée comme ça. Il ralenti le rythme, je sens un liquide couler en moi, et mes lèvres être forcées pour laisser le passage à son bulbe. Jamais un tel engin ne m’a pénétré, mais tout se passe en douceur, ma vulve est dilatée au maximum et reçoit avec plaisir cet énorme vit en son sein. Farouk est parcouru de petits soubresauts tout en continuant à se vider en moi. Je suis continuellement parcourue de spasmes de plaisir, je jouie sans interruption. Je suis tout à mon plaisir et ne vois pas Sandrine revenir de sa douche. Elle s’assoit à côté de Carole. 

 

Je vois que tu n’as as eu besoin de conseils. 

Je t’ai bien observé. 

Ça te plait ? 

Je n’aurais jamais imaginer un tel plaisir avec un tel engin. 

 

Farouk se vide toujours par petites giclées, ça dure plusieurs minutes, je fini par faire comme Sandrine, poser ma tête sur le sol pour être plus confortable, parcourue d’ondes de plaisir. Au bout d’un bon moment, je sens la boule de Farouk se résorber, il va bientôt me libérer. 

 

Il se dégonfle. 

Ne bouge surtout pas quand il t’aura libéré. 

Pourquoi ? 

Tu verras. 

 

Sandrine se lève et attend que Farouk se retire dans son coin. Je reste le cul en l’air, je sens l’air sur mes lèvres intimes, mon sexe est encore ouvert. Des doigts le caressent un instant et s’enfoncent doucement. Sandrine me fiste !!! 

 

Je sens sa main entrer en moi sans aucuns efforts, quand elle l’a introduite entièrement, mes lèvres se referment sur son poignet, emprisonnant sa main dans mon sexe. 

 

Putain, vas-y, défonce-moi. 

 

Sandrine ferme son poing et commence des va et vient d’abord lents et courts. Elle accélère le mouvement en amplifiant le geste, à tel point qu’au bout de quelques va et vient, sa main sort de mon sexe pour s’enfoncer encore plus profond immédiatement après. Après la série d’orgasme que m’a fait ressentir Farouk, je suis de nouveau complètement anéantie par un violent orgasme et je m’écroule à terre, libérant la main de Sandrine. Je reste allongée sur le tapis savourant les messages de plaisir que me communique mon corps. Quatre mains se posent dessus et le parcourent, passant du dos aux fesses, augmentant mon plaisir. 

 

Merci les filles, c’était génial. 

De rien ma grande. 

 

Je reviens doucement à moi et fini par me lever pour aller m’allonger sur le divan. Une bouche vient se poser sur mon clitoris tandis qu’une autre se pose sur mes seins. Je me laisse faire et fini par jouir encore deux fois. Je suis au bord de l’évanouissement. 

 

Merci les filles, mais il faut que je me repose, je n’en peux plus. 

Ok, c’est ton tour Carole. 

Tu crois que Farouk va pouvoir s’occuper de moi ? 

On n’a qu’à lui laisser un petit instant pour se remettre en le faisant sortir pour qu’il pisse et se détende, laissons Julie récupérer et allons préparer le repas. 

Ok. 

 

Carole appelle Farouk, le fait sortir dans le jardin et rejoint Sandrine dans la cuisine. Je me laisse aller à somnoler pendant qu’elles préparent tout. Je suis encore dans les vaps quand je sens une bouche me titiller le mamelon gauche. 

 

Debout ma belle, c’est l’heure de manger. 

 

Nous nous installons à table, toujours à poil, et commençons à manger. Farouk se lève et vient se glisser sous la table. Carole a un sursaut. 

 

Putain, il veut me lécher la chatte. 

Et ça te déplait ? 

Non, mais je ne m’y attendais pas. 

Ouvre les cuisses, et profite. 

 

Je me penche sous la table, Carole a les cuisses grandes ouvertes et Farouk s’active sur son minou. Je remarque que Sandrine aussi a les cuisses grandes ouvertes, elle doit attendre son tour. Je me redresse et en fait autant, espérant une visite de Farouk. Nous continuons le repas, lancées dans une grande discussion sur le sexe entrecoupées par les orgasmes de Carole quand soudain je remarque que Sandrine a changé d’attitude, elle semble concentrée sur quelque chose. En me penchant sous la table, je comprends, Farouk a abandonné Carole et est venu se positionner entre ses cuisses. Je trouve qu’elles ont beaucoup de chance toutes les deux, mais j’admets tout de même que j’ai eu ma part dans cette superbe matinée. Le repas se termine, sans que Farouk ne m’ai rendu visite, nous débarrassons la table et emmenons tout à la cuisine. Farouk nous suit. Au moment ou je pose les verres dans la machine à laver la vaisselle penchée en avant, je sens la langue de Farouk se glisser entre mes fesses. Je reste en position, Farouk insiste pour atteindre ma rondelle, aidé par mes deux mains qui écartent mes fesses au maximum. Je suis parcourue de frissons, cette langue sur mon anus éveille en moi des sensations oubliées. Je décide soudain qu’il me faut le vit de Farouk dans le cul. Une fois la machine lancée, nous retournons au salon. Je m’occupe de Carole avec Sandrine. A bout d’un moment elle est au bord de l’extase, nous nous arrêtons, d’autant que Farouk est devant nous, il semble attendre son tour. 

 

Carole, tu y va ? 

Bien sûr. 

 

Elle se met à quatre pattes, Farouk lui saute dessus et lui plante son vit d’un seul coup jusqu’à la garde. 

 

Oh putain, quel pied. 

 

Farouk se déchaine dans la vulve de Carole, j’en profite pour aller faire une petite toilette et me faire un lavement pour la suite des évènements. En ouvrant un tiroir, je tombe sur une poire à lavement emmanchée d’une canule légèrement courbe qui ressemble étrangement à une belle bite. Je pense que Marie ne doit pas se contenter de se faire prendre par la vulve, Farouk doit connaitre un autre chemin. Une fois prête, je retourne au salon ou Carole est toujours montée par Farouk qui doit se vider en elle. Sandrine vient vers moi. 

 

Elle a eu quatre orgasmes de suite, je crois qu’elle aime particulièrement. 

 

Carole finit par se libérer de Farouk et vient s’assoir à côté de nous. 

 

Maintenant, je comprends ma sur, c’est fabuleux, il me faut un chien. 

N’oublie pas qu’un chien c’est un entretient, il faut le sortir au moins deux fois par jour, il lui faut de l’espace, donc un grand appartement, sans parler du véto, de la bouffe et j’en passe. 

C’est vrai, mais je suis sûre que plus tard, quand j’aurais une maison comme celle-là, j’aurais un chien. 

Pourquoi pas, et je viendrais te voir souvent. 

Que quand j’aurais le chien ? 

Mais non ma chérie, je crois que nous ne sommes pas prêtes de se séparer vu la tournure que prennent les évènements. 

N’oubliez pas Florence. 

Tu crois qu’elle acceptera de te partager ? 

Ce n’est pas négociable, ou elle est d’accord, ou c’est fini entre nous, mais je crois qu’avec ce qui s’est passé hier, elle devrait être d’accord, et même participer. 

Ça va finir par faire du monde. 

Plus on est de folles, plus on rit, surtout que si ma sur apprend ce qui s’est passé ici, elle voudra aussi en être, j’en suis sûre. 

Elle vit seule ? 

Oui, elle ne s’est jamais mariée, elle aime les hommes et les femmes, mais nous n’avons jamais rien fait ensemble, elle compartimente. 

Et tu lui diras ? 

Nous lui dirons ensemble. 

Et comment va-t-elle le prendre d’après toi ? 

Je vous pari qu’elle nous demandera comment nous avons fait et nous fera voir comment elle fait. Elle est un peu exhibitionniste. 

Ça promet. 

Tu sais si ta sur se fait sodomiser par Farouk ? 

Par Farouk, je ne sais pas, mais je sais qu’elle aime ça. 

Elle doit avoir un gel anal alors ? 

Je pense, dans sa chambre, tu veux te faire enculer par Farouk ? 

Pas vous. 

Moi, je sais déjà ce que ça fait, et j’y retournerais bien. 

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