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Mes premiers émois avec mon père – Chapitre 3




Le lendemain matin, quand je me lève mon père est parti à son travail. Je suis seul avec ma mère.

« Tu as passé une bonne soirée mon grand »

« Oui maman jétais avec papa.. »

« Vous avez lair enfin de bien vous entendre »

« Oui papa est très gentil avec moi »

« Cest bien je suis soulagée. »

Si seulement elle savait.

Je pars au collège.

Le portail est fermé. Des élèves attendent louverture. Je me mets en retrait pour attendre. Au moment où le portail souvre, Philippe arrive et se dirige vers moi. Nous nous disons bonjour et il me demande si je suis libre après les cours nous devons sortir à 16H00.

Il veut que nous retournions à la cave Je suis daccord

Dés la fin du dernier cours il sapproche de moi et me dit discrètement : « avance-toi va sous lescalier et met toi nue, jarrive »

Sans répondre je quitte la salle et vais rapidement dans la cité voisine je descend dans les caves je passe sous lescalier jattends que la lumière séteigne cest très silencieux pas un bruit. Je me déshabille Une fois nue jai un début dérection, Jattends nue dans le noir un garçon qui veut mutiliser pour son plaisir. Je ne me sens pas très bien, je me sens honteuse. Jentends quelquun descendre je reste silencieuse sous lescalier. Cest Philippe. Il vient dallumer la lumière et dit « tu es là ? »

« Oui »

« Viens à la lumière salope que je vois ton petit cul»

Jobéis. Je me tourne. Philippe sapproche de moi, il me caresse les fesses « ça va petit pd ? »

« Oui Philippe ça va »

« ça ne te dérange plus que je tappelle petit pd ? »

« Non Philippe »

« ça ne te dérange plus que je tappelle petite tapette ? »

« Non Philippe »

« Tu es une salope »

« Oui Philippe je sais »

Je me complet dans ce dialogue où je suis humiliée. Ça me plait, je me sens bien.

« Alors aujourdhui tu vas me sucer. A genoux chienne »

Voyant que je mexécute il me demande : « tu as déjà sucé des queues ? »

« Non Philippe jamais » Je ne pouvais pas lui dire que javais déjà fait ça et en plus sur la queue de mon père.

Il ouvre son pantalon et sort une queue que javais déjà vue mais là Philippe bande un peu Il sapproche, je prends son sexe en main, relève sa queue et commence à lui lécher la hampe. Il se met à durcir immédiatement.

« Tu suces super bien, vas-y salope lèche hmmmmm »

Je sens que je lui fais du bien. Je descend et lui lèche les couilles. Je suis excitée jai une érection.

« Petit pd, ça te fait bander davoir une bite dans la bouche. Dis moi que tu es un petit pd, salope »

« Je suis un petit pd Philippe »

Lui dire cela mexcitais encore plus. Je le suçais goulument, son gland dans ma bouche, ma langue sen délecte.

Philippe commence à sagiter, il est très excité, il me prend la tête et cest lui qui fait des vas et viens dans ma bouche. Je me laisse faire, je suis à sa merci, ça mexcite, il me traite de pute, de salope, de chienne, son corps se tend, il jouit. Je reçois deux jets de sperme dans la bouche, je recrache tout. Il sort sa queue de ma bouche et marrose le visage. Je me sens soumise humiliée, salie, sale.

« Cétait trop bon. Tu suces mieux que les filles »

Il semble devenir gentil.

« Il faudrait que tu acceptes de venir chez moi, on samuserait bien »

Je ne réponds pas. Mon visage dégouline de sperme. Il se rhabille.

« Bon je te laisse, merci tu es très bonne, il faut que jy aille, à la prochaine » et il sen va.

Je me retrouve seule sous lescalier je nai rien pour me nettoyer. Quelquun peut me découvrir dune minute à lautre. Je cède à la panique, je prends mon slip, je messuie rapidement le visage et la poitrine, je mets ce slip sali du sperme de Philippe, je mhabille très vite et me sauve de cet endroit.

En rentrant chez moi ma panique se calme. Jai honte de ce que jai fait. En marchant je sens lodeur forte et acre du sperme. Cette odeur mentoure.

Je rentre chez moi, il ny a personne. Je vais me doucher et me changer pour ne pas que mon père ou ma mère sente cette odeur sur moi.

Le soir après le repas je suis avec mon père et ma mère devant la télé et je mate mon père. Ma mère ne voit rien mais mon père le remarque.

Jaimerais être dans les bras de mon père, sentir sa chaleur, son odeur, ses poils

Au bout dun moment ma mère nous embrasse elle va se coucher.

Nous restons un moment seul mon père et moi. Personne ne parle.

Au bout dun long moment il me dit sans quitter la télé des yeux :

« ça va ma chérie ? »

« Oui papa »

« Je te trouve très belle ce soir Virginie »

« Merci papa »

Mon père ne ma jamais complimenté ni encouragé. Il a fallu que je devienne une fille à ses yeux pour quenfin il croie en moi. Je me sens bien.

« Viens à côté de moi »

Jobéis et massois à côté de mon père sur le canapé. Il passe un bras sur mes épaules et me serre contre lui. Je me blotti contre mon père. Je passe ma main sous son teeshirt et lui caresse son ventre poilu.

« Tu aimes les poils, hein ma chérie »

« Oui papa ils sont doux »

« Tu veux y mettre ton visage dedans ?»

« Oui papa »

Il prend ma tête et la dirige vers son ventre en soulevant son teeshirt. Je plonge mon visage dans les poils de mon père, je sens la chaleur de son ventre, son odeur naturelle mélangée au parfum du savon quil a utilisé pour sa douche. Je passe ma langue dans les poils. Je sens que ça lui plait. Il prend ma tête la dirige vers son pubis, il baisse le devant de son jogging et me dit :

« Vas y lèche là il y a beaucoup de poils. »

Je me mets à lécher goulument les poils au dessus de son sexe.

« Tu aimes vraiment les poils, ma chérie »

Mon père bande très dur. Il passe une main sur mes fesses et me les caresses.

« Tu veux encore plus de poils chérie ? »

« Oui papa, jaime tes poils, ton odeur et ton gout »

« Lève toi salope, je vais te rendre heureuse »

Nous sommes tous les deux debout, il lève son bras et tourne mon visage vers son aisselle. Cest une touffe énorme de poils noirs épais. Mon regard se fixe sur cette zone. Lodeur naturelle de mon père sen dégage puissamment.

« ça te plait petit pd »

Je ne réponds pas.

« Approche ton visage »

Jobéis.

« Met ton visage dans les poils, je suis sûr que tu aimeras »

Je mavance sous son bras levé et je plonge mon visage dans les poils de laisselle de mon père. Lodeur agréable et virile de sueur fraiche, la douceur de la peau, lépaisseur des poils mexcitent énormément. Je frotte tout mon visage dans cette touffe et je ne peux mempêcher de commencer à lécher.

Je suis excitée, je respire fort je lèche

« Cest bien salope, lèche bien. »

Ses poils sont mouillés de ma salive, je narrête pas de lécher.

« Viens faire lautre côté, cochonne. »

Les mots quutilise mon père mexcitent encore plus. Je passe sous son autre bras et je recommence mon léchage consciencieux de laisselle très poilue de mon père.

« Tu aimes ça hein ma salope ? »

Je ne réponds pas pour ne pas arrêter mon plaisir davoir le nez et la langue sous le bras de mon père. Je suis envoutée, je ne suis plus moi-même. Mon père me prend une main et la dirige vers son sexe tendu, je comprends ce quil attend de moi, je le prends en main et tout en léchant son aisselle, je le branle énergiquement. Il respire fort.

« Tu aimes ça la queue hein putain ? »

« Oui papa »

« Dis moi que tu es une salope ma chérie »

ça excite mon père quand je lui dis que je suis une salope et je ne veux pas le décevoir.

« Je suis une salope papa »

« Alors met toi à genou et taille moi une pipe comme une putain que tu es »

Il appuie sur mes épaules pour me faire mettre à genou devant lui, face à sa queue dressée et baveuse. Je met son gland trempé dans ma bouche je le déguste et je commence mes va et viens sur sa queue bandée, veineuse épaisse.

« Jai jamais vu une salope pareille, se régaler à lécher les aisselles dun mec, tu es vraiment une trainée ma fille. »

Il éjacule dans ma bouche sans prévenir, il me tient la tête.

« Avale salope, avale le foutre de ton père. Putain»

Je nai dautre choix que dobéir. Le liquide chaud et visqueux arrive par saccades dans ma bouche et javale au fur et à mesure. Après 4 ou 5 jets, mon père se calme. Il sort sa queue de ma bouche.

« Cest bien chérie, tu as le sperme de ton père dans ton estomac, il ne me reste plus quà me vider les couilles dans ton cul et tu seras une vrai femme »

Je suis gênée par sa vulgarité et le brin de déconsidération à mon égard, jai limpression dêtre vu comme son réceptacle à sperme. Je comprends aussi de quoi il parle en voulant vider ses couilles dans mon cul, mais je me dis que vu la taille de sa queue elle ne rentrera jamais dans mes fesses. Mon père doit lire cette petite inquiétude sur mon visage.

« Ne tinquiète pas chérie, je tapprendrai à te détendre et à te dilater comme une vrai femelle et tu aimeras cest toi plus tard qui demandera de te faire mettre. » Je suis étonné de cette dernière phrase.

« ça ta plu mon cur ?»

« Oui, cétait bien »

Il mappelle mon cur cest tendre, ça mémeut.

Il se penche vers moi, mattrape la tête entre ses mains, et membrasse sur la bouche. Sa langue fait son chemin dans ma bouche et me caresse. Jaime quand il membrasse comme une femme. Je me sens très femme à ce moment là dans ses bras.

« Bien bonne nuit chérie, dis moi ton Philippe est toujours sur toi ? »

« Bonne nuit papa, oui il a voulu que je le suce »

« Tu las fait ? »

« Oui père, je lai sucé dans la cave de limmeuble dont je tai parlé »

« Il a joui comment chérie ? »

« Dans ma bouche papa »

« Et tu as avalé son sperme ? »

« Non papa jai tout recraché »

« Tu as aimé ça, salope »

« Oui papa jai beaucoup aimé »

« Tu vois, tu aimes le sperme comme toute vrai salope qui se respecte, ma chérie, il est temps que je fasse de toi une vrai femme »

Le fait davoir gagné lamour de mon père en acceptant dêtre considéré comme une fille par lui, me fait aimer cette nouvelle condition de fille. Mon prénom est désormais pour lui Virginie, il me traite comme une fille sentimentalement et sexuellement. Ça me plait et sexuellement cela mexcite beaucoup.

Au lycée le lendemain. Je croise Philippe qui me sourit. Il sapproche de moi et me dit doucement dans loreille :

« Alors tu es la protégée de ton père »

Je le regarde étonné je ne comprends pas

«Ton père est venu me voir pour me dire quil ne voulait plus que je te vois. »

« Il tas dit ça ? »

« Oui petit pd, donc ton père sait que tu es un pd ? »

« Oui »

Philippe sen va en souriant.

Je suis surpris par la démarche de mon père envers Philippe. Veut-il me protéger ?

Le soir après le repas ma mère va chez notre voisine pour bavarder comme ça lui arrive de temps en temps. Je me retrouve seule avec mon père dans la cuisine.

« Philippe ma dit que tu lui avais parlé »

« Oui je suis allé le voir pour quil cesse de te voir, si tu dois avoir des relations sexuelles avec dautres que moi je veux que tu me demandes mon avis avant ok ?»

« Ok papa » Dis-je un peu déçu. Je commençais à aimer à me donner à Philippe »

« Approche »

Je me rapproche de lui. Il me prend dans ses bras, me serre contre lui. Je passe mes bras autour de son cou. Il descends ses mains sur mes fesses et me les pétris à pleine main. Je sens son sexe durcir contre moi. Je me laisse faire.

Il me chuchote dans loreille : « Jadore tes fesses, Virginie»

« Merci »

Je sens son sexe très dur contre moi. Il me pétri les fesses avec des mouvements lents. Je suis bien.

Il descend son visage à hauteur du mien et membrasse sur la bouche. Je sens sa langue baveuse envahir ma cavité buccale. Je goutte sa salive, jaime son gout ça mexcite et mon père le sent.

« Je te sens vraiment femme »

« Oui je me sens femme aussi »

Il me regarde et me dit :

« Tu as déjà vu ta mère nue ? »

Pourquoi me pose-t-il cette question ? Je réponds :

« Non »

« Tu aimerais la voir ? »

Je reste sans réponse. Lidée de la voir mexcite, mais je nose pas le dire. Et nest-ce pas la trahir ?

« Si tu veux je peux te la montrer nue, sans quelle sen aperçoive. Je lui ferai lamour et tu pourras tout voir. Il faudra quand même faire attention quelle ne te voit pas. »

Toujours sans voix je regarde mon père, il me voit interrogatif et un peu surpris.

« Si ça tintéresse pas on ne le fait pas chérie »

« Si, je suis daccord, je veux voir » dis-je avec empressement.

« Et puis tu verras comment font les femmes et tu pourras faire pareil par la suite »

Je rougis.

« On va essayer de faire ça ce soir, chérie »

Je suis surpris de lempressement de mon père.

« Tu vas aller te coucher, quand ta mère rentrera je lui dirai que tu dors depuis longtemps, et je lamènerai dans notre chambre, quand je viendrai ouvrir la porte de ta chambre ce sera le signal que tu pourras venir, ok »

« Ok papa »

Je me couche. Un long moment après jentends ma mère rentrer. Je lentends parler et rire avec mon père. Jattends encore un très long moment sans ne plus rien entendre. Enfin ma porte souvre. Je suis hésitant, jai peur que ma mère me voit. Je me lève enfin, je mavance lentement vers leur chambre. Jentends des chuchotements. La porte est grande ouverte. La lumière est tamisée. Je vois mon père et ma mère à genou sur le lit, enlacés. Mon père est nu, ma mère est en combinaison noire. Mon père me voit et me fait un clin dil. Il serre ma mère contre lui passe ses mains sur ses fesses, soulève sa combinaison, au dessus de ses reins. Ma mère est en porte-jarretelles, et culotte noire et grise assortis. Ses jambes sont enveloppées dans des bas noirs. Je suis fasciné par ce que je vois. Je suis très excité.

Mon père demande à ma mère de se mettre à quatre pattes. Elle obéit, ses fesses sont tournées vers moi. Mon père se penche et lembrasse à pleine bouche, puis lui dit :

« Tu es très belle chérie »

« Je te plait ? »

« Regarde dans quel état tu me mets »

Il lui montre sa queue bandée.

« Humm elle est grosse chéri »

« Cambre toi »

Ma mère obéit et en même temps mon père remonte sa combinaison sur ses reins. Jai devant moi les fesses de ma mère cambrée, genoux écartés, mon père rentre sa culotte dans la raie de ses fesses, japerçois les lèvres de la chatte de ma mère. Je suis très excité.

Mon père lui tapote les fesses.

« Tu as un cul qui mexcite, petite cochonne » lui tapant les fesses un peu plus fort.

« Tu trouves que je suis une cochonne ?»

« Oui surtout quand un mec matte ton cul et que tu fais tout pour lexciter »

« Si ça te gêne jarrêterai chéri »

« Non au contraire continue salope. Ça mexcite de voir les mecs baver devant ton cul. Attend je vais tenlever ta culotte »

Mon père fait glisser la culotte de ma mère sur ses fesses et je découvre tout son entre-jambe. Sa chatte est humide. Mon père lui demande de bien se cambrer à nouveau. Sa chatte apparaît magnifiquement sa raie est ouverte son anus est tendu. Je suis au comble de lexcitation. Mon père caresse le cul rentre des doigts dans la chatte qui est trempée il met aussi un doigt dans son anus et à ce moment là nos regards se croisent et mon père souris.

Il se met au dessus des fesses de ma mère jambes écartées et plante sa queue dans la chatte de ma mère qui gémit bruyamment.

« Hou chérie tu es bonne »

Ma mère est haletante, elle encaisse certainement les coups de reins de mon père qui me paraissent violent.

« ça te plait salope ? »

« Ho oui chéri cest bon enfonce là bien au fond »

Mon père redouble de violence. Ma mère gémit plus fort. Mon père accélère le mouvement se dresse et crie :

« Prends ça dans le con ma salope de femme, haha cest bon »

Ma mère jouis bruyamment. Elle sallonge. Mon père fait de même sur elle sans sortir de sa chatte. Je comprends que le spectacle est fini. Je retourne dans ma chambre, ivre dexcitation. Je me branle frénétiquement en imaginant que je suis à la place de ma mère dans la même tenue avec mon père dominateur sur moi. Je ne tarde pas à jouir abondamment et mendormir.

Le lendemain matin, mon père est dans la cuisine, ma mère dors encore, je le rejoins.

« Alors tu as aimé ce que tu as vu hier soir ? »

« Oui cétait très excitant »

Seulement den parler jai déjà une érection et je vois que mon père aussi.

« Comment tu as trouvé ta mère ? »

« Très belle et excitante »

« Cest aussi une belle salope, tu trouves pas ? »

Je suis surpris du terme employé pour ma mère, mais il mexcite. Je ne réponds pas.

« Tu as vu comme elle aime la queue et comme elle aime être ma femme? »

Je suis très excité, jai une érection qui me fait mal tant ma petite queue est dure. Je respire fort. Il sen aperçoit. Il me prend dans ses bras. Je passe mes bras autour de son cou. Il menlace en posant ses mains sur mes fesses. Il se penche et me chuchote dans loreille :

« Tu aimerais être ma femme comme cette salope ? »

Je sens son sexe dur contre mon ventre, je suis très excitée et je mentends répondre malgré moi :

« Oui papa je veux être ta femme »

« Tu thabilleras et tu te maquilleras comme ta mère ?»

« Oui, je ferais comme maman »

Il membrasse sur la bouche, sa langue rentre dans ma bouche. Je goutte à sa salive abondante que jaime et qui mexcite. Il me caresse le dos et les fesses.

« Je te baiserai dans le même lit où je baise ta mère »

Je suis honorée et excitée quil veuille me baiser dans le même lit où jai vu ma mère se faire prendre par mon père.

« Oui papa je veux être ta femme »

« Ne mappelle plus papa, Virginie, à partir de maintenant tu mappelleras « mon chéri » ou « mon homme » ou autre chose dans le genre tu vois ? »

« Oui mon homme je veux être ta femme »

« Virginie tu seras ma femme salope, tu es daccord ? »

« Oui mon chéri »

Dappeler mon père ainsi je me sens dans la peau dune femme, sa femme. Jai envie de le satisfaire, je veux quil maime. Je me serre contre lui, je déboutonne sa chemise et passe mes mains dans ses poils. Je sens quil apprécie, et cela mexcite énormément. Mon père me dit doucement :

« Tu aimes les poils »

« oui jadore les toucher »

« Tu veux mes dessous de bras, amour »

« oui, je veux bien »

Il en lève son teeshirt, lève un bras et je mengouffre sous son aisselle où je plonge mon visage. Je sors ma langue pour lécher, jaime lodeur et le gout de mon père. Il me laisse lécher un moment puis me demande :

« Virginie, il faut quon arrête, ta mère va se réveiller, cest son heure »

Je ressors de dessous son bras. Jai le visage mouillé de ma salive. Mon père messuie avec un papier. Et nous prenons notre petit déjeuner. Il me dit doucement :

« Tu sais que ta mère ne ma jamais fait ça, tu sembles être plus cochonne quelle, cest bien Virginie »

Je lui souris satisfaite de ce que je prends pour un compliment.

Ma mère rentre dans la cuisine.

« Bonjour les hommes »

Elle se trompe me dis-je en moi-même, je mappelle Virginie et mon père veut que je devienne sa femme. Mon père aura deux femmes ma mère et moi.

Au lycée Philippe est gentil avec moi. Il veut que jaille le voir chez lui mais je ne peux pas, il faudrait que je demande dabord à mon homme et je sais que ce nest pas le moment. Je demande à Philippe dêtre patient. Jespère toute la journée pouvoir passer un moment seule avec mon père.

Arrivé chez moi après les cours ma mère me dit :

« Ton père ma dit que tu aimerais que je tachète des djinn très serrés à la place de ce que tu portes, cest vrai ? »

Je suis surprise, je nai jamais rien dit de tel à mon père, mais je comprends quil me veut habillée comme cela.

« Oui jaimerais bien maman »

« Cest surtout les filles qui portent des djinn très moulant, mais quelques garçons en porte aussi. Cest comme tu veux, si tu veux on va les acheter maintenant, on a deux heures devant nous avant que ton père rentre»

« Ok maman allons-y »

Au magasin où nous nous rendons le vendeur nous dit que les djinn très serrés sont unisex. Jen essaye un. Il est déjà bien serré, mais le vendeur dit à ma mère :

« je crois quil pourrait essayer la taille en dessous »

Ma mère : « mais ça va faire trop serré, non ? là déjà il est bien moulé »

« Nous allons voir » dit le vendeur.

Jessaye la nouvelle taille, jai du mal tant il me serre les jambes puis je le ferme en haut et là je me sens totalement enveloppée, à découvert, on voit toute mes formes.

« ces djinn se portent comme cela madame, il lui va à merveille »

« chéri il ne te serre pas trop ? »

En effet il me serre vraiment fort mais une fois devant le miroir, je vois mes fesses mises en valeur de façon presque outrancière et devant mon petit sexe semble avoir disparu je suis plat comme une fille. Je trouve cette tenue très à mon gout.

« non maman il est très confortable, je me sens bien dedans »

« bon écoute cest toi qui le portera . »

Ma mère me regarde et me dit :

« maintenant avec ce djinn chéri tu ne peux plus porter ce sweat shirt large et ces grosses chaussures.

Le vendeur :

« oui en général il faut porter un petit teeshirt très court et des petites baskets de couleur claire »

Jessaye teeshirt et basket et je me fixe sur un teeshirt jaune et des baskets de la même couleur.

« Tu es flashee comme cela mon chéri. »

« oui ça me plait maman ».

Le soir mon père rentre et ma mère lui dit que nous avons fait des achats. Mon père demande à ce que je porte ce que nous avons achetés pour voir. Je vais me changer et revient devant lui. Il a les yeux qui brillent.

« ça te va très bien, Eric, tu es magnifique »

Ma mère sourit du compliment de mon père. Elle est contente que je plaise à mon père.

Après le repas ma mère va se coucher. Je suis satisfaite je vais être seule avec mon père.

Dans le salon mon père me dit :

« Avec ces habits tu es une vrai petite tapette ma chérie »

« Merci dis-je fièrement »

« Met toi debout petite salope »

Jaime quand mon père me parle ainsi parce que je sais que je lexcite.

Je me lève et je me tourne directement pour lui montrer mes fesses.

« Tu aimes montrer ton cul hein petite tapette ? Avec une tenue pareille je peux te dire que les hommes vont lever les yeux sur toi, surtout si tu te déhanches un peu. Vas y marche là en te déhanchant un peu»

Je traverse le salon en me déhanchant, mon père me mate.

Il se lève, je le sens très excité. Il se plaque contre mon dos, me serre contre lui, je sens son sexe dur sur mes reins.

Il prend mon visage et le tourne pour membrasser. Ma bouche est remplie de sa langue, de son gout. Je me laisse faire. Il se baisse et me donne des coups de reins sur les fesses. Je sens son sexe dur frotter sur mes fesses. Je me cambre pour les lui offrir et mieux sentir son sexe.

Il me dirige vers ma chambre, il ferme à clefs.

« Je vais te dépuceler, Virginie » Me dit-il très excité.

Jappréhendais ce moment le voilà arrivé.

« Il me déshabille complètement ». Jadore ce moment.

Je suis nue, mon petit sexe en érection.

Mon père se déshabille devant moi. Il est grand, poilu avec un ventre qui avance un peu et sa queue raide dressée au dessus de ses couilles magnifiques. Il mallonge sur mon lit, sallonge à côté de moi, me serre contre lui. Il membrasse, me caresse, me tripote. Je suis aux anges, je me laisse faire totalement abandonnée. Je suis sur le dos, mon père vient sur moi. Je me sens écrasée par son poids. Il membrasse, me lèche le visage. Ensuite il me tête les seins, me les lèche, je me sens femme, je lui donne mes seins. Il descend sur mon corps, il prend mes jambes et il les pousse sur ma poitrine. Mes fesses sont exposées, il plonge son visage dans ma raie et me la lèche. Sa langue baveuse me parcours lintimité. Je suis sur un nuage, sa langue sattarde sur mon anus déjà trempé de sa salive, il essaie de rentrer sa langue à lintérieur. Je gémis. Il relève sa tête et glisse un doigt dans mon petit trou. Le doigt rentre facilement mais je ressens une gêne. Il le ressort lentement puis reviens tout aussi lentement et ce pendant plusieurs aller retour. Il replonge ensuite son visage dans mes fesses et reprend sa lèche en règle de ma raie. Sa langue rentre à nouveau ans mon petit trou et en même temps il enfonce deux de ses doigts. Je me sens dilatée, sans vraiment de douleur mais sans vraiment de plaisir non plus. Il fait des va et viens avec ces deux doigts dans mon rectum et crache pour lubrifier encore.

Mon père est très excité. Beaucoup plus que moi. Jai limpression dêtre un peu le spectateur de tout ça. Je suis sur le dos les jambes en lair appuyées sur ma poitrine, mes fesses ouvertes. Je regarde mon père saffairer sur mon intimité. Je ressens un mélange de crainte de la douleur, dappréhension pour la suite et de culpabilité vis à vis de ma mère, son mari la trompe avec moi, son fils.

Mon père rajoute un troisième doigt qui créée au début une douleur qui satténue rapidement. Les vas et viens avec trois doigts dans mon petit trou me donnent limpression de mélargir naturellement et je mélargis de plus en plus.

Tout en lâchant mes jambes, ce qui me permet de me retrouver allongée, il continue décarteler mon anus et il vient se coucher sur moi.

Je ne sais pas pourquoi mais à ce moment là jécarte les jambes. Je sens mon père satisfait.

« cest bien chérie »

Je lui souris. Il sort ses doigts de mon anus et je sens sa queue dans ma raie. Son gland parcourt ma fente trempée. Il membrasse goulument sur la bouche. Mon anus sest un peu refermé. Les frottements de la queue de mon père dans mon intimité commencent à mexciter. Je ne peux mempêcher de basculer mon bassin en avant puis en arrière lentement. Ma petite queue commence à durcir. Le frottement de ses poils sur moi mexcite. Il recommence son travail douverture de mon petit trou. Je ne ressens plus de douleur.

« Je ne tai pas encore baisée et jaime déjà ton trou salope »

Ces mots mexcitent aussi.

Puis son gland rejoint ses doigts qui me dilatent et mon père pousse sur mon anus. Je me sens prête. Jécarte bien mes cuisses pour lui laisser le passage. Il pousse.

« Détend toi ma chérie et pousse avec ton cul comme au toilette »

Je fais ce quil vient de dire, je sens son sexe forcer à mon entrée sans que je puisse mouvrir. Je reprend mon effort douverture et là je sens mon anus se dilater et mon père me pénétrer. Je suis surprise de ne pas ressentir une grande douleur, pourtant mon père continue de pousser dans mes entrailles. Je me sens remplie, dilatée, écartelée. Mon père me regarde, mobserve, pleine de son sexe bandé. Il me sourit, et me laisse mhabituer à sa colonne de chair.

« ça va ma chérie ? Tu sens bien ma queue ? »

« oui, cest bon » lui dis-je entre deux respirations fortes.

Il commence à se retirer lentement, jai limpression de me vider. On se regarde. Sa queue à moitié sortie il rentre à nouveau. Je me sens moins écartelée. Il me regarde et me dit :

« tu es ma femme »

Je lui réponds oui de la tête.

« dis moi que tu es ma femme »

« je suis ta femme »

« Ecarte tes cuisses salope »

Je remonte un peu mes genoux pour lui laisser meilleur accès à mon intimité. Il continue des vas et viens lents. Je commence à mhabituer à la largeur et à la profondeur de sa pénétration.

« tu es bonne ma chérie »

Je lui souris. Je me sens prise quand son sexe est au fond de moi, comme paralysée. Cette sensation disparaît quand il est presque sorti de mon orifice.

« ça va, ma fille ? »

« oui ça va » lui dis-je un peu essoufflée en souriant.

« tu mappartiens maintenant »

« oui papa »

« Tu es bonne ma chérie »

Je lui souris.

« tu préfères que je te parle avec douceur ou que je te tinsulte ma chérie ? »

Je ne sais pas quoi répondre à cette question. Je commence à me sentir bien. Mon petit orifice me brule beaucoup moins. Mon intérieur a du se dilater, je me sens moins remplie quand mon père est au fond de moi. Mon père doit le sentir, ses vas et viens saccélère un peu.

« ça te plait de te faire baiser, petite enculée ? »

Il ne ma jamais traité avec ce mot. Je suis surprise. Il doit le voir et me dit.

« ça te gêne que je te dise que tu es une enculée ma chérie ? »

Je trouve que ce mot est insultant et dégradant mais je ne sais pas pourquoi, ça ne me déplait pas et je sens que ça plait à mon père. Je finis par dire :

« non mon chéri ça me plait »

Mes mots excitent mon père. Il accélère encore ses vas et viens. Jécarte mes cuisses au maximum. Mon père se relève au dessus de moi, mattrape par les hanches.

« Je vais te baiser comme une vrai pute, chérie »

Il accélère encore ses mouvements en me tenant fermement par les hanches. Je suis secouée violemment. Mon orifice semble maintenant bien dilaté. Je ressens une sensation nouvelle, comme du bien être.

« tu vas me faire jouir petite salope, tu es meilleure que ta mère »

Cette remarque me plait et me fait me sentir femme. Mon père me compare à ma mère, à mon avantage.

« Je vais faire de toi une vrai femme, chérie, je vais tensemencer avec mon sperme et tu le conserveras à lintérieur, comme une vrai femelle »

Mon père est de plus en plus excité, il accélère encore. Il me relève les jambes, il les pose sur ses épaules. Me voilà les jambes en lair, fesses relevées. Il me baise frénétiquement et sans le vouloir je commence à gémir.

« Je savais que tu étais une femelle et que tu aimerais recevoir ma queue »

Je sens son corps se tendre. Il enfonce son pieu au maximum. Je sens ses couilles contre mes fesses. Il étouffe un cri de jouissance, pour éviter que ma mère entende. Il est en train de jouir en moi. Il lâche mes jambes et sallonge de tout son poids sur moi. Son sexe reste à lintérieur. Il fait des petits mouvements très courts avec son bassin qui me secoue.

« Tu es super bonne chérie »

« merci »

Je me rends compte mon érection qui avait disparue au début du travail que mon père a fait sur mon anus, est revenue. Mon petit sexe est dressé. Mon père le voit et me dit :

« tu vois ma puce, ça te plait bien ce que je tai fait. »

Je souris en signe dapprobation. Il membrasse en me caressant. Il sort sa queue. Je me sens vide.

« Maintenant tu pourras dire que tu es ma femme, je tai fait lamour et jai déversé ma semence dans ton corps »

Je souris.

« ça va ? »

« oui merci papa, ça va »

« tu voudras recommencer ? »

« oui papa quand tu voudras »

Il membrasse.

« tu sais que je préfèrerais que tu ne mappelles plus papa ? »

« Je sais, mais . »

« Je sais cest pas facile me dit-il en souriant. Je vais aller me coucher, dors bien ma chérie »

« Merci toi aussi »

Il se lève se rhabille. Son sexe nest pas encore complètement au repos. Ill se penche vers moi, me caresse les seins en membrassant. Il me remercie et sen va.

Je me retrouve seule. Je passe une main entre mes jambes. Je suis mouillée. Mon anus est sensible et paraît très souple. Je rentre deux doigts sans problème, jen ajoute un troisième et un quatrième. Je me sens très élastique. Ça mexcite, ma petite queue est dressée. Je suis heureuse davoir sexuellement satisfait mon père. Je me sens totalement femme, je suis Virginie et je veux le rester. Tout en me caressant lanus je masturbe mon sexe . Je repense à mon père me tenant les jambes en lair, son pieu mécarte mon intérieur, je me sens utilisée comme une poupée, mon père me dit que je suis bonne, je soupire, jéjacule et je mendors.

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