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Première fois en couple – Chapitre 5




Véro colla ses fesses à mes burnes, s’enculant à fond sur ma bite, se frottant les lèvres sur mes cuisses. Je la laissais s’enculer lentement, avançant et reculant sur ma bite, la sortant complètement, la replongeant aux maximum.

Ma bite bien huilée coulissait facilement dans son cu,l m’enserrant doucement, mais surtout mon gland sur son anus.

— Encule moi vas y, pine moi le cul.

Je saisis ses hanches et entrait et sortaient ma queue par coup sec et lent provoquant des gémissements de plaisir à Véro, mes couilles s’écrasant sur ses fesses.

— Oh oui bien, à fond plus for,t claque moi tes burnes sur le cul, viens au fond de moi, écarte moi.

Je lui ramonai le cul augmentant la cadence au fur et à mesure et au bout de 10 minutes la miss me supplia de lui déchirer le cul le plus vite possible. Je la pinai du mieux que je pus, lui éclatant le cul, je la sentis me presser la bite de l’intérieur lorsque un orgasme la traversa déclenchant ma jouissance.

— Tu encules bien, tu vas te régaler Laeti, dommage que tu n’es pas essayée plus tôt parce que ton homme est un pro de la sodomie.

Je restait un moment la queue plantée dans le fion de Véro. Laetitia avait repris ses esprits et pendant les 20 minutes que je sodomisais sa baiseuse, elle s’était rapprochée de Serge et devant le spectacle de ma queue ramonant le cul de Véro sa chatte s’était réveillée, réclamant des caresses.

Serge la caméra à la main nous filmait, la queue bien droite, donnant l’eau à la bouche à Laeti.

Elle se rapprocha de lui, venant dans son dos lui colla ses seins dures sur la chemise, sa chatte se frottant sur une cuisse. Elle glissa une main sur ses couilles par derrière, remontant sur ma bite, saisissant son gros gland turgescent.

Serge écarta les cuisses facilitant la masturbation de sa belle queue par Laeti qui les deux mains sur sa hampe lui astiquait doucement le manche, se régalant du spectacle de Véro sodomiser par ma bite.

Elle se mit à genoux la tête contre les fesses de serge, remontant ses mains caressant ses abdos son torse velue, redescendant sur son gland. Son nez sur le cul de serge, elle goba une de ces boules dans la bouche, la tirant vers le bas, ses mains caressant toujours sa bite.

— Hum oui mange moi bien, continue c’est trop bon.

Laeti sortit sa langue et l’appuya sur la peau sous ses couilles, son nez dans sa raie.

Serge était entièrement rasé sous la ceinture, pas un poil entre ses fesses, sur ses couilles, sur son pubis.

Aussi Laeti avait devant ses yeux et sous son nez l’anus de Serge tout fripé et foncé. Elle ne pus s’empêcher de humer ses fesses par réflexe, ce qui n’échappa pas à Serge.

-oui sens moi les fesses, titille moi l’anus, passe ta langue sur mon cul, mange moi la bite et les fesses.

Laeti léchait toujours ses burnes et le début de sa bite ses mains, le branlant lentement, en douceur, s’attardant sur se gros gland qui l’excitait tant. Elle appuya son nez sur sa rondelle, la frottant de gauche à droite, et remontant sa langue le long de sa raie, lui lécha le cul, tournant autour, entrant le bout de sa langue dans son fion.

Serge gémissait sous les caresses de Laeti filmant toujours nos ébats avec sa femme.

Après notre pied il invita Véro à filmer Laeti et lui, et enlevant sa chemise s’allongea nu sur le dos sur le grand pieu.

Il fit signe à Laeti de le rejoindre et de continuer à s’occuper de sa bite.

Il la positionna en 69, sa foune et son cul sous les yeux.

Les seins de Laeti s’écrasaient sur son torse vélu, à genoux au dessus de lui elle enfourna sa queue dans sa bouche, lui malaxant les couilles des deux mains, les descendants sur ses fesses, le long de sa raie, sur son anus qu’elle taquinait enfonçant un bout de doigts, la langue léchant sa grosse bite.

Elle mouillait sous les coups de langues de Serge qui lui branlait le clito, lui lapait la chatte, la pénétrait, remontait entre ses fesse,s léchait son anus encore sensible, s’enfonçant à moitié dans son fion encore ouvert par la bite de Véro.

Laeti vibraient d’aise et fut ravie lorsque Serge lui demanda de se mettre à quatre pattes pour lui piner la chatte. Elle s’exécuta avec envie s’ouvrant à nos regards.

Serge vint derrière elle, la queue dans la main, il frotta son gland dans sa raie, descendant à la limite de sa chatte, remontant appuyer sur son cul.

Laeti ondulait de plaisir et cria lorsqu’elle le sentit envahir d’une traite sa chatte brulante.

Sa queue ressortie aussitôt, remontant sur sa raie, elle redescendit le long de ses fesses plongeant de nouveaux jusqu’à la garde dans son antre trempé.

Au bout d’une quinzaine de fois, il s’engouffra de tout son long dans sa moule et les mains sur les hanches la bourra à grand coup de bite, lui arrachement des cris de plaisirs accompagnants des coups de reins.

— Tu l’aime ma queue dans ta chatte elle te ramone bien, je te sens m’aspirer la bite.

— Oui, baise moi à fond, défonce moi, oui, encore plus fort,

Serge, les mains sur ses fesses, lui ouvrit le cul offrant son cul encore dilaté à son regard.

Sortant sa queue de sa moule, il la frotta dans sa raie.

— Non reviens, prend moi encore fais moi jouir.

— Ton cul est trop bandant ma belle, il réclame ma queue en plus, ouvre toi bien que je te plante ma bite dans le cul.

Il appuya sur ses reins l’obligeant à se pencher levant ses fesses, elle s’ouvrit encore plus et quand son gland se posa dessus, il n’eu aucun mal à entrer le tiers de son gros gland.

Poussant plus fort et rajoutant du gel il arriva à le rentrer sans douleur pour Laeti, juste une petite gène d’être ainsi pénétrée par une si grosse queue.

Ne bougeant plus il lui laissa le temps de s’habituer à sa taille, puis lorsqu’il sentit la pression diminuer sur sa tige il l’encula jusqu’aux couilles, lentement, se délectant des pressions de ses parois le long de sa bite.

Il se mit à l’enculer lentement, sortant ma queue au maximum, ne laissant que le gland dans son cul.

— C’est terrible, elle me serre bien la bite la petite, son cul est grand ouvert ,un régal, elle est chaude.

Il accéléra le rythme enculant Laeti de plus en plus vite.

Celle ci jubilait d’être ainsi prise, la tête dans le matelas, le cul ouvert et branlé par une grosse bite qui lui envoyait des décharges de plaisir dans les reins.

Elle couinait, criant sa jouissance à se faire enculer, défoncer le cul sous notre regard.

-Ah ha ah, oui oui plus fort, défonce moi, vas y plus vite, encule moi, à fond, baise mon cul, je jouis, ah, ah, ah, quel pied.

Serge juta quelques minutes plus tard dans son cul, lui écrasant les seins dans les mains, allongé sur son dos.

— T’as un cul divin ma belle, j’ai rarement pris autant mon pied à baiser le fion d’une salope comme toi , quand t’as joui, je sentais ton cul me branler la queue, super ma belle, on va bien s’entendre tout les deux je crois.

— Tu m’as bien baisé toi aussi, tu es plus gros que Véro et surtout si chaud et vibrant dans mon cul un pied terrible, je te laisserai bien casser une autre fois mes fesses par ta belle queue.

— A toi mon chéri, viens m’enculer, je veux te sentir au fond de mes reins.

Laeti se retourna sur le dos les jambes grandes ouvertes, elle se palpait les mamelles m’invitant à venir lui coller ma queue dans son cul. Je me positionnais entre ses jambes, m’allongeant sur ma copine, écrasant ses seins sur ma poitrine, ma queue dressée frottant sur ses lèvres qui m’avalèrent jusqu’à la garde mes couilles, caressant ses fesses.

Elle m’embrassa tendrement enroulant sa langue autour de la mienne pour un baiser plein de tendresse et d’amour, me caressant le dos, le torse, mes fesses, flattant mes couilles, ondulant lentement sur ma queue en rythme avec mes petits mouvements de bassin ,frottant ma queue sur les parois de sa chatte.

Mes mains pelotaient sa grosse poitrine qui me faisait tant bander jouant avec ses tétons les tirant, les pinçant.

Au bout de 5 minutes, laeti sa main sur mes couilles, les soupesant caressant ma peau si douce, remonta à la base de ma bite et la saisissant la tira en arrière pour l’extraire de sa chatte.

— Encule moi mon chéri, enfonce ta grosse queue dans mon cul, sodomise moi lentement avec amour, les yeux dans les yeux.

Ma bite en main elle saisit mon gland, le descendit entre ses fesses, le positionnant sur son trou du cul avec un regard de salope elle me supplia de lui ouvrir le cul de la remplir de ma tige.

Mon gland appuya sur son anus qui s’ouvrit sans problème, encore dilaté par les coups de bites de Serge et Véro et par les litres de lubrifiant.

Laeti couinait de bonheur sentant son cul dilater par une nouvelle queue chaude et dure. Sa rondelle s’écarta laissant mon gros gland s’introduire dans son fondement, lui envoyant des ondes de plaisir dans les reins.

Son regard dans le mien elle me cria sa jouissance à sentir ma queue entrer dans ses fesses.

— Oh oui que t’es gros, ton gland m’ouvre bien, oh vas y entre à fond, pousse fort.

Ma queue rentra sans résistance jusqu’à la garde dans ses fesses. seul mon gland eu un peu de mal à se frayer un chemin jusqu’à ses intestins. Après ce fut un jeu d’enfant de lui enfiler ma teub au fond du cul, mes burnes écrasées sur ses fesses.

Laeti, la tête relevée, se régalait de voir ma queue disparaître dans ses fesses, voir le plaisir que je prenais à lui planter ma queue dans son cul, moi qui lui réclamait souvent de lui baiser son cul de déesse, je me délectais de cet instant.

Une main sur un sein malmenant ses tétons, une autre sur mes couilles, les malaxant, Laetitia me demanda de l’enculer doucement collé à elle.

Je lui pris la bouche et reculant mon bassin je me mis à entrer et sortir ma bite de son boyau, lentement.

Je sentais son cul serré ma bite sur une dizaine de centimètre, comme une chatte vierge, me branlant la bite divinement.

Je devais fou à voir sa chatte se frotter sur mon pubis, son cul éclater par ma bite qui lui procurai un plaisir qu’elle n’avait jamais connu avec moi auparavant.

Les seules fois ou je lui avais mis ma bite dans son cu, elle n’avait ressentit aucun plaisir, juste de la douleur, mais cette fois je la sentais vibrer sous ma bite.

J’étais comblé et encore plus quand elle cria sa jouissance.

Je jouis instantanément trop excité d’avoir enfin fait jouir un si joli cul.

Serge avait placé la caméra sur un trépied, la télécommande en main, il filma notre union avec Laetitia et allongé sur le dos, Véro s’était empalé la chatte sur sa queue de nouveau bandé et collé l’un à l’autre ils baisaient les yeux rivés à ma bite enculant Laeti.

La jouissance venu, ma queue se ramollit. Mais je restais planté dans le fion de ma belle, mes mains sur ses seins.

Véro montait et descendait sur le bite de Serge qui, appuyant sur un autre bouton, fit pivoter la caméra, la positionnant en gros plan sur leur sexes.

A un rythme très lent elle enfilait et sortait cette queue luisante de sa mouille.

De temps en temps elle lui attrapait le gland et se reculant le gobait entre ses lèvres, le pompant quelques secondes pour se rempaler dessus.

Ma queue était sortie des fesses de Laeti et malgré toutes les baises précédentes, elle se réveillait à nouveaux devant les mouvements obscènes de Véro sur la queue de Serge.

Les glaces tout autour renvoyait les images de sa chatte remplie, de la bit,e de ses fesses, et de nous, Laeti et moi collé l’un à l’autre.

Véro aperçu ma queue dressé et s’adressant à moi :

— Tu as une sacré vigueur Franck, tu aimes me voir me piner sur cette belle queue ? Tu en veux encore mon beau ? Parce que moi j’ai envie de te sentir dans mon cul, vous aller me baiser tous les deux, viens mon étalon.

Ce disant elle se colla à son mari et les deux mains sur les fesses, elle ouvrit son cul, nous présentant ses lèvres collées aux burnes de son mari et surtout son anus à moitié ouvert.

Positionnant une nouvelle capote je me dirigeais vers ce couple et appuyant mon gland sur sa rondelle, je m’introduis jusqu’à la garde dans son fion.

Ma bite était compressé contre celle de serge et à peine étais je à l’intérieur que Véro se mit à onduler du cul, frottant ma queue sur celle de son homme et contre ses parois.

Pour la première fois de ma vie je réalisai une double pénétration et c’était génial.

Bientôt je me hardis et me mis à enculer cette pute à grand coup de bite.

Serge lui pilonnait la chatte à l’inverse de moi.

Véro couinait comme une pute sous nos coups de bites nous incitant à aller plus vite à lui déchirer le cul envoyant ses fesses s’empaler plus sur nos queues, apostrophant Laeti à profiter du spectacle , lui criant le plaisir à cette double pénétration.

Mes burnes cognait contre celle de Serge, mon gland frottant sur le sien.

Je sentis un orgasme puissant arrivé et je me vidais dans le cul de Véro.

Serge sentit mon sperme chaud s’éjecter de ma queue sur son gland provoquant sa jouissance.

Véro jouit quelques secondes plus tard, les ongles plantés dans la poitrine de son mari.

Laeti se caressait le clito devant nos ébats, excitée par la vision de ses deux queues ramonant cette salope de Véro qui couinait de plaisir.

Elle mourrait d’envie de tester à son tour cette position, un de ses fantasmes.

Serge me proposa de changer de partenaire et de position, moi dans la chatte de Laetitia, pendant qu’il l’enculerai.

Malgré un nouvel orgasme, ma bite se redressa à la vision de ma copine allongée sur moi, le cul ouvert par la queue de serge.

Laeti sauta sur l’occasion, se jetant sur moi, me mis sur le dos et enfila ma bite dans sa chatte trempée.

Elle saisit ses fesses des deux mains, les ouvrants aux maximums sur son anus vibrant d’excitation.

— Viens serge, enfonce ta grosse queue dans mon cul, regarde comme il te réclame mon cul de chienne.

Ma queue grossit encore de voir ma salope de copine le cul ouvert, supplié un homme de lui défoncer le cul, ma queue planter dans sa chatte.

Serge se rapprocha mais sa bite était encore trop ramollie pour la mettre dans le fion de Laeti. Aussi il posa sa bouche dans ses fesses et se servit de sa langue comme une petite bite, l’entrant au trois quart dans ses fesses.

Il la ressortit, lui lapant la raie sur toute la longueur, il descendit sur ses lèvres, effleurant ma queue de sa langue chaude.

Il se glissa sur son clito qu’il aspira goulument, puis repartit le long de ses lèvres, glissant sur ma bite.

Il s’arrêta sur mes burnes et ouvrant la bouche se mit à me gober, à les laper, puis il retourna entre les fesses de la miss, lui lapant l’anus et se redescendant posa son gland maintenant bien dure sur son cul.

— Ouvre toi bien Laeti que Franck voit bien qu’elle plaisir tu prends à te faire enculer par ma grosse bite.

Laetitia collée à moi releva les fesses, les ouvrants à son amant.

Je n’en revenais pas, Serge venait de passer sa langue sur ma bite et ma résistances céda rapidement, surtout lorsqu’il me goba les couilles, envoyant des ondes de plaisir le long de ma tige.

Et maintenant je le voyais qui forçait le cul de Laetitia, je le sentais s’introduire dans ses fesses, son gland remontant le long de ma queue, il appuya sur mon gland.

Laetitia était remplie comme jamais. Elle cria de bonheur, sentant son corps écartelée par deux grosses queues.

Les bras enserrant mon cou, elle sentait ses parois déformées par nos queues, son cul et sa chatte vibraient de cette pénétration.

Comme avec Véro, Serge et moi nous mimes à lui ramoner les conduits.

L’un entrant sa bite, l’autre la sortant lentement, profitant du plaisir d’avoir nos queues enserrées par cette chienne.

Je sentais les contours de la queue de Serge contre mon gland et sur ma tige et ce contact me procura une excitation plus grande.

Accélérant le rythme nous pinames cette salope à grand coup de bites, lui provoquant un terrible orgasme, des larmes coulant sur ses joues, elle jouit comme une dingue.

Nous la ramonâmes encore plusieurs minutes et cette fois ce fut Serge qui éjacula en premier, la bite collé au fond du cul de Latitia.

Je sentis son sperme sortit de sa queue, taper sur mon gland, provoquant mon orgasme.

En même temps Laeti jouit de nouveaux, sa bouche dévorant la mienne.

— Eh bien quel pied tu as pris Laeti, toi qui ne voulait pas te faire sodomiser, tu as joui une bite dans ton cul et une dans la chatte. C’est bon une double pénétration, moi aussi j’ai pris mon pied tout à l’heure. Serge et Franck sont deux bons amants.

— J’en peux plus, je suis vidée, j’ai les jambes coupées, j’ai jamais joui comme ca c’est terrible, j’avais l’impression qu’ils allaient péter mes intestins. Ouf, je vais me reposer un peu.

— Je vais sucer un peu ton homme, le temps que tu reprennes des forces, viens Franck donne moi ta queue,

Je restai allongé sur le dos, les jambes écartées pendant que Véro me pompait le dard. Elle posa sa bouche sur ma hampe ramollie, la couvrant de baiser, elle me lécha les couilles.

— Hum, ca te plait ? Je m’y prends mieux que Serge ou pas ?

La question me surprit.

— J’ai vue comme tu as vibré quand il t’a léché les couilles, Serge suce très bien, tu t’es déjà fait sucer par un homme ?

— Non.

— Serge adore ca. Je te propose un petit concours. On va te sucer l’un après l’autre et tu nous dira qui si prend mieux d’accord ?

Sans attendre ma réponse elle enfourna ma queue à nouveau raide comme du bois jusqu’à la garde, frottant son nez sur mon pubis. Elle me suça comme une pro, appuyant sa langue sur mon frein. Elle m’amena plusieurs fois à la limite de la jouissance, puis calmant le jeu, pour repartir de plus belle quelques minutes plus tard.

Au bout de 10 minutes, alors que je n’avais toujours pas joui mais que je mourrais d’envie de juter dans sa gueule, elle proposa à Serge de venir montrer ses talents de suceur de queue sur ma belle tige toute excitée.

Je ne bougeais pas d’un pouce lorsque Véro se retira, cédant la place à Serge qui me caressa doucement les cuisses à la limite de mes boules.

— Hum tu as vraiment une belle queue ,je suis impatient de la sucer, hum elle sent bon, ta peau est douce, ton gland est gros et sensible.

Serge me fixait la bite. Les mains, caressant mes cuisses, remontèrent sur mes couilles, le long de ma tige, saisissant mon gland, il le caressa quelques secondes. Puis rapprochant sa bouche, posa le bout de sa langue sur mon frein, le titillant, faisant vibrer ma bite.

— Regarde comme elle aime ma langue ta queue.

Il la descendit le long de la veine jusqu’à mes couilles qu’il lécha, goba , remontant jusqu’au gland, il tourna autour, l’englobant de sa langue chaude et humide. Puis ouvrant sa bouche en grand aspira ma tête de bite, refermant ses lèvres sur le haut de ma queue.

Seul mon gland était dans sa bouche, l’aspirant, sa langue dansant autour dessus, appuyant sur mon trou.

Au bout d’une minute, il relâcha ma queue, la ressortant entièrement, il se mit à me lécher comme une glace sur toute la longueur de sous mes couilles jusque sur le bout de mon gland avec des bruits obscènes de léchage.

Ma queue était trempée de sa salive et vibrait sous ses coups de langue. Pour la première fois un homme me suçait ma bite et c’était terriblement bon. J’ai bien failli jouir 10 fois dans sa bouche, mais comme Véro, Serge calmait le rythme avant chaque orgasme.

— Oh oui c’est bon, tu me suces bien, pompe moi la bite Serge, oui comme ca

Mes mains saisirent sa tête, collant plus sa bouche sur ma queue qui voulait jouir dans son trou.

Serge se servit de sa bouche comme d’une chatte, me branlant et m’aspirant la queue, malaxant mes couilles et me caressant les fesses.

Je lui envoyai une rasée de sperme, quelques gouttes restant dans mes burnes, bien vide maintenant.

– Alors, qui est le meilleur me demanda Serge

— Pour ma première pipe par un homme, je dois reconnaître que c’était super. Mais Véro est vraiment une suceuse hors pair.

— Je reconnais que ma femme est la meilleure suceuse que je connaisse et j’en ai vu des pipeuses crois moi. Laeti n’est pas loin derrière et avec de l’entraînement et son corps de salope, elle dépassera Véro

Laetitia, devant le spectacle de Serge me pompant la bite et moi jouissant dans la bouche d’un homme, lui remit le feu au cul. Sa chatte se réveillait à nouveau, ses seins se durcissant.

Elle les pelotait fortement tirant sur ses pointes lorsque Véro colla sa main entre ses jambes, caressant son clito, titillant ses lèvres, ouvrant sa chatte dégoulinante de mouille.

Elle descendit entre ses fesses le long de sa raie, sur son anus, lui enfonçant deux doigts dans le cul, son autre main branlant sa chatte trempée.

Elle lui goba le clito, lui enfila trois doigts dans sa grotte. Elle lui branla le cul et la foune, lui triturant le clito.

Laetitia se palpait ses grosses mamelles, les yeux rivés sur ma queue dans la bouche de Serge, sa bite bandée de me sucer, son cul offrant son anus fripé a son regard. Elle jouit quelques secondes avant moi sur les doigts de Véro qui lui roula une grosse pelle.

— Ca t’excite de voir ton homme se faire sucer par un mec hein ? Moi aussi je suis toute trempée, touches moi, tu sens comme je mouille, t’as déjà baisé une femme ma puce ? Serge va t’équiper du gode ceinture, je meurs d’envie que tu me pine la chatte ma belle.

Véro s’était mis sur le dos, les jambes grandes ouvertes, elle avait plaqué la main de Laeti sur sa moule trempée d’envie, l’appuyant sur son clito, enfournant deux doigts dans sa chatte brulante.

— Mets-toi entre mes jambes à genoux et bouffe-moi la moule pendant que Serge s’occupe de toi.

Serge m’avais lâché la queue encore dressée de cette pipe et obéissant à Véro, s’empara du gode ceinture et manouvrant à nouveau la caméra sur le sexe de sa femme, se glissa derrière Laeti qui à genoux entre les cuisses de sa femme lapait sa chatte comme un petit chat ,de son anus à son clito offrant son cul et sa moule à ses yeux.

Serge enfila sa langue au fond du cul de Laeti, lui pinant le boyau durant une minute, deux doigts dans sa chatte. Puis il lui mit le gode ceinture, appuyant sur son clito.

Laetitia était concentrée sur le cunni qu’elle faisait à véro l’amenant à la limite de la jouissance, elle s’arrêta et réalisant que Serge lui avait attaché la bite en plastique, jeta son regard entre ses jambes.

Elle découvrit une queue à la place de sa chatte.

Elle se sentit bizarre. Pour la première fois de sa vie elle avait une belle queue bandée sous ses yeux. Elle imaginait les sensations d’un mec matant son sexe dressé entre ses jambes.

Véro se redressa et saisissant la bite en plastique la branla lentement.

— Hum, tu es gros, tu bandes fort, ta peau est douce, tu aimes ma main sur ta bite, regardes comme je te branle bien, elle vas me baiser ma chatte ta queue

Laetitia,sur les genoux, regardait Véro monter et descendre sa main comme lorsqu’elle branlait une vrai bite, englobant le faux gland ,le griffant légèrement.

Même si elle ne ressentait aucun plaisir à cette caresse, son excitation s’accrue et encore plus quand Véro posa sa bouche sur le gland. E

lle laissa échapper un grand ah de satisfaction et lui saisissant les cheveux accompagna sa tête pompa sa bite.

— Oui suce ma queue, salope, Elle te plaît ma grosse bite, Elle te rempli bien la bouche, baves moi sur la tige mouilles moi bien la teub que je te l’enfile à fond dans ta chatte.

Véro la suça comme une dératé, une main branlant sa hampe, sa bouche pompant le gland.

Au bout de 5 minutes elle releva la tête, et sa main branlant à toute vitesse la bite de Laeti, elle la supplia de lui piner la chatte, s’allongeant sur le dos, les jambes grandes ouvertes de chaque coté de Laeti, la chatte dégoulinante de jus.

— Viens en moi, baise moi, enfonce ta grosse bite dans ma chatte.

Elle lui tira la bite jusqu’à son trou brûlant, la posant sur ses lèvres. Elle la lâcha, plantant ses yeux de braise dans ceux hallucinés de Laeti, elle lui demanda de la baiser comme une salope.

Laeti n’en revenait pas, elle prenait un pied énorme see sentant mec devant cette chaudasse qui la branlait et la suçait comme une pute et qui lui demandait de lui piner sa chatte. Le gland à l’entrée de sa moule, elle ressentit le plaisir qu’un mec éprouve juste avant de baiser une belle femme toute excitée.

Elle voulait la faire languir encore. Perversement, elle appuya un peu sur ses lèvres qui s’ouvrir, heureuse de cette introduction, mais ressortit aussitôt, remontant son gland le long de sa vulve, sur son clito.

— Hum, salaud, tu me fais languir. J’en peux plus défonce moi la moule, gémit Véro.

Laeti redescendit entre ses cuisses, plantant son dard dans sa chatte. Elle s’introduit jusqu’à la garde, les yeux exorbités de cette chatte écartée par la queue entre ses jambes.

Plusieurs fois elle la ressortit entièrement pour la replonger jusqu’aux couilles, excitées de baiser cette chatte.

Véro l’attira à elle et lui mangea la bouche, ses mains palpant ses nibards, ses fesses.

Laeti ondulait du bassin ramonant le fond de sa chatte couinant sous ses assauts.

— Oui je te sens bien. Tu me titilles la matrice mon salaud, baises moi, fais claquer tes burnes sur mon cul, prend moi fort, fais moi décoller mon beau.

Laetitia s’enfonça dans la moule de Véro la baisant comme un mec le ferai à grand coup de bite toujours collé a elle, ses seins triturés et mangés par son amante.

— Plus fort plus vite déchire moi la moule, viens me prendre comme une chienne.

Véro repoussant Laetitia se mit à quatre pattes sur le lit, les fesses en l’air, la chatte dégoulinante de mouille.

— Viens, pines moi , enfonces moi ton gros dard.

Laeti se mit derrière Véro et saisissant sa queue, la passa dans sa raie, sur son anus, qui vibra sous cette caresse, descendant dans sa chatte qu’elle pénétra d’un coup sec. Elle resta quelques secondes immobiles, profitant de la vue de ce cul ouvert, de cette rondelle qui l’attirait, qu’elle rêvait de forcer de cette bite entre ses jambes qui disparaissait dans cette magnifique chatte.

Véro ondulait des fesses, avançant et reculant, s’empalant d’elle même sur sa tige.

— Baise moi fort, n’ai pas peur, vas y à fond, ramones moi la chatte comme une chienne.

Laetia saisi ses hanches et envoya de toutes ses forces son bassin dans la moule de Véro qui glissa, la tête enfoncée dans les oreillers sous un grand cri.

— Oui comme ca, encore plus fort, vas y, plus vite, tu vas me faire jouir salope.

Laeti rassurée et si excité se mit à la baiser à grand coup de reins. Elle envoyait de toutes ses forces son ventre contre celui de Véro qui hurlait de plaisir de se faire aussi bien baisé.

Les seins de laeti se balançaient d’avant en arrière à toute vitesse, dans un bruits obscène de claquements.

Véro jouit comme une malade mordant et griffant les oreillers.

Serge n’avait rien raté de cette union, zoomant sur les grands coups de reins de Laeti et sur le visage déformé par le plaisir de sa salope de femme.

— Putain qu’elle baiseuse tu fait, tu m’as défoncé la moule. J’ai pris un de ces pieds, bouge pas reste encore quelques secondes au fond de moi, hum oui c’est bon, j’en veux encore .

Véro se limait sur le sexe de Laeti lentement, avançant et reculant sa vulve le long du manche.

— Mets moi ta bite dans le cul, dit elle, sortant le faux sexe trempée de sa chatte. Elle descendit son ventre, ouvrant ses fesses au regard de Laetitia qui posa le gland sur son anus.

Pour la première fois Laetitia avait sous ses yeux le cul d’une femme lui réclamant une sodomie qu’elle mourrait d’envie de lui donner. Ce petit oil brun la faisait vibrer. Elle sentait sa chatte ruisselée de désir. Elle ressentait l’excitation qu’un homme éprouve devant le cul offert de sa partenaire.

N’y tenant plus elle appuya de son poids sur l’anus de Véro. Elle vit la rondelle résister à la pénétration puis s’ouvrir lentement sous les râles de plaisir de Véro.

Le gland entrait lentement dans les entrailles de son amante, disparaissant centimètre par centimètre dans ce cul.

Véro avalait sans trop de difficultés la queue de Laetitia. Adepte régulière de la sodomie, son anus était habitué par cette pénétration. Son envie et les lubrifications lui permirent de ne ressentir aucune douleur, juste du plaisir, à se faire sodomiser par une si jolie fille.

Rapidement Laetitia fut entièrement dans le cul déformé par le gode de Véro, les fausses couilles collées aux lèvres de sa partenaire.

Véro glissa une main sous son ventre, caressant les fesses de Laeti par dessous, qui vibra sous ce contact.

— Hum tu me remplis bien mon chéri, tu es gros, tu sens mon cul sur ta queue ?

— Oui je te sens bien, mentis Laeti, tu m’enserres fort ma bite , tu aimes que je te ramones le cul doucement ?

laeti se mit à aller et venir, sortant et rentrant sa teub dans son cul.

— Hum oui, continue, c’est si bon, tu m’encules bien, oui, comme ca.

Véro ondulait des reins avançant vers la queue de sa baiseuse.

— Encore plus forts encules moi à fond, éclates moi le cul comme une chienne, fais moi hurler mon salaud, baises moi le cul.

— Tiens, grosse pute tu aimes comme ca hein ? ça te plais de te faire enculer par une femme devant ton mari, tiens tiens salope, prend ça dans ton cul.

Laeti avait saisi le cheveux de Véro et lui tirant la tête en arrière ,l’enculait à grand coup de bite à un rythme très rapide.

Véro criait de plaisir, le cul défoncé par son amie. Elle jouit une main maltraitant son clito excitée de sa soumission à cette femme qui l’excitait tant.

Laeti continuait de lui bourrer le cul lorsque Serge vient les rejoindre, présentant sa queue il demanda à sa femme de la sucer, l’empêchant de crier sous les coups de boutoirs de Laeti qui ne voulait plus sortir de ce si joli fion.

Elle continuait à l’enculer mais lentement, profitant de la vue de son sexe entrant et sortant totalement de ce cul, ouvrant son anus y replongeant, Véro pompant son mari.

Celui ci décida de venir goûter à sa chatte. Il se glissa sous sa femme toujours empalée sur la queue de Laeti et positionnant sa teub dure comme du marbre pénétra la chatte brûlante de sa femme.

La position et la queue de Laeti dans le cul de Véro lui ralentit la progression. Il mit plusieurs minutes avant de remplir le con de son épouse.

Laeti toujours au dessus, attendit que serge soit bien en place puis elle reprit son enculage, lentement, puis de plus en plus vite. Véro couinait de plaisir les suppliant de la défoncer à fond, de la faire jouir comme une pute.

Elle ondulait son corps à la rencontre de ses deux sexes qui la faisaient vibrer. elle jouit une nouvelle fois, un orgasme terrible du cul et de la chatte.

Laetit jouit aussi, le clito branler contre le gode ceinture, excitée de cette union si obscène et si envoûtante.

Elle se retira du cul de Véro.

Serge lui nettoya la bite avec un klennex puis se mit à la sucer comme un homme.

C’était le monde à l’envers, elle sucée par un homme.

Elle se caressait les seins sous l’excitation de cette pipe.

Au bout de 5 minutes, Serge se mit à quatre pattes et lui demanda de l’enculer.

Abasourdie elle se rapprocha de lui s’écartant les fesses à deux mains. Il lui présenta son anus qu’il avait déjà lubrifié.

Saisissant sa verge, elle la présenta devant le cul de Serge qui l’accueillit d’une traite.

Il l’attendait tellement qu’il avala d’un coup cette queue.

Lentement Laeti se mit à enculer Serge, un homme.

Elle voyait ses bourses entre ses jambes bouger sous ses coups de reins.

Au bout de 5 minutes Laeti jeta l’éponge fatiguée de ses coups de reins, elle demanda une pause.

Serge se leva, vint me rejoindre. Il me saisit la bite, posant sa main sous mes couilles, les caressant.

Il remonta la long de ma queue dressée, me branlant lentement. Il se mit à genoux, posant sa bouche sur mon gland, il se mit à me sucer humidifiant ma bite, caressant mes fesses.

Pour la seconde fois Serge me suçait et il le faisait super bien.

Il arrêta, se remettant sur le lit à quatre pattes il me demanda de le sodomiser.

Excité je montais sur le lit, me mit derrière lui et pour la première fois de ma vie je posai mon gland sur l’anus d’un homme. Je voyais sa rondelle se déformer et s’ouvrir sous ma poussée et ses boules pendre sous son cul.

Son fion était chaud et serré comme celui de Véro .

Nos boules frappaient les unes contre les autres, envoyant des ondes de plaisirs nouvelles dans mon corps. Durant dix minutes je lui ai limé le cul, prenant un grand plaisir à sodomiser un cul de mec, à sentir sa queue et ses burnes vibrer sous mes coups de reins. Nous jouîmes presque en même temps.

Leti et Véro étaient reparties à se manger la chatte lorsque je sortais du cul de Serge.

Nous jouâmes toutes la nuit à baiser comme des fous.

Voyant les deux belles en train de se gouiner, nous les rejoignîmes, enfilant chacun sa compagne dans la chatte. Nous les baisions l’un à coté de l’autre pendant qu’elles s’embrassaient, se caressaient les seins, la moule, le clito.

Puis on échangeait de chatte et à nouveau jusqu’à que les petites couines de plaisir pour les mettre en levrette et recommencer, puis se mettre à deux sur l’un puis sur l’autre.

Jouer au petit train, une fille devant, enculée par Serge, enculé par l’autre fille, enculée par moi ..

Nous nous endormîmes à poils dans le lit tous les 4 exténués par ses parties de bites.

Le lendemain, je pris une douche, Laeti vient me rejoindre, me taillant une pipe. Je la sautai contre le mur lorsque Serge vient se joindre à nous pour offrir, avant le petit dej, une première double à Laeti, l’enculant de bon matin, ma queue dans sa chatte, debout sous la douche.

Véro ne tarda pas à venir nous rejoindre, réveillée par les cris de plaisir de Laeti.

Au bout d’une heure nous sortîmes prendre le petit déjeuner en peignoir.

A peine arrivé Serge porta son regard sur le torse de Laeti et n’y tenant plus, il glissa sa main sous son peignoir, lui pelotant ses grosses mamelles.

Il s’enduisit la bite de miel la présenta à Laeti qui tombant à genoux, se mit à laper le miel sur sa queue l’enserrant entre ses deux grosses mamelles.

Elle le suça émettant des bruits obscènes de succion puis Serge la releva le retournant contre la table, les tétons dans les tartines, il lui bourra la chatte d’un coup et se mit à la baiser à grand coup de reins.

Je me jetais sur Véro lui arrachant son peignoir, la soulevant pour l’empaler sur ma queue et la baiser debout devant nos deux partenaires, baisant sur le petit dej.

Celui ci se passa en copulant dans tous les sens, les aliments furent utiliser pour des jeux sexuels. Au bout de deux heures nous allâmes dans leurs grandes baignoires rincées nos corps pleins de nourritures.

Ici encore nous baisâmes de toutes les manières possibles et en milieu de journée complètement vidés, nous partîmes promettant de revenir un week-end entier chez Serge et Véro.

Serge nous offrit un exemplaire de la cassette de notre soirée de sexe.

Laeti me remercia de lui avoir fait réaliser ses fantasmes. Durant le trajet elle ne put s’empêcher de me caresser la bite, me suçant et me demandant de m’arrêter dans un coin tranquille pour la baiser sur le capot au risque de se faire surprendre.

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