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Je suis un jouet entre ses mains – Chapitre 12




Le lendemain, j’écope dès le réveil de la tenue de policière. J’ignore encore dans lequel de ses fantasmes Thomas compte m’entraîner, mais je frissonne en songeant que, pour l’instant, cela ne fait à chaque fois qu’empirer. J’apprécie, c’est vrai, mais j’ai peur aussi. Ce qui m’est arrivé ces derniers jours a beau être très excitant, ce n’en est pas moins perturbant. Mon appréhension augmente encore d’un cran lorsqu’il m’invite à le suivre dehors. Que compte-t-il me faire faire, dans cette tenue, dans les rues de la ville ?

Je ne tarde guère à avoir ma réponse : nous tombons bientôt sur deux étudiants qui révisent leurs cours autour du lac en buvant des bières. Thomas s’arrête à environ deux cents mètres d’eux, puis il enfile lui aussi une tenue de policier.

Prête ? me demande Thomas.

Je fais non de la tête, sans même savoir à quoi je suis censée être prête. Il sort alors de la voiture en me faisant signe de le suivre, puis se dirige vers les adolescents. Il me fait peur : se rend-il compte que ma tenue n’a qu’un rapport lointain avec celles de la police ? Que ma jupe et mon haut ultra-court ne sont pas tout à fait réglementaires ? « Oui, bien sûr que oui. C’est le but même de l’exercice, probablement. Et ça m’étonnerait que le challenge ne soit que visuel…»

Bonjour ! lance-t-il aux jeunes d’une voix autoritaire.

Bonjour, répondent-ils timidement en chur.

Ils tentent maladroitement de cacher leurs bières, mais c’est bien inutile. En même temps, leurs regards glissent sur moi ; je peux lire l’incompréhension, mais aussi l’envie… « Les hommes sont-ils tous pareils ? »

Vous savez que c’est interdit de boire de l’alcool sur la voie publique ? ajoute Thomas.

Pardon, Monsieur l’agent, lance un jeune. On ne le fera plus.

Oui, bien sûr, ils disent tous ça. Vous avez quel âge, d’abord ?

18 ans, répondent-ils en chur.

Ce qui veut dire que Thomas va pouvoir poursuivre le « jeu ». Vu sa perversité, ça m’étonne presque qu’il respecte ce genre de règle. Après tout, il m’a bien poussée à coucher avec mon frère ! Mais j’imagine qu’il veut respecter la loi, pas la morale.

Ça ne va pas se passer comme ça ! menace mon flic de petit copain. Vous allez venir avec nous au poste pour subir un dégrisement.

Les jeunes nous observent, un peu interloqués, se demandant manifestement s’il s’agit d’une blague ou non. Comme Thomas ne sourit pas (il joue son rôle à la perfection), ils commencent à se décomposer.

Non, Monsieur l’agent, s’il vous plaît… clame l’un d’eux. Je vous jure qu’on ne le fera plus. C’était juste une bière comme ça…

Juste une bière, hein ? Eh bah, vous allez vous en souvenir de cette bière, croyez-moi !

Il s’approche alors d’eux, les inspecte de manière approfondie. Pendant ce temps, les jeunes ne peuvent s’empêcher de jeter des regards sur moi, sur ma tenue trop courte. Le doute se lit toujours dans leurs yeux, même s’ils n’osent pas l’exprimer.

Il y a peut-être une autre solution, propose mon copain.

Les yeux des étudiants se mettent à briller. Une autre solution que la cellule de dégrisement ? Cela semble bien leur convenir !

Ma collègue adore les jeunes queues, ajoute-t-il sans transition. J’ai vu qu’elle se léchait les babines en imaginant les vôtres. Alors vous pourriez peut-être avoir l’amabilité de vous occuper d’elle ?

Il s’approche de moi d’un subtil pas de côté, puis il me chuchote à l’oreille :

Enlève ton haut.

Je me suis habituée à penser que Thomas sait ce qu’il fait, alors je ne discute pas. Je retire mon haut pour dévoiler ma poitrine aux heureux étudiants qui ne regrettent décidément pas leur bière. Mes seins ont beau ne pas être énormes, ils semblent tout à fait convenir aux deux loustics. « Mais que suis-je devenue ? » Ils s’approchent de moi, les mains tendues telles des zombies, mais Thomas me glisse alors une cravache dans la main. Une cravache !

Montre-leur qui commande, m’ordonne-t-il.

Là encore, je me contente d’obéir. Dès que le premier est à portée, je lui assène un coup sur la cuisse, que j’espère, pas trop violent.

Pour qui vous vous prenez ? C’est moi qui commande ici !

Je tente de prendre ma voix la plus autoritaire celle qui n’est généralement pas très crédible mais Thomas semble satisfait pour l’occasion, si j’en crois son sourire. Les deux étudiants le sont un peu moins, eux qui voyaient leur proie à leur merci. « Eh non, les mecs : aujourd’hui, l’innocente gazelle, c’est vous ! »

À poil maintenant ! Je veux voir à quoi j’ai à faire !

Là encore, ils s’exécutent docilement. Jouer le jeu doit beaucoup leur apporter, ils s’en doutent bien. Ou en tout cas, ils le devinent et l’espèrent. Ils se retrouvent donc très rapidement nus devant moi, et je profite quelques secondes du spectacle. Ils sont pas mal, en plus ! Je m’approche du premier et je prends sa bite entre mes doigts que je fais courir le long de sa verge, dont j’éprouve la longueur et la dureté. Il soupire déjà de plaisir.

Suce-moi, s’te plaît… soupire-t-il.

L’impudent se prend un nouveau coup de cravache, un peu plus fort cette fois.

Pour qui tu te prends ?! Estime-toi déjà heureux de me reluquer les nichons ! T’es ma chose, c’est clair ?

Oui, M’dame ! cède-t-il, non sans un sourire aux lèvres.

S’il pense encore me baiser, je vais vite le décevoir : je compte vraiment les utiliser comme des sex-toys. Après tout, j’ai bien mérité ça, non ?

Je passe donc au second, avec lequel je procède de même. Comme il ne dit rien, ayant sans doute compris la leçon infligée à son ami, je pousse plus loin la découverte de sa virilité en caressant un peu ses couilles, et surtout en le masturbant doucement. Il soupire bientôt de plaisir à son tour, et c’est le moment que je choisis pour arrêter. « Faut pas rigoler : ils sont pas là pour prendre du bon temps ! » Je m’adosse à la voiture, à moitié assise sur le capot.

Toi, viens me lécher ! ordonné-je au gaillard le plus proche.

Le sourire grandit sur son visage, et il s’approche sans sourciller. Son compère semble déçu ; il me regarde sans trop savoir quoi faire.

Viens donc me sucer les seins ! aboyé-je à son intention.

Tandis qu’il rapplique à son tour, son ami est déjà accroupi devant moi et m’écarte doucement les cuisses. Il se jette littéralement sur ma moule luisante de cyprine et entreprend de me dévorer.

Habituellement, j’aime la tendresse. Un cunnilingus doit être lent et langoureux pour me satisfaire, surtout au début. Pourtant, j’apprécie sa brutalité. Sa maladresse même est touchante, excitante. Ce n’est après tout qu’un jeune mec dénué d’expérience que je soumets à ma volonté.

Son pote, en revanche, est un peu plus tendre. Il semble déjà plus expérimenté. Il me presse les seins sans précipitation tout en les suçotant avec délicatesse. Me faire caresser ainsi par deux inconnus totalement soumis à mes désirs… c’est divin !

Je soupire très rapidement de plaisir, puis je commence à onduler malgré moi, incapable de me retenir.

Vas-y, broute-moi la chatte, petit con !

Je suis la première surprise par les mots qui franchissent mes lèvres, mais insulter ainsi le pauvre jeune qui me lèche m’excite beaucoup. Je lui décoche même un coup de cravache pour l’inciter à accélérer. Le pire, c’est qu’il semble beaucoup aimer ça lui aussi, si j’en crois ses propres gémissements de plaisir qui s’accentuent. Le mec est en train de prendre son pied rien qu’en me léchant la vulve !

Tu aimes quand je te donne des ordres, petit merdeux ?

Oui, Madame… répond-il dans un soupir entre deux coups de langue.

Hmmm… ce qu’il m’excite ! Je lui attrape l’arrière du crâne et le plaque bien contre moi, l’incitant à accélérer encore sa succion de mon clitoris. Je sens que je mouille abondamment, l’abreuvant de ma cyprine pour son plus grand plaisir.

Bouffe-moi bien, petite salope ! lui ordonné-je.

Lui donner de tels ordres m’excite énormément ; je ne me connaissais pas cet attrait pour la domination. Décidément, c’est fou tout ce que Thomas m’aura appris sur moi-même en quelques jours !

Mmmmrf… Ce que c’est bon… soupire mon cunnilingueur. Vous êtes délicieuse, Madame. C’est vraiment super d’être votre soumis…

Mon soumis ? Comme il y va ! Provisoirement peut-être, mais qu’il ne s’imagine pas entrer dans une relation durable. Il y a tellement d’hommes que je peux sauter ; comme ce serait dommage de m’attarder sur quelques-uns ! Sauf Thomas, bien sûr.

Je jette un regard à mon amoureux qui me sourit avec tendresse. C’est fou, son ouverture d’esprit ! Il prend beaucoup de plaisir à me voir coucher avec d’autres hommes. Je le remercie mille fois pour ce qu’il m’a révélé, et je me dis que mes aventures avec JB auront été une chance formidable pour notre couple. Si on m’avait dit ça quelques jours plus tôt…

D’ailleurs, ne pourrais-je pas recontacter JB, maintenant ? Peut-être pourrions-nous reprendre là où nous nous étions arrêtés ; je suis sûre que Thomas n’y verrait plus d’inconvénient. Je repousse pourtant cette idée pour le moment, décidée à me concentrer sur la caresse buccale que je suis en train de recevoir. À l’allure où le type s’excite entre mes jambes, il serait presque capable de jouir avant moi !

Son comparse s’applique également avec un égal dévouement sur mes seins, ce qui me procure aussi beaucoup de plaisir. Mes tétons sont si durs et dressés qu’ils sont presque douloureux ; mais c’est si bon…

La chaleur commence à s’accentuer entre mes jambes, mon clitoris qu’il pince et aspire entre ses lèvres est gonflé comme jamais. Des salves de plaisir commencent à m’assaillir, prémices d’un orgasme fulgurant. Je lui plaque plus fort que jamais le visage contre mon sexe, même si ce n’est pas très utile puisqu’il me dévore maintenant plus qu’il ne me lèche. Mes hurlements de plaisir jaillissent, je suis incapable de les retenir. Et tant pis s’il y a des gens dans les alentours.

Oh oui, c’est trop bon ! T’es un bon petit chien soumis. Lèche bien ta Maîtresse !

Je l’insulte en lui inondant la bouche. Jamais je n’aurais pensé que ça m’exciterait de parler comme ça à un homme. Après tout, il n’y a aucune raison pour qu’il n’y ait que nous qui soyons traitées de salopes !

Les spasmes de plaisir me font chanceler ; bientôt, c’est lui qui me soutient pour que je ne m’effondre pas sur le sol : les sensations sont en effet trop fortes pour que mes jambes continuent à me maintenir debout. Heureusement que je suis adossée à la voiture !

Je l’entends jouir au milieu de mes hurlements de plaisir : le dévoué petit con a apparemment été tellement excité par mon abandon et par la situation qu’il éjacule sur le sol sans même que je l’aie touché ! Quel délice…

Quand je me calme enfin, je lis de l’adoration dans son regard. Son ami, en revanche, semble nettement moins joyeux : le pauvre doit être atrocement frustré ! Il est excité comme jamais, si j’en crois son membre qui pointe orgueilleusement vers le ciel, mais il ne sait pas si je compte m’occuper de lui ou non.

En l’occurrence, non : je suis ici pour mon seul plaisir. Que l’un d’eux ait pu prendre son pied, grand bien lui fasse. Mais que l’autre ne l’ait pas fait n’est pas mon problème.

Madame, vous allez pas me laisser comme ça ! supplie-t-il tandis que je me rhabille.

Je lui lance un regard que j’essaye de rendre le plus froid possible, puis je hausse les épaules avec dédain. J’aime bien ce rôle de garce ! Mais je suis soudain plaquée de nouveau contre la voiture, et ma culotte que j’avais commencé à réenfiler est tirée aussi sec à mes pieds. C’est Thomas : lui aussi en veut plus !

T’as le droit de te branler en regardant, dit-il au malheureux.

Ça ne semble qu’à moitié lui convenir, mais il s’en contente, comprenant qu’il n’obtiendra de toute façon rien de mieux. Pendant ce temps, mon copain m’enfile sans tendresse, puis il me ramone sans se soucier de ce que je peux bien vouloir. En même temps, il me connaît bien désormais, et il se doute que c’est précisément ce que je veux !

Bientôt, il se retire de moi, me retourne sans tendresse et me prend en levrette contre le capot de la voiture. Un klaxon retentit sur la route non loin, signe que nous avons été repérés. Je fais un petit signe de la main à la voiture en question, jouant mon rôle à la perfection.

Thomas ne tient pas très longtemps, trop excité par tout ce à quoi il a assisté, et il se vide en moi avec de grands râles qu’il ne cherche pas à atténuer. Le voyeur fait de même, sauf que c’est dans l’herbe qu’il décharge sa semence.

Mine de rien, je suis très fière de moi : je viens quand même de faire jouir trois mecs, dont deux inconnus, ce qui n’est pas rien ! Plus je m’enfonce dans la perversion, plus j’aime ça.

« Mais jusqu’où vais-je m’y enfoncer ? »

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