Michael:
Voici plusieurs jours qui se sont écoulés depuis le premier chapitre et mon histoire avec Lucille dans les toilettes de notre entreprise…
Pendant les premiers jours, j’ai été amené à croiser souvent Lucille lors de passages dans des couloirs ou dans l’ascenseur, et à chaque fois elle me jetait des regards dans lesquels je pouvais lire les pires cochonneries, elle mimait des fellations avec sa langue… Tout cela évidemment sans que personne dautre que moi ne puisse en être témoin…
Je me refaisais le film le soir chez moi et, dès que j’étais seul, je rêvais de la sodomiser et la soumettre à la moindre de mes envies. Dans ces histoires que je me racontais Lucille était ma salope et j’étais son maître nous étions sortis des toilettes…
A chaque fois une grosse bosse se formait sur mon pantalon.
Un jour je me décidais enfin à remonter dans les fameuses toilettes du troisième étage… Je ne risquais pas grand-chose car à cet étage, à part le réduit des toilettes, il n’y avait qu’un local de ménage (qui en réalité ne servait que d’espace de stockage pour des réserves de matériel pour le ménage), il n’y avait donc que peu de passage…
Je pénétrai sur les lieux et fermai les yeux me remémorant la scène quand tout à coup… j’entendis trois coups frappés à la porte. Sortant de ma rêverie, je vins ouvrir la porte et découvris Lucille vêtue d’un chemisier moulant ses énormes seins à la perfection et d’une jupe qui lui arrivait au ras des cuisses, ce qui lui procurait un effet de salope du plus bel effet… Je mis du temps à la reconnaître, et pour cause, Lucille s’était fait teindre les cheveux en noir. Elle sembla surprise de me voir, sans rien dire je posai mes mains sur ses fesses l’attirant à moi…
Je la plaquai contre un mur et me mis à arracher son chemisier, je découvris ainsi son soutien-gorge en dentelle mettant ses deux seins gigantesques en valeur…
Je dégrafai son soutien-gorge en lui roulant une pelle et me mis à masser ses seins, Lucille se laissa faire tout en frottant mon entrejambe, puis elle me prit en main plus sérieusement. Mes mains arrivèrent sur ses épaules que je pressai pour lui demander de se baisser, ce qu’elle fit lentement, en me regardant avec ce regard qui hantait désormais mes nuits…
Des bruits de pas et des éclats de voix dans le couloir, Lucille ouvrit la bouche et j’introduisis ma queue entre ses lèvres…
La surprise rapidement passée, Lucille me regarda dans les yeux avec un air joueur et elle se mit à me titiller avec sa langue le long de ma queue, les pas se rapprochaient à mesure que Lucille allait et venait le long de ma queue désormais bien raide, lorsque les pas semblèrent être devant la porte. Lucille goba la totalité de ma bite et s’arrêta le temps que les bruits de pas s’éloignent, ses grosses lèvres pulpeuses se collaient à mes couilles et débordaient de sperme…
J’éjaculai dans sa bouche, dissimulant à grand-peine mon plaisir, mais cela ne sembla gêner personne car les pas se perdirent au loin…
Je posai alors mes deux mains sur sa tête pour accompagner ses va-et-vient… J’éjaculai une deuxième fois je retirai ma queue de sa bouche et la cala entre ses deux seins gigantesques. Lucille me gratifia de son plus beau regard de salope, tenant ma queue entre ses deux seins.
Lucille se redressa, je la retournai collant mon sexe barbouillé de salive et de sperme contre sa jupe, je la baissai.
— Tu veux me péter le cul Michael ?
Jentendais Lucille soupirer comme pour m’implorer de la sodomiser mais c’était à mon tour de jouer avec elle. Pour l’instant je me branlais entre ses fesses et elle semblait apprécier… Je lui donnai une première fessée et Lucille poussa un hurlement de plaisir.
— Tu aimes quand je te donne des fessées cochonne ?
— Ouiiiiii !!!
— Tu veux que je pète ton cul ?
— Oui vas-y !
— Tu veux que je te défonce le cul ?
— Oui s’il te plaît !
— Tu aimes qu’on te traite comme une salope ?
— Ouiiii
— Tu as envie d’être ma Salope ?
— Ouiiii je suis ta salope !
Alors j’introduis ma queue dans son cul lentement, jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses. Elle poussa un hurlement et je commençai à imprimer une cadence au rythme de ses cris qui ne me donnaient que plus d’encouragements pour continuer…
Lorsque je jouis dans son cul, Lucille inclina son bassin comme si elle avait voulu garder mon sperme en elle…
Elle alla pour se rhabiller mais je la retins à moi et lui pris les seins pour une ultime branlette espagnole.
— Attends ! Me dit-elle et elle goba à nouveau ma bite l’enduisant de salive.
Puis elle inséra ma queue entre ses seins et la branla à nouveau cette fois plus énergiquement.
J’allai éjaculer mais je me retins, sortis ma queue de là où elle était et vins étaler ma semence sur ses lèvres et sur ses joues… Lucille ne s’attendait pas à ça…
Elle se retira puis comme à son habitude remit son soutien-gorge et se remit du rouge à lèvres. Elle remit son string et sa jupe. Mon sperme coulait le long de ses cuisses et le long de ses lèvres (elle s’essuya d’un revers de langue). Ne pouvant plus reboutonner son chemisier puisque les boutons étaient arrachés, elle enfila son chemisier et recouvrit son opulente poitrine…
Sans dire un mot, elle sortit des toilettes. Avant qu’elle sorte, je lui dis:
— Ne t’inquiète pas Lucille ce qui se passe dans ces chiottes reste dans ces chiottes !
Je lobservai marcher dans le couloir, étrangement sans rouler du cul…
