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Les aventures érotiques d'Amandine et Laura. – Chapitre 7




Le spectacle qui s’offre à leurs yeux a effectivement de quoi couper le souffle aux deux jeunes femmes.

Dans une pièce, sur une grande table, dans le genre dit « table de ferme », une femme rousse aux yeux gris-vert, complètement nue, est en train de se faire saillir par un chien. Deux hommes, nus aussi, regardent. Ils présentent une particularité : ils sont l’un en face de l’autre, liés au banc sur lequel ils sont assis. Leurs sexes raidis se touchent. Ils sont tous les deux très velus. Leur poitrail comme leur dos et toute leur anatomie s’ornent de poils frisés. Leurs mains sont liées dans leur dos et les jeunes femmes comprennent mieux lorsqu’elles entendent la femme dire :

— Alors, mes salauds, vous voyez bien comment il me remplit ? C’est ça que vous offrez en spectacle à tous vos amis. Ah, je ne peux plus parler, c’est trop bon

Le chien, une sorte de bâtard de berger allemand, se vide dans le vagin de la jeune femme. Quand il a terminé, il sort de la femme, dont le sexe se met aussitôt à refouler le sperme canin, saute de la table puis va dans un coin où il se lèche le sexe.

Les deux jeunes filles, comme les deux hommes, ont les yeux exorbités. Mais elles sont loin d’avoir tout vu.

La femme descend de la table et, s’adressant aux deux hommes, leur déclare :

— Maintenant, je vais vous dire : j’en ai marre de vos crises de jalousie. Toi, Maurice, sous prétexte que tu es mon patron et que tu nous loges, tu veux bien que ton chien me monte mais pas un autre homme que toi. Et toi, René, comme tu es mon amant, tu ne veux pas que mon patron me touche, sauf après mes démonstrations ; il n’y a que le chien, d’après toi, qui aurait le droit de me sauter. Alors, j’ai décidé de vous réconcilier : je me suis fait baiser par le chien pour qu’il graisse bien mes intérieurs et maintenant, je vais vous prendre tous les deux ensemble. Comme ça, il n’y aura pas de jaloux !

Sa déclaration faite, la femme enjambe le banc et les sexes des deux hommes. Elle se saisit des deux verges tendues et les guide jusque dans son vagin lubrifié par le chien. Elle se laisse tomber et, avant d’entamer une série de montées et de descente, s’adresse aux deux hommes :

— Voilà, c’est comme ça que je vous veux dans moi, tous les deux ensemble. A partir d’aujourd’hui, plus de jaloux. Compris ?

— Oui, Michelle, répondent – timidement semble-t-il aux deux spectatrices – les deux hommes.

La scène trouble profondément les deux jeunes femmes. Elles assistent à tout, étroitement serrées l’une contre l’autre, puis Laura empaume le sexe d’Amandine, glisse son majeur le long de la fente verticale de son amie, déjà humide et la frotte doucement en même temps qu’elle appuie sur son clitoris. Amandine lui rend la politesse. Elles obtiennent ainsi un orgasme très doux, à peu près en même temps que les participants à la scène qu’elles contemplent.

Dans la pièce, justement, les trois protagonistes semblent à bout de force. La femme, apparemment âgée de trente à trente-cinq ans, s’abat soudainement contre la poitrine de l’homme qui lui fait face. Elle récupère un peu pendant un court instant, puis se redresse et franchit de nouveau sa double monture et le banc. Elle s’assied au bord de la table et déclare, tout en écartant les cuisses :

— Regardez ce que vous m’avez mis ! Je vais me branler avec, comme ça il n’y aura plus du tout de jaloux.

Et elle entame une lente masturbation enspermée sous les yeux de ses deux amants.

C’est à ce ce moment que Laura réagit. Comme elle vient de terminer sa jouissance sous les caresses de son amie, qui elle aussi a atteint l’orgasme grâce à elle, elle lui reprend la main et se dirige vers la porte en disant :

— Viens, Amandine !

Elle frappe plusieurs coups très fort.

A l’intérieur, sans qu’elles le sachent, les choses changent rapidement. La jeune femme descend de la table en intimant aux deux hommes l’ordre de ne pas se manifester. Elle passe en toute hâte une robe qui était au sol.

L’un des hommes lui dit :

— Attention, ça coule !

Elle prend son slip dans la poche de sa robe et l’enfonce en bouchon dans son sexe, puis elle sort de la pièce et arrive à la porte en disant :

— Voilà, voilà, j’arrive !

Elle ouvre la porte et, les yeux agrandis, elles demande :

— Mais qu’est-ce que vous faites comme ça ?

Laura résume rapidement :

— Voilà, Madame, on a été séquestrées sur un bateau et violées par une douzaine d’hommes. On a réussi à s’échapper à la nage et on se retrouve ici, mais on ne sait pas du tout où on est.

— Bon, décide la femme. Entrez et venez m’expliquer tout ça.

Elle les conduit vers une autre pièce, une sorte de petit salon de réception où elle les fait s’asseoir dans un petit canapé avant de prendre place elle-même dans un fauteuil situé juste en face.

Par un réflexe de pudeur, les deux jeunes femmes tentent de cacher avec leurs mains leurs deux seins et leur sexes.

La femme se met à rire doucement :

— Vous savez, j’ai eu le temps de vous admirer toutes nues. Vous êtes d’ailleurs très belles ! Tenez, je vais me mettre dans la même tenue que vous, comme cela il n’y aura pas de problème quand nous parlerons.

Elle se lèvre et ôte sa robe. Elle avait oublié que son sexe était encore plein de sa double étreinte précédente et, dans le mouvement qu’elle fait, quelques gouttes de sperme viennent se déposer sur son fauteuil. Elle dit :

— Flûte ! Excusez-moi.

Elle écarte les cuisses et renfonce plus profondément dans son sexe le bouchon qu’elle a formé avec son slip. Elle explique aux deux jeunes femmes :

— Voilà, comme ça, nous sommes à égalité. Moi, j’ai reçu

Laura, qui sent la femme un peu gênée, lui dit doucement :

— Oui, Madame, nous vous avons vue.

Les yeux de la femme s’écarquillent et elle dit :

— Oh j’ai encore oublié de fermer les volets.

— Oui, Madame, mais nous ne l’avons pas fait exprès. Vous savez, nous sommes venues par le petit sentier qui arrive juste sous cette fenêtre et

— Vous avez tout vu ?

— Oui !

— Tout, aussi avec

— Oui, Madame,  !

— Avec Milou aussi, alors ! Bon, eh bien, vous voyez que nous n’avons rien à nous cacher !

Elle reprend :

— Alors, dites-moi !

Les deux jeunes femmes, qui se tiennent par la main comme pour s’encourager mutuellement en lui faisant leurs confidences, lui expliquent tout : leur prix inespéré, l’envie folle qu’elles avaient de « s’éclater » pour compenser un entraînement très strict pendant une année, la rencontre avec Carlo et Eros, le yacht, l’abandon des clés et de leurs sacs, leur ignorance de l’endroit exact où elles se trouvent, etc.

Michelle leur dit :

— Écoutez, je crois que j’ai une solution. Je vais téléphoner à mon amie Virginie, elle pourra certainement vous héberger. Comme elle connaît beaucoup de monde, certainement que vos petits séducteurs à la manque vont s’en souvenir !

Elle prend le téléphone qui est près d’elle et explique rapidement le problème à son amie.

Quand elle raccroche, un grand sourire de satisfaction se dessine sur son visage. Elle leur apprend :

— Voilà, tous est arrangé. Je vais vous conduire chez elle. Mais avant, je vous demande cinq minutes : je vais prévenir mes hommes et vous prêter deux peignoirs de bain, pour que vous ne vous fassiez pas arrêter par la police si toutefois elle est dans les rues à cette heure.

Quelques instant après, elle est de retour avec les deux peignoirs promis.

Amandine et Laura s’en revêtent, puis elle les entraine jusque vers une antique CV en leur disant :

— Voilà mon carrosse !

Les trois femmes s’installent dans la voiture et les voilà parties.

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