Je me réveille le lendemain et sort de ma chambre pour aller à la salle de bain. Je tombe nez à nez sur mon oncle, en boxer, qui se coupe les ongles. Il me demande si j’ai bien dormi et me sert dans ses bras. J’accepte son étreinte et ses mains glissent sur mon leggings. Il se met à me pétrir les fesses. Soudain, je ressens une bosse dans son boxer : il bande. Je suis un peu troublée, et pousse un petit soupir tandis qu’il m’assène plusieurs fessées. Il se recule et mes yeux se posent sur son boxer déformé par une grosse érection. Il le remarque, je lui souris, flatée.
Bon, j’ai un tas de choses à faire, je ne rentrerai que ce soir. Fabrice a oublié sa montre hier, il va passer la récupérer, tu te feras belle pour lui.
Je le regarde se rhabiller en acquiésant. Je décide d’être joueuse, je me met face à la grande cabine de douche et fait gliser tout doucement mon leggings. Je me retrouve complètement nue pour la première fois devant mon oncle. Je tords doucement des fesses pour rentrer dans la douche, toujours dos à lui. Je jette un petit regard dans sa direction en allumant l’eau, il me mate carrément. Il sort de la salle de bain et j’entends la porte d’entrer s’ouvrir et se fermer.
Je me nettoie de fond en comble, excitée à l’idée d’être seule quelques minutes avec Fabrice. J’enfile un string et un petit haut moulant, me maquille et choisi un petit short de sport dans le placard de ma cousine. Je le monte bien pour qu’il moule mes fesses, j’enfile mes converses.
À peine habillée, j’entends la porte s’ouvrir. C’est Fabrice, en short/t-shirt, qui a l’air ravi de me voir.
Salut Alexia, j’ai oublié ma montre hier. Tu sais pas où elle est passée ?
Robert l’a laissé sur la table du salon, je vais la chercher. Je lui tourne le dos, et j’entends un sifflement. Je pousse un petit rire, mais je sens mon corps se tendre. Je prends la montre et lui apporte.
J’ai envie de rester un peu quand je te vois comme ça, ça te dit ?
Il n’attends pas ma réponse et claque la porte d’entrée. Je sens une petite boule d’excitation naître dans mon ventre. Il s’approche de moi, pose une main sur la hanche.
Va sur le canapé, on va regarder la télé. Il allume la télé, et la laisse sur un match de foot. Il passe son bras autour de ma taille et me tire contre lui.
Bon alors, t’as aimé ta soirée d’hier ?
Oui… c’était super…
C’est sûr que c’était super, tu nous as régalé à remuer tes fesses toute la soirée.
C’est la première fois que je me met en tanga devant des mecs, dis-je en souriant.
Sérieux ? Tu t’es jamais montrée ?
Non…
Et tu as déjà couché avec un mec ?
Non plus…
Wahou ! Mais vu ton attitude comment c’est possible ? Et puis avec ce cul, je connais pas un mec qui hésiterait.
J’ai jamais eu l’occasion de le faire !
Tu as jamais sucé ?
Non, mais je me suis entraînée…
Sur quoi ?
J’ai un gode à la maison…
Super ! Et tu te godes des fois ?
Je deviens un peu rouge, et il comprend lui-même la réponse à la question.
Tout ce travail pour ne jamais avoir testé une vraie bite… tu dois être frustrée… Il me prends dans ses bras en me disant ça, comme pour me consoler, puis me pousse la tête de l’autre côté de ses jambes. Je me laisse faire, et me retrouve sur ses genous, en position de la fessée. D’ailleurs, il s’empresse de claquer les fesses. Je respire fort, tandis qu’il pétri mes fesses d’une main tout en maintenant ma position de l’autre. Après quelques minutes, il me redresse et me regarde. Je lui souris, et ça l’encourage, il prend ma main et la pose sur son short. J’hésite un peu, puis commence à masser son sexe. Il déboutonne son short toujours en me regardant et l’enlève. Mes yeux restent rivés sur son sexe, tendu au maximum.
C’est ça que tu veux, me dit-il en désignant son entrejambe.
Oui…
Je tends ma main doucement mais il me saisit le poignet.
Demande-moi d’abord.
Je peux ?
Tu peux quoi ? Demande poliment et soit précise Alexia.
Est-ce que je peux toucher ton sexe s’il te plaît Fabrice ?
Tu aimes les bites ?
Oui Fabrice…
Oui quoi ?
Oui j’aime…
Tu aimes quoi ?
Oui, j’aime les bites…
Ces mots m’excitent terriblement à l’instant où je les dit. Fabrice me fait poser ma main sur sa cuisse, puis attrape ma nuque. Je fis une petite moue déçue, et je sentis sa main me tirer les cheveux faisant basculer ma tête d’avant en arrière. Je me laisse complètement faire pour lui montrer ma soumission. Sans prévenir il tira ma tête vers son entrejambe, s’arrêtant à quelques centimètres d’elle. Je pouvais sentir une odeur singulière, qui m’excitait énormément. Tout doucement, il fit parcourir à ma tête les derniers centimètres qui me séparait de son boxer tendu par l’excitation jusqu’à ce que mon visage soit collé à son érection. J’étais aux anges, seulement séparée par un tissu fin de l’objet de mes convoitises. L’odeur du mâle m’enivrait, et la sensation de sa bite contre ma peau était incroyablement excitante. Il frotta mon visage à son entrejambe quelques minutes, toujours en me tenant par les cheveux, puis il me fit me redresser.
Sans un mot il passa ses pouces dans l’elastique de son boxer, et le baissa au ralenti. Je vis la base de sa bite, qui me semblait déjà énorme, et qui se dévoilait centimètre par centimètre. Elle finit par jaillir du boxer, et il l’enleva complètement. Il prit ma main, et je sentis au ralenti mes doigts se poser sur l’objet de mes convoitises. Il me fit entammer un mouvement de va-et-vient, sous mes yeux émerveillés. J’y était, je branlais un homme pour la première fois ! Il me laissa faire quelques instants, tandis que je contemplai émerveillée son gland. Sa main vint ensuite se poser à la base de son sexe, et le temps se suspendit. Il reprit ma tête en main, et appuya dessus pour la diriger vers sa bite. Je sentis une immense vague de bonheur m’envahir, tandis que mes lèvres s’entrouvirent alors qu’elles approchaient de l’engin, j’allais sucer ma première bite.
