Depuis plusieurs jours nous jouons avec Armelle. Non pas au papa et la maman quoique, Nos après midi de vacances se passent bien dans une chambre, la mienne, ou chez elle. Sous prétexte de faire la sieste nous nous amusons à toute autre chose, plus sensible, plus directe, plus passionné. Notre jeunesse nous autorise à faire des recherches sur ce vaste sujet : l’amour physique. Nous avons commencé par le plus simple à notre avis : les filles. Nous en sommes, ça tombe bien. Même si mon frère rode autour de nous, c’est son intérêt pour la baise, sans esprit de recherche. Il nous montre sa queue, jolie, c’est certain dont nous n’en voulons absolument pas. Par contre celle de Marc, nous conviendrait bien.

Ce jour là nous étions particulièrement excitées. Armelle n’était pas nue, elle portait un foulard autour des seins, et un tout petit string qui laissait voir plus que la moitié de son sexe, vision affriolante.

J’étais couchée sur le dos, elle venait me montrer son pubis avec l’intention que je passe plus bas. Mes mains descendait le string sans qu’elle proteste. Je voyais se découvrir l’important de sa chatte. La seule résistance venait des ses fesses. Enfin je la voyais entièrement nue. Une main passe entre ses cuisses, descend doucement, frise la fente pour se retirer malgré sa déception. J’ai senti la chaleur de l’abricot.

Donne moi ton con.

-Prends le

Ce dialogue court résument la situation. Elle veut que je la lèche, j’en veut autant.

Je te veux aussi.

Je voudrais Marc.

Pourquoi faire ?

Qu’il me la mette devant toi.

Et moi alors ?

Il me la mettra aussi un peu après.

Notre conversation est troublée par nos caresses : on ne le dirait pas, les caresses lesbiennes sont agréables, mais en plus elle distraient terriblement, moi en tout cas.

Armelle a son envie, elle veut une queue, insiste tellement que Marc vienne la soulager. C’est vite fait quand il vient sur nous : au début il ne sait qui baiser. Nous le caressons la bite à deux mains. Je voudrais bien le goût sur ma langue.

Suces le un peu avant. Elle me laisse faire à mon gré à une seule solution :

Ne le fais pas jouir dans ta bouche ;

Je voudrais bien sentir sa goutte.

Je l’ai eu la dernière fois, il est délicieux, meilleur encore que ton jus.

Tu aime bien le lécher à la source mon jus.

Tu es une fille c’est pas pareil.

Lèche moi le cul, j’aime aussi.

Marc se fiche de nos souhaits ; il a deux filles à baiser : elles sont chaudes, lui est chaud, plein de sperme en réserve.

Excitée par la courte conversation, Armelle se met sur le dos, elle ouvre ses jambes, donne sa chatte entière à son amie. Cette position en 69 permet à Marc de satisfaire le besoin de l’amante : il est sur elle, sa bite dans sa main. Il la passe dans la raie des fesses. Ce qu’il cherche est juste dedans. Bite mouillée il la lui met. Armelle voit le détail de la queue pleine de veines, les couilles remontées aussi pleines que la bite. Elle ne tient plus de son désir, elle passe elle aussi la main dans la raie de Marc : il se laisse faire, aimant ce genre de faveurs. Pendant qu’il entre posément dans l’anus offert, il reçoit deux doigts de femmes dans le derrière. Il s’y crispe un peu, avance dans le cul qu’il honore.

Marc est agréablement surpris quand il sent une langue mordiller les couilles. Le trio se rode ainsi. Aucun des participant ne voudrait laisser sa place. Sauf que la tante d’Armelle vient le voir. Elle ne fait rien pou les arrêter, au contraire, elle regarde la baise, baisse et son jean et son string. Ses doigts caressent la figue, pas longuement juste le temps de partir rapidement vers le ciel. Elle juge la baise peu excitante. Elle se promet de venir initier sa nièce aux baises parfaites.

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