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PEGGY, encore plus salope que je ne l'imaginais – Chapitre 1




J’ai écrit une histoire en m’inspirant de ma collègue Peggy, et suite à cet envoi j’ai reçu un commentaire qui m’a interpelé lorsque je l’ai lu:

"J’ai bien aimé votre récit, d’autant que je me trouve beaucoup de points communs avec la fille. J’ai le même prénom, le même âge, je bosse en centre ville, j’ai la phobie des mains baladeuses lorsque je prends le métro, et j’ai un collègue de votre âge. Du coup il m’arrive de fantasmer sur lui. Troublant toutes ces similitudes, non?"

Je pense aussitôt à ma collègue, et essaye de me persuader que c’est impossible. Pourtant c’est vraiment étrange ce message, et je tente une réponse pour enlever les doutes:

"Coucou et merci pour ton commentaire. Ce ne sont que des coïncidences, ça peut arriver. Dans mon récit on a perdu dix ans avec mon héroïne, alors ne fais pas pareil avec ton collègue si tu as envie de lui. Fais ce qu’il faut pour baiser tous les jours avec lui, chez toi, chez lui, ou au boulot. Bisous."

La réponse suit et elle enfonce le clou, me montrant d’autres points communs avec la réalité.

"J’aimerais bien, mais ce n’est pas possible. On bosse dans la même boite mais à 150 kilomètres de distance. Et vous, vous êtes d’où? Ah, j’oubliais, ça doit faire dans les dix ans que l’on se connait"

On travaille effectivement loin l’un de l’autre, je pense que c’est elle mais n’ose pas me dévoiler. J’ai écrit bien d’autres histoires dont je ne suis pas forcément fier, et ai peur de ce qu’elle pourrait penser de moi. Du coup je lui réponds que j’habite dans une ville à l’autre bout de la France, une ville disposant d’un métro, termine par un adieu, et on stoppe nos échanges.

J’ai l’occasion de l’avoir au téléphone pour le boulot, mais aucun des deux ne fait allusion à quoi que ce soit. Je finis presque par oublier, me persuader que ce n’était pas elle, lorsque mon responsable me demande d’aller bosser dans son établissement, pour remplacer un collègue en arrêt de travail. J’accepte, pour une durée initiale de trois semaines, et je me retrouve à bosser avec Peggy.

Dès le premier jour elle me demande ce que je fais le soir, et je lui indique que je vais sans doute rester à l’hôtel et manger sur place. Elle me propose de m’inviter chez elle pour diner.

Arrivé à la fin de la journée, elle va faire des courses, je passe à l’hôtel donner signe de vie, et on se retrouve au parking d’une station du métro. Elle récupère sa voiture et on va chez elle.

Elle m’installe au salon, nous sert un apéritif, et me dit quelle va se changer, se mettre à l’aise si je permets. Elle revient vite et j’ouvre de grands yeux admiratifs. Elle porte un mini short à taille basse, un petit haut court à bretelles et apparemment sans rien dessous, le ventre à l’air. J’avale ma salive avant d’essayer un compliment:

— Ouah! Je me doutais que tu étais belle mais pas à ce point. Tu es magnifique.

Elle m’adresse un petit merci, puis tourne sur elle même, que je la vois sous toutes les coutures:

— Je te plais?

— Je veux, oui! Tu es canon, super bien roulée.

Elle m’a laissé le fauteuil et s’assoit sur le canapé, face à moi. J’enchaîne:

— Dis moi, je suis curieux, mais comment ça se fait qu’une jolie fille comme toi soit seule. Tu n’as pas un petit copain, ou une copine?

— J’ai un ami, mais c’est spécial nous deux. On ne se voit que les weekends et les vacances, et on retrouve notre liberté le reste de l’année.

— Tu veux dire que chacun fait ce qu’il veut, sans avoir de comptes à rendre?

— Oui, c’est ça, on est un couple ultra moderne.

— Et c’est valable aussi pour la bagatelle?

— Eh, mais c’est vrai que tu es curieux. Mais je n’ai rien à cacher, je m’assume comme je suis. Alors pour le sexe, puisque c’est ça qui t’intéresse, il peut aller avec qui il veut, ce n’est pas un problème.

— Et toi aussi tu as toute liberté! Tu en profites?

— Pas encore mais j’y pense fortement. Il suffirait que je croise un inconnu qui me plaise et que je l’invite à prendre un verre; mais je n’ai pas eu encore le déclic.

— Tu cherches un mec jeune et beau je suppose, un prince charmant pour une princesse.

— Non, au contraire, mon prince je l’ai déjà. Je crois que j’aimerais un vieux, comme toi, pas trop pour être encore vert. Ca doit être bon un vieux, avec de l’expérience et du vice. Quand à la beauté c’est secondaire, pourvu qu’il ait une grosse queue.

— Je vois effectivement que tu t’assumes ma chérie. Et ça doit forcément être un inconnu?

— Non, mais pas un trop proche, je ne tiens pas à une relation suivie.

— Ca pourrait être un collègue, que tu ne vois pas souvent?

— Eh petit coquin, tu penses à quoi?

— Mets toi à ma place. Je me retrouve chez une superbe jeune femme, en tenue assez légère, et qui m’avoue qu’elle aimerait bien s’offrir un vieux. Alors je tente ma chance.

— Et pourquoi pas, tu sais que tu n’es pas mal. Tu as le bon âge, tu es encore vert si j’en crois la bosse de ton pantalon, et tu dois être vicieux si j’en juge le regard cochon avec lequel tu me mâtes. Il ne reste qu’à voir si tu as une grosse queue, et ça je vais très vite le savoir.

Elle se lève et s’agenouille entre mes jambes. Je suis pétrifié, et la laisse faire sans oser ni parler ni bouger. Elle défait ma ceinture, le bouton, la fermeture, tire dessus mon froc, et je soulève mes fesses pour l’aider à le descendre. Elle pose sa main sur mon paquet, me caresse gentiment, puis baisse mon slip, libère mon sexe grossissant. Elle le prend à pleine main, me dit que j’ai l’air d’avoir une très belle queue, mais qu’elle va me faire bander dur pour s’en assurer. Elle décalotte à moitié mon gland, crache dessus, passe ses doigts, le décalotte entier, recrache, puis me prend dans sa bouche. Elle me rend fou, je n’ai pas eu le temps de me préparer, et je sens que je ne vais pas résister:

— Doucement ma chérie, tu vas trop vite, tu vas me faire jouir.

— Non, pas déjà, attends un peu.

— Je voudrais bien mais tu m’excites trop. Je sens que ça vient.

Elle ne répond pas et s’applique à me pomper. J’essaie de me retenir, mais c’est peine perdue. J’ai la bite demi molle, demi dure, et je décharge lamentablement au bout de quelques secondes. Elle me garde en bouche et engloutit toutes mes giclées peu puissantes mais bien fournies. Elle attend que je me calme, me suce jusqu’à la dernière goutte, et lorsqu’elle se redresse pour s’adresser à moi je peux constater qu’elle a tout avalé:

— Eh bien mon cochon, tu dois te sentir plus léger!

— Excuse moi, je suis désolé. Il y a longtemps que ça ne m’était pas arrivé.

— Ne t’inquiète pas, tu te rattraperas j’espère. En attendant, qu’est ce que tu mis! Remarque, avec les couilles que tu as ça ne m’étonne pas; tu as été taureau dans une autre vie!

Je lui propose de s’amuser avec si elles lui plaisent, et elle accepte sans hésiter. Elle se lève, je finis d’enlever le bas et je me tiens debout, un pied en hauteur sur le canapé pour mieux lui offrir mes grosses boules pendantes. Elle s’accroupit, les pelote, les embrasse, les lèche, les suce, les gobe, une à la fois, puis les deux en les enfilant l’une derrière l’autre. Elle me les dévore avec délicatesse, et je caresse son visage avec ma grosse bite molle, la frotte dessus comme un essuie glace.

Elle se relève pour aller mettre le four en marche, si on veut manger. Elle revient et je vois son short à deux couleurs; elle a dû mouiller et l’entre cuisses a une belle auréole foncée:

— Mais tu es toute trempée ma coquine, pour un peu je croirais que tu t’es fait pipi dessus.

— Qui sait! Peut-être, tu veux me lécher pour voir?

— Avec plaisir ma belle, je sais que c’est de la mouille, mais si je me trompe ce n’est pas grave.

— Mais tu es vraiment cochon, tu aimes la pisse?

— Je n’ai jamais essayé, mais des fois ça me tente. Mais pour le moment je veux te bouffer la chatte, déshabille toi.

Elle enlève le bas et s’installe sur le fauteuil, les jambes ouvertes et relevées sur les accoudoirs.

Je m’agenouille devant elle, et me mets en devoir de la brouter. Je lape sa mouille abondante avec des slup bruyants, Je la lèche de mon mieux, petites lèvres, grandes lèvres, vagin, clitoris, rien n’échappe à ma langue gourmande. Elle gémit, elle jouit:

— Hum, tu es bien toi, tu lèches trop bien, c’est bon ce que tu me fais.

— Il ne te fait pas ça ton copain?

— Non, il ose à peine me faire des bisous dessus, tandis que toi je sens bien ta grosse langue musclée qui me fouille. Tu es un cochon toi!

— Oui, un gros porc comme tu en rêves, je peux te bouffer pendant des heures, aussi longtemps que tu mouilles.

— Et si je ne mouille plus je peux pisser. Qu’est ce que tu en dis.

— Que tu es une salope. Mais c’est trop dégueulasse les premiers lâchers, il faut attendre pour que ça devienne buvable.

— Comme dans l’histoire de la collègue Peggy sur internet.

— Quelle histoire?

— Ne fais pas l’innocent, je sais que c’est toi qui a écrit ce récit, qui a cessé de répondre à mes messages. Elle m’a trop excitée ton histoire.

— Tu as raison salope, c’est moi, je suis un vicieux. C’est pour cela que tu m’as invité, petite pute?

Le four sonne, le repas est prêt, et on stoppe. Je me rhabille, et elle va chercher une petite jupe sans rien dessous pour ne pas souiller une autre culotte.

On mange et planifie notre soirée. Elle a un feuilleton qu’elle tient à voir et on programme tout en conséquence. On a terminé une demi-heure avant son émission, et elle va me servir une bière et me tailler une bonne pipe, dans l’espoir que je ne sois pas aussi précoce que la première fois. Pas de soucis, elle va pouvoir bien me turlutter avant que je ne jouisse à nouveau, et elle va se donner à fonds. C’est bon comme elle me suce:

— Tu es trop bien salope, tu pompes à merveille. Tu aimes les insultes?

— Oui, ça m’excite, je suis ta pute et toi mon salaud..

— Un gros salaud pour une petite putain. Et ton mec il s’en foutrait de te voir me bouffer la queue?

— On n’en parle pas, on s’en fout.

— Et une partie à trois, ça lui plairait,

— Hé, et moi je compte pour du beurre! Tu pourrais déjà me demander.

— Excuse moi ma salope, mais tu me sembles si cochonne que ça me parait évident que tu es pour.

— Et bien non mon cochon, tu te trompes. Quand je suce, je suce, quand je baise, je baise, je veux profiter à cent pour cent à chaque fois, mais deux plaisirs en même temps je ne le sens pas, je ne vois pas sur lequel me concentrer et j’ai peur que ça gâche tout.

— Tu parles de sucer et baiser, mais il n’y a pas que ça. Une double pénétration, tu n’aimerais pas?

— Ah non, il est vierge mon petit trou, et je tiens à ce qu’il le reste. Enfiler du cul c’est bon pour les homos.

Je ne réponds pas, et elle me pompe comme une morfale, me complimente sur ma queue, et finit par la faire fondre dans sa bouche, boire mon sperme qui s’écoule aussi abondamment que la première fois.

Son feuilleton va démarrer, elle s’installe pour le voir, et je vais lui dévorer le minou, me désaltérer à sa source inaltérable. Quatre vingt dix minutes d’émission, et autant de temps de ma langue qui la fouille. On dit que les femmes peuvent faire plusieurs choses en même temps et elle en est la preuve vivante Elle suit son film, et jouit en même temps. Elle mouille, dégouline, et je la bois, je la bois, je la bois jusqu’à plus soif. Hum, oh putain que c’est bon, elle est succulente sa cyprine.

Son film est fini, j’ai tari sa source et je me tiens une trique béton. Elle éteint la télé:

— Tu veux une autre bière, ou tu préfères un verre de pisse?

A suivre…………..

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