Je m’appelle Karim, j’ai 20 ans et je suis brun. Je viens d’intégrer ma nouvelle école, et je suis en classe de Terminale. Je n’ai pas encore beaucoup d’amis, car je suis plutôt timide. Hier après le cours de Physique, Blaise et sa bande m’ont invité à une partie de poker qu’ils organisent chez lui ce soir, profitant du voyage d’affaires de ses parents. Je vais donc y passer la nuit, ce qui n’est pas plus mal !
Blaise c’est le bad boy du lycée, avec son style gothique, ses pantalons ultra-slims et ses tatouages sur tout le torse. C’est le style de gars qu’on aimerait avoir pour ami, tant il est influent à l’école, et surtout célèbre. Une partie de poker chez lui ne peut pas me faire du mal, surtout que cela m’aidera aussi à en apprendre un peu plus sur lui. En effet, j’ai toujours rêvé de faire partie de sa bande d’amis.
La soirée arrive rapidement, et je me mets en route vers chez Blaise. Je suis vêtu d’un T-shirt blanc, un gilet noir et une culotte grise. Je sonne à sa porte, excitée comme une pucelle. Il m’ouvre la porte, un immense sourire aux lèvres.
— Entre Karim, nous n’attendions plus que toi !
Je lui rends son sourire et entre dans leur maison, qui ressemble plutôt à celle d’un prince tellement tout est élégant et chic.
— Prends place je t’en prie. M’exhorte-t-il en tirant une chaise.
Autour de la table ronde, il y a deux autres personnes, qui sont de la bande de Blaise et dont j’ignore le nom. Ce dernier me propose un rafraîchissement, que j’accepte volontiers. Nous commençons alors notre soirée entre mecs. Je ne sais pas très bien jouer au poker, mais si ça me permet d’intégrer la bande de Blaise, je suis prêt à perdre quelques euros.
— J’ai une idée ! s’écrie l’un des amis de Blaise, le blond géant et gringalet. Pourquoi ne faisons-nous pas plutôt un strip-poker ? Et pour pimenter le jeu, disons que le perdant devient l’esclave des autres pendant toute la nuit.
Son idée fait l’unanimité auprès des autres. Même si je ne suis pas complètement d’accord, je ne préfère pas contredire les autres, surtout si Blaise est avec eux. Très tôt, le jeu commence. Mais après quelques minutes, je commence à ressentir une sensation étrange. Je bande comme un âne. Mon sexe est tellement dur, que j’en ressens des douleurs. Je m’ajuste sur mon siège, essayant de dissimuler ma trique sous la table. Forcément, cette situation me déconcentre et je me retrouve perdant de la première manche. Je suis forcé d’enlever mon gilet sous les rires des autres. Puis vient le tour de mon T-shirt. Je commence à me sentir un peu gêné. Je suis du genre pudique et me dénuder en public ne fait pas partie de mes habitudes. Cependant, le regard chaud de Blaise sur moi n’arrange pas la situation. L’un des autres joueurs perd son T-shirt également. Mon érection commence à me mettre mal à l’aise. Je ne suis pas gay, j’aime les filles. Mais pourquoi donc suis-je excité par une partie de strip-poker avec des mecs ? Si Blaise pense que je suis gay, je ne pourrais jamais faire partie de son groupe ! Finalement, je perds encore, et me retrouve obligé de me séparer de ma culotte.
A ce moment-là, tout le monde se rend compte de ma trique monstrueuse, que j’essaie toujours en vain de cacher. Je suis rouge comme une tomate.
— Je vois que nos jeux te plaisent ! ricane Blaise en arrangeant les cartes.
— Je ne sais pas ce qui se passe… mais je ne suis pas gay ! balbutié-je en essayant de m’expliquer.
Au bout de quinze minutes, alors que je bande toujours autant, je perds le dernier bout de tissu qu’il me manque. Je suis obligé de me mettre à nu devant les autres. Je fais glisser mon bermuda blanc sur mes jambes. Cette situation est tellement embarrassante, que j’en tremble.
— Il en a une grosse, le puceau ! plaisante le blond.
— A présent, c’est notre esclave ! rétorque Blaise, un regard dévoreur sur moi. Approche-toi ! J’obéis immédiatement, tremblotant de tout mon corps. Il m’empoigne violemment par la queue, m’arrachant un couinement. Lentement, il entame des va-et-vient. Tu aimes ça ?
— Je ne suis… pas gay ! sifflé-je en essayant de contrôler mon excitation.
— Petite salope ! Allez, courbe-toi !
Il écrase mon torse sur la table de poker, et je constate que lui aussi à la queue levée, à travers le tissu de son slim jean. Son copain brun m’appuie son engin sur le visage, me le frotte vigoureusement sur le nez, en m’ordonnant de lécher. Le fin tissu de coton de son slip est si humide, que son phallus s’y dessine parfaitement. Il le libère complètement, et me l’insère dans la bouche ! Elle n’est pas si grosse, donc j’arrive à la prendre complètement. Il fait des allées et venues rapides, alors que je sens une langue titiller ma rondelle. Je m’appuie sur la table, pour ne pas tomber. J’ai envie qu’on me baise là, tout de suite. Pourquoi, j’en sais rien. C’est pas rationnel, mais je m’en fous ! Putain, cette langue chaude qui s’insère lentement en moi, me lèche, m’excite. Je sens aussi des mains douces me parcourir entièrement le corps. Des frissons naissent sur ma peau.
— Baise-moi maintenant… supplié-je lorsque le brun libère ma bouche de sa queue pour ensuite revenir à la charge.
Je ne peux plus supporter les provocations de la langue sur ma rondelle sensible. Au diable mon orientation sexuelle ! Je veux sentir quelque chose là-dedans, au fond de moi. Je sens que c’est ça qui me manque, et ça me torture. Une claque féroce s’abat sur mes fesses. Je hurle de douleur.
— Tu es l’esclave ici ! Tu n’as aucun ordre à donner !
Honteux, je me tais, couinant de désir et de plaisir. Sa langue continue de faire monter l’orgasme en moi, alors que je ne me masturbe même pas. Le sexe de l’autre continue de me pilonner la bouche, tandis qu’il pousse de longs râles. Je sens l’extase arriver à vive allure. Je me libère du pénis gonflé dans ma bouche.
— Je vais jouir ! crié-je, alors que mon sexe enflé propulse des jets séminaux blancs.
Mon orgasme provoque celui du brun, qui verse une quantité phénoménale de foutre dans mes cheveux, en aboyant de plaisir. Je me relève avec peine, prêt à rentrer chez moi me branler. Une main me plaque brutalement de nouveau sur la table. J’essaie de riposter, quand une autre gifle lancinante s’écrase sur ma fesse.
— La soirée ne fait que commencer Karim ! Nous allons à présent chez l’un de mes cousins, qui nous attend pour une petite fête. Tu es notre esclave pour toute la nuit, alors apprête-toi en conséquence.
— Je ne suis pas gay ! Laissez-moi rentrer chez moi ! crié-je en essayant de me relever.
— Tu es libre de rentrer ! réplique le blond. Mais sache que je viens de te filmer, nu et excité comme un puceau. Il se pourrait que ces images se trouvent dans les galeries de tous les élèves du bahut. me dit-il, en me présentant des images de moi dans son téléphone.
Je suis piégé. Ils m’ont eu, je suis leur esclave.
— C’est bon, je reste. Me résigné-je, mon sexe toujours aussi dur malgré la jouissance.
Blaise m’applique un sauvage coup sur mes fesses à l’air.
— Gentille pute… répond-il, en se pourléchant les lèvres.
*A suivre*