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Vie d'une famille heureuse. – Chapitre 1




Cela faisait bien 20 minutes que je les entendais baiser et il y en avait bien pour deux bonnes heures encore.

Irrémédiablement, tous les dimanches après-midi, mes parents baisaient et cela faisait des années que cela durait, j’avais maintenant l’age adulte et je vivais toujours chez moi car je poursuivais mes études et comme je travaillais bien, je dois dire que je n’avais jamais eu l’occasion de m’occuper des filles ; en plus à cette époque les petites salopes ne baisaient pas comme de nos jours.

J’étais grand mais puceau et je me branlais au rythme des bruits provenant de la chambre de mes parents autant dire presque tous les soirs et le dimanche après midi comme je ne sortais guère ? j’étudiais ? dans ma chambre. Souvent mon père reprochais aux maisons modernes d’avoir des murs ? fins comme du papier à cigarette ?, c’est pas possible qui puisse ignorer que j’entende les cris de ma mère et ces grognement à lui.

Quand à leurs commentaire au moment sublimes je les connaissaient par cour.

? suce salope, oui, encule moi bien. ? et tout le reste.

je n’avais jamais baisé mais j’avais de bonne base pour passer à l’action, il ne me manquait plus qu’un fille à me mettre sous la main.

Le soir je me branlait dans le lit mais le dimanche comme je savais qu’il y en avait pour deux heures minimum, je me déshabillais et me branlais dans mon fauteuil fasse au mur mitoyen d’avec leur chambre. Leur lit touchait la cloison que je sentais vibrer et j’avais l’impression d’être avec eux.

J’en rêvais et je me voyais pénétrant ma mère comme sur les photos et les bouquins ? cochons ? et revues ? d’amateurs ?qu’ils avaient dans leur chambre bien caché au

fond de l’armoire.

Je les connaissaient par cour et je me demandais parfois si les visage masqués sur les photos ? noires et blancs ? n’étaient pas ceux de mes parents avec leurs amis ; prises par des amateurs.

Un dimanche d’été, alors que j’étais en pleine masturbation en les écoutant, la porte de ma chambre s’ouvrit brutalement et mon père nu comme un ver, la queue demi-

dressée me fit signe d’approcher. J’étais nu et si honteux que ma bitte très raide un instant plus tôt était déjà à l’état de limace.

J’eu très peur qu’il ne me frappe mais avec un regard sympa il me pris par les épaules et me dit :

? plutôt que de te branler, vient donc voir, c’est beaucoup plus agréable ?

Nous entrâmes dans la chambre parentale et je vis immédiatement ma mère nue étendue sur le lit bras et jambes écartées, le visage radieux et qui me dit :

? approche mon chéri ?

Une boule me bloquait la gorges et je m’excécutais comme un automate en me mettant à genoux sur le bord du lit pendant que mon père prenait la même position de l’autre côté de son corps.

Son corps était magnifique selon moi qui n’avait guère de références pour comparer mais mes yeux allaient de ces beaux seins laiteux légèrement écartés de chaque côté de son corps et cette mystérieuse touffe de poils dont je rêvais chaque nuit.

Ma mère pris mon sexe dans sa main en même temps que celui de mon père? deux belles bittes dans les mains, que rêver de mieux ? mon père commençait à lui malaxer le sein gauche et me dit de faire de même car selon ses termes : ? elle adore les caresses cette pute ?

? Mets lui ta main sur la chatte, histoire de la faire mouiller ?

Je posais ma main sur la touffe tant désirée et c’est ma mère qui me guida pour que je la caresse ainsi qu’il se doit et que je découvre ce mystère tant attendu.

J’étais comme dans un brouillard et je caressais la chatte de ma mère avec la main droite tandis que je lui malaxait un sein avec l’autre main.

Quand à mon père il avait approché sa queue monstrueuse de la bouche me ma mère qui commença à lui sucer sous le commentaire cru de mon père :

? tu aimes, hein ! une grosse bitte dans la bouche, mais regarde bien celle de ton fils bientôt elle sera comme la mienne et alors tu en auras deux à t’occuper ?

De tels mots avaient un effets sur ma bitte qui devenait très dure et même si elle était beaucoup plus fine que celle de mon père je constatais qu’elle était de la même

longueur avec de belle couilles lourdes et pendantes ; la branlette de ma mère commençait à avoir un effet terrible je senti que ma queue tressautait et par quelques giclées puissantes guidées par ma mère, je lui arrosait les seins et le ventre.

Un peu dépité d’avoir si vite vidé mes couilles, je regardais mon père qui souriait en me disant que c’était bon et que j’allais voir.

Il se pencha alors sur le corps de ma mère et lécha tout mon sperme en dirigeant sa bouche vers sa chatte touffue..

C’est alors que ma mère lachant nos queues respectives, tout en restant sur le dos relevant ses jambres se mis en position d’écart maximum offrant sa chatte et son cul bien en évidence mon père se mis à genoux sur le sol et me fit signe de faire pareil.

Dans cette position, il me fit faire le tour du visiteur me montrant tous endroit mystérieux de sexe de ma mère, écartant les lèvres très longues et caressant son clitoris

très proéminant, puis achevant en caressant l’anus et en y entrant la première phalange de son index ; tu vois cette pute elle adore qu’on lui enfonce le doigt dans le cul, va-y essaye.

Ma mère excitée par ces attouchement criait : ? allez-y, caressez moi la chatte et le cul, faites moi jouir à mon tour ?

Et mon père de me montrer comment on lèche puis me laissant la place afin qu’à mon tour j’apprenne à donner le plaisir à une femme.

Mon père ne restait pas inactif pendant que je sucait le clito de ma mère car il était allait prendre un god dans la table de nuit et me dit : ? tu le connais celui là ?

inutile de mentir aussi je fis signe que oui ; en effet je l’avais découvert il y a bien longtemps..Mon père l’enduisit d’une crème blanche et grasse et commença à le présenter à l’entrée de l’anus de ma mère qui commença à se tortiller de plaisir.

Elle se releva et me fit étendre sur le dos et se mis en position 69 (elle sur le dessus) j’avais une vue imprenable sur sa belle chatte humide et je voyais mon mère lui

enfonçait le god dans le cul.

? continue de me bouffer la chatte mon fils ? me dit-elle? ta mère est une salope qui adore ça, vas y ? et moi je continuais de la dévorer pendant qu’elle me suçait avec

avidité.

mon père avait une trique terrible et un moment il dit :

? maintenant du sérieux ? et il présenta sa queue à l’entrée de l’anus de ma mère.

Je n’immaginait pas qu’un telle monstre puisse entrée alors ma mère me dit :

? vas-y, écarte mes fesses que ton père puisse me défoncer mon cul? et mon père d’un cri rauque entra entièrement son tube dans le fondement de ma mère qui poussa un cris de fauve, rauque et long à la fois je sentis mon visage s’inonder de foutre qui dégouliner de sa chatte en feu.

Les coups de bouttoir de mon père créaient un mouvement de va et vient naturel sur le sexe de ma mère qui se frottait à ma langue tandis que ma queue entrait et sortait de sa bouche goulue.

Je ne pus retenir longuement mon plaisir et pour la première fois de ma vie j’éjaculais dans la bouche d’une femme et quelle femme.sa langue m’entourait la queue et

créait un effet de sucion qui attirait mon gland vers le fond de sa gorge comme si elle allait l’avaler.

Mon père cria à son tour quand sa bitte cracha son sperme et qu’il arrosa l’anus de ma mère, puis il se mis à genoux et lécha tout ce qui dégoulinait. J’en reçu sur le visage et léchait à mon tour le sperme de mon père innondant l’anus et la chatte de ma mère.

Nous tombames tous les trois dans les bras les uns et autres et je crois bien avoir dormi trois heures durant.

(à suivre)

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