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Lilly joue avec son Père – Chapitre 8




Chapitre 8 : Papa, maman et moi.

Le lendemain sa mère, Marie, arrive à la maison tout de suite après son papa. Lilly, allongée toute nue sur son lit attendait son papa et elle était prête pour une répétition de la nuit précédente. Lorsqu’elle entend la voix de sa mère, elle fait la grimace et enfile rapidement un vêtement et descend les escaliers.

Après le dîner, Lilly va dans la cuisine où son papa fait du café pour Marie et lui-même.

— Papa, putain ! Que fait-elle ici ! J’espérais que nous pourrions… tu cest…

Lilly s’appuie contre le mur et déboutonne le devant de la robe qu’elle porte, révélant ses seins plein et fermes et les tétons durs.

— Elle est rentrée trop tôt ! Désolé bébé on dirait que nous allons devoir attendre.

Répond-il en pressant rapidement ses beaux seins.

— Mais je ne peux pas, Papa ! Jai besoin que tu me baises, jai envie de toi, papa.

— Oui, moi aussi, mon bébé. Mais avec ta mère à la maison

— Quoi, papaà quoi tu penses ?

Demande Lilly en voyant quil réfléchit à quelque chose.

— Ta mère à un médicament qui la fait somnoler. Si elle était endormie, nous pourrions en profiter pour faire lamour tous les deux

Jacques cest que cest risqué mais depuis quil a baisé sa fille, il ne pense plus quà ça. Cest comme une friandise interdite, une drogue que son corps réclame à chaque instant de la journée.

Lilly cours immédiatement dans la salle de bain et prend deux cachets pour les mettre dans son café.

— Tu crois que deux suffirons, papa ?

— Oui, mon bébé damour. Mais un devrait suffire.

Lilly sourit et dissous les deux cachets avant que son papa ne change davis.

— Voilaelle va sendormir plus vite, faites-moi confiance papa.

Encore une fois, laissant son petit cerveau sous linfluence de sa fille, il ne dit rien et porte le café à sa femme.

Peu de temps après, Marie se met à bâiller.

— Je pense que je vais aller me coucher. Je suis crevée.

Jacques sourit et hoche de la tête. Lorsqu’il entend la porte de sa chambre se refermer, il attend quelques minutes avant de monter. Dans sa chambre il voit sa femme profondément endormie et il se dirige illico vers la chambre de sa fille, sa bite déjà bien dure dans son pantalon.

Quand il entre, Lilly est déjà toute nue sur son lit, cuisses écartées et jambes pendantes à lextrémité de son lit. Dune de ses mains, elle tire sur ses tétons roses très sensibles, et de lautre elle baise sa chatte humide avec le vibro.

Lorsqu’elle voit son père entrer, sarrêter haletant la bouche ouverte et la langue pendante, elle jette le gode par terre et se met en arrière sur ses coudes.

— Désolé papa, mais je ne pouvais pas attendre.

Il est tellement excité quil arrache ses vêtements et sa grosse et longue bite surgi triomphante de son slip qui tombe par terre.

— Je vois ça ! Mais maintenant je suis là et je vais moccuper de toi !

Et il plonge entre ses douces cuisses pour enfouir son visage à la recherche de sa merveilleuse petite chatte.

— Ooooh, papa, cest bonjaime ta bouchemais cest ta grosse queue que je veux. Baise-moi papa, baise ta salope de fille !

Il na pas besoin dencouragement et il enfonce sa longue queue dans la chatte de sa fille, le plus profondément possible, jusqu’à venir en buté sur son utérus. Il attrape ses seins et les triture pendant quil la baise doucement en la faisant gémir de plaisir. Puis en accélérant la cadence il la saisit par ses hanches afin de la prendre bien à fond en venant frapper son pubis à chaque poussée profonde de son sexe.

En plein dans leur trip amoureux et gémissant de concert, ils nont pas entendu la porte de la chambre de Marie souvrir et ses pas qui se dirigent vers la leur.

Lilly pousse une sorte de feulement modulé lorsque la bite de son papa, dans sa chatte trempée, commence à éjaculer et envoyer son sperme chaud dans son corps en feu

.

Ce nest quaprès la deuxième giclée de sperme quils réalisent que Marie est dans la pièce et lâche.

— Oh mon Dieu ! Que faites-vous tous les deux !

La Mère de Lilly est debout, à la porte, et à peine couverte par sa petite robe de nuit.

— Merde!

Cest tout ce que peut dire son père en sortant sa bite trempée de la chatte de sa fille et en continuant déjaculer pour se vider les couilles en arrosant la chatte puis les seins de Lilly.

Marie, sous le choc, ne peut détacher son regard du flux de foutre épais qui sort de la bite de son mari pour atterrir sur le corps nu de sa fille. C’est seulement après que les dernières gouttes tombent sur sa chatte épilée, aux lèvres rouges et gonflées, quelle lève les yeux pour regarder sa jeune fille.

Bêtement, Lilly articule.

— Maman, ce n’est pas ce que tu crois

— Ce que je crois ! Je ne crois rien ! Je vois ! Et vous ne mavez pas invité pour jouer avec vous !

Dit-elle en sapprochant deux.

Lilly et son papa se regardent, interloqués, puis ils remarque lexpression lubrique quelle a dans ses yeux et réalisent que le médicament quils lui ont administré agit sur sa libido.

— Chérie, je ne pense pas que tu sois dans ton état nor.

— Gros cochon, je sais très bien ce que je fais !

Répond Marie et elle laisse tomber sa chemise de nuit en sapprochant deux.

— Je vais me joindre à vous et mamuser aussi.

Elle lui fait un clin dil avant de lembrasser sensuellement et elle prend sa queue en main. Lilly se pousse sur le côté et commence à sasseoir mais Marie la repousse sur le lit à côté de son père. Elle monte aussi sur le lit et commence à lécher et sucer la bite de son mari qui na pas eu le temps de débander.

Lilly ouvre ses grands yeux et respire difficilement en voyant la langue de sa maman courir le long de la bite de père pour ensuite se diriger sur son corps et lécher le sperme de son père qui le recouvre. Marie regarde sa fille avec un air de défit en aspirant le foutre de son mari pour lavaler sous les gémissements de sa fille et le regard de son mari qui ne sait pas quoi faire.

Ce n’est pas tellement comment sa femme se comporte, mais la regarder lécher tout son sperme sur sa fille avec cet air de salope en manque, le surprend, car il ne se serait jamais douté quelle puisse accepter cette situation.

La bouche de Marie, après avoir bien nettoyer les seins et le ventre de sa fille, se dirige vers son entrecuisse trempé, collant et chaud.

— Ooooh, mamancest bon

Soupire Lilly quand les lèvres de sa mère caressent ses cuisses. Marie remonte plus haut et sa langue tendue atteint la chatte dégoulinante de Lilly, mais elle se retire.

— Non ! Se lamente Lilly doucement.

Elle s’apprête à dire autre chose lorsque sa mère plaque sa bouche contre la sienne. Lilly ouvre ses lèvres pour sentir la langue maternelle rechercher la sienne sous les yeux de son père complétement chamboulé de voir sa fille et sa femme sembrasser comme deux jeunes adolescentes.

Sans se rendre compte, il caresse sa grosse queue engorgée de sang, ne quittant pas des yeux ce spectacle, plus quérotique, quil a devant lui.

Marie lâche la bouche de Lilly pour revenir entre ses cuisses. Lilly prend la tête de sa mère pour la presser contre sa chatte frémissante. Marie la laisse faire et commence à lécher et sucer la jeune chatte de sa fille tout comme elle l’avait fait avant alors quelle pensait que cétait son ancienne colocataire d’Université.

Lilly gémit de plus en plus fort quand sa mère lui dévore sa chatte mieux que jamais, grignote le bout de son clitoris et agite sa langue dans son trou serré qui ne demande quà souvrir.

En entendant son mari grogner, Marie se dégage de la chatte de Lilly pour le regarder. Il est en train de branler son épaisse bite.

— Ne gaspille pas cette merveilleuse bite toute raide, roucoule Marie, viens me la mettre dans ma chatte !

— Oh, oui ! Vas-y papa ! Fais-le ! Halète Lilly toute excitée.

Jacques à un dernier sursaut.

-Non ! On ne devrait pas faire ça. Je ne peux pas baiser ma femme devant ma fille, sa fille ! Même si elle lui a déjà brouté sa chatte !

— Alleron attend Plaident Marie et Lilly en lui souriant.

— Comment puis-je refuser quand cest demandé avec tant damour

Marie replonge immédiatement sur la chatte de sa fille pendant que son mari vient derrière elle. Marie gémit dans l’entrecuisse de Lilly, quand une main fouille sa chatte pour vérifier si elle est humide. Ce qui est le cas. Jacques guide sa bite entre les belles lèvres de la chatte de sa femme et lentement il senfonce et après une longue course, il est entièrement et profondément enfouit dans la chatte de sa femme. Elle nest pas aussi serrée que celle de Lilly, mais sa queue de belle taille reste coincé agréablement dans son vagin.

— Baises-moi fort ! Comme un mâle en rut !

Crie Marie, alors quil va et vient doucement dans son trou damour.

Ne voulant pas la décevoir il commence à la pilonner en faisant claquer ses grosses couilles sur son cul.

Marie s’efforce de garder sa bouche au contact de la chatte de Lilly malgré les puissants coups de bite de son mari et elle utilise sa main libre pour se tripoter son clito complétement sorti de sa gaine protectrice. Lilly se paluche ses seins et crie de plaisir sous cette nouvelle sensation que ses deux parents lui procurent et elle nest pas loin de jouir. Son papa aussi, car voir sa jeune fille se faire bouffer le minou par sa mère pendant quil la baise lamène rapidement au bord de la jouissance.

— Putain que cest bon ! Jaime ta queue mon chéri, surtout quand elle bande autant. Couine Marie sous les coups de butoir de son mari, pendant quelle titille son petit bouton.

Aucun d’entre eux ne peux tenir plus longtemps.

Lilly est la première à hurler de bonheur et elle inonde le visage de sa mère avec son jus de chatte. En entendant sa fille crier, son papa explose et rempli la chatte de sa femme, qui se contracte sur sa bite, de son sperme chaud et épais.

Marie, sous cette double sensation, le sperme de son mari qui vient frapper son utérus et remplir sa chatte, associé au flot de cyprine de sa fille sur sa bouche et son visage, ne peut pas retenir un hurlement de plaisir sous son orgasme qui éclate dans son corps. A chaque spasme de sa jouissance, sa chatte se contracte sur la bite de son homme pour mieux le sentir éjaculer et entretenir son orgasme.

Enfin, épuisés, tous les trois saffaissent sur le lit, leurs corps brûlants et en sueur.

Lilly récupère vite et remarque que la belle bite de son papa est toujours dressée. Elle se penche vers elle pour la prendre en bouche et la sucer.

Marie se penche sur le torse de son mari pour le taquiner de ses lèvres tout en le griffant doucement de ses ongles rouges. Jacques sent que sa fille, Lilly, lâche sa queue redevenue très dure puis de nouveau elle est enserrée par quelque chose de chaud et humide.

Pensant que Lilly a trouvé un moyen différent pour mieux le sucer, il ouvre les yeux pour voir Lilly assise sur sa bite et monter et descendre dessus, ses bras en lair et ses mains dans ses cheveux. Elle est sublime avec ses seins remontés et tendus vers lui.

-Non de dieu que tu es belle ! Huuummmm, cest booonnn.

Et ses mains saisissent les jeunes seins fermes de sa fille.

— Baise ton papa ma fille, fais lui du bien

Dit Marie tout en se déplaçant pour se mettre face à sa fille et placer sa chatte sur le visage de son père et sentir sa langue inquisitrice.

Pendant quil soccupe de la chatte de sa femme, Jacques saisi les hanches de sa fille pour l’empêcher de s’emballer sur sa queue qui la pénètre et quelle commence de nouveau à gémir de plaisir à chaque profonde pénétration.

Marie, de son côté, commence à sucer les tétons durs de Lilly tout en pressant la chair rebondie de ses seins. Les cris de Lilly sont de plus en plus forts, au fur et à mesure que son plaisir monte en puissance.

Elle aime cette sensation que lui procure la longue et grosse queue de son papa, qui frotte et dilate sa chatte étroite lorsquelle se laisse retomber sur son corps. Ajouté aux sussions de sa mère sur ses tétons maintenant hyper sensibles, elle est sur le bord dun nouvel orgasme qui sannonce plus violant que le précédent.

— AAAAAHHHHhhhhhOOOOOoohhhhh, ouiiiiiiiii, je meurs !

À bout de souffle, elle seffondre sur le lit à côté de son père qui reste la bite en lair, dégoulinante du jus de sa fille chérie.

Sa mère se soulève du visage de son mari pour, après avoir goûté son jus sur ses lèvres, se glisser à quatre pattes sur son corps et lui murmurer.

— Prends mon culencule moi, chéri et donne-moi encore ton sperme chaud.

Il sempresse dobéir à sa supplique et guidant son sexe le long de la fente de sa chatte il trouve le trou du cul de sa femme légèrement entrouvert. Il presse son gland dessus et pousse. Marie sentant sa bite écarter son trou du cul ne perd pas de temps et elle recule ses fesses en arrière, pour forcer elle-même sur ce pieu de chair, et se lenfoncer au plus profond de ses entrailles.

— Putain de dieu ! Que cest bon !

Il en pleur de plaisir. Il a toujours voulu baiser sa femme dans le cul, mais elle ne l’a jamais laissé faire. Son trou du cul est tellement serré quil a du mal à bouger dedans et dintroduire la totalité de sa grande bite. Il commence à aller venir tout doucement et progressivement sa bite trouve sa place dans cet endroit jusqualors interdit. En peu de temps il martèle carrément le cul de sa femme.

Marie narrête pas de crier et même de dire des obscénités.

— Vas-y mon salaud ! Encule ta femme ! Sodomise ta salope de femme ! Prend-là comme une putain !

Lilly ne peut en croire ses yeux ! Son père encule sa mère sur son propre lit ! Ne voulant pas rester de côté, elle suce en alternance les boules de son papa et les tétons de sa maman.

Tous les deux gémissent et crient bruyamment. Puis tout à coup sa mère se redresse et hurle.

— OOOOOHHHHHHHH, OUIIIIIIIIIIIIII !

Elle jouit comme jamais elle na jouit depuis quelle fait lamour avec son mari. Une giclée de cyprine pulvérise la main de Lilly qui joue avec les couilles de son papa. Lilly sent les muscles de son papa se tétaniser quand il commence à jouir dans le cul sa mère. Il remplit ses entrailles de ses premiers jets de foutre pour ensuite se retirer et finir de se vider les couilles sur les fesses et le dos de sa femme.

Lilly sempresse de lécher ce sperme chaud quelle adore avant que son père renfourne sa queue dans le trou du cul grand ouvert de sa mère.

-Non de dieu, cest incroyable ! Je nai jamais jouis autant !

Soupire Marie pendant que son mari sinstalle derrière elle dans la position des cuillères, sa bite bien enfouie dans son cul.

Lilly, en face de sa mère, lembrasse passionnément tout en caressant les lèvres trempées de sa chatte avant de tomber, épuisée, dans un sommeil profond, en attente de rêves incestueux.

A suivre pour le dernier chapitre.

Phantome

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