Amoureuse de ma tante

Voici lhistoire véridique qui me fut confiée un soir de blues par Lisa, ma grande sur.

À lépoque jallais avoir 16 ans quelques semaines plus tard.

La sur cadette de ma mère, donc ma tante, habitait en Provence, elle se nommait Denise et avait juste 35 ans. Elle était mariée à un homme de 45 ans, directeur dans une boite pour import-export, très souvent absent.

Pour occuper son temps libre elle avait un petit atelier de poterie et aussi de temps en temps quelques petits amis avec qui elle meublait discrètement sa solitude.

Cette année là, mes parents gagnèrent un circuit touristique de deux semaines en Amérique du sud. Je fus envoyée chez la tante Denise pour cette quinzaine. Maman était rassurée que je sois loin de mes camarades qui selon ses dires commençaient un peu trop à me délurer.

Tante Denise était plus petite que Maman. Sans être grosse, elle avait des formes aux endroits où il fallait. Elle ressemblait beaucoup à Maman en plus jeune. Mais elle avait en plus le caractère enjoué et rieur qui à mon avis manquait à ma mère.

Quand elle marchait sans talons on ne voyait plus que sa croupe et ses seins, elle avait une façon toute particulière de se dandiner un peu lascivement, particulièrement devant les hommes.

À cause de la chaleur, à la maison elle ne portait pas de soutien-gorge. Parfois, dans le soleil, je voyais à travers ses fins chemisiers ses deux obus de chair pâle. La large tache sombre de ses aréoles attirait tout de suite les regards, encore plus intéressés par les deux gros tétons presque noirs piqués en leur milieu et qui tendaient le tissu comme si ils cherchaient à passer à travers.

Je me sentais véritablement fascinée par ses nichons, je cherchais toujours à les voir. Il me prenait même envie de les toucher, de sentir leur chaleur, y enfoncer mes doigts, palper ces gros fruits murs, ou même de les manger. A chaque fois mon cur battait plus fort et cela chauffait entre mes cuisses et dans ma tête. En résumé elle exacerbait mon excitation.

Un soir, plus excitée que les autres jours, je me décidais à épier Denise dans la salle de bain. Elle ne fermait jamais la porte complètement. Alors que je me dirigeais doucement vers la cabine de douche pour la regarder, la porte glissa et Denise apparue devant moi, entièrement nue. Son corps ruisselait de gouttes argentées et brillantes.

Je ne pouvais détacher mes yeux des deux outres rosies par la chaleur, qui tremblotaient doucement face à mon visage. Jétais sidérée par le volume de ses seins, les énormes aréoles et les tétons raides, encore plus gros et plus longs que dans mon souvenir.

Gênée, jai baissé les yeux. Mais ce fut pour tomber sur sa toison frisée, brune, toute scintillante deau. Je ne pouvais faire aucun mouvement, hypnotisée par cette fantastique nudité plantée devant moi et qui me regardait.

« alors , moi je me lave, toi tu te rinces lil, nest-ce pas ma petite coquine ? Dit ma tante. Tu ne serais pas un peu gouine parfois ? Tu es à lâge ou les filles aiment se tripoter entre elles. De la façon dont tu me regardes, on dirait que tu veux me manger toute crue. »

Je fis non avec la tête, incapable de parler.

« non? Moi jen doute, rajouta Denise en me regardant bizarrement. »

Alors en me fixant bien dans les yeux et avec un sourire entendu, elle sest cambrée, poussant vers moi ses seins et son pubis.

« puisque tu ne sais pas mentir, alors regardes-les bien, elles te plaisent mes doudounes ? Tu en as déjà vu des comme cela ? »

Je ne répondais pas, les yeux braqués dessus.

« comment cela ? Tu ne dis rien, elles ne te plaisent pas? Tu préfères les ufs au plat de tes petites copines vicieuses et leurs fentes toute lisse ?

« mais non, je ne suis pas comme ça, tantine. Arrivais-je à balbutier »

« alors pourquoi tu regardes sans arrêt entre mes jambes ? Je parie que tu aimerais bien voir ce qui se cache la dessous, pas vrai? Dit-elle en posant sa main sur sa touffe »

Je me sentis rougir jusque aux oreilles, ce qui équivalait à un aveux.

« et tu veux me faire croire que tu nes pas gouine ! Dailleurs à ton âge toutes les filles le sont. Elles ont découvert le plaisir en se caressant la moule mais elles ont peur des garçons. Alors elles se tripotent, parfois entres elles pour les moins timides. Toi, tu es du genre un peu timide, alors tu dois te tripoter toute seule en cachette, tu es une branleuse, une petite joueuse de mandoline baveuse. »

Elle me repoussa pour saisir la serviette et se sécher. Elle frottais ses seins qui rougissaient et sa toison dont subitement les poils frisèrent. Ses cuisses souvrirent un moment et je vis lespace dune seconde la fente rose de son sexe surmontée de la bosse de son clitoris.

« ne reste pas figée comme une idiote. En plus tu es rouge comme une pivoine. Puisque tu es là, rends-toi utile. Tu vas maider, je dois me vernir les ongles des pieds. Va chercher le diluant et le verni rouge. »

Pendant ce temps elle gagna sa chambre et sassis sur son lit, toujours nue.

« tiens, prends le coton et enlève bien le vieux rouge. »

Je me mis à genoux, face à elle. Elle allongea une jambe, je vis son sexe poilu qui souvrait, une brèche profonde, aux bords foncés et à lintérieur rose et brillant.

« cest mon pied que tu dois regarder ! Pas entre mes jambes, tu es terrible quand même! Dit-elle en posant sa main sur sa touffe et en lissant ses poils rebelles avant de saisir un flacon de vernis pour se faire les mains. »

Lorsque ce fut le tour du deuxième pied, son sexe souvrit de nouveau, il me paru plus brillant, mouillé même et je le regardais fixement.  

« décidément, tu es bien une petite gouine, encore en train de lorgner entre mes cuisses! »

« non ! cest uniquement la curiosité. Tous ces poils je nen ai jamais vu autant.»

« quelle hypocrite tu fais ! En vérité tu veux voir mon barbu ? Tu veux savoir comment il est, comment cest dedans ?  Savoir si jai un gros bouton ou pas ? Alors demandes-le ! Eh bien vas-y, jécoute. »

« oui. sil te plaît. je voudrais voir, arrivais-je à susurrer. »

Elle sest avancée, juste au bord du lit, a écarté ses cuisses en grand.

Jai vu les chairs humides se décoller . Les lèvres aux replis verticaux se sont écartées pour laisser apparaître lentrée du vagin, brillant. Elle sécarta encore plus avec les mains. Les pétales roses des petites lèvres alors masqués par la toison brune surgissaient de profondeurs mystérieuses.

Javais le visage à quelques centimètres de son sexe. Je pouvais sentir son odeur de femme, bien plus forte que la mienne, alcaline même, marine, malgré la douche récente. Une odeur de femme excitée. Du bout des doigts elle a tâtonné le haut de son abricot, au niveau du renflement du mont de vénus.

Tirant sur la peau elle a fait surgir de lintérieur une petite boule brillante rose clair. Entre ses doigts, très délicatement elle a tiré sur cette languette en la massant. La boule rose à gonflé, et pointé en avant.

« ça, tu sais ce que cest puisque tu tripotes souvent le tiens, cest le clitoris, le bouton, le meilleur de la femme, ce qui la rend folle quand elle sait bien sen servir. Tu le vois bien ? Le mien est assez gros comme tu vois, ça me donne de la ressource au lit, les hommes adorent. Il a cette taille car je men suis bien occupé depuis que je suis toute petite. Je suis certaine que le tiens est déjà très développé et que cela fait bien longtemps que tu le cajoles en cachette. Je ne me trompe pas. hein Lisa ? »

Je ne répondis pas, subjuguée par ce que je voyais. Denise massait toujours doucement son clito devant moi et son sexe se mouillait rapidement. Son souffle devenait oppressé.

« oh, mais je suis folle ! fit-elle soudain, voilà que je me branle devant ma nièce. Tu vois ce que tu me fais faire petite vicieuse, je suis toute mouillée maintenant, toute excitée et je nai même pas une bonne bite pour me soulager comme il faut. Vas, laisses-moi, tu mas assez vue maintenant. »

A contre cur et un peu vexée de cette saute dhumeur je quittais sa chambre sans rien dire. Je décidais de faire ma toilette. Je me douchais rapidement mais leau tiède ne calma pas mon émotion. Javais toujours devant les yeux lintimité rose et mouillée de ma tante, ses doigts branlant son clito, ses gros seins ballottant et leurs tétons tout raides.

En sortant, je passais de nouveau devant sa chambre. Jentendis des légers soupirs. La porte était comme je lavais laissée, un peu entrouverte. Je risquais un regard. Denise, bien calée contre un oreiller se caressait les seins dune main et la touffe de lautre. Les yeux fermés elle soupirait profondément.

Je vis sa main élargir louverture humide de son sexe. Elle y enfourna deux doigts, les porta ensuite à sa bouche, elle les suça et à la fin cracha dessus. En haut de sa fente elle saisit sa languette rose et brillante et létira lentement la faisant entrer et sortir lentement de son capuchon.

Je regardais ma tante se faire du bien et cela me donnait envie. Mes doigts trouvèrent une foufoune toute trempée par cette excitation contenue depuis de longues minutes.

Maintenant ma tante passait son index de haut en bas le long de sa fente, puis dun mouvement régulier et tournant contre son bouton. Elle respirait plus vite, ses narines palpitaient. Soudain elle a allongé les jambes, ses reins se sont cambrés. Sa main bougeait de plus en plus vite, elle à commencé à se tortiller dans tous les sens.

Les lèvres gonflées de sa chatte souvraient sur son calice ruisselant. Elle y entra trois doigts et se défonça en saidant des deux mains avec une grande violence. Jétais étonnée que cela ne lui fasse pas mal, elle cognait contre son vagin qui absorbait ses doigts presque entièrement, pour peu sa main entière aurait pénétré à lintérieur. Cela faisait des grands flocs.

Elle jouissait devant moi, secouée de soubresauts intenses et de râles dagonie.

« ah , bon Dieu que cétait bon, cette petite salope de nièce ma vraiment fait mouiller, dit-elle en reprenant son souffle. »

De plus en plus excitée, je me réfugiais dans ma chambre pour me soulager, nue sur le lit, encore humide de la douche. Une première jouissance, trop rapide, me laissa un peu sur ma faim, la seconde arrivait. À ce moment elle entra dans ma chambre.

« je vois que les grands esprits se rencontrent dit-elle, alors que je haletais une main massant vaillamment mon bouton. Jaurais parié que tu allais te branler après mavoir vue le faire. Jai sentie ta présence devant moi. A la réflexion on aurait pu se faire du bien en restant ensemble, au lieu de le faire chacune de notre coté. Puisque tu en es à ce stade, montres-moi bien ton petit minou et ton bouton des délices. »

Elle écarta mes jambes que javais resserrées, surprise par son intrusion. Jétais rouge de confusion et de honte pour avoir été surprise la main entre les jambes. Mais je fus vite rassurée car elle ne me fit aucun reproche, aucune réflexion.

« les poils ne cachent pas encore grand chose fit-elle. Et peut être que ce serait dommage car tu as une très belle fente, un véritable petit abricot, bien fendu, bien ourlé, et plein de jus en plus ma coquine. »

Elle fit glisser le dos de sa main contre ma fente pendant un moment, puis lécarta en grand avec ses deux pouces pour louvrir et regarder à lintérieur.

« et bien, ça cest une belle cramouille, toute rose, toute brillante, on en mangerait. Et sous ce joli capuchon je trouve quoi? Oh! Ladorable bouton! La belle sonnette dalarme! Elle fonctionne bien je suppose. Quelle cochonne cette petite! Elle me fait faire des saletés de gouine après mavoir obligé à me branler. »

Tout en disant cela, elle sest mise à appuyer en cadence sur mon clito en disant dring, dring, dring. Et chaque fois que son doigts poussait sur mon bouton, une onde délicieuse me traversait et je poussais le pubis en avant pour quelle recommence.

« mais oui, elle marche bien cette sonnette, tu aimes ça ma petite vicieuse, je patauge dans ta mouille. Tu es même une fille perverse, tu técartes et tu fermes les yeux pour mieux jouir. Tu aimes que je te touche, même si je suis ta tante, tu te fiches de qui cest pourvu que cela te fasse du bien. Quil est dur ce bouton, et déjà gros comme un petit pois, tu dois tirer dessus bien souvent pour quil soit si développé à ton âge . Oui, nest-ce pas et cest bon de le branler, hein ma coquine, tu aimes cela, et tu aimes encore plus mes doigts qui te branlent, cest encore meilleur hein? »

Jai fais oui de la tête, plusieurs fois et mon ventre sest mit à danser. Jai haleté au rythme de ses caresses. Puis Denise à dépiauté complètement mon bouton et la saisi entre le pouce et lindex. Elle étirait mon bourgeon tel un petit tentacule. Je sentais le plaisir sinstaller au fond de mon ventre et gagner tout mon être. Je me contractais peu à peu.

« oui, voilà, ma chérie, cest bien, ça arrive, tu coules, oui, oui, viens mon poussin!, je te branles bien, viens jouir dans ma main! Laisses-toi aller! »

Quand jai commencé à jouir, elle à pris tout mon sexe dans sa main, le massant et le pressant très fort. Jai crié, crié et encore crié sous la violence des sensations. Elle savait branler une chatte la tantine. Une jouissance chassait lautre, elle ne me lâchait pas, les orgasmes se succédaient. Mon ventre sest dénoué, laissant pulser mon vagin qui déchargeait son jus, son foutre, dans la main de ma tante et je jouissais, je jouissais sans cesse. Puis je me suis épuisée lentement et jai pleuré de bonheur.

Denise ma bercé, contre elle, contre ses seins après avoir retiré son peignoir. Mes larmes coulaient sur ses grosses doudounes qui supportaient ma tête. Lun de ses tétons raides me chatouillait le nez. Instinctivement je sortis ma langue pour le lécher, il était salé par mes pleurs.

Je fis pigeonner sa mamelle avec ma main, puis saillir le mamelon avec deux doigts. Les yeux fermés je commençais alors à téter ma tante, goulûment, comme le fait un petit bébé assoiffé, tout en reniflant de temps en temps. Le souffle de Denise se fit plus court, plus oppressé. Je restais collée à son sein, les lèvres serrées, jaspirais et suçais la chair maintenant attendrie et sensible.

Sa tante semblait apprécier cette caresse, elle enfouie ses doigts dans les cheveux de sa nièce et flatta sa nuque en soupirant. Elle sabandonnait peu à peu fermant elle aussi les yeux et rejetant son visage en arrière, respirant de plus en plus vite. Lisa sexcitait à nouveau en constatant le trouble grandissant de Denise.

Je la sentais frémir sous ma langue et quand jaspirais le bout raidi de son téton dans ma bouche, je perçus des soupirs de volupté, des frissons de plaisir. Je glissais une main le long de son ventre, puis survolais ses cuisses. Insensiblement elles sécartèrent, comme par magie, centimètre par centimètre et ma main qui nattendait que cela se faufila entre elles jusque à la petite touffe soyeuse. Cétait doux, chaud et moite, elle trembla, toute frémissante. Jétais émue de toucher cet endroit pour la première fois.

Lisa, sans cesser de téter le sein, insinua son index plus bas dans le sillon humide de la vulve, puis suivant la moiteur grandissante, comme elle avait vu faire, elle enfonça timidement le doigt entre les chairs tièdes du vagin qui laccueillit en sécartant. La tante laissa fuser un gros soupir mais resta immobile, son sexe se contracta autour de lintrus, elle commençait à haleter. Les deux femmes restaient ainsi, enlacées, tremblantes dun désir quelles semblaient ne plus pouvoir refouler. Toutefois Denise eut un sursaut de lucidité.

« je crois que ce que nous faisons nest pas bien. dit-elle »

« tu naimes pas mes caresses alors, lui dis-je, lair désolé, je ne le fais pas bien? »

« oh si chérie, je les adore, mais tu es encore une enfant et en plus je suis ta tante, tu comprends? »

« non! Dabord jai presque 13 ans, je suis plus une enfant, mais une femme, jai mes règles et puis tu as bien vu que je jouis, comme toi. Tu mas donné tellement de plaisir tout à lheure que je veux te le rendre. Bien sûr tu es ma tante et alors? Pour moi tu es simplement une femme merveilleuse que je désire toucher pour la première fois. Je voudrais me fondre dans la douceur de tes seins et la moiteur de ta chatte. Tu penses que je suis gouine, peut être, mais tu es la seule femme a me faire un tel effet, peut être parce que tu ressemble à Maman. Ces dernières nuits je me suis caressée en pensant à toi, jai joui plusieurs fois en rêvant de te toucher, de te donner du plaisir, de te voir jouir. Oh! Excuses-moi ma tante, je ne devrais pas dire ces choses, tu dois me prendre pour une salope, une vraie petite vicieuse. »

« oh! Ma chérie, je crois que jai été dure avec toi car je nosais pas avouer à moi-même, que toi aussi tu me plaisais, que javais envie de ton joli petit corps de gamine. Mais en même temps comme tu es ma nièce jai refoulé mon désir. Enfin, jusque maintenant. Allez, viens, viens dans mes bras mon petit chat, viens ronronner, dit Denise en ouvrant ses bras. »

Je me suis précipitée contre elle les yeux embués une nouvelle fois. Je lai couverte de baisers dans le cou, sur les joues, sur les seins. Nous sommes tombées toutes deux enlacées sur mon lit.

Lexcitation nous a reprise dun coup, fébrilement je la tripotais de partout, sans doute avec une grande maladresse.

« oui, Lisa, caresses-moi bien, touches mes seins, tritures-les, masses-les, suces les bouts, fort, tètes-les lun après lautre, grignotes aussi les tétons. Ah! Oui, oui, ça me fait bander le clito et baver la fente. Tes doigts, caresses ma fente, oui tu vois comme ça glisse! Cest bon tu sais! Branles-moi maintenant, jai tout le clito dehors! Oui, cest fou comme cest bon, on voit que tu ty connais en branlette. Allez, plus vite, plus vite, fais-moi jouir! »

Soudain son corps se tendit comme un arc, elle poussa un cri rauque.

« ah! ,ah!, oui!, je jouis, je jouis si fort. Ah! Je décharge, je décharge pour toi chérie, cria-elle en se tordant et en mouillant copieusement ma main. »

Puis elle sépuisa et membrassa encore toute haletante. Je suçais mes doigts pour retrouver lodeur et le goût de son excitation, de sa jouissance. Elle sentait fort maintenant, une odeur de femme comblée montait de son sexe. Elle navait pas mis de parfum depuis sa douche et les orgasmes avaient en plus accéléré sa transpiration corporelle naturelle accentuée par la chaleur.

Cela me rappela lodeur de Maman parfois le matin quand elle venait me réveiller et aussi celle dune jeune surveillante du collège certains jours et qui me troublait toujours quand elle passait près de moi dans lallée. Je compris à cet instant que cétait la senteur du sexe, de lexcitation, dune jouissance récente. La jeune surveillante avait sans doute fait lamour ou alors sétait caressée peu de temps avant de venir au travail, peut être même le faisait-elle dans les toilettes juste avant les cours, ou à son bureau, discrètement pendant que nous planchions sur nos contrôles.

« oh! Tu mas comblée Lisa chérie, tu branles bien, un délice. Tu as aimé me faire jouir? »

« oh! Oui ma tante, jai adoré, tu es tellement belle quand tu jouis, cest si fort. Tu as mouillé toute ma main. Jaime sentir ton odeur à ce moment là lui, dis-je en portant à nouveau mes doigts devant mon nez.  Tu penses vraiment que je suis une gouine?»

« mais non! mon trésor, toutes les filles de ton âge ont la curiosité de leur propre sexe, cest normal, elles font des expériences, souvent avec des copines de leur âge, parfois avec des adultes, comme nous. Tu es encore trop jeune pour supporter la violence du sexe mâle, mais bientôt tu aimeras cela je te lassure. Tu sais comment cest un sexe dhomme au moins? »

« bien sûr ma tante, même que jen ai déjà vu un en vrai. Je sais comment ça marche. Je lai même touché, puis caressé, je lai fait jouir, il y a plein de jus qui en est sorti. Jai beaucoup aimé, cétait très amusant. »

« décidément tu es une drôle de fille, moi qui te voyais comme une oie blanche, raconte moi chérie »

Je lui racontais en détails lhistoire de José le garçon de ferme en insistant sur le fait quil avait été très gentil et très doux avec moi. Elle me dit que javais été très imprudente car il aurait très bien pu me violer. Il ne fallait pas recommencer avec des gens inconnus.

Pendant deux jours le mari de Denise était en déplacement. Jen profitais pour lui demander le soir venu de dormir avec elle dans son grand lit. Elle accepta à condition que je sois sage et en prévenant quelle dormait nue. Ce détail était loin de me déplaire mais pour donner le change javais revêtu un T-shirt en coton léger.

Le lit sentait bon. Un parfum de femme mêlé à une odeur plus intime. Je m y glissais avec volupté.

« il est bien ton lit! Et il sent bon, Lui lançais-je quand elle revint de faire sa toilette »

« oui, jy dors comme un loir, répondit-elle en enlevant son peignoir et en se glissant entre les draps. Tu as gardé ta chemise? Si tu as trop chaud dans la nuit enlève là. Je suis contente que tu sois là, je naime pas beaucoup dormir seule, jai du mal à trouver le sommeil. Je me tourne et me retourne et plus je ménerve moins je peux dormir. La seule façon de me calmer cest de me masturber une fois ou deux. Cest efficace et bien meilleur quun somnifère. »

Alors lodeur intime mêlée à son parfum cétait ça, le foutre de ses jouissances qui avait imprégné les draps et les couvertures. Je commençais à sentir de la chaleur dans le creux de mon ventre, javais envie de la provoquer un peu.

« cest vrai, tu as raison, moi aussi je me caresses tous les soirs et après je dors bien. Quand jétais petite et que je ne savais pas, je serrais toujours mes mains entre mes cuisses. Cétait bon, chaud et humide, ça remplaçait un doudou. »

« que tu es coquine quand même! Jamais je ne taurais imaginé comme cela. Et cela fait longtemps que tu te caresses le minou? »

« depuis que jai découvert que ça me faisait du bien, je ne me souviens plus, vers 6 ans peut être. Plus je grandissais et plus les sensations étaient fortes. Je crois que jai commencé à jouir vraiment à 10/11 ans. Maintenant je ne peux plus men passer, il ne sécoule pas un jour sans que je me touche, cest bien trop bon. »

« cest vrai que ton bouton est très gros pour ton âge, tu dois tirer dessus bien souvent. Montres-moi comment tu fais. Ne sois pas timide, je ne suis pas idiote, je sais que tu nes pas venue dans ce lit avec moi uniquement pour dormir, alors ne fais pas lhypocrite. »

Je rougis quand même un peu davoir été percée à jour. Mais je me hâtais denlever ma chemise de nuit. Elle avait repoussé le drap. Avec les deux chevets allumés, nos corps nus brillaient dans la lumière.

Je caressais amplement tout mon sexe pour y faire affluer le sang, puis mon pubis pour faire durcir mon bourgeon. Ensuite je le saisis entre deux doigts.

« tu vois, une fois la hampe bien raide je fais glisser la peau et je branle comme une petite bite en tirant bien dessus. Mais je laisse toujours la peau le recouvrir car sinon cela me fait mal, le bout est trop sensible. »

Elle approcha son visage afin de regarder de plus près.

« il est magnifique ce clito. Avec un pistil comme cela je comprends que tu sois une branleuse ma chérie. Cest un vrai détonateur à orgasmes ton bijou. Il est tellement beau que je vais lui faire des bisous. Est-que lon tas déjà embrassé le sexe? 

Je secouais la tête pour lui dire non. Elle le regardait sous toutes les coutures. Je me laissais faire pressentant des choses inédites. Et la tante qui me traitait de petite gouine, je pensais quelle en savait beaucoup plus sur les relations entre femmes quelle ne le disait. Elle glissa un oreiller sous mes fesses, écarta un peu plus mes cuisses.

« tu es déjà toute mouillée ma cochonne, tu étais bien partie pour te faire jouir, mais ne regrette pas car rien négale le bonheur dune jouissance comme celle que tu vas connaître. »

Je vis son visage disparaître entre mes cuisses. Elle souffla sur mon sexe du haut en bas, jusque sur lanus, la caresse de lair plus ou moins forte, tantôt chaude ou fraîche me fit frissonner. Elle avançait et reculait en cadence, cétait curieux quune chose si simple, si banale soit si agréable et si excitante. Je me sentais devenir de plus en plus mouillée.

Après plusieurs minutes de ce délicieux souffle, elle écarta les bords du sexe avec ses doigts et déposa partout une multitude de baisers rapides. Et je sentis la caresse dune chose chaude et humide tout au long de ma vulve.

Sa langue bien salivée suivait ma fente et ségarait sur le coté pour lécher aussi les lèvres, elle descendit même jusquà mon trou secret. Cétait délicieux, jen ronronnais de plaisir. Mais ce nétait rien à coté de ce qui mattendait.

En effet, bientôt la langue remonta dun cran. Elle passa autour du clitoris, puis sa pointe effleura mon bouton sorti de sa cachette depuis longtemps. Le contact mélectrisa. Elle fit couler de la salive dessus et sa langue titilla et lécha. Je poussais un rugissement tellement la sensation était forte, le plaisir aigu.

Elle dépiauta complètement mon pistil et lécha lentement en appuyant bien avec toute la surface de la langue. Je me tortillais comme un vers sous lintensité de ce nouveau plaisir. Alors entre ses deux doigts en pince elle appuya de chaque coté de mes petites lèvres et fit saillir le renflement du clitoris, dont le bouton, gorgé de sang, pointait en avant. Lentement sa bouche se referma dessus, elle laspira entre ses lèvres. Les muqueuses enflammées et jouissantes glissèrent dans sa bouche. Laspiration exacerbait encore plus mon clitoris, il me donnait limpression de gonfler, de devenir énorme. Elle le masturba ainsi le faisant rouler de gauche à droite, puis entrer et sortir entre ses lèvres.

Mon pubis poussait contre son visage, je haletais, je tremblais. Alors elle repris le titillement du bouton avec force et rapidité. La jouissance déferla en une vague énorme éclaboussant tout mon ventre. Je hurlais littéralement en me convulsant, ne supportant plus la succion. Sa bouche me quitta pour se loger contre mon vagin dont lintérieur sagitait frénétiquement. Avec un de ses doigts libres elle tapotait rapidement mon clito, les contractions de plaisir se succédaient libérant le foutre clair. La langue me pénétra jusquà lhymen caressant les parois internes de mon vagin suintant. Un plaisir inconnu pris naissance dans cette intimité plusieurs orgasmes sy succédant avec force. Le rut sétait emparé de moi, je nétais plus quune immense boule de jouissance, ne sachant plus quelle partie de mon corps me donnait le plus de plaisir.

Et pour couronner le tout je sentis un doigt forcer la bague de mes fesses, mon anus se serra sur le visiteur impromptu. Participant tout de suite à la fête, il palpitait au même rythme que mon vagin. Je mépuisais peu à peu, vaincue par lintensité des orgasmes. La langue de Monique sortit doucement.

Elle se rapprocha de mes lèvres

« goutte ton plaisir, chérie, jadore ton foutre de pucelle, et crois-moi, tu as vraiment bien déchargé. Et mon expérience me dit que tu seras vraiment un bon coup dans quelques années.»

Mais cela cest une autre histoire..

Je passais une quinzaine merveilleuse. Lorsquelle était seule on passait la nuit ensemble à faire lamour. Quand mon oncle était là on se faisait du bien dans la journée, à limproviste.

Et puis le temps à passé, je suis devenue une jeune fille, une jeune femme. La magie nopérait plus. En réalité nous navons plus oser nous retrouver, peut être à cause de lintensité de ce que nous avions vécus, ou de notre parenté. Mais comme moi je suis certaine que tante Denise y repense chaque fois que nous nous rencontrons. Ses yeux ne trompent pas.

FIN

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