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fantasme – Chapitre 7




Je me réveillais, jentendais ma mère dans la cuisine, tandis que ma cousine était sous la douche. Je me levais et jallais dans la cuisine prendre un café. Nous étions silencieux et sereins. Josie arrive vêtue dune simple serviette et les cheveux mouillées :

« tu es là mon cousin adoré ? bien dormi ? »

« oui merci ! et toi ? »

« super ! je me sens revivre ! je vous dois un grand merci ! mais il faut que je me sauve, il va être lheure du dîner !»

Elle nous embrasse tendrement, file shabiller et avant de partir nous regarde et nous dit « et soyez sage tout les deux hein ! »

Nous rions tandis quelle sen va. Ma mère dit alors :

« Quel après-midi ! tu avais raison sur toute la ligne à son sujet ! »

« oui, et je sens que ça nest quun début ! dis moi, tu dois aller voir papa demain ? »

« oui mon chéri, je partirais dans la matinée et je rentrerais le soir ! »

« mais quest ce que je vais faire sans toi ma maman adorée ? »

Elle réfléchit :

« attends on va bien trouver une solution »

On discutait tout en dînant afin de voir comment nous pourrions faire pour le lendemain. Et là jeu une idée :

« et si Josie venait avec nous ? avec toi et moi ? on prendrait une chambre à lhôtel qui est tout proche et comme ça on tattendrait ! elle viendrait avec sa voiture comme ça elle pourrait rentrer quand elle voudra et tu me rejoindrais le soir ! quen penses tu ? »

« mais cest une excellente idée que tu as là ! attends je reviens ! »

Elle se leva et décrocha le téléphone.

« Allô Josie ? cest ta tante préférée à lappareil ! »

« écoute, nous avons des projets pour demain et je voulais savoir si tu te joindrais à nous »

« et bien je dois aller voir mon mari, et mon fils suggérait que tu viennes avec ta voiture afin quil ne soit pas tout seul toute la journée »

« tu as tout compris ma chérie ! on se dit demain matin à 9h30 devant chez toi ? »

« daccord ma chérie adorée, je taime et je te fais de gros bisous »

Elle raccroche et reviens sasseoir près de moi :

« à toi de jouer maintenant ! réserve lhôtel ! »

Je pris le téléphone et fis la réservation.

Après le souper, ma mère était dans la cuisine et faisait la vaisselle. Je me glissais derrière elle et lembrassais dans le cou. Elle frissonnait.

« arrête je dois terminer sil te plait »

Je ne répondais pas et continuant de lui mordiller la nuque, je glissais mes mains sur ses seins qui se durcirent sous mes paumes. Elle soupira :

« et si je casse une assiette ? »

« je men fous maman, jai envie de toi ! là, maintenant ! Je veux te prendre comme un sauvage ! »

Elle sappuyait sur le bord de lévier, mes mains sur sa poitrine nue sous son petit haut. Je me frottais contre elle pour lui faire sentir mon érection. Je maccroupis, relevais sa jupe et je rencontrais sa chatte déjà humide. Ecartant ses lèvres avec 2 doigts, ma langue se faufila dans sa vulve qui dégoulinait. Ma mère gémissait en se cramponnant. Puis je glissais un doigt dans sa fente, très vite rejoins pas un second tandis que ma langue dardait son clito. Je voulais la faire jouir comme ça. Elle râlait de plus en plus fort :

« oh ouiiiii ! continue ! cest bon !!! aaaahhhhhhhhhhhhh !!! »

Elle cria son orgasme tandis que ses cuisses dégoulinaient de mouille. Une fois quelle put parler elle me dit :

« petit pervers ! tu ne perds rien pour attendre mon cochon !!! »

Elle sagenouilla devant moi et baissa mon short, libérant ainsi ma bite serrée et impatiente. Elle lavala sans attendre, mon gland toucha le fond de sa cavité buccale, je sentais ses mains tâter mes couilles. Puis elle ressortit mon chibre pour me téter le gland, titilla mon méat du bout de langue, fit le tour du col et avala à nouveau mon membre. Sa bouche me branlait avec ardeur. Sentant que jallais venir je la relevais, la plaça face à la table en posant un de ses pieds dessus . Je la pénétrais ainsi sans attendre, ma bite coulissant dans son vagin mouillé de cyprine.

Elle eut un « ooohhhhhhhhh » en sentant mon gland toucher le fond de sa chatte. Je la pistonnais avec entrain, je voulais la faire jouir et me vider en elle. Je la baisais sans ménagement pendant un long moment et vu que javais déjà éjaculé 2 fois jallais pouvoir me retenir. Elle gémit, puis cria :

« aaahhhhh ! oui !!! vas y mon amour !!! cest bon !!! OOUUUUUUIIIIIIIIII ! cest BBBOOONNNNNN !!! AAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!

Elle jouissait mais je narrêtais pas, mon sexe perforant le sien. Elle avait crié sa jouissance et elle mimplora :

« arrête mon amour, je nen peux plus ! mais tu nas donc pas pitié de moi ? je vais encore jouir si tu continues comme ça ! »

« et bien jouis ne te gène pas mon mamour ! je vais venir dans un moment !!! je vais tinonder la chatte !!! »

« oui !!! viens !!! donne moi tout !!! AAAHHHHHHHHHHHHHHH »

Elle eut encore un orgasme. Elle sappuyait sur la table, nos corps étaient en sueur. Je la baisais toujours avec violence. Sa voix tremblait :

« ooohhhhhhhhhh !!! tu vas me tuer !!! »

Ma verge gicla en elle. Sa chatte reçut toute ma semence et je grognais tellement cétait bon. Une fois mes couilles vidées, je me retirais et je vis son sexe déborder et couler sur ses cuisses. Ma mère était couchée sur la table à présent, respirant difficilement. Je la pris dans mes bras pour la caresser.

« ça va maman ? »

« oh mon salaud ! tu mas tué !!! »

« je taime »

Elle se lova contre moi. Nous étions en sueur. Je laidais à terminer la vaisselle et à mettre de lordre dans la cuisine et nous partons prendre une douche ensemble. Nous nous lavons mutuellement le corps, insistant parfois sur un bras, une jambe ou le dos.

Le lendemain matin, nous retrouvons ma cousine en bas de chez elle. Toute pimpante, elle arriva vers la voiture, et nous dit :

« jai laissé mon fils chez un copain pour le week-end et son père est en déplacement jusquà mardi. Jai tout mon temps »

Ma mère conduisait et jétais à coté delle. Je répondais :

« monte derrière ma chérie, je te rejoins »

Et sans écouter les protestations de ma mère, je massis à larrière de la voiture. Josie avait toujours ses sandales dété, un petit tee-shirt sans manche sans soutien-gorge ce qui laissait deviner sa belle poitrine (100C) et une jupe plissée.

Ma mère prit un air de désaccord :

Et je vais faire quoi moi pendant que vous êtes là tous les deux ? »

Je riais :

« ben tu as intérêt à regarder la route car je voudrais pas quon ait un accident ! »

Jembrassais ma cousine à pleine bouche tandis que ma mère reprenait la route pour aller voir son mari. Penchée sur moi, Josie mavalait la langue, maspirant fort. Je glissais une main sous son tee-shirt pour caresser sa poitrine :

« tu les aimes mes seins hein ? petit salopiaud ! »

Je ne répondais pas, continuant ma caresse. Je glissais mon autre main sur sa cuisse, passais un doigt sous lélastique de sa culotte et me posais sur sa toison. Nos bouches étaient toujours collées, ma langue farfouillant son gosier. Je glissais délicatement un doigt sur ses lèvres, je sentais quelle mouillait déjà.

« tu aimes ça hein ma cochonne ? »

Elle répondait par un gémissement. Jintroduisis un doigt tout doucement dans sa fente, maidant pour cela de lautre main qui avait abandonné sa poitrine. Ma cousine avait rejeté sa tête en arrière et soupirait. Ma mère ronchonnait :

« vous avez lair de vous régaler tous les deux, et moi dans tout ça ? »

« ne tinquiète pas maman, ce soir tu en auras pour ton grade ! »

Ma mère mit la radio pour couvrir les bruits. La chatte de ma cousine était trempée. Je glissais un deuxième doigt, puis un troisième jétais stupéfait !!! Elle criait son plaisir en me tenant le poignet pour que je ne men aille pas :

« oui ! cest bon !!! aaahhhhhhhh !!! continue et tu pourras la mettre toute entière !!! »

Jallais et venais en elle et effectivement, je rentrais ma main dans son con. Josie criait et se cramponnait au siège, à moi, à tout ce quelle trouvait, et ses yeux étaient révulsés ! Elle tenait mon bras pour que je continue à rester en elle, je glissait ma main dans le bas de son dos, lui caressant le haut des fesses. Puis elle serra les jambes, emprisonnant ma main en elle. Elle jouissait les yeux fermés, sa poitrine était gonflée et sa mouille avait coulé sur la banquette.

Il fallut un moment avant quelle reprenne ses esprits, elle reprit sa respiration, écarta les jambes afin de me libérer et me sourit.

« désolé ma tante mais mon cousin sait y faire ! tu ne men veux pas jespère ? »

« mais non ma chérie tu le sais bien ! mais jai beaucoup de mal à rester concentrée sur la route avec vos simagrées »

« ne tinquiète pas ma tata chérie, je moccuperais de toi un peu plus tard »

Elle se blottit contre moi, la tête sur mon épaule, sa main caressait mon torse. Puis elle glissa dans mon short et sempara de mon sexe qui grossissait. Discrètement, elle me masturbait, son pouce jouant sur mon prépuce.

« dis moi ma tante, tu permets que je mamuse un peu avec mon cousin ? »

« bien sur ma chérie ! mais ne nous labîme pas hein ?

« non bien sur ne tinquiète pas, il peut encore nous servir »

Nous éclatons de rire. Elle baissa mon short, libérant ma verge fièrement dressée. Elle engloutit mon gland, faisant tourner sa langue dune manière délicieuse, puis elle menfourna jusquà la luette, je sentais que jétais au fond. Elle me fit une « gorge profonde », ses yeux coulaient sous la caresse mais elle narrêta pas pour autant. Elle fit ressortir ma queue puis la ravala entièrement. Sa main tâtait mes bourses. Elle me suça ainsi un long moment puis elle prit ma bite dans la main et me branlait lentement. Elle nallait pas vite, mais elle allait jusquau fond, me décalottant jusquau bout, sa main partant de mon col pour arriver à la base de ma verge.

« je veux ton jus ! donne moi ton sperme !! »

« continue comme ça et je vais venir ! »

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