Salut tous.

Je m’appelle Nadine, j’ai 35 ans, les autres m’intéressent.

Cheveux longs, blonds, 1m65, 58 kgs, une petite poitrine bien accrochée, de grandes jambes, une croupe d’enfer, tout ce qu’il faut.

Je suis très sportive, et donc bien conservée.

Mariée, deux enfants de 6 et 8 ans.

Un mari de 50 ans souvent absent, peu jaloux, très peu porté sexe actuellement.

Ma vie professionnelle, ma vie familiale me donnent beaucoup d’occasion de faire des rencontres.

Très aisés, travaillant tous les deux, nous avons du personnel à demeure ce qui nous donne beaucoup de liberté.

Architecte d’intérieur, je suis souvent chez les autres et mon physique ne laisse pas mes clients mâles indifférents.

Bien foutue, assez exhibitionniste,j’aime être regardée, séduire, plaire, avoir du succès.

Ma garde robes est remplie de robes aussi sexy les unes que les autres.

J’aime les tailleurs et les jupe porte-feuille.

J’adore la lingerie fine blanche et noire.

Ma tenue préférée, une veste de tailleur sur un soutien noir push-up, des dim-up foncés, un slip sans couture noir.

Penchée en avant sur les plans, je peux livrer à la vue de mes clients mes jambes ainsi bien galbées et mes petits seins que le soutien push-up ne cachent en rien.

Je sens les regards de ces mâles sur moi, j’aime, je me sens me liquéfier.

L’envie de moi que je suscite m’excite.

Je me souviens de ce client français qui était subjugué et qui était si fou de moi, qu’il m’avait fait revenir cinquante fois pour finaliser le projet de restauration de sa maison ici à Bruxelles.

Il quittait la France pour des raison fiscales, il préparait la maison en détails avant de faire revenir épouse et enfants.

Il était pas mal, il sentait bon, Terre d’Hermes, qui me rend folle chez un homme.

On avait tout finalisé jusqu’aux couettes et essuis de salle de bains.

Je suis tombée dans ses filets la dernière semaine.

Cette maison de rêve, c’était ma maison, tous me plaisait, j’aurais aimé qu’elle fut mienne.

J’étais enthousiaste, la famille arrivait le vendredi et plus jamais je ne verrais mon bébé.

Très courtois, le mercredi soir, ayant travaillé ensemble jusque 21 heures, il me proposa de m’inviter au restaurant.

Un coup de fil à la nounou, et j’accepte.

Voulant me refaire une beauté, il me proposa de me servir de la salle de bains tout équipée.

Goûtant au massage de la douche, il m’avait suivie, et au travers de la vitre, je le surpris examinant dans la chambre mon slip et humant mes odeurs intimes.

Faisant semblant de rien, sifflotant, je sortis de la douche.

Il avait disparu.

Nous sommes partis au restaurant, ses yeux brillaient, il avait de belles mains, son Terre d’Hermes me transportait.

Nous étions au Bowery, chaussée de Louvain, un restaurant assez intimiste, nous étions bien, parlant de tout et rien ne sachant comment l’un ou l’autre amener le sujet sur ce qu’on désirait intensément à l’instant … !

C’est au dessert, quand le garçon de salle nous voyant, croyant que nous étions ensemble, nous rappela que le jeudi c’était la Saint valentin, et que la maison proposait un menu de circonstance.

Il me prit la main et me déclara tout de go, que s’il n’était pas marié, il me demanderait ma main.

Il m’avoua avoir pendant deux moi à mes côtés été comme jamais.

Je lui avouai aussi qu’il était pour moi quelqu’un de très exceptionnel.

Il me prit la main, j’en frissonnais.

Il me dit que le Saint Valentin pour lui, c’était ce soir.

J’étais sous le charme de cet homme.

Dans l’ascenseur, ce qui devait se produire se produisit.

Il m’embrassa, nos langues se mélangèrent.

Dans le parking, dans la voiture jusque chez lui, un peu chez nous, nous étions des adolescents se découvrant.

Dans le hall d’entrée, appuyée contre le mur, une de ses jambes entre les miennes, ouvrant ma veste de tailleur, ayant dégraphé mon pus-up, il m’embrassait écrasant de son torse mes seins qui ne demandaient que cela.

Une main indiscrète s’était infiltrée dans ma jupe porte feuille, palpant mon fond de slip tout humide.

Il découvrait.

De mon côté, la paume de main sur la braguette, je sentais son émoi pointer.

On n’en pouvait plus, on savait chacun que ce moment serait unique, on allait en profiter à fond.

On allait inaugurer la chambre.

C’est dans ses bras que j’arrivai dans la chambre.

Il me déposa sur le lit, et tout de suite, m’écartant les jambes, il s’installa pour humer mes odeurs intimes.

Je sentais son nez écraser mon clitoris, j’étais aux anges, il frottait, tantôt il humait, je coulais littéralement, mon fond de slip devait être trempé.

Il m’ôta mon dernier rempart et sa langue lapa tout mon jus, dégagea mon petit bouton qu’il aspira.

J’explosai en une fois, que c’était bon.

Se déshabillant, il se coucha sur moi, nos langues s’unirent à nouveau, aucun mot, on était bien.

Je sentais sa tige toute dure ici et là frottant mon nid d’amour.

Enfin, il trouva l’entrée et c’est en moi que doucement je le sentis s’enfoncer en moi.

Je sentais sa tige bien enfoncée, on ne bougeait plus, on était bien, j’étais prise à fond.

On se retourna, j’étais au dessus, je pris l’initiative, mon bassin se mettait en route, mouillée à fond, c’était divin poir tous les deux.

Je le sentais encore grossir, je le voyai tout faire pour retarder l’explosion, je lui dis lache toi, inonde moi, donne moi tout ton jus, je veux te sentir éjaculer en gros jets en moi, je t’aime.

Il éjacula en moi, fortement ce qui déclencha chez moi aussi un orgasme puissant.

On fit l’amour toute la nuit.

Trois fois, j’ai reçu en moi son jus.

Nuit inoubliable croyez-moi.

Je vous aime tous, quand vous me regardez dans les yeux en me donnant le meilleur de vous.

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