Je m’appelle Steven, j’ai 23 ans, j’ai une copine, Caitya, une magnifique franco-marocaine de 21 ans.
On s’est rencontré au lycée 1 an plutôt et s’est moi qui lui est fait connaitre les joies du sexe.
Quant-à moi, j’ai découvert le sexe avec des filles vers 16 ans mais bien avant, vers 14 ans à l’internat avec des garçons de mon âge. On pratiquait régulièrement, avec un grand nombre d’entre eux la masturbation et quelques rares fois la fellation jusqu’à ce que je sorte avec ma première petite amie dans mon nouveau lycée.
J’ai toujours été attiré par les deux sexes et mon fantasme serait un jour avoir une relation sexuelle avec un homme et une femme, une relation BI.
L’été dernier, avec Caitya, nous nous somme payé une semaine de vacance en camping tout près du bassin d’Arcachon, nos journées étaient rythmée par la grasse matinée, piscine vers midi, après midi la plage, soirée repas au camping avec animations et le soir boite de nuit.
Très vite, on a fait la connaissance d’une bande de jeunes du coin qui fréquentaient les mêmes coins que nous.
Un de nos potes estival, Hacène, se rapprochait de jour en jour de ma copine, je voyais bien qu’elle n’était pas insensible à son charme et à son corps athlétique, ils avaient en plus beaucoup de chose en commun et il n’était pas rare de les surprendre en train de parler en arabe, quand on se baignait, il n’était pas rare de les voir rester tous deux sur la plage pour discuter et mon rival multipliait les gestes d’attention envers ma copine, massages, passage de la crème solaire, etc.et moi, dans l’histoire, je subissais les asseaux répétés de Hacène, sans broncher, mais ce qui me plaisait dans la situation, c’est que je les imaginais tous les deux ensembles et ça m’excitait et pour tout avouer, moi aussi j’aurai été attiré par lui quelques années au par avant .En effet, il mesurait près 1,80 mètre, allure svelte et musclée, coupé très ras avec une belle gueule, et un petit boxer de bains apparemment très bien fourni.
Un soir en boite nuit, étant arrivé de bonne heure avec la bande ,nous avions réservé une double banquette dans le coin le plus reculé et discret ; nous avions tous un coup dans le nez, la soirée battait son plein, nous sommes allés tous danser et malgré la présence de ma copine, j’allumais tout ce qui bougeait, arrive la lambada, je me retourne vers ma copine pour l’inviter mais Hacène avait été le plus rapide..il fallait voir comme tous deux étaient collés, leurs regards en disaient très long, ça y est je perdais ma copine, dégouté, je suis allé m’asseoir et j’ai fini les fonds de bouteilles, vers 3h00 du matin, toute la bande s’est retirée et ne restait plus que ma copine et Hacène, il ne s’était pas quitté de la soirée.
Je prétexta alors une fatigue soudaine pour partir avec caitya, mais elle s’amusait et avait certainement une idée derrière la tête et m’a dit « t’as cas rentrer je te rejoindrais plus tard », je m’y suis bien sur refusé et suis resté à tenir la chandelle. Les slows sont arrivés, j’étais complètement torché pour inviter qui que se soit et j’ai dit à Hacène qu’il invite Caitya, à la fois jaloux et excité, je fis celui qui n’en avait rien à foutre et commença une somnolence calculée.
Plus le slow avançait plus ceux-ci se rapprochèrent du fond de la piste, mais aussi de leurs ceintures, un moment j’ai pu les apercevoir en train de se rouler une pelle.
De retour, ils se sont assis à mes côtés, ils ont vérifiés que je dormais bien sur la banquette et là, j’ai pu les apercevoir se rapprocher l’un de l’autre, Hacène était assis et Caithia à demi allongée, la tête au niveau du torse de son nouveau mec, ses pieds quasiment sur moi..j’avais une vue plongeante sous sa jupe et j’apercevais largement son petit string blanc,
quelques fois bleuté par les néons des stroboscopes.
Ma petite chaudasse c’est alors encore plus penchée en arrière et a enfournée sa langue dans la bouche de Hacène tandis que sa main droite commençait à fleureter avec l’entre jambe de son survêtement, je pus apercevoir une bosse se former de plus en plus importante et mon rival se mis à son tour à caresser sous sa jupe le mini slip de ma copine et glissait régulièrement un doigt furtif sous son tissu, apparemment à elle aussi ça faisait beaucoup d’effet car un moment le bleu de l’infrarouge de la boite de nuit laissait entrevoir des éclairages plus marqués aux endroit qui étaient maculés par la mouille. Caithia, s’est alors apperçu que j’observais le doigté d’acène, non génée elle écarta davantage ses jambes et sa jupe lui remonta jusqu’aux hanches, elle glissa sans discrétion sa main dans le survêtement de hacène et commença je suppose comme elle adore le faire avec moi lui caresser les bourses…de mon côté, je bandais déjà depuis un petit moment.
Un moment donné, elle s’est rapprochée de l’oreille de Hacène, je pense pour l’informer que je les épiais puisque je ne faisais plus semblant de dormir et j’avais les yeux bien écarquillés, celui-ci a eu un bref regard dans ma direction et devant mon approbation non réactive a continué ses ébats, a baissé la culotte de ma petite amie jusqu’aux genoux et l’a pénétré d’un ou deux doigts, Caithia quand a elle a rapproché sa tête de son entrejambe et d’un coup sec à sorti le sexe décalotté de hacène et l’a mis en bouche, j’ai commencé à me masturber dans mon pantalon sans gêne excité par cette situation et le regard salasse que me lançait de temps en temps ma copine, cette pipe à durée quelques seconde et j’ai vu Hacène se dandiner de plus en plus tout en retenant sa respiration, deux petits spasmes et un profond relâchement. Caithia se relève doucement de la position couchée et assise et bascule dans mes bras, elle approche sa bouche, je fis de même et me décharge la semence de Hacène en bouche, quelle sensation, quel gout, quelle quantité, j’ai adoré.elle me roule une pelle, me remercia du creux de l’oreille et me fit le même traitement que son amant et le gratifie à son tour de ma semence, c’est alors que j’avoue que j’ai adoré cette situation et que c’était même mon fantasme, nous décidions tous trois de continuer nos ébats au camping sous la toile de tente.
