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Chez Carmen – Chapitre 1




C’était après un dîner sympa et arrosé chez des amis que je me retrouvai dans ce bar près des boulevards où vont ceux qui vivent la nuit. Ceux qui, comme moi, ont plus envie d’un dernier verre que d’aller dormir, ceux que l’on regardait bizarrement, bref un bar à l’entrée duquel on laisse ses préjugés. Je discutais avec un nouvel ami (la nuit on est tout de suite amis !) lorsque je la vis ! Une véritable créature de rêve !

Plutôt grande, une poitrine arrogante, pulpeuse, un regard coquin ne fuyant pas, vêtue d’une robe courte et décolletée laissant deviner que pour seul dessous elle n’avait qu’un string. Elle venait vers le bar commander une consommation. Nos regards se croisèrent et elle y lut l’effet qu’elle me faisait. Elle me frôla de près pour commander un demi tout en me regardant droit dans les yeux. Je lui adressai un bonsoir d’une bêtise affligeante. J’avais remarqué qu’elle n’était pas seule !

J’ai l’esprit large mais des principes. Ne jamais chercher à doubler un homme qui accompagne une femme !! Déjà parce que je n’apprécie pas du tout quand je suis cet homme et surtout parce que si le mec est un jaloux forcené, la femme peut pâtir de mon attitude. Néanmoins je ne pus m’empêcher de lui dire :

— Un autre soir peut-être ?

Car j’avais tout de même remarqué qu’ils ne semblaient pas spécialement très ensemble.

— Pourquoi pas, me répondit-elle.

Et ce fut le détonateur ! Trois jours plus tard, j’étais de nouveau accoudé à ce bar. Et elle était là ! Assise un peu plus loin à une table. Visiblement, elle était fière de sa poitrine généreuse et de ses formes. Et consciente de l’effet produit. Elle portait un pantalon ainsi qu’un corsage filet, laissant deviner un soutien-gorge à balconnets qui faisait jaillir ses seins. J’avais peur pour mes yeux car ils étaient déjà tombé dans son décolleté et je tenais à les récupérer ! Ayant vu qu’elle avait presque terminé son verre, j’en commandai un et le lui apportai. Son sourire me confirma l’impression faite lors de notre première rapide rencontre. Je ne lui déplaisais pas.

J’aime ce moment magique où chacun sait que ce qu’il veut et ce que l’autre veut aussi mais où chacun joue de sa séduction. Ce moment où chacun aime à lire dans le regard de l’autre l’admiration, le désir, la promesse de moments complices, intimes. Elle savait que j’avais une furieuse envie de la voir nue, l’admirer, lui parler, l’écouter, la toucher, la caresser, lui donner du plaisir, le partager, qu’elle soit totalement abandonnée, qu’elle se sente en confiance. Que l’un comme l’autre, nous puissions nous sentir vraiment libres, sans contrainte, sans hypocrisie, sans jugement. Ce moment dura plus d’une heure avant que je ne lui prenne la taille et l’embrasse tout en lui caressant légèrement les seins.

Chez "Carmen" (c’est le nom du bar), ce n’est pas un geste inconvenant et je pouvais me le permettre sans problème. Chacun ayant ainsi confirmé son désir, nous étions dans la voiture cinq minutes plus tard, direction son studio. Si j’ai une voiture à vitesse automatique c’est parce qu’on me l’a donnée ! Et je haïs ce système ! Mais là je reconnais l’avoir béni ! Avoir une main libre fut une aubaine. Les rues de Paris ont une autre allure quand on les parcourt en caressant des seins somptueux. J’en étais presque à regretter les embouteillages. D’autant qu’elle n’avait pas de volant à tenir ni de route à surveiller. Pour être franc, je n’ai jamais roulé aussi doucement. Son studio étant au 1er, la montée en ascenseur fut, à mon regret, brève.

Après nous avoir servi un verre, elle s’éclipsa durant quelques minutes. Sur le coup je n’ai guère apprécié. Casser ainsi l’ambiance ! Mais quand elle revint, je ne pus que l’en féliciter. Elle était en dessous blancs, absolument superbes ! Soutien-gorge à balconnets, porte-jarretelles et mini slip blanc ! Là mes yeux faillirent la transpercer ! Elle venait vers moi, féline, sensuelle, voluptueuse, le regard pétillant, la bouche entrouverte, le buste arrogant, les hanches ondulantes, le regard provoquant. Elle se pencha doucement vers moi. Son regard disait à la fois : "Regarde comme je suis désirable" et "Oui, j’ai envie que tu me le prouves".

Elle laissa mon regard caresser ses seins et ses lèvres s’approchèrent des miennes. Ce baiser long, voluptueux, fougueux fut le début d’une nuit que je ne raconterai pas, ni même le petit déjeuner qui la suivit ! Na ! Et rassurez-vous, j’ai bien récupéré mes yeux dans le soutien-gorge ! Mesdames restez pulpeuses, désirables, voluptueuses, fières de vos formes et lâchez-vous sans tabou, sans hypocrisie, sans gêne, sans retenue ! Je suis là pour vous, toujours à l’affût !

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