Cendrillon 2017

Il était une fois… une belle et jeune fille prénommée Cendrillon, aussi attirante que triste était sa vie.

Elle vivait dans un vieil HLM de la banlieue parisienne avec ses deux surs, deux vieilles filles qui ne fichaient rien de leurs journées, et qui allaient jouer les dévergondées dans de sordides clubs de la capitale et quelques cages d’escalier mal famées du quartier.

Cendrillon était une nana filiforme, avec une poitrine légère et ferme, de longues jambes musclées, des épaules carrées, des yeux  gris sous sa chevelure dorée, et possédant un des plus beaux culs qu’il nous soit possible d’imaginer.

Ses jours étaient remplis de ménage, couture, lavage, repassage, cuisine et courses… oui c’est ça, une vie de merde pour ses 22 ans.

Ses seuls moments de répit avaient lieu le soir, à l’heure du sortir de ses vilaines surs.

Elle en profitait pour se délasser dans un bain bien mérité.

Nue, elle se savonnait avec grâce de gel lavant  aux parfums presque aussi agréables que celui de sa peau laiteuse. Sa main s’innocentait  toujours du même rituel… des caresses générales des jambes jusqu’au cou, un doigt parfois sucé dans sa bouche qui durcissait ses tétons. Elle s’imaginait alors le prince charmant l’embrassant fougueusement, une main dans son entre-jambes. Ceci  lui donnait l’irrémédiable envie envie de se fourrer sa main en elle au travers d’une belle touffe pubienne, claire et volumineuse,  inondée d’eau du bain mêlée à sa mouille collante. Seule dans son appartement, elle se laissait aller à de fulgurant râles qui devaient sûrement émoustiller  ses quelques pervers voisins.

Au moment culminant de son orgasme, le cri qui sortit de sa bouche fit  trembler la baignoire, ce qui eut pour effet de faire tomber la boule en verre contenant les boules de savon. La jouissance fut si intense, les yeux si révulsés qu’en se réveillant ce merveilleux moment, elle crut avoir une hallucination.

Mais non c’était bien réel… une fée virevoltait bien autour d’elle !

Comment était-ce possible ? Peu importe ! La fée ne voulait pas s’attarder sur ces détails. La fée devinait en Cendrillon une tristesse et une solitude si intenses qu’elle voulut la sauver de cette misère.

Mais comment…

La fée lui dit : « Belle Cendrillon. Demain soir se tient la plus belle, intense, charmante, merveilleuse et coquine nuit du tout Paris. Seront présent les personnes les plus en vue du moment, stars et princes, hommes beaux et influents. Je suis sûr qu’à cette soirée tu seras la reine !»

« Mais comment, lui répondit-elle ? Je ne suis qu’une pauvre fille sans ressources. Qui m’aimera ? »

« Cela est vrai, mais tu es la plus belle et voluptueuse grâce du pays. Et demain après-midi je m’occuperai de te donner une place royale… »

La nuit, la belle Cendrillon eut du mal à trouver le sommeil. Pour l’aider à plonger dans les bras de Morphée, je vous laisse deviner ce qu’elle fit… elle se branla fort. Pour s’aider, elle emprunta la valise de godemichés de ses surs. Il y en avait de toutes les tailles, des doubles, des électriques. Son anus aussi eut le droit à quelques dilatations  bien lubrifiées. Cette fois-ci elle étouffa ses cris avec son oreiller afin de ne pas refaire revenir la fée trop vite… on a encore le droit de jouir seule !

Cette nuit-là, elle finit par s’endormir comme un bébé à qui on venait de raconter un compte pour enfants…

Elle se réveilla tôt le lendemain comme d’habitude pour préparer le petit déjeuner de ses surs… et d’un homme moche et gros, qu’elles durent ramener dans leur chambre commune afin de baiser médiocrement.

Quand Cendrillon servit le café à cet ignoble individu, elle sentit une main sur ses fesses. Et comme d’habitude elle ne dit mot, pour souffrir en silence sous le regard goguenard des deux autres progénitures de ses parents.

Mais à ce moment là, un pied de la chaise du beauf se cassa, le café chaud tomba alors sur ses burnes minuscules le brûlant atrocement. Et c’est là qu’elle vit  l’ombre de sa fée…. protectrice, malicieuse et vengeresse !

Les couilles endolories, Cendrillon n’eut plus à se plaindre de cet individu.

Vers 17h, ses surs étant parties, cendrillon vit la fée revenir.

« Fée, comment pourrais-je plaire à qui que ce soit entre mes guenilles et mes cheveux défaits ? »

« Cendrillon, je suis ta fée et mes pouvoirs sont immenses.

Elle prit quelques gros cafards qu’elle toucha de sa baguette magique, les lançant par la fenêtre… et soudain apparut en bas de l’immeuble délabré une Bentley  rutilante. De la même manière, elle aperçût  traînant  dans le caniveau un ragondin… d’un coup de baguette magique elle le transforma en chauffeur de maître, très bien goalé par ailleurs dans son costume Kooples.

« C’est magnifique ma fée, mais moi ? Mon allure? »

Par magie, Cendrillon entra en lévitation… elle fut déshabillées par de minutieuses mains invisibles. Transportes dans la baignoire, elle fut arrosée, lavée, rincée de manière aussi douce que parfois coquine… ce qui fut confirmé par l’huile de massage qu’elle reçut de manière prolongée ! Rapidement épilée, de merveilleux dessous parés de perles la couvrirent. Des bas soyeux glissèrent le long de ses jambes, accrochés à un porte jarretelles plus efficace qu’un viagra surdosé ! Une robe de princesse modela son corps parfait. Ses cheveux furent peignés, coiffés et sculptés avant que la touche finale la couvrit de bijoux de grande valeur.

Dans le miroir Cendrillon se trouva belle et attirante. Elle aimait ses formes et se précipita vers son carrosse… euh… vers sa Bentley !

Avant de s’enfouir, la fée lui ajouta… « Cendrillon, trouve l’homme de ta vie. Mais avant minuit… Après minuit ta Bentley et ton chauffeur se retransformeront  en vilains animaux, et tes parures en haillons. Minuit Cendrillon, pas plus tard. »

Arrivée à la soirée, elle fut effet immédiatement. Tous le hommes se retournaient sur son passage. Et quelques femmes aussi…

Elle fit semblant de ne pas reconnaître ses surs aussi invitées à ce bal et agglutinées devant le buffet.

Aucun homme ne lui plut, jusqu’à ce qu’elle aperçoive un attroupement autour d’un beau brun charismatique. Son corps était sculpté , une silhouette musclée, des yeux profonds, un fessier en métal, une queue qui semblait étouffée par une braguette qui allait éclater. Une vraie couverture de magazine pour l’homme moderne.

Quand leurs regards se croisèrent, une vive intensité électrifia leurs corps. Elle crut dépérir.

Il abandonna ses admiratrices et se dirigea  lentement vers Cendrillon.

Ils surent immédiatement de quoi parler. Ils discutèrent tout en se dévisageant. Elle sentait son regard plongeant sur son décolleté. Il sentait sous ce sourire innocent, ses yeux qui lui mangeaient la bite.

Plus les minutes passèrent et plus ils se frôlèrent. Cette douce excitation  culmina quand leurs lèvres se  mélangèrent. Elle se sentit légère, lui bien plus dur…

Leur langues se léchèrent avec volupté. Leurs yeux mi-clos se mangeaient. Elle osa sa main sur son entre-jambes…un arrrrrhhhgg sortit de sa bouche.

Il lui dit « Je te veux, tout de suite » ; elle lui répondit de ses yeux affamés…

Ils se sauvèrent, personne ne sut où. Tout ce qu’on sait c’est qu’elle mit longuement son chibre épais dans sa bouche, que lui la pelota de partout, qu’elle s’accrocha longuement à ses fesses, qu’il caressa ses seins en jouant avec ses tétons, qu’elle lui massa son anus, qu’il la prit par devant, qu’elle mouilla, qu’il avait les yeux brillants, qu’elle se sentit partir, qu’il éjacula avec force, qu’elle fut remplie.

Jamais il ne sentit rentrer de meilleur manière dans un antre féminin. Son vagin était comme un moule parfait pour son membre.

Ils baisèrent ainsi jusqu’à 23h59.

Alors qu’elle venait à peine d’être enculée pour la deuxième fois, elle sortit de lui et s’échappa dans les escaliers. Nu, bandant de toutes ses forces, il se sentit abandonné.

Cendrillon arriva chez-elle à pieds. Elle était encore toute émoustillée et abasourdie de sa soirée.

Elle se mit dans son lit et se mit à pleurer d’avoir dû abandonner ce bel homme qu’elle ne reverra jamais.

Pour s’endormir, vous savez, elle se mast….

Le soir, le PDG de la plus importante start up française était hagard… Cendrillon lui avait échappé. Il ne put imaginer vivre sans elle.  Il se mit pour défi de la retrouver, mais ne put s’endormir.

Pour trouver le sommeil, il se bran…

Lorsque le premier éjaculatoire gicla sur le coin de sa bouche il se dit qu’il était un peu le roi du monde, et que c’est bien lui qui avait organisé la soirée.

Lorsque le deuxième jet s’arrêta sur son épaule, il se dit que quiconque était présent à sa soirée, se devait d’être connu de lui ou de son équipe.

Lorsque le troisième jet  arriva sur sa joue, la chaleur de celui-ci lui redonna espoir.

Lorsque le quatrième jet arrosa son ventre il contempla sa main comme sil s’agissait de celle de Cendrillon.

Quand il continua à masturber son membre avec le reste de sperme, il se dit qu’il était bien épuisé et que sa conquête du Graal  aurait bien le temps d’une bonne nuit de repos.

Au matin, il chercha alors l’adresse de chacune de ses invitées et alla  à leur rencontre. Pour être sûr de retrouver la bonne Cendrillon, reconnaître le visage ne suffirait pas, car la pénombre lors de cette soirée était trop importante.

Le seul moyen qu’il eut, fut de bander et pénétrer chacune des convives (à noter qu’aucune refusa..)

Certains vagins étaient trop étroits, d’autres trop larges, d’autres trop laids, certains le dégouttèrent  etc…

Arrivé dans l’appartement de Cendrillon, à contre cur il présenta son sexe devant ses surs en espérant que ce ne soit pas elles !… leurs culottes enlevées, il débanda ! Ouf !

Il alla partir quand  ils vit une frêle jeune fille… « C’est notre sur mais laissez tomber elle était à la maison ce soir là ». Mais il reconnut un parfum et des phéromones envoûtantes. Il insista pour aller à sa rencontre. Cendrillon déboutonna son jean troué et fit tomber son string… Son sexe rentra en elle comme un pied dans un chausson de vair…

Pour fêter leur union, une grande partouze fut offerte. Au centre de la salle, hauts perchés Cendrillon et son homme firent l’amour devant tous les convives.

Tout le monde était là. Djumbo avait la trompe bien raide, la belle et le clochard se léchaient le spaghetti,  le roi Lion était le roi du sexe, la Reine des Neiges était bien loin d’être froide. Il y avait aussi Blanche Neige baisée par cinq nains : elle en branlait un avec chaque main, en suçait un troisième, le quatrième la pénétrait tandis que le cinquième la sodomisait. Juste à côté, Prof enculait Grincheux… c’est d’ailleurs depuis ce jour que Grincheux se fait appeler Grincheux, paraît-il…. !

Cendrillon voyait tout ce petit monde autour d’elle prendre du plaisir ce qui contribuait à augmenter le sien.

Ils ne se marièrent jamais, n’eurent aucun enfant, mais quand même, que c’était bon…

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