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À l'internat avec ma cousine – Chapitre 3




Sept heures, mes yeux étaient fatigués, mais il était déjà l’heure de se lever. Je me redresse dans mon lit, mon sexe était toujours en dehors de mon sous-vêtement : je m’étais vite endormi après l’éjaculation. Je remontai mon boxer discrètement, et de manière analogue, je détournai mon regard sur ma gauche. Elle dormait toujours. Qu’elle était belle, si mignonne… Je me levais et consultais mon téléphone, Lucie m’avait envoyé un message pour nous dire qu’elle nous attendait au réfectoire.

Tu pourrais mettre un short de nuit.

Céline s’était réveillée, ses yeux illuminaient ma journée. Mais sa remarque me gêna.

Eh bien… j’ai oublié mes affaires de nuit.

Tu aurais dû me prévenir, je t’aurais filé quelque chose.

Ça te dérange que je sois en sous-vêtements ?

Après ce qu’on avait vécu ensemble dans notre enfance, je m’étonnais de sa suggestion. Que je sois en boxer devant elle devait apparemment la gêner, même en tant que cousins, cela signifierait-il qu’elle puisse éprouver une certaine excitation envers mon corps ? Elle coupa court ma réflexion.

Et si moi j’étais en culotte devant toi ?

Elle marquait un point. Et ma question me bloqua. Je ne pouvais pas la laisser croire une seule seconde que je puisse penser à elle la nuit.

Toi en culotte ? Hier, ça ne m’a pas plus perturbé que ça.

Elle ne répondit pas et nous partions manger. À table, Lucie était accompagnée de Romain, les deux semblaient bien s’entendre, mais étaient ravis de nous voir.

Salut ! fit Romain. Tu joues demain toi aussi Céline.

Elle hocha la tête en s’installant.

On joue contre un patelin dans le sud du département. Je pense que ça devrait aller, mais j’ai hâte que la compétition commence. Vous avez bien dormi ?

Franchement, reprit Romain, ça va, même s’il fait un peu froid, ils n’ont pas rallumé le chauffage encore.

Vous êtes chacun seul dans votre chambre, non ? demandai-je.

Ils confirmèrent et au fond de moi, je ne les enviais pas. J’avoue que ce n’est pas facile de n’avoir aucune indépendance pendant une semaine entière, mais qu’est-ce que je me sentirai seul sans ma cousine… Et maintenant que je la regarde sous un autre il, je n’imagine pas la quitter de sitôt. Justement, aujourd’hui, j’ai de la chance puisque c’est journée EPS et une parfaite occasion pour la regarder. Je vous avoue que j’ai un peu honte de vous dire tout ça, mais comment puis-je combattre ma propre nature et mes propres envies ? Ce legging en tissu qu’elle portera, le même que cette nuit, n’est-il pas par son côté moulant, collant sa fine peau, une invitation à la regarder ? Pour ma part, je pris soin de mettre un vêtement qui ne colle pas au corps, si tant est qu’une érection s’invite à ce festival, je préfère mettre toutes les chances de mon côté pour qu’elle ne se voie pas.

Les vestiaires étaient blindés. En fait, le lycée a mis sur le même créneau du gymnase et de ses alentours deux classes, alors que le vestiaire n’était réservé qu’à une seule. Nos cohabitants sont les élèves de la classe de Romain et Lucie, quelle coïncidence de les retrouver encore à nos côtés. Ceci dit, les activités sportives que nous pratiquons sont différentes et on ne risque pas de se retrouver sur le même terrain. Pendant que je me change, Romain s’installe à mes côtés. J’étais quelque peu intimidé puisqu’il avait un corps légèrement plus musclé que moi, tant dans les bras, qu’au ventre, qu’aux jambes… et sans doute à l’entrejambe si je me fie au rapide regard que j’ai lancé sur son paquet. Il me regarda.

Céline est ta cousine, mais vous vous entendez bien depuis longtemps ?

On s’est perdu de vue. Mais on apprend à se reconnaître on va dire.

Et tu sais si elle a un petit ami ?

Je vis rouge. Mais je me calmai rapidement pour n’éveiller aucun soupçon, il n’empêche qu’étant ma cousine, je le regardais d’une manière hautaine.

Tu n’es pas plutôt proche de Lucie ?

Qu’est-ce qui te fait dire ça ?

Je ne sais pas. Vous vous entendez bien, vous rigolez souvent ensemble.

Ouais, mais ça ne veut rien dire. Regarde, on n’a pas pris la même chambre.

T’aurais peut-être dû. Elle est plutôt sexy.

J’avoue que c’est mon genre. Mais c’est encore trop tôt pour ce genre de choses.

Pourquoi tu t’intéresses à Céline alors ?

Désolé, je ne voulais pas te froisser.

On sortait des vestiaires. Romain avait troqué son jean pour un jogging noir qui laissait légèrement apparaître la forme de son sexe. Me voilà maintenant à mater l’entrejambe d’un mec, ça ne va pas non ? Céline me rejoignit pendant que Romain bondissait vers le groupe sa classe. Elle fait partie de ces filles qui mettent un temps fou à se changer, que font-elles aux vestiaires ? J’essayais d’éluder ce sujet de mon esprit, mon imagination pourrait me sortir des idées tordues. Quoi qu’il en soit, elle était vêtue de ce legging, si proche de moi, j’avais envie d’y mettre les mains. Même sa légère poitrine m’excitait, elle était ravissante. Et surtout… elle était à moi.

Cette première séance d’EPS était étrange en terme pédagogique. Sans doute pour voiler l’immense manque de préparation des enseignants, ces derniers ont prétexté l’anarchie de leur séance comme une journée unique où l’on pouvait s’essayer à de multiples sports. Le tout se faisait par ateliers, et on devait obligatoirement tourner sur l’ensemble, souvent par groupe. D’instinct, ma cousine et moi sommes mis ensemble. Danse, volley-ball, endurance et désormais acrosport. Je ne suis pas fan de ce sport, il est d’ailleurs zappé par nos camarades ou dévié dans la rigolade. Pour ma part, et sans l’avoir prémédité, je l’ai dévié dans le voyeurisme… Ce sport où les corps se mêlent, se tiennent et s’échappent, me permettait de scruter le corps sculpté de ma cousine. Alors qu’on effectuait des enchaînements, et qu’elle n’était pas censée voir mon visage, j’ai sans doute trop longuement regardé son entrejambe puisque lorsqu’elle se tourna pour me dire quelque chose, elle s’écria :

Qu’est-ce que tu regardes ?!

Mon cur battait la chamade. Elle hurlait au ton du chuchotement pour ne rendre cette situation gênante qu’à ma personne sans s’y corrompre.

Hein, quoi ? essayai-je de prétexter.

Qu’est-ce que tu regardes, j’ai dit ?

Bah rien, j’ai les yeux dans le vide, je m’ennuie.

Sauvé par le gong, les profs nous conseillaient de nous étirer avant de partir nous changer. Je reposais le corps de Céline, qui remit ses chaussettes correctement. En les observant, en ayant du coin de l’il la totalité de son corps, j’eus une érection. Pourquoi ? Je ne comprends pas. Je me rendis compte que ses chaussettes bleu marine au drapeau britannique me faisaient de l’effet. C’est bizarre, non ? Jamais je n’avais éprouvé ça, mais elles avaient quelque chose de… je ne sais pas comment le dire… de « cute » ? Serait-ce un fétichisme ? Non, c’est trop étrange… Arrêtons de penser à ça. Mais avouez quand même que les filles ont des chaussettes plus mignonnes que celles des mecs, non ? Bref, je mis mes mains dans mes poches pour masquer mon fardeau. Céline ne me regarda pas une seule fois en rentrant dans les vestiaires, et après l’avoir attendu 10 minutes à la sortie, Romain me rejoint en m’annonçant qu’elle et Lucie étaient déjà parties manger.

Elles nous ont pas attendus ? mexclamai-je.

Pas l’impression, faut dire qu’on est déjà en retard. J’espère qu’on va pas devoir se grouiller chaque soir à cause du sport. D’ailleurs, c’était pittoresque.

Je ne te le fais pas dire…

Romain et moi mangions ensemble, les filles étaient déjà parties. Je vous avoue que j’avais un peu peur qu’il me relance sur le sujet de Céline, néanmoins il semble bien avoir compris la leçon.

Moment fatidique. Je ne suis pas un lapin de six semaines. J’ai bien compris que Céline me faisait la gueule et qu’en très peu de temps, il s’est passé tant de choses entre elle et moi que mes excuses ne fonctionnent plus. J’ouvre la porte de ma chambre, ayant conscience qu’elle savait sans doute désormais mon secret. J’avais honte, je la voyais du coin de l’il partir dans la salle de bains, lui adressant un salut sans solliciter son regard, et je ne reçus aucune réponse. Assis sur mon lit, yeux rivés sur mon téléphone, je ne l’entends pas. Pourtant, elle était désormais en face de moi.

Tiens, enfile ça.

Elle me tendait son legging. Quand elle le lâcha sur mes mains, je pus voir ses jambes nues, bien que le haut était habillé, le bas mis à part les chaussettes n’était vêtu que d’une culotte blanche. Je ne pus m’empêcher de regarder : nous l’aurions tous fait par curiosité, avouez. Mais je fermai longuement les yeux pour masquer ce spectacle qui, au fond de moi et au creux de mes jambes, m’enchantait. Et je lui répondais :

Pourquoi tu me donnes ça ?

Parce que si toi ça ne te gêne pas de me voir en culotte, je suis gênée de te voir en boxer. Donc, ce soir, je serais en culotte et toi en legging.

Mais c’est pour les filles, j’ai mon jogging, attends.

Non. Tu mets ce que je t’ai donné, point final, fit-elle d’un ton abrupte. Et pourquoi tu fermes les yeux ?

Bah tu es en culotte devant moi.

Et ? T’as bien dit que ça te gênait pas. Ouvre les yeux.

Je dus les rouvrir et je me forçais à ne pas regarder son entrejambe.

Change-toi maintenant.

OK, je vais dans la salle de bains.

Devant moi.

Heuuuuuuuu.

Je veux vérifier quelque chose, dépêche-toi.

Ne pouvant faire autrement et je vous avoue ne pas savoir si j’aurais aimé faire autrement je baissai mon pantalon devant elle. Et bien que j’essayais de cacher mon membre dur par de multiples artifices : changement rapide, legging et pantalon devant l’entrejambe, Céline remarqua et regarda mon érection.

J’en étais sûre.

Attends, je peux t’expliquer !

M’expliquer quoi ? Que tu bandes en me regardant, je sais ce que ça veut dire. Putain, Max, on est cousins !

J’avais honte, je baissais les yeux… mais mon supplice continua, mon érection ne s’arrêta pas.

Ce n’est pas de ma faute Céline, je ne sais pas te dire comment ça se fait, mais c’est comme ça, c’est tout.

Ça fait longtemps ?

Seulement depuis qu’on s’est revus…

Je m’étais fait avoir. Son plan avait fonctionné. Une merveille. Je lui tendais le legging, en signe de drapeau blanc.

Non, mais tu vas quand même le mettre.

Mais… c’est pour fille et c’est moulant !

Justement. Et moi je vais rester en culotte à côté de toi. Tu vas voir si tu apprécies qu’on mate ton corps.

J’enfilais son vêtement de sport et me mis debout, devant elle comme elle l’exigeait. Et bien que mon boxer habillait mes cuisses, il ne faisait aucun doute qu’à des kilomètres, habillé de ce legging, mon érection se voyait à l’il nu. Après de longues minutes gênantes, Céline enleva son t-shirt. Et bien que je pensais que mon sexe ne pouvait être plus grand et plus gros, je finissais par croire qu’il allait craquer le vêtement moulant. Je ne pouvais m’en empêcher de reluquer ma cousine de bas en haut, ses sous-vêtements accordés m’excitaient trop, quelle torture ! Alors elle se rapprocha de moi. Court vêtue, elle prit mon sexe à travers les vêtements, dans sa petite main, et l’agitait de haut en bas.

Mais… qu’est-ce que, *gémissement*, tu fais ?

Elle ne répondit pas. Je commençais à respirer de manière plus forte, plus irrégulière. Je levais la tête vers les cieux. Mes hormones travaillaient comme jamais. La tentation était trop forte, je voulais lui rendre la pareille, mais elle rejeta mes avances, continuant lentement son travail. Elle accéléra son mouvement, sans jamais toucher peau à peau mon corps. C’était si bon que je haletais. Je n’en pouvais plus.

Arrête. Je vais… ça vient… ça vient !

Elle continua, sans s’arrêter, souriante et concentrée. J’éjaculais comme si mon corps n’attendait plus que cela depuis des mois., je jouissais réellement, les yeux fermés, la larme à l’il. Le sperme trempa le devant entier de mon boxer, le legging ne fut pas épargné. Pire encore, quand je rouvris les yeux, essayant de reprendre ma respiration, quelques gouttes blanchâtres pendaient dans le vide. Les mains déjà sales, Céline prit le sperme tenté par la gravité et le porta à sa bouche. Puis elle m’ordonna d’aller me coucher, sans me nettoyer, sans me changer.



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