Je venais d’avoir mon BAC et j’avais 3 mois d’été, de vacances avant de recommencer les cours, mais à la fac cette fois-ci ! J’avais donc décidé de travailler durant juillet août et de partir toute seule en septembre. J’étais très excitée à l’idée de partir en Vendée durant 3 semaines, toute seule, et de faire vraiment ce dont j’avais envie.

Mes parents sont plutôt collants et ils n’apprécient pas l’idée de voir leur petite fille fraîchement majeure partir à la grande aventure. Mes pauvres parents, s’ils savaient ce dont leur chère petite Séverine est capable! J’avais donc prospecté plusieurs sociétés et m’étais inscrite dans des agences d’intérim. J’ai eu pas mal de lettres de refus, ils ne voulaient pas d’une débutante, pas assez d’expérience, trop jeune, etc.

J’avoue que je me demandais comment j’allai pouvoir me payer mon petit voyage. Quand un jour de juin, l’agence d’intérim m’appela pour me proposer une mission d’un mois. J’étais très contente. Mon travail ne constituait qu’à prendre des rendez-vous au téléphone pour un médecin, mais c’était sympa, et puis ça me faisait de l’expérience. Cette première mission s’étant bien passée, l’agence me proposa directement une autre mission de 2 semaines renouvelables en tant que standardiste dans une société d’édition. J’étais tellement contente!!! Jamais je n’aurai pensé être aussi heureuse de travailler. Mais c’était pour la bonne cause. Je m’imaginais déjà en train de bronzer sur la plage, en train d’écouter une super musique dance dans mon walkman, et regardant les beaux mecs passer. Mais pour que le rêve se réalise, il eut fallu que je gagne des sous. Mon premier jour fut plutôt sympa. Je fus présentée à tout le groupe des commerciaux, au responsable de production et au directeur. En fait, je remplaçais la standardiste habituelle qui était partie en voyage de noces. Mon travail n’était pas très difficile, puisque je n’avais que 4 lignes et que pendant les mois d’été, il n’y avait pas grand monde. Je m’installais chaque matin au bureau de l’entrée et je prenais quelques appels. J’avais parfois quelques devis très simples à taper, et je passais parfois du temps à jouer au démineur.

Je m’ennuyais pas mal en fait. Le midi, je prenais place dans la salle de repos et je dégustais les salades composées que je faisais le matin. J’étais tranquille et puis, les commerciaux (6 au total) étaient souvent en clientèle. Le seul qui était tous les jours au bureau, c’était le directeur de production, et les ouvriers bien sûr. Les cheveux poivre et sel, il avait par contre des yeux d’un bleu intense. Quand il me regardait, j’avais la sensation d’être transpercée. Il semblait être doux, et il était très gentil avec moi. Les commerciaux se ressemblaient plus ou moins. Ils avaient le même style, devaient avoir entre 25 et 35 ans. Les ouvriers, je ne les voyais pas beaucoup, et puis ils étaient nombreux, alors connaître leurs noms, c’était inutile. Je venais en scooter au travail, alors assise en jupe sur un scooter, ça le faisait moyen. Je me changeais donc dans les vestiaires tous les matins et tous les soirs. Les vestiaires, c’était en fait une petite pièce avec un lavabo, un miroir, des casiers et une petite lucarne qui donnait sur la cour. Un soir, en me changeant, j’ai surpris 2 ouvriers qui s’étaient penchés à la lucarne. Ils devaient être bien contents de voir une petite jeune en string et soutien-gorge. En dépit de mon caractère, je n’ai pas protesté. Je trouvais cela presque normal alors que j’étais terriblement gênée. Quelques jours plus tard, en cherchant dans les casiers de la standardiste quelques dossiers, je suis tombée sur un tube de lubrifiant intime. Je n’en avais jamais vu. J’ai ouvert le tube et ça sentait la pomme. C’était agréable.mais je me demandais bien pourquoi un tube de lubrifiant se trouvait sur un lieu de travail. Je n’allais pas tarder à le savoir.

Au bout de 2 semaines, l’attitude des commerciaux a changé. De platitude à presque dédaigneuse, elle est devenue mielleuse et intéressée. Ils me disaient quelques mots à chaque fois qu’ils me voyaient, ils me souriaient, me faisaient des compliments sur mes cheveux ou sur mes jupes moulantes. J’étais flattée, mais suspicieuse. Un jour, l’un des commerciaux m’appela et me demanda de venir le voir dans son bureau, qui était commun avec celui des autres commerciaux.

— ’Ma chère Séverine, je suis sûr que vous allez pouvoir nous aider.’

— ’Qu’est-ce que je peux faire pour vous?’ Ai-je demandé naïvement.

— ’Nous aimerions avoir votre avis sur une question plutôt personnelle, mais qui nous chagrine.’

— ’Je vous écoute.’

— ’Voilà, petite Séverine, nous avions une discussion, tous les 6. Nous nous demandons lequel d’entre nous a la plus grosse bite.’

Mes yeux se sont alors révulsés et j’ai eu un geste de recul. J’étais complètement abasourdie par ce qu’ils disaient, et j’en restais scotchée devant le bureau.

— ’Nous aimerions que vous nous départagiez.’ M’a-t-il dit en déboutonnant son pantalon.

Les autres firent de même et soudain, je me retrouvais debout dans une pièce avec 6 bites à quelques mètres, bandantes. Tous les regards étaient posés sur moi, et j’avais très peur.

— ’Alors, Séverine, laquelle est la plus grosse?’

— ’Je ne sais pas, elles sont toutes très grosses.’ Ai-je répondu d’une voix tremblante et en dirigeant mon regard vers les queues nues.

— ’La petite Séverine a du mal à se concentrer on dirait.’ Ricana l’un d’eux.

— ’Approchez-vous, vous verrez mieux.’ Me dit un autre.

J’approchai donc un peu plus pour mieux regarder les gros gourdins. Ils étaient bien aussi gros les uns que les autres.

— ’Je ne sais lequel choisir, ils sont vraiment très gros.’ Je commençais à avoir des frissons qui me parcouraient le ventre et les seins.

— ’Prenez ma place’ me dit le plus âgé. Je me suis donc assise dans le fauteuil de cuir et tous se sont rapprochés un peu plus.

— ’Il va falloir choisir, maintenant ma petite Séverine.’ Instinctivement, je leur ai répondu :

— ’Il faut que je les touche pour mieux m’en rendre compte.’

Ils ont souri et moi, je ne savais plus où me mettre. Le plus entreprenant me fit signe de tâter sa bite, ce que je fis. Je branlais doucement une queue quand une autre s’est présentée pour ma main gauche. Automatiquement, je l’ai saisie et je les ai caressées, je les branlais. Les autres hommes délaissés ont commencé à s’astiquer le barreau.

— ’Mon Dieu, qu’est-ce que je fais ?’ Me demandai-je intérieurement, sans pouvoir m’empêcher d’aimer ce que je faisais.

Visiblement, ils étaient tout contents de cette situation mais les 4 autres étaient un peu jaloux. Les deux premiers se sont retirés pour laisser place aux suivants. Je les branlais un peu. Tout à coup, je sentais comme un vide dans ma bouche, comme si ma langue avait besoin d’être en contact avec quelque chose. Je me suis alors rendu compte que j’avais très envie de les sucer. Je résistais pour ne pas le faire, parce que je me disais que ça allait finir en partouze, et que je ne voulais pas ça. Je me suis levée et j’ai regagné le bureau de l’accueil.

Je tremblais et je me disais que je ne devais pas valoir grand chose pour aimer branler 6 bites à la suite, et en plus de vouloir les sucer. Le reste de la journée fut difficile mais les commerciaux agissaient comme d’habitude. J’ai alors pensé que c’était oublié et que je n’en entendrai plus parler. Quelle erreur! Moins de 3 jours plus tard, l’un d’eux me demandait de venir le seconder pendant qu’un client visiterait l’imprimerie. J’ai accepté, puisque je me suis dit que je ne serais pas seule avec lui. Mais la situation fut tout autre. J’étais assise au bureau du commercial en train de prendre quelques notes pendant qu’il discutait avec le client.

— ’J’aimerais acheter vos produits, mais vos concurrents me proposent des prix plus attractifs.’

— Mais notre qualité d’édition est bien meilleure.’

— ’Oui, mais il faudrait quelque chose en plus pour que j’accepte, quelque chose qui me ferait automatiquement penser que vous voulez vraiment travailler avec nous.’

Le commercial réfléchit quelques secondes et répondu :

— ’Séverine.’ Le client le regarda, interloqué.

— ’Le petit cul de Séverine.je pense que ce petit plus fera pencher la balance.’

— ’Si vous me prenez par les sentiments, je ne peux refuser.’

Je me suis tournée vers eux, outrée et scandalisée qu’ils puissent parler de moi à la 3ème personne, devant moi, qu’ils puissent me marchander comme un bout de viande et qu’ils ne m’aient même pas demandée mon avis.

— ’Aller, Séverine, montrez-nous votre petit cul.’

Automatiquement, comme hypnotisée par ce qu’il venait de dire, je me suis levée, j’ai soulevé ma jupe et baissé ma culotte.

— ’Retourne-toi, ma chérie.’ Me dit le client.

Je me suis retournée et ils eurent une vue imprenable sur mes fesses rebondies. Le client se leva, s’approcha de moi et dit :

— ’Je suis sûr que tu ne me feras pas regretter mon choix, ma petite.’

Il défit alors sa ceinture et son pantalon. Pendant ce temps, le commercial s’alluma une cigarette. Le client sortit sa bite déjà raide et colla son prépuce contre ma fente. Aucun préliminaire, aucune caresse, je n’avais pas eu le temps d’y penser ou de me faire à l’idée. Il guida son engin tout en se branlant. J’avais mon regard pile-poil dans celui du commercial, qui semblait satisfait de m’avoir offerte à un client. Le client écarta mes fesses. J’avais déjà pratiqué la sodomie, mais très peu de fois, et il y avait un moment. Il faisait quelques caresses à mon trou avec son pouce, histoire de me dilater un peu.

Quand il put passer un doigt, puis 2, puis 3, il dirigea sa queue directement dans mon trou ouvert. Je me sentais écartelée. Sa bite m’avait fait mal, mais j’étais terriblement excitée. Mes yeux étaient fixes vers ceux du commercial, qui fumait pénard sa clope pendant que je me faisais bourrer le cul. Il ouvrit la bouche et murmura :

— ’Tu fais bien ton travail, ma chérie.’

Le client s’excitait et mon cul était de plus en plus dilaté, encore plus ouvert.

— ’Elle aime ça, la garce!’

— ’Je vous avais dit qu’un petit plus ferait la différence.’

— ’Elle a le cul bien profond.’

Mon corsage n’était même pas défait, mais je sentais mes seins ballotter dans tous les sens. C’est quand j’ai senti son ramonage devenir plus énergique que je me suis dit qu’il allait bientôt me remplir. J’étais pressée que l’humiliation cesse, mais j’avais encore envie de me faire prendre comme ça. Sa queue s’est raidie, et il a poussé quelques soupirs plus forts. Il se déchargeait les couilles. Il retira sa queue déjà ramollie, et je me rhabillai pour courir aux toilettes. Mon cul brûlait un peu, mais mon clito avait gonflé.je savais que ça m’avait excitée.

Sur le trône, je poussais un peu pour expulser le jus, et ça me picotait à l’intérieur. Je me félicitais tout de même d’avoir un cul si délicieux et qui avait fait jouir un PDG. Et c’est là que j’ai compris à quoi servait le tube de lubrifiant.je compris également comment cette société obtenait de gros contrats. Quand je suis sortie des toilettes, il n’y avait plus personne. Les jours qui suivirent, je craignais d’être rappelée dans le bureau. Et ma crainte fut confirmée quand je vis le numéro de poste d’un des commerciaux s’afficher sur mon téléphone.

— ’Oui?’

— ’Séverine, venez dans le bureau s’il vous plait.’

J’entrai dans le bureau et les commerciaux étaient tous présents. Quand je les vis, mes jambes tremblaient mais je savais déjà que j’allais passer à la casserole.

— ’Nous voulions vous remercier car grâce à vous, nous avons pu signer notre contrat. Je rougis alors, repensant à la façon dont j’avais su convaincre le client.

— ’Pour vous remercier, nous avons décidé de vous offrir un petit quelque chose.’

En entendant cela, connaissant de mieux en mieux leur esprit vicieux, je pensais à un godemiché ou à de la lingerie. Quelle ne fut pas ma surprise quand je les ai vus tous déboutonner leur pantalon !

— ’Vous allez pouvoir sucer les plus grosses bites de la ville.’

Etait-ce vraiment comme ça qu’ils allaient me remercier de leur avoir donné un client de plus ? Allaient-ils réellement me faire sucer leur bite en pensant que c’est moi qui allais être remerciée ? J’étais terriblement en colère, parce que oui, j’allais les sucer, mais ce que je voulais au fin fond de moi, c’était jouir. Ils étaient assis sur le bureau et chacun leur tour, je les ai pompés. Leur bite avait des goûts différents, des tailles et des formes différentes.mais elles étaient toutes bonnes. Je les suçais délicatement, en prenant mon temps, doucement. Je pompais en faisant glisser ma langue tout le long de leur dard. J’attrapais leurs couilles et je faisais quelques mouvements de va-et-vient. Le 1er mit du temps à jouir, mais pas les autres, excités de s’être branlé en me regardant. J’avais du jus de couilles plein la bouche, plein la gorge, sur le visage et qui coulait dans mon cou. Mon corsage était trempé au niveau de mes seins. Pendant une heure, j’ai pompé 6 bites.et oui, j’étais heureuse, j’avais vraiment l’impression d’être sur un nuage, et j’avais beau avoir le visage couvert de sperme, je suçais encore toutes les bites qui venaient à moi.

C’était bon de sentir un homme se décharger, et trembler dans ma bouche. Avant de finir le dernier, qui était très chaud, l’un d’eux avait glissé un doigt dans ma culotte, il avait branlé soigneusement mon clitoris gonflé. J’ai joui tout en dégustant ma dernière queue. Ces petites salopes souriantes avec plein de sperme sur le visage.j’en faisais partie et j’en étais très contente. En allant aux toilettes, j’ai entraperçu la standardiste qui revenait de son voyage de noce. Elle disait bonjour aux gars de l’usine et je l’enviais en pensant à toutes ces bonnes pines qu’elle allait pouvoir éponger.

J’étais alors déjà en manque de bites!

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