15h00 : Maîtresse, je sens bien la cage me contraindre. Jai très peur que cela se voit sous mon costume mais je suis heureux de Vous offrir cette contrainte et cette humiliation. Je dois avoir une réunion importante que je nai pas pu décaler, mais je me débrouillerai pour Vous envoyer le message que Vous avex exigé.
15h58 : Je suis en pleine réunion mais jai prétexté une urgence. Je ne suis pas du tout concentré et je ne pense quà Vous, je me sens totalement vulnérable à Votre disposition. Jai appris que mon enveloppe à la réception avait été prise par une jeune femme, Vous avez donc la clé de ma liberté.
16h32 : Maîtresse, puis je aller aux toilettes ?
Je ne sais pas pourquoi je lui demandais cela, je crois que jétais en manque de message de Sa part, comme si je me noyais si Elle nétait pas en contact et à la barre en permanence. Comme je lespérais Elle répondit :
16h34 : à 17h30 uniquement et précise. Après être allé aux toilettes, tu vas voir avec la ceinture cest fini les urinoirs et un esclave pisse différemment, je te montrerai comment, tu rentres chez toi, et tu attends mes instructions.
16h36 : Oui Maîtresse, bien Maîtresse.
17h32 : Merci Maîtresse, effectivement cest un peu spécial, je crains den avoir mis un peu sur mes jambes Maîtresse. Je rentre chez moi à pied Maîtresse, je travaille juste à côté.
17h34 : Tu crois me lapprendre larve ? Je sais tout de toi. Ne loublie pas.
17h36 : Oui Maîtresse, je le sais et Vous avez tout pouvoir Maîtresse, je baise Vos pieds pour Vous remercier.
Plus jétais paniqué et plus je menferrais, cétait atroce. Je savais que tous ces messages pouvaient se retourner contre moi mais comment faire autrement. Chaque fois Elle poussait les choses plus loin, et il métait impossible de les refuser. Devais-je continuer les sms en arrivant chez moi ? Je pensais que oui.
17h49 : Me Voilà chez moi Maîtresse, je suis nu dans ma chambre, la caméra allumée si Vous le désirez.
Ma tête tournait, javais perdu tout sens du temps, javais du mal à savoir quel jour de la semaine nous étions.
18h12 : Va mettre la clé de ta porte sous ton paillasson et remonte te mettre en position. Je te veux absolument obéissant, prévenant, interdiction de lever le regard, tu es un esclave, tu dois noter quen aucune circonstance tu nas le droit de lever le regard sans une autorisation de ma part. Sauf pour le boulot.
18h14 : Voilà Maîtresse, la clé est sous la porte, je Vous attends respectueusement.
Mais je me trompais. Si la porte souvrit bientôt, à la lourdeur dun pas, je devinais quil sagissait dun homme. Je paniquais, mais me contrôlais assez pour ne pas bouger. Jétais tombé dans un piège, et je navais plus quà espérer ne pas men tirer avec trop de dégâts.
Lhomme monta lescalier, pénétra dans ma chambre, je vis ses chaussures vernis marrons superbes. Au moins cétait un homme de goût. Il me regarda longuement, me toucha la tête et vint se positionner devant moi. Ouvrant sa braguette je vis avec horreur quil sortait son sexe. Hélas je navais quune bonne idée de ce quil comptait faire. Meffondrant un peu plus mentalement, jobéis à lordre non formulé et jouvris la bouche, humidifiant ma langue. Déjà son sexe moi remplissait ma bouche. Je le léchais doucement, essayant de reproduire ce que je pouvais aimer, mes mains remontant vers ses couilles. Plus ce serait rapide et moins je me sentirais ainsi souillé. Il devint rapidement dur, me pris la tête pour donner lui-même le rythme, jétouffais à moitié, je narrivais plus à le lécher convenable. Ce nétait pas désagréable, juste bizarre que ce morceau de chair dans la bouche, je mappliquais, la bave coulait partout. Mais il ne jouit pas. Il se retira, me gifla doucement avec son sexe, et mappuya sur la tête pour me faire mettre à 4 pattes. Je me mis à pleurer, cétait trop. Mais je ne bougeais pas, je navais plus de volonté.
Son sexe couvert de salive se présenta à lentrée de mon cul encore assoupli du plug dhier. Il prit un peu de lubrifiant dun flacon dans sa poche et enduisit son sexe avec. Je neus pas le temps de réfléchir, déjà il poussait sur ma rondelle, qui souvrit autour de son gland. Je le sentis me prendre, les anneaux céder les uns après les autres, il rentra dun coup, marracha un cru mêlé dun halètement profond, je me sentais complètement envahi. Il attendit que je reprenne mon souffle, et me lima ainsi pendant de longues minutes. La sensation était indescriptible. Je sentais mon sexe couler et me brûler, comme si jallais pisser ou jouir, mais sans que rien ne se passe, cétait intolérable et délicieux, je perdais totalement la tête, tandis quil accéléra le rythme plus encore. Enfin je sentis son sexe gonfler plus encore, et il jouis en moi, mappuyant profondément sur les épaules pour me remplir au plus profond. Je sentais bien que je nen avais pas fini même si jétais heureux de ce répit.
Il se mit devant moi, le sexe couvert dun mélange de salive, de sperme, de lubrifiant et de bien dautres choses que je ne pus détailler. Déjà jouvrais la bouche et léchais délicatement ce sexe qui venait de me défoncer. Il navait pas prononcé un mot, javais été un vide couille. Exténué je métalais par terre, et je ne pris quaprès conscience de son départ. Ce fut le buzz de mon téléphone qui me tira de ma somnolence.
19h24 : Mets-toi à croupis mon chien, les cuisses écartées, et recueille avec ta main le sperme qui est au fond de toi.
Je voulus protester, mais jen étais incapable. Jobéis donc, sentis un peu de liquide couler dans ma main. Jintroduisis un doigt dans mon anus, trouvant la souplesse de celui-ci très agréable, et recueillant un peu plus de semence. Sans même avoir besoin dun ordre, je la portais à ma bouche et maîtrisant mon dégoût, je lavalais sans respirer pour ne pas en sentir le goût. Pour faire bonne figure, je léchais bien ma main devant la caméra.
19h31 : Tu comprends bien, tu vois que tu es fait pour cela. Tu es un esclave au plus profond de toi. Je suis contente jai de magnifiques images de toi te faisant prendre par tes deux trous. Tu es une parfaite salope en plus avec ton sexe encagé. Il faudra prévoir des bas et un serre taille, tu seras ainsi parfait en salope.
19h33 : Merci Maîtresse, je suis heureux de Vous avoir satisfait.
19h34 : demain, tu vas venir te présenter à moi. Dici là, tu ne manges toujours rien, je te veux affaibli. Tu continues de menvoyer un sms toutes les heures, même cette nuit, je ne veux pas quil y ait plus de 59 minutes entre deux messages, sinon gare.
19h36 : Bien Maîtresse, je ferais ainsi Maîtresse.
19h38 : Bien sûr, ce nest pas comme si tu avais le choix. Pense bien à ta Maîtresse, je vais tenvoyer des photos de ma soirée, comme cela tu sauras ce que je fais, et tu pourras texciter à me contempler à loisir, sans pouvoir te toucher, tu vas voir, cest merveilleux.
19h40 : Oh Maîtresse, cest trop bon de Votre part, jai hâte de Vous découvrir.