Après ces deux premiers épisodes, nous retrouvons Fabienne chez elle.

En feu littéralement en feu. Voila létat perpétuel de sa foufouneFabienne na jamais tant sollicité son mari. Qui dailleurs, fatigue ! Le pauvre avait perdu lhabitude de devoir honorer son épouse plus dune fois ou deux par semaine. Là, depuis ces trois dernières semaines, pas un soir sans quil ne doive cavaler sur le bassin de la belle Fabienne. Bon , cest pas une corvée. Elle est bien gaulée sa femme. Il est blasé depuis longtemps sur les tentatives toujours vaines des males qui approchent. Amis, Collègues, Voisins, Famille (oui, quand même !), cest tout juste sil na pas surpris un regard connaisseur et plein denvie du curé du village. Cest vous dire.

Non, ce qui le surprend plus, cest cette fringale de Fabienne. Jamais assez. Réclamant quil soit plus brutal, plus endurant (!!!), offrant ses fesses à la lumière crue alors quelle était toujours un peu pudique, nhésitant pas à amorcer le sujet et faire naitre lérection par une bouche vraiment docile et avide. Et ça aussi cest un peu nouveau ; ou en tous cas lointain !!!

Alors il tente vaillamment dassurer ! Il ne voudrait pas que la belle finisse par chercher ailleurs le surplus de sexe quelle semble désirer.

Ca larrange pas trop car sa secrétaire, la petite Laure et ses vingt deux printemps, il faut pas lui en promettre Quelle dévergondée ! Elle, son truc cest de le sucer. Elle peut passer deux heures sous le bureau à jouer avec loutil palpitant que son patron lui prête !!!! Seulement, de temps en temps elle parvient à ses fins et si elle boit à la source qui jaillit, elle na pas lair de se douter que ledit patron, il a une autre sangsue qui lattend à la maison A ce jeu, lami va bientôt craquer ! Dautant que la petite Laure, il ne saurait être question de ne pas lui jouer un ça-va-ça-vient avant de se quitter !

Un jour quil rentre particulièrement pompé (je sais, elle est facile mais) il croise le père Vincent.

Après quelques phrases banales, le vieux lui balance une boutade sur la belle Fabienne. Faut dire que le père Vincent, sil avait jamais osé sapprocher de Fabienne, il a toujours plaisanté sur elle avec son mari. Sujet redondant !

-Toujours le plus veinard, toi, lJé. Tu dois pas tembéter avec ta Fabienne. La ptet encore embelli , jtrouve!!!

-Men parle pas, Vincent, à toi je peux bien le dire : je fatigue !!!

-Nom de dla ! faut mla préter !!! Jsus encor capab moi !!

-allons Vincent, tu ny penses pas. Je voudrais bien voir ça !! Tu serais bien embêté !

-dis donc le Jé ! chiche que tu mlaisses essayer en tcachant ? hasarde-t-il mi-figue mi-raisin

-ben on en reparlera, hein ? allez ! le bonsoir….

Et le Jé se barre en rigolant. Ah le père Vincent, il ne sait pas, se dit-il, quel torrent de lave coule de sa Fabienne.

Alors, bien sûr, un peu par provoc, un peu par lassitude, il aborde le sujet avec Fabienne. Le rouge monte aux joues de la belle bourgeoiseQui, mine de rien, ne coupe pas brutalement cette conversation ambiguë.

-et si tu le laissais essayer, je serai caché, tu ne risques rien. Je suis sûr quil sarrêtera, faute de loutil nécessaire. Il doit plus bander depuis longtemps le pauvre Vincent !

-oh ! mais sil me touche ? je veux dire

— une main par ci par là ? quel mal y a t-il ? Et puis cest une b.a. que tu feras !!

En deux temps trois mouvements le projet est ficelé. Jé sera caché, et interviendra si Fabienne appelle. « Si et seulement si », a-t-elle glissé, moqueuse.

Là dessus, la soirée est particulièrement chaude, comme quoi un bon fantasmenon ?

Jé recontacte le père Vincent qui lève les sourcils . Voila le premier cocu qui lui offre sa femme. Alors, même sil a déjà bien chevauché sa femme à ce petit con, il se voit bourrer Fabienne avec le Jé qui mate alors là ! ça va être du grandiose !!!!

Et voila le grand soir. Jé est soi-disant retardé, le père Vincent se pointe et la Fabienne, elle coule littéralementElle a du se soulager trois fois seule dans laprès-midi pour attendre le grand moment.

Elle sait que son mari viendra se poster en haut de lescalier, rentrant par derrière. Elle sait quelle va se donner. Et quon verra bien les dégats chez son mari lorsquil aura pris conscience de sa légéreté !

-oh la Fabienne tes donc là ?

-bonjour ! contente de vous voir passer !

-hé Fabienne, passerpasser je ne fais pas quentrer et sortir, tu sais !!

-c’est-à-dire ? demande la ménagère souriante

Le père Vincent, vous savez, cest pas un diplomate. Il fait deux pas, saisit la belle par la taille et prend un sein à pleines mains. Comme le soutien-gorge avait été jugé inutile, il palpe un mamelon chaud, souple, très engageant, ses doigts se rassemblent au bout de létoffe et pincent assez sèchement le téton. Elle a déjà plaqué son ventre sur le ventre du vieux Il est radieux, sûr de lui, et crois que la Fabienne ne sait rien. Quant au Jé, il a vu ce préambule et se demande jusquoù Fabienne va accepter de jouer le jeu. Déjà cette caresse salace aurait dû la faire réagir

La main passe dans le corsage, pour mieux apprécier le galbe et malaxer le nibard à sa convenance, sa bouche fouille dans le cou de Fabienne qui a rejeté sa tête en arrière, souriant en direction du haut de lescalier.

Le vieux attrape tout le corsage et descend tout ça vers la taille, les deux seins libérés sont sucés léchés, empoignés, malaxés, triturés, violentés. Fabienne a déjà du mal à retenir des soupirs daise. Le vieux continue de descendre tout ce qui se présente, la jupe suit le mouvement et tout se retrouve au bas des chevilles ! Jé nen revient pas. Malgré le traitement de Laure, il sent un début dérection ! Le vieux est à genoux, les mains sur les fesses de son épouse, sa bouche lèche le ventre dans tous les sens. Dans tous les sens mais avec une idée directrice ! Voila la bouche plaquée sur la toison de Fabienne. Et les mains qui sont descendues sur le haut des cuisses écartent les fesses, entrainant louverture des belles jambes la tête descend et Jé ne voit quun béret qui ondule et les deux mains de sa femme qui se posent dessus.

Fabienne ploie légèrement les jambes, ouvrant plus grand sa féminité à la bouche vorace elle commence à gémir et à encourager lancêtre.

-père Vincent que faites-vous ? ah cest bon

Jé va intervenir. Enfin il devrait. Dabord il aurait lair très con, ensuite, il imagine que la fête va sarrêter si le vieux na plus de virilité digne de ce nom, enfin il a pris sa verge entre ses mains et se caresse doucement. Autant en profiter, hein ?

Les cris de sa femme qui jouit le ramènent sur terre. Un vrai orgasme ce Vincent, trop fort ! Et maintenant ? il va battre en retraite surement !

Il se relève, déboucle le bénard Fabienne est déjà à genoux elle extrait dun slip distendu une bite incroyable. Mais cest pas possible. Plus longue, plus grosse que la sienne. Lorgueil du Jé ramasse !

Et la bouche de Fabienne coulisse déjà autour du gland quelle embouche à grand peine. Le vieux, béret en arrière et mains sur les hanches bascule lentement son bassin davant en arrière et la femme pompe le gros dard, ses mains soupèsent et caressent les bourses poilues, le regard qui se lève vers le vieux grigou est-il reconnaissant ? dommage elle tourne le dos

Mais le vieux, sa figure hilare en dit long sur le bonheur de se faire sucer.

-alors la Fabienne, ça cest une belle bite, hein ? celle du Jé elle te va pas ?

Le salaud le nargue ! Heureusement, la bouche de son épouse est suffisamment pleine pour éviter encore une égratignure à lorgueil marital !

En bas ça saccélère, le vieux pilonne la bouche il tient la nuque de Fabienne et impose rythme et profondeur, elle doit ingurgiter des centimètres de bites qui vont et viennent

Et puis le vieux sinterrompt. Un coup dil périphérique la table de la cuisine est quasi vide. Un balayage du coude et elle est vide ! Il dépose sa partenaire sur la table, la couche sans ménagement et soulève les cuisses. La chatte en pleine lumière, ouverte, béante, dégoulinante de son épouse est prête à recevoir cette bite monstrueuse Et elle lavale dun coup, le père Vincent a pointé lengin et enfilé!!!!

Un gloussement de femelle en rut Fabienne retient ses jambes écartées et soulevées et Vincent pilonne la chatte quémandeuse.

Le spectacle est prodigieux Cette bite qui rentre brutalement et qui ressort en quelques secondes qui paraissent aussi longue à Jé que la longueur de lobjet. Et plouf ! Et encore Des minutes de pistonnage troublées par les soupirs daise de Fabienne qui, fidèle à son habitude avec le père Vincent se ramasse orgasme sur orgasme. Et le vieux en rajoute !!!

-tiens donc Fabienne, profite, cest pas tous les jours la fête à ton cul !!

-Tiens, ton culje vas y donner aussi !

Il se retire, remet Fabienne debout, la retourne contre la table, écarte ses jambes et enduit de cyprine le trou du cul de la chère moitié du Jé abasourdi.

Il va lenculer devant moi. Et elle qui ne dit rien. La salope !! Le Jé a tout comprismais un peu tard.

Ben oui Jé, la bite est devant le trou interdit, elle pousse, les mains de Fabienne écartent les fesses autant que possible et le Vieux il pousse et il gagne du terrain. Le voila qui a entré le glandet qui triomphe.

-Ah ! je vas pouvoir te défoncer le troufignon, la Fabienne. Acrroche-toi !!!

Et la queue entre doucement mais sûrement dans le boyau et les fessées du père Vincent fouettent lair et les globes rougissent! Et commencent les allers-retours pépére, mais infatigable, mon papy se tape une sodomie majestueuse du cul le plus convoité du village !!!

Fabienne lencourage, elle a dû oublier la présence indiscrète depuis un bon moment Elle va chercher la queue lorsquelle se trouve presque hors de son cul et pousse pour accompagner lintromission

Et Vincent accélère, frénétiquement il jouit enfin en même temps que la femme quil encule.

Il seffondre sur le dos de sa compagne Les deux amants restent de longue minutes ainsi

La bite sort du cul ravagé. Elle est encore raide !!!

-viens mnettoyer ! allez ! ton bec !!!

Et Fabienne nettoie ce membre adoré. Elle en profite pour pomper un peu ce nud qui ne débande pas

— Jvas ten remettre un ptit coup ! Ca te va ?

— Tant que vous voudrez Pere Vincent, allez-y, servez-vous, je suis à vous

— A quatpattes !

Lordre a claqué, la ménagère obtempère. Et le vieux reprend la position quil avait adoptée chez lui. Il adore ça : Lorsque la femme subit ses assauts et se trouve à sa merci. Lorsque le cul est ainsi offert, quil baise ou encule , il voit le cul, il peut y fourrer ses doigts, ce dont il ne se prive pas, Fabienne sent deux doigts au moins coulisser dans son anus en même temps que sa chatte est perforée par la bite infatigable.

Il a du prendre du Viagra se dit Jé qui se masturbe toujours

Il doit encore patienter 3 orgasmes et demi avant dentendre le grognement de bête de Vincent qui se crispe soudain.

Il a son compte, le pépére Se rhabille, flatte la croupe de Fabienne qui na pas bougérajuste le béret et claque la porte !

Jé ny tient pas, descend, bite en lair et encule Fabienne qui réalise soudain que son cher et tendre à tout vu et entendu, quil lencule et que la taille de la pine de son mari est plus discrèteque la précédente

Quand au Jé, il na pas de mal à trouver son pied après cette tension retenue si longtemps.

Il a juste une faiblesse lorsquil se dit « je suis cocu, quand même merde.»

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