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ma mère , 25 ans d'amour – Chapitre 11




Effectivement la nuit fut très chaude , ma mère aussi . A peine dans la chambre elle fit tomber mon peignoir , ouvrit le sien , à genoux devant moi en deux ou trois sucions me fit bander . Sur le dos , entre ses cuisses sa fente ouverte laissait voir le cratère d’entrée de sa grotte , les petites lèvres roses gonflées débordaient de mouille . Quand elle me suçait je voyais ses joues se creuser , à force mon gland avait du augmenter de volume quand je bandais .

En m’enfonçant , mon gland fit un bruit de ventouse . A peine au fond de son fourreau , comme le jour de mon dépucelage , on aurai dit qu’une main s’était emparée de mon sexe . Les muscles de son vagin me pétrissaient la tige pour me soutirer ma crème . Elle a joui deux fois coup sur coup en me plantant ses ongles dans le dos , à la 2e j’ai rempli son nid d’amour de la semence que mes bourses avaient reconstituée depuis le matin . Lovée contre moi , elle a joué avec son alliance . Les émotions de la journée eurent raison d’elle , elle s’endormit dans mes bras .

Ma mère s’était transformée d’une façon incroyable . Je ne la reconnaissais plus depuis que je lui avait offert une alliance . Elle prenais encore plus soin de son corps , elle embellissait . Nous ne sommes jamais tombés dans la routine et il n’y a jamais eu d’accrochage entre nous , sans à cause des sentiments mère – fils qui nous unissaient . Le sexe était un besoin sentimental et aussi une source de jeux ,, comme la fois où après m’avoir épilé les testicules , mon sexe raide dans sa main gauche , de la droite elle m’enroba le gland de crème chantilly qu’elle suça avidement . Ce jour là elle a dégusté en très peu de temps de la crème fraîche et de la crème chaude sous pression .

Je n’étais pas en reste non plus , après m’être occupé de la taille de sa toison , j’avais dissimulé sous le lit le pot de pâte à tartiner au chocolat ainsi qu’une culière à café . J’ai tartiné tous les replis de sa vulve de chocolat sauf le cratère d’entrée de sa grotte . Je lui ai léché délicatement la chatte , passant et repassant ma langue dans tout les replis , pour finir en en suçant son petit bouton rose chocolaté . Je l’ai fais jouir avec le bout de ma langue . Sa grotte s’était ouverte sous les caresses de ma langue et commençait à déborder de mouille . J’étais raide , je me suis relevé , à genoux entre ses cuisses , je me suis allongé en guidant le bout de ma tige dans sa grotte , son ventre est venu à ma rencontre . Me laissant faire , quelques coups de rein plus tard je déchargeais sans retenue . Me serrant contre elle , elle murmura que c’était bon de sentir ma semence se répandre dans son ventre .

Même en dehors de la maison elle était une autre femme , désirable et sexy . "L’art de tout suggérer sans rien montrer " comme elle disait . De temps à autre , en promenade ou faisant du lèche vitrine je surprenais des regards envieux lorsqu’elle me tenait par le bras , ou encore , séparés de quelques mètres à regarder des choses différentes je voyais des hommes la déshabiller du regard . J’étais flatté d’avoir une mère aussi désirable . Ma mère était le genre de femme mûre , respirant la sensualité , que tout homme jeune ou moins jeune normalement constitué désirait tenir dans ses bras et faire l’amour avec .

Un samedi d’automne en fin d’après-midi , pour aller flâner dans la galerie marchande de cette grande surface de la banlieue de Marseille où nous allions de temps à autre , elle s’était habillée sexy : jupe plissée courte , quasiment à mi cuisse , couleur caramel , petit gilet crème sans manche passé sur son chemisier blanc , collant ultra fins , bottes en peau de mouton , trench-coat beige juste au-dessus du genou . De retour sur le parking , le temps de ranger les quelques achats dans le coffre , débarrassée de son trench-coat ma mère s’était installée au volant .

N’ayant pas le permis à cette époque , assis côté passager , j’avais une vue plongeante sur ses cuisses . Tout en roulant sur l’autoroute , ma main sur son genou je glissais sous sa jupe . Je le faisais de temps à autre en voiture , surtout que la nuit commençait à tomber . Je remontais doucement , ma mère écartait ses cuisses sur mon passage , mes doigts frôlaient son collant , quand tout à coup j’ai rencontré sa peau . Elle n’avait pas mis de collant mais des bas auto fixant . La surprise était de taille , c’était la première fois qu’elle portait des bas .

Je n’y croyais pas , remontant encore plus haut entre ses cuisses je rencontrai sa toison , première fois aussi que mes doigts ne rencontraient pas de culotte . En s’asseyant au volant , pour me faire la surprise elle avait retiré sa culotte . Elle s’ouvrait de plus en plus , le bassin vers l’avant , le doigt entre les rebords de son sillon , l’intérieur de sa vulve était humide . Heureusement que nous arrivions à la maison . J’ai ouvert la porte du garage , la voiture est entrée , j’ai refermé la porte . Ma mère , tout sourire est sortie de la voiture , elle a juste eu le temps d’ouvrir la porte de communication entre le garage et la maison , je l’ai enlacée , plaquée contre l’aile de la voiture , retroussé sa jupe plissée , soulevé en écartant ses cuisses , ses pieds appuyés contre le mur du garage , une main sur sa hanche , de l’autre je tenais mon dard que j’ai guidé fébrilement dans sa fente . La tenant par les hanches , sans retenue j’ai poussé . Juste le temps d’être au fond j’ai tout lâché , mes bourses se vidant en jets saccadés . Je l’ai entendu faire un genre de "aaaaahhhhhhhhhhh !!!!!! " au moment où ma semence arrosait l’entrée de son utérus . J’ai fait quelques va et vient , ses mains crispées sur mes épaules elle me serrai contre elle , s’est mise à gémir en frémissant , les hanches agitées par le plaisir . Mes mains dans son chemisier ouvert je pétrissais ses seins , elle ne portait pas de soutien gorge non plus . Elle me regardais souriante , satisfaite de m’avoir fait un tel effet . Les achats attendraient , nous sommes montés dans la chambre . J’avais tombé mon jean et mon slip , je regardais ma mère qui me tournait le dos , jupe sur le sol , avec pour seul vêtements ses bottes , ses bas et son chemisier ouvert . Se penchant pour faire glisser les fermetures éclair de ses bottes , j’avais sous les yeux une superbe paire de fesses , entre ses jambes un peu écartées , de sa vulve ouverte une longue coulée de sperme s’échappait , glissant le long de sa cuisse et de son bas . A la vue de ce spectacle ma queue s’est redressée , me suis approché , les mains sur ses hanches j’ai glissé mon sexe entre ses cuisses . Devinant mon envie de la prendre par derrière , elle se pencha en appui sur le bord du lit . De la main droite j’ai guidé dans sa grotte encore gluante mon sexe qui regardait le plafond . Je savourai ce moment , j’allais et venais lentement , quand en me retirant presque entièrement j’ai vu son anus rose . Nous avions déjà tenté une sodomie , sans y parvenir malgré un peu de vaseline , ma mère étant trop contractée ce jour là . Je demandais à ma mère si on pouvait recommencer ; elle n’était pas chaude , mais pour me faire plaisir elle accepta . Je pris le tube de vaseline que nous avions gardé , déposais une grosse noisette de vaseline sur son anus , l’étalais du doigt , glissant même le bout de l’index provoquant une contraction . J’ai essuyé mon gland que j’ai enduit de vaseline . Ma mère s’était agenouillée devant le lit . J’ai placé mon gland dans l’entrée de son fondement . Je comprenais pourquoi cela n’avait pas marché la première fois ; mon gland dilaté ressemblait à une grosse boule de glace un peu ovale au bout d’un bâton . Bien en ligne , la tenant fermement par les hanches , lentement j’ai poussé , le bout a disparu , son anus s’élargissait , elle poussait des petits cris , mon gland venait de disparaître . J’étais serré , c’était plus étroit que son vagin. Je me suis enfoncé entièrement , faisant de lents va et vient , grâce à le vaseline cela glissait bien . Elle ne me demandait plus d’arrêter , ses petits cris s’étaient transformés en longs gémissements , elle griffait le dessus de lit , elle jouissait . Bien au fond , penché sur son dos j’ai lâché ses hanches , un sein dans chaque main j’ai joui aussi . Je me suis retiré lentement , elle est restée affalée sur le bord du lit ; mon sperme s’écoulait de ses deux orifices . Je venait de dépuceler l’illet rose de ma mère en la sodomisant .

Si la jouissance avait été forte , c’était plus du plaisir physique , pas du tout pareil que quand nous faisions l’amour face à face . Il n’y avait pas cette tendresse amoureuse et sentimentale qui nous unissait . D’ailleurs nous n’avons recommencé que quelques fois par la suite .

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