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Drague avec mes fesses – Chapitre 6




Sandrine prend ma place et se déchaîne sur la vulve de son amante. Florence se raidi de nouveau et jouit une nouvelle fois. Sandrine ne la lâche pas et la fait jouir encore deux fois de suite en l’espace de trois minutes. Je vois que Florence n’en peut plus, elle est au bord de l’évanouissement. Je me glisse entre les jambes de Sandrine et lui titille l’anus. Elle réagit en se mettant sur le dos et en repliant ses jambes sur sa poitrine. 

 

Oui, j’aime, titille-moi la rondelle. 

 

Je me penche sur sa rondelle pendant que Florence se laisse aller sur le lit. Elle est détendue, son visage est serein, sa respiration lente et profonde, elle digère ce qu’elle vient de vivre. Pendant ce temps, Sandrine se tord sous ma langue, elle se masturbe pour jouir violemment. 

 

AAAAAAHHHHHH 

 

Je me redresse, Carole caresse Florence d’une main légère, juste pour lui donner le plaisir d’une main douce sur la peau. Florence apprécie les yeux fermés, un léger sourire sur ses lèvres. Elle se redresse un peu. 

 

Putain, quel pied, vous êtes des diablesses toutes les trois, mais si c’est tout le temps comme ça, je veux bien finir en enfer. Quel pied, putain, quel pied. 

 

Sandrine s’allonge à côté d’elle et l’embrasse en lui caressant le ventre et les seins. Je me lève pour apercevoir Guillaume qui s’est déplacé et nous regardait de la fenêtre de sa chambre. Il me fait part de son plaisir en levant le pouce. Je lui fais un petit signe discret pour qu’il s’efface, j’ai peur que Florence ne le prenne mal. Tout le monde se lève et va au salon. 

 

Les filles, il est temps de penser à manger, je vous invite au restaurant, j’ai un ami qui en tient un pas loin, nous pouvons même y aller à pied. 

Pas pour moi, je dois y aller. A dimanche mon amour. 

 

Florence embrasse passionnément Sandrine. Elle se rhabille, elle ne porte qu’une très belle robe assez moulante qui lui arrive mi cuisses, mais avec une fente derrière assez haute, on n’est pas loin des fesses, sur ses collants imitation bas couture. Elle nous quitte après nous avoir toutes embrassées. Nous enfilons toutes une jupe, un corsage et nos blousons. Heureusement, Sandrine à le même pointure que moi, je lui prête une paire d’escarpin. Après avoir réservé notre table, nous quittons l’appartement. Le commando de choc est en route. La nuit est tombée, et la température aussi, nous sommes en dessous de zéro.  

 

Je vous préviens les filles, nous allons chez un ami, alors on reste calmes et le plus discrètes possible. 

Sauf qu’on va leur montrer notre cul quand on va rentrer dans le restaurant. 

Oui, mais une fois à table, on se comporte normalement, ok. 

Ok 

Ok  

 

Nous marchons de front, bras dessus bras dessous, les rues sont bien éclairées et nous ne passons pas inaperçues. Je ressens l’attaque du froid, mais ça m’excite encore plus, je sers un peu les cuisses pour essayer de me masser le clitoris, au bout de quelques minutes, je sens ma cyprine au bord des lèvres, mon sexe est chaud.  

 

Quelle superbe spectacle. 

 

Nous nous arrêtons, nous nous retournons et voyons une femme dans la soixantaine très bien conservée, emmitouflée dans un gros manteau. 

 

Vous me donnez froid dans le dos les filles, mais j’avoue que je suis très admirative de vos magnifiques fesses, je pense que je ne vous gêne pas en vous disant ça, vous êtes là pour ça, non ? 

Effectivement, nous montrons nos fesses, je pense qu’elles en valent la peine. 

Ça, vous pouvez le dire. Mon grand regret sera de n’avoir pu que les admirer, j’aurais tellement aimé passer mes mains dessus pour les caresser. 

 

Elle nous regarde d’un air triste, je veux faire quelque chose pour elle. Je jette un coup d’il circulaire autour de nous et repère une grande porte ouverte sur un porche à juste une dizaine de mètres sur notre trottoir. 

 

On peut peut-être arranger ça, suivez-nous. 

 

J’entraine les filles dans le porche, une fois dedans, je tourne le dos à la dame en soulevant ma jupe. 

 

Allez-y, faites-vous plaisir. 

 

Carole et Sandrine se mettent à côté de moi et lui offre aussi leurs fesses. La dame pose ses mains sur les miennes, elles sont très froides et ça déclenche un frisson de plaisir dans tout mon corps. Elle me les caresse, me les malaxe, pour passer à Sandrine, puis à Carole. Je pense qu’elle en a assez, mais elle revient sur moi, une main se glisse entre mes globes, passe sous le périnée et vient titiller ma vulve, l’autre est toujours sur mes fesses.  

 

Oh là, je vois que tu aimes ça. 

J’adore. 

 

La pression monte, surtout qu’elle a une certaine expérience. J’é carte un peu mes cuisses quand ses mains me quittent pour aller sur Sandrine et Carole. Elle partage son temps entre nous trois. Quand elle revient vers moi, constatant que le passage est plus ouvert, elle me fait tourner pour que je lui fasse face, elle nous met toutes en arc de cercle autour d’elle. 

 

Ne bougez pas les filles. 

 

Elle s’accroupie devant nous, je sens sa bouche se poser sur ma vulve. Sa langue s’active pendant une minute, m’amenant au bord de l’orgasme, elle prend ma main droite et la pose sur ma vulve. 

 

Entretiens toi. 

 

Je lui obéis sans me poser de questions et me caresse doucement. Elle fait la même chose aux deux autres avant de revenir à moi. Elle m’écarte la main et commence à me laper avec sa langue, elle remonte lentement, quand elle arrive sur mon clitoris, j’explose en silence dans un magnifique orgasme. Elle me boit jusqu’à la dernière goutte puis se tourne vers Sandrine. Même motif, même punition, quelques minutes et Sandrine explose à son tour, suivie deux minutes plus tard par Carole. Elle nous dépose un baiser sur chacun de nos sexe et se redresse. 

 

Merci les filles, vous êtes merveilleusement belles, mais en plus vous êtes délicieuses, il y a longtemps que je n’avais ressenti un tel bonheur en buvant ce nectar. Merci les filles.  

 

Elle se retourne et sort dans la rue. Nous nous regardons, et éclatons de rire. Nous rejoignons le restaurant. Pierre, son propriétaire vient vers moi et m’embrasse amicalement, il fait de même aux deux filles. 

 

Je t’ais réserve ta table, bonne soirée les filles. 

 

Un serveur arrive. 

 

Bonjour Julie. 

Bonjour Léo. 

Suivez-moi mesdemoiselles. 

 

Nous traversons toute la salle en passant au milieu des tables. Montées sur nos escarpins, le bas de nos jupes est au-dessus des tables. Les clients ne peuvent que voir nos fesses nues qui passent à quelques centimètres de leur nez. En plus, avec ce que nous venons de vivre, le haut de nos cuisses doit briller. Je n’entends qu’une remarque un peu désobligeante d’une femme BCBG, mais c’est tout. Nous nos asseyons à ma table habituelle, elle est ronde, on peut y manger à six, Pierre nous a disposer pour faire face à la salle, la nappe ne descendant pas très bas, on peut voir nos jambes, que nous gardons serrées. Un couple arrive juste derrière nous, en regardant la salle, je remarque une femme assise sur une table à quatre ou cinq mètres de nous, elle doit avoir trente ans maxi, assez jolie en robe rouge lui arrivant mi-cuisses. Elle me regarde fixement. Léo nous amène les cartes.  

 

Pendant que je choisi, je lève les yeux et tombe sur la femme qui a légèrement écarté ses jambes, me montrant une petite culotte blanche. Elle me fixe toujours avec un léger sourire. J’écarte un peu mes cuisses, son regard baisse au niveau de la table. Son sourire est plus franc. Nous sommes passées devant elle, elle sait que nous sommes nues sous nos jupes, elle a forcément vue nos fesses à l’air. Nous commandons et buvons l’apéritif que nous a offert Pierre. Je vois que la femme a encore plus écarté ses cuisses, j’en fais de même. Cette situation m’excite, et je sens ma chatte s’humidifier de plus en plus, elle doit briller comme un phare. La femme me regarde et se lèche les babines. Je lui souris.  

 

Léo nous sert les entrées, nous commençons à manger en discutant de ce que nous pourrions faire après. La femme se lève et va aux toilettes. Cinq minutes plus tard, elle revient et s’assoie à sa place. Je la regarde, elle me fixe et ouvre ses cuisses. Elle n’a plus de culotte, elle me montre sa vulve glabre qui, comme la mienne, brille intensément. Elle me sourit sans refermer ses cuisses. Je lui souris. Le repas se passe bien, nous mangeons délicieusement bien. A la fin du repas, je me lève pour aller aux toilettes. Quand je sors de la cabine des toilettes, elle est là, adossée aux lavabos, visiblement elle m’attend. Elle me regarde et vient vers moi en me regardant droit dans les yeux. Sans un mot, elle porte sa main sous ma jupe et la plaque contre mon pubis. 

 

J’en ai envie. 

Pas de problème. 

 

Son majeur se repli et glisse entre mes lèvres pour s’enfoncer un peu dans mon vagin très humide. Elle retire sa main et porte son doigt à sa bouche pour le sucer.  

 

Délicieux. 

 

Je porte ma main sous sa robe pour lui faire la même chose et sucer mon doigt. 

 

Délicieux. 

 

Elle éclate de rire. 

 

Bon, maintenant qu’on a bien rigolé, si on parlait de choses sérieuses. 

Lesquelles ? 

Quand est-ce qu’on se revoit ? 

Vraiment ? 

Oui, je suis tombée amoureuse de tes fesses, il faut que je les caresse, les embrasse, les câline, et maintenant que j’y ai goûté, m’occuper aussi de ton sexe, bref j’ai envie de toi. 

 

Elle me tend une carte de visite. 

 

Appelle moi quand tu veux, au fait, comment tu t’appelles ? 

Julie, ne t’en fait pas, je t’appelle, je suis toujours partante pour de nouvelles rencontres. Je peux connaitre ton nom ? 

Elodie. 

 

Je sors des toilettes, pour rejoindre Carole et Sandrine. Je leur raconte ce qui vient de m’arriver juste au moment où la femme sort des toilettes. Elle me sourit en passant devant moi et va s’assoir. Elle écarte ses cuisses, la culotte est revenue, mais une petite auréole est bien visible. Nous échangeons un sourire, mais très vite son sourire disparait, elle regarde son compagnon et ne semble pas très heureuse. Après avoir payé, nous quittons le restaurant et marchons dans les rues, bras dessus bras dessous pendant une bonne heure. Il y a une légère brise qui nous soulève légèrement nos jupes et nous refroidi la vulve. Je suis dans un état second, je mouille au point que ma cyprine coule le long de mes cuisses, accentuant l’effet de froid. Un peu fatiguées, vaincues par le froid de plus en plus intense, mais après avoir drainé quelques dizaines de personnes derrière nous, nous rentrons chez moi.  

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