Pendant que me lèvres s’attardent sur le gland et que ma langue titille le frein du prépuce, de ma cravache, je tapote doucement le scrotum de mon partenaire. Quand j’enfonce son membre dans ma gorge, j’accélère et renforce les tapotements sur testicules. La peau du scrotum se raidit. Je pense qu’il apprécie l’exercice.
Les autres partenaires parcourent mon corps de leurs mains. Des doigts entrouvrent mes lèvres intimes et tâtent mon humidité intime.
Je sens le sexe se raidir dans ma bouche puis les jets de sperme venir frapper le fond de ma gorge. Je sais maintenant contrôler ma gorge pour éviter de m’étouffer. Ma bouche laisse le pénis se retirer mais ma main le retient. Mes lèvres englobent alors un des testicules qui ressort alors couvert du sperme que j’avais retenu dans ma bouche. Le deuxième testicule subit le même sort.
Je me relève alors pour passer en revue les membres restants de la compagnie. Quelques légers coups de cravache sur les glands qui m’entourent exacerbent la vigueur des mâles qui vont me saillir.
Car c’est fait, je sens en moi le besoin d’être pénétrée, encore et encore… Je repense à l’idée de Conrad qui me voudrait voir conduite à la saillie comme une chienne. Mon sexe semble focaliser toute la concentration de mon esprit désormais.
Je retire ma casquette et mon bustier. J’insère le manche de la cravache entre mes lèvres intimes et je le ressort luisant de cyprine.. Trois hommes approchent leurs visages du manche pour venir humer puis goûter ma liqueur de jouissance. J’ai l’impression de voir leurs membres grandir encore. Je veux être empalée par des chibres épais et palpitants.
Je demande à l’un de s’allonger sur un divan en cuir. Je prends sexe et scrotum entre mes deux mains et je serre doucement pour augmenter la vigueur de mon partenaire avant de m’asseoir à califourchon sur son pubis. Mon vagin affamé engloutit le pieu et arrache un soupir à son propriétaire.
Je m’allonge sur lui de façon à bien mettre en valeur mon périnée. Je dépose la cravache et écarte mes fesses au maximum. Je sens rapidement quelqu’un s’accroupir au dessus de nous afin de venir présenter son gland au niveau de ma rosette. Je me concentre afin de détendre mes sphincters anaux. Je souhaite leur montrer que mes reins sont également accueillants.
Je suis prise en sandwich et je réclame un deuxième pénis dans mon vagin. Un homme pourvu d’un sexe d’une belle longueur parvient, après quelques essais à s’introduire. J’ai désormais trois amants, deux dans mon vagin et un dans mon rectum. Il me faut également un sexe dans ma bouche et dans chacune de mes mains. Ils sont désormais six autour de moi. Si jamais, je pouvais les faire jouir ensemble. Je pense à Sabrina, à Clara, à mes fantasmes. Ma colonne vertébrale est parcourue de frissons et bientôt je sens mes entrailles parcourues de palpitations alors que mon cerveau connaît son premier orgasme.
Instinctivement, mes orifices se sont resserrés autour de leurs envahisseurs, mes mains se sont crispées et mes mâchoires ont failli mordre. Je sens certains de mes partenaires qui commencent à m’inonder de leurs semences. Ils se retirent doucement, bientôt remplacer par de nouveaux qui m’embrochent de plus belle.
Mon visage commence également à être arrosé de sperme qui dégouline alors sur le nez du partenaire qui me supporte. Celui-ci jouit à son tour. Les deux autres invités de mon ventre l’imitent bientôt.
Je nettoie consciencieusement de ma bouche les membres de mes amants. Mais d’autres partenaires se présentent pendant ce temps à l’entrée de mon ventre. Pendant deux heures, je m’offre à leurs pénétrations.
Mon dieu, ils n’étaient qu’une quinzaine, mais je pense que tous m’ont pénétrée, d’une façon ou d’une autre, au moins trois fois.
Quand enfin, ils se retirent, je reste seule avec les trois cameramen qui viennent, de leurs objectifs, survoler mon corps couverte de semence. Mes doigts ouvrent mes lèvres et viennent racler ma muqueuse intime pour porter encore à ma bouche quelques gouttes de semence et de cyprine. J’aimerais que Sabrina vienne me nettoyer de sa langue et cette pensée me procure un nouvel orgasme. Je pense que je devient folle de cette fille…
Les cameramen posent leurs caméras et baissent leurs pantalons. Deux me prennent en anal-vaginal pendant que ma bouche honore le troisième. Après quelques minutes, ils changent de rôle. Celui qui était dans ma bouche s’allonge pour que je m’accroupisse sur son pénis. Celui qui était dans mon vagin m’envahit les reins. Et je nettoie ardemment le dard qui m’avait limé le rectum. Après quelques minutes, nouvelle permutation, toujours dans le même ordre. J’adore !!! Et cela continue, car ils semblent infatigables… Quand vont-ils se décider à m’inonder ?