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Une sortie scolaire – Chapitre 4




Hélène CARTIER, sous la contrainte, a appartenu à 3 loubards, alors qu’elle accom-pagnait une sortie scolaire à laquelle participaient ses enfants. Lors de la soirée sui-vante, sous la menace de la révélation de cette aventure elle permet à nouveau, au jeune chef, des voyous des privautés qui devraient lui paraître infâmes, honteuses, or elle en ressent un certain plaisir, plaisir dont est bien conscient son suborneur.

Après les quelques minutes qui lui furent nécessaires pour reprendre ses esprits, Hélène, légèrement nauséeuse, le goût du sperme de son suborneur au palais, d’un pas lent partit rejoindre ses enfants, qui allongés au pied du feu de bois la hélaient de la voix.

Sa nouvelle amie, Odile VERLANS, leur prof de science leur tenait compagnie. C’était une jolie brune, comme elle trentenaire, enfin trente cinq pour elle, avec qui elle avait sympathisé, lors de cette petite excursion.

— ’Vous avez aimé’ l’interrogea-t-elle gentiment ?

Encore troublée par son aventure, elle la fixa interloquée, comment pouvait-elle bien savoir … les aurait-elle vu ? ….

Heureusement, inconsciente du léger malaise, Armelle, sa fille précisait, dans la fou-lée, :

— ’Le petit groupe de folk, tu as aimé ?’

— ’Bien sûr’ s’entendit-elle répondre, d’une voix de gorge, lui semblait-il encombrée, révélatrice de ce qu’elle venait d’endurer ? Endurer était-il vraiment le mot d’ailleurs ? enfin …

Réagissant contre cette mélancolie qui l’envahissait, décidée à se livrer à l’introspec-tion qu’induisait sa conduite plus tard, elle se secoua, et la voix plus naturelle répon-dit :

— ’Tu sais ma chérie, il y a bien longtemps que je connais Graheme Allwright, mais je reconnais que ce petit groupe interprète parfaitement son répertoire.

La conversation roula encore un moment sur ce petit intermède du feu de bois, les enfants étaient heureux, elle avait retrouvé une contenance naturelle et se montrait de nouveau disponible, comme si l’épisode dernier n’avait finalement que peu d’im-portance.

Quelques cotes grillées, des patates sous la braise, et enfin, ils retournèrent au cam-ping, toujours devisant gaiement.

Un rapide passage aux sanitaires lui permirent de se rafraîchir, et, vers 10 heures elle se retrouva dans la petite tente qu’elle partageait avec Odile, par coïncidence, cette dernière évoqua à mots couverts, les ’vicissitudes’ de sa vie actuelle : comme Hélène, elle avait épousé un monsieur souvent absent, son mari expert comptable était souvent requis à l’extérieur, pour de longues périodes, une semaine parfois plus. Sa tâche concernait la remise en place, ou la préparation de comptes avant toutes vérifications officielles, son agence, célèbre dans ce domaine étant très ap-préciée, son activité ne se limitait pas à la France, il était parfois appelé en conseil à l’étranger.

Cette situation finissait par lui peser, exactement comme Hélène, elle ressentait une certaine frustration, bien sûr ces activités leur assuraient à toutes deux une vie très confortable, mais en ce qui concernait la vie familiale ? De plus, Odile n’avait pas d’enfants, et enviait presque Hélène de ce coté, quant à la vie sexuelle … Odile l’avait décrite d’un simple soupir.

Curieusement, une fois couchée, Hélène pensa de nouveau à leur situation, et dut s’avouer, une fois de plus qu’effectivement l’absence de son mari nuisait profondé-ment à leur couple, non seulement elle la laissait insatisfaite, mais encore, elle se demandait toujours si, comme elle devait encore plus peser à son mari, il n’avait pas trouvé de solutions compensatoires, secrétaire très dévouée, sorties distractives, demande d’un oreiller dans les hôtels de nuit.

Petit à petit ses pensées se diluèrent, et elle sombra dans un profond sommeil, pro-pice aux rêves les plus suggestifs ; bientôt, elle se retrouva seule dans la nature, une bande de loubards l’agressait, surgissant alors du néant, tel Zorro, Franck surgissait, la délivrait, dans une courte mais violente bagarre, de ses assaillants et, ne sachant comment le remercier, elle s’offrait à lui, commençant par une surprenante fellation, elle qui n’aimait pas cela, qu’elle menait à son terme, avalant à pleine bouche sa li-queur virile, avant de se donner à corps éperdu à son sauveteur, cherchant par tous les artifices connus d’elle à le satisfaire pleinement.

Elle se réveilla brusquement, gémissante, heureusement sa voisine de couchage dormant profondément, ne s’était pas réveillée, main enfouie entre ses cuisses, re-trouvant des vieux réflexes masturbatoires abandonnés depuis longtemps. Elle était trempée, de sa vulve suintait un épais sirop d’amour, son rêve lui revenait dans ses détails les plus croustillants.

Ainsi son subconscient avait transformé son épreuve, son violeur lui apparaissait maintenant, tout au moins en rêve, comme son sauveteur, sauveteur qui palliait d’ail-leurs à la tâche de son mari, la délivrant de force d’assaillants déterminés. Alors qu’elle aurait du ressentir de la honte, du dégoût, de part sa conduite, il faut bien le dire scandaleuse, son imagination sublimant sa mésaventure la transformait en une chimère justifiant sa conduite. Déjà, l’idée de le revoir dans la journée loin de la rebu-ter, lui souriait, elle se rendormit se lovant confortablement dans ses couvertures, reprenant dans son rêve les différentes façons de le remercier charnellement se re-mémorant avec une certaine appréhension sa promesse : il allait s’occuper de son cul ! Déjà une certaine exaltation, ce serait pour elle une première, et elle était toute décidée, malgré la crainte de souffrir, à lui accorder ce pucelage, qu’était-ce à coté du merci qu’elle lui devait !

Eveillée aux chants des oiseaux, sa serviette à la main elle se dirigea vers les sani-taires, à cette heure matinale, elle se trouvait la seule éveillée, du moins lui sembla-t-il, le camping semblait encore profondément plongé dans le sommeil du juste, elle se glissa dans une douche, ôta son pyjama et eut à peine le temps de se glisser sous la douche que déjà Franck la rejoignait, nu comme un ver. Il lui prit les lèvres à pleine bouche, décontenancée par cette brusque et inattendue approche, troublée elle se laissa embrasser, la langue de son ’amant’ investissant sa bouche, fouillant son pa-lais.

Elle ne cherchait même pas à comprendre comment il était là, elle ne l’avait pas vue la suivre, elle n’avait pas remarqué que subrepticement, avec sa carte bancaire il avait bloqué le mécanisme de fermeture de la douche, se dénudant dans l’allée, avant de pénétrer dans la douche, fermant le loquet avant de la saisir aux hanches pour ce baiser profond qui l’enivrait.

Eperdue, toutes à ces sensations elle se laissait caresser avec fougue, lui facilitant ses desseins, ouvrant les cuisses pour mieux accueillir sa virilité au plus profond de son vagin. Déjà il l’enconnait, coulissant avec une étrange facilité dans son conduit avenant, elle se rendait compte furtivement, que déjà au lever, son corps était prêt à l’accueillir, qu’il souhaitait cette effraction enivrante. Nouant ses jambes autour de ses reins elle approfondît encore le contact, il lui remplissait la matrice, intuitivement elle se servait de ses sphincters pour presser sa bite comme dans un gant d’amour, ces transports fiévreux aboutirent rapidement, et ce furent les jets de sperme dans sa moule domptée qui déclenchèrent un orgasme fulgurant.

Haletants ils restèrent imbriqués l’un dans l’autre, reprenant leur souffle, avant que sa propre initiative elle se coule à ses genoux, absorbant avec délicatesse son braque-mart encore frémissant pour le toiletter avec application.

Consciente du risque, elle entendit alors le camp s’éveiller, bruire des mille bruits annonciateurs de visiteurs, lui promettant de le revoir dans la journée elle le pria de partir, peu soucieuse de garder sa liaison secrète. Le pas était franchi, elle pensait maintenant en termes de liaison et non plus de contrainte sexuelle. Elle devinait maintenant que la seule contrainte qu’elle subirait, c’est celle qu’elle s’imposerait pour le garder.

Elle ne s’attardât pas outre mesure, la douche lui permettant de reprendre ses es-prits, elle regagna sa tente.

Ses courts cheveux ébouriffés, Odile sortait de son sac de couchage, elle remarqua :

— ’Eh bien dit donc quelle forme ! Déjà levée ! Douchée ! Tu n’as pas perdu de temps !

Elle sentait un changement chez sa ’partenaire’ elle ne savait à quoi attribuer cette transformation, mais ce matin Hélène lui semblait pleine d’allant, épanouie, pétante de vie. Bien sur Hélène ne risquait pas de lui avouer les raisons de cette évolution, elle se contenta d’évoquer les bienfaits d’une douche matinale, du retentissement du chant des oiseaux sur son comportement, et vivement elle changea de sujet, abor-dant l’emploi du temps de la journée.

Ce mardi, les deux femmes devaient se séparer, l’une devrait assurer l’encadrement du groupe, tandis que l’autre se chargerait du lavage des affaires du petit groupe qui leur était confié. Pour cela, elles partiraient ensemble avec le minibus, l’une resterait en ville, assurant les tâches ménagères alors que l’autre effectuerait l’excursion pré-vue, la première reprendrait le bus au retour, en fin de matinée, vers 17 h. Cela sous-entendait que celle qui vaquerait aux fonctions d’intendance, aurait sa journée libre, elle demeurerait à Saint Quentin la journée durant. Hélène prétexta ne pas connaître Saint Quentin, et avoir envie de faire un peu de tourisme pour jouir de cette liberté d’action, lui restait donc à prévenir Franck de sa disponibilité.

Les enfants ne firent aucunes remarques tout aussi heureux de se voir accompagnés par Odile que si cela avait été par leur mère, à la limite d’ailleurs ils sentaient qu’ils seraient plus libres avec elle. Cependant Armelle lui fit une demande alarmante :

— ’Dis maman, tu penseras à acheter une pellicule, on aimerait prendre des photos de toi avec ton beau maillot ! cela fera un souvenir !

— ’Mais bien sûr, ma chérie’ s’entendit-elle répondre, consciente que pour cela il lui faudrait à toute fin récupérer sa culotte toujours en possession de Franck. Déjà in-consciemment, elle réfléchissait à ce qu’elle pourrait lui accorder en échange, cons-ciente que s’il pensait avoir barre sur elle grâce à cet effet, il ne lui rendrait qu’en la troquant contre quelle que chose de tout aussi compromettant.

Le départ approchait, le minibus devait quitter le camp pour 10 heures, enfants et effets chargés ; elle quêtait des yeux Franck, voulant à tout prix l’informer de cette occasion. Enfin, elle put errer du coté de leur tente sans se faire remarquer, il l’abor-da tout de suite certain qu’elle voulait lui transmettre une information.

Elle l’informa qu’elle passerait seule dans Saint Quentin pour la journée, et demanda timidement :

— ’Mes enfants veulent me prendre en photo, en bikini, tu me le rendras dis ?’

— ’Que penses-tu me donner en échange ?’

— ’Je … je ne sais pas encore ?’

— ’mais tu auras ce que tu voudras …. Tu pourras même me faire ce que tu veux … si tu me le rends … tu pourras …’

— ’Alors achète de la vaseline … tu comprends pourquoi ?’

— Oui …. Mais …. Je …’

— Tu veux ou tu ne veux pas que je te rende ta culotte ?’ … Si tu la veux vraiment, ce sera mon prix …’

— ’ ……..’

— ’Dis moi ce que tu vas me donner en échange’,

suggéra-t-il soudain décidé à l’humilier, sachant combien de mal elle aurait à lui faire son offre, l’asservir le plus possible faisait partie de son plan et comme il avait trouvé cette faille dans son comportement, cette pudeur que lui jugeait comme de la prude-rie..

et les joues en feu elle osa :

— ’tu….je te donnerai … tu pourras me … sodomiser ….’

— ’Sois plus précise, plus crue , je vais t’enculer, t’éclater la rondelle …’

— Tu pourras … m’enculer’ dut-elle dire les joues en feu.

— ’Le temps que tu règles tes problèmes …. Je te retrouverai vers midi … place de la cathédrale!’

Et, sur cette promesse formelle, il la laissa partir, se réjouissant déjà de cet après-midi que le sort lui réservait.

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