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mes deux soeurs – Chapitre 2




je voulais tout son corps, sa bouche sa poitrine, puis bien sur le reste, toutes les barrières de l’inceste frère soeur était tombées, plus rien ne gêné, je pris sa bouche encire une fois de plus, un baiser qui dura une éternité, pleine bouche lui suçant amoureusement la langue, un ballet buccal, comme jamais je n’avait connu jusqu’ici, puis je descendit peu à peu son cou ses épaules et enfin cette superbe poitrine, elle me contrôlé plus rien, la tête en arrière encore embrumée par l’alcool, elle s’offrait totalement à moi, techniquement je suis bon dans le domaine des caresses buccales, alors je venais de décider de lui faire voir tout mon potentiel, l’amenais non pas aux portes du nirvana mais bien plus loin, l’extase absolue, bien plus haut que le paradis de la jouissance, plus profond que l’enfer du sexe, les caresses se succédèrent sur sa poitrine, je l’ai léchée, caressée, masturbée, j’ai joué avec ma langue sur ces deux superbes boucliers armées de pointes roses, une heure durant j’ai fait durcir cette poitrine, une heure durant les orgasmes se sont succédés, elle était à moi, je la contrôlée, j’étais son maître, à la fois son maître et sa conscience, elle, mon esclave ma proie, l’objet de tout mes désirs et mes fantasmes les plus fous, puis quittant enfin ses collines de platine je recommençais ma progression, centimètre carré par centimètre carré, léchant sa peau, goûtant la sueur qui la recouvrait,jusqu’à la lisière de son mont de Vénus, puis ses jambes fines musclées longues furent couverte de baisers et de salive comme le reste du corps, marrêtant à la base inférieure de son sexe, j’allais pouvoir goûter maintenant à son con juteux, comme on mort dans une pêche, comme une bête affamée, tel un lion fou d’amour, la seule chose qui peux me faire véritablement rugir de plaisir, je me suis abandonné dans les profondeurs de son intimité elle criait, affirment sa jouissance, son corps animé de soubresauts désordonnés, et ma langue plantée dans son vagin tel un fer de lance, lui arrachant des orgasmes puissants à répétitions orgasmes vulvaire, tel une coulée de lave vomie par un volcan, orgasme clitoridiens giclant dans tous les sens, orgasme vaginaux semblables aux geysers d’Irlande, orgasmes dévastateurs certes mais ce ne fit pas encore le bouquets final il restait encore beaucoup à faire, mais avant de lui faire goûter aux joies de mon sexe, je pratiqua un deep spot, qui l’a fit jouir comme jamais, ayant trouvé le point de cette pratique bien au fond , derrière la matrice de lutérus, je déclencha un véritable tsunami, la cyprine jaillit de son con déferlante océanique, semblable à un jet de pisse puissant dégoulinant sur les draps, trempant le matelas, elle ne réagissait même plus griset et épuisée par tant d’orgasmes incontrôlés à la suite, les cris n’étaient plus que des ombres, des sons à peines audibles coincés dans sa gorge. Plusieurs minutes passèrent ensuite pour la faire émerger de sa torpeur, pour qu’elle reprenne connaissance et conscience de se que nous étions en train de faire, les effets de l’alcool, disparaissaient, mais son envie de sexe était encore bien présente, " alors fréros, tu me bourre quand ? Je veux que tu me remplisse la chatte et le cul aussi, plus que jamais " t’elles furent ses dernière paroles avant que ma bite bien lubrifiée par son jus disparaisse entre ses chairs, je l’ai besogné, environ 20 minutes la pilonnant tantôt avec douceur et amour, tantôt avec force et bestialité, changeant plusieurs fois de position, en déversant la purée bien au fond de son ventre, ce qui lui donna encore un énième orgasme et une jouissance de plus .

Je lui ai de nouveau lèche le con, dégustant mon jus mêlé du sien, récupérant le maximum dans ma bouche, et lui déversant dans la sienne, puis ne nouveau nos lèvres se sont soudées, pour un long baiser.

Je conclut cette nuit torride par une sodomie classique, la bourrant bien profond, lui faisant crier sa jouissance , encre une fois déchargeant dans son conduit anal, me retirant ensuite lentement quand ma queue se libéra de son cul, un bruit de succion se fit entendre, preuve que je l’avait bien remplit et dilaté, elle me fit une dernière fellation goûtant le goût de son cul, mélangé à ma semence.

Et vous allez me dure et ma deuxième soeur dans tous cela, et bien je vais y venir, mais je laisse planer un peu les choses , un prochain épisode suivra probablement bientôt, après mes vacances, et pourquoi ne pas mettre cette histoire fictive en application, un détail, je n’ai pas de soeur, mais je trouverais bien quelque part deux soeurs non ?

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